Benzion Mileikowsky, juif satanique, non-sémite et né en Pologne, s’exprime devant l’ONU pour faire savoir à tout le monde qu’il continuera d’annexer des terres et de déplacer des peuples sémites et des chrétiens en bombardant, assassinant et génocidant des millions de bébés et d’hommes et de femmes innocents, et qu’il le fera en utilisant l’empire de guerre américain et VOTRE « argent ».

COMPLOT MEURTRES ESPIONS DE LA FRANC MACONNERIE

Ce qu’il ne dit pas se bouffon c’est que la république est née de la franc-maçonnerie donc automatiquement, tous les chefs d’état et autres hauts fonctionnaires doivent passer par les franc-maçons.

a group of people walking down a sidewalk next to a body of water

Introduction : Une Histoire Sombre

La Franc-Maçonnerie, une organisation fraternelle aux racines anciennes, a depuis longtemps été au centre de nombreuses controverses et théories du complot. Fondée sur des principes de moralité et de recherche de la vérité, elle est souvent perçue comme un mystère, concernée par le pouvoir et l’influence à l’échelle mondiale. Au fil des siècles, les rumeurs qui l’entourent ont suscité l’intérêt à la fois des historien.ne.s et des passionné.e.s de mystères, amenant à s’interroger sur les rôles secrets qu’elle aurait pu jouer dans des événements clés de l’histoire.

L’un des aspects les plus intrigants de la Franc-Maçonnerie est le lien supposé entre ses membres et des meurtres mystérieux. Des récits narrent comment des espions maçons auraient orchestré des assassinats pour atteindre des objectifs politiques ou personnels. Ces histoires ne se limitent pas à une période particulière ; elles s’étendent sur plus de 300 ans, touchant des événements marquants allant des révolutions aux guerres. Les théories soutiennent que ces actes violent les fondements de la fraternité, en les détournant pour servir des intérêts cachés.

L’interrogation sur la portée de cette influence soulève des questions essentielles : la Franc-Maçonnerie a-t-elle réellement été impliquée dans des meurtres politiques ? Comment ces actes auraient-ils façonné le cours de l’histoire et quelle est la part de vérité derrière ces allégations ? En cultivant un climat de secret et de mystère, la Franc-Maçonnerie alimente sans cesse la fascination et la méfiance à son égard. Au fil de cette exploration, nous plongerons dans l’héritage mystérieux de cette organisation, en examinant les soupçons de meurtres attribués à des espions maçons, tout en gardant un regard critique sur la véracité de ces récits historiques.

Une Brève Histoire de la Franc-Maçonnerie

La Franc-Maçonnerie, une organisation fraternelle qui remonte au XVIIe siècle, a ses origines dans les guildes de maçons opératifs en Europe. À la fin du Moyen Âge, ces guildes avaient pour but de réglementer l’art de la construction tout en promouvant des valeurs de fraternité et d’éthique. En 1717, quatre loges de Londres se réunirent pour former la première Grande Loge, marquant ainsi le début de la Franc-Maçonnerie spéculative, où les symboles et rituels des bâtisseurs étaient appliqués à la vie morale et intellectuelle.

Au fil des décennies, la Franc-Maçonnerie s’est propagée à travers le monde, séduisant des personnalités influentes dans divers domaines, y compris la politique et la culture. Les principes fondamentaux de la Franc-Maçonnerie reposent sur la quête de la vérité, la moralité, le rationalisme, et la philanthropie. Les membres, souvent appelés Maçons, se rassemblent en loges pour pratiquer des rituels et des cérémonies qui renforcent leur engagement envers ces idéaux. Ces rituels comprennent des degrés qui symbolisent l’ascension spirituelle et personnelle de chaque membre.

La structure de la Franc-Maçonnerie est aussi importante que ses croyances fondamentales. Elle se compose de loges, dirigées par des officiers élus qui assurent le bon fonctionnement des rituels et le bien-être de leurs membres. Ces loges sont souvent regroupées sous des obédiences nationales ou internationales, chacune ayant ses propres rites et traditions. Les récits et les mythes liés à la Franc-Maçonnerie, ainsi que ses pratiques secrètes, ont alimenté une fascination durable, ainsi que des suspicions et des accusations de conspirations qui lui sont souvent associées.

Avec son héritage riche et complexe, la Franc-Maçonnerie continue d’exercer une influence notable sur la société moderne, soulevant des questions sur son rôle dans les événements historiques et contemporains. Comprendre cette organisation permet d’appréhender les nombreuses facettes de son attrait à travers les âges.

Les Espions et la Franc-Maçonnerie

Le dîner de la Grande Loge de France est maintenant une institution bien établie et l’un des dîners les plus attendus de la rentrée à Paris.Il a eu lieu le dimanche 24 septembre dernier en l’Hôtel de la Grande Loge de France, rue Puteaux à Paris et a rassemblé de nombreuses personnalités des arts, du spectacle, de la politique, mais aussi des universitaires, philosophes, sociologues, théologiens, académiciens de renom.Philippe Charuel Grand Maître de la Grande Loge de FranceC'est Philippe Charuel, Grand Maître de la Grande Loge de France, qui a accueilli fraternellement les 200 convives de ce dîner.Le premier dîner avec eu lieu en septembre 2011 à l’initiative du Grand Maître d’alors, Alain-Noël Dubart (présent dimanche) et a été poursuivi par le passé Grand Maître Marc Henry (présent également).
Le dîner de la Grande Loge de France est maintenant une institution bien établie et l’un des dîners les plus attendus de la rentrée à Paris.Il a eu lieu le dimanche 24 septembre dernier en l’Hôtel de la Grande Loge de France, rue Puteaux à Paris et a rassemblé de nombreuses personnalités des arts, du spectacle, de la politique, mais aussi des universitaires, philosophes, sociologues, théologiens, académiciens de renom.Philippe Charuel Grand Maître de la Grande Loge de FranceC’est Philippe Charuel, Grand Maître de la Grande Loge de France, qui a accueilli fraternellement les 200 convives de ce dîner.Le premier dîner avec eu lieu en septembre 2011 à l’initiative du Grand Maître d’alors, Alain-Noël Dubart (présent dimanche) et a été poursuivi par le passé Grand Maître Marc Henry (présent également).

La Franc-Maçonnerie, une organisation réputée pour ses rituels secrets et ses idéaux humanistes, a souvent été au cœur de diverses théories du complot et allégations d’implication dans des activités clandestines, y compris l’espionnage. Historique et influente, la Franc-Maçonnerie a attiré des membres éminents qui ont potentiellement exploité leurs réseaux maçonniques pour orchestrer des opérations secrètes. Dans ce contexte, les liens entre certains francs-maçons et le monde de l’espionnage soulèvent des questions intrigantes.

Les membres de la Franc-Maçonnerie, à travers l’histoire, ont souvent occupé des positions de pouvoir, influençant la politique et les affaires internationales. Cette position privilégiée a permis à certains d’entre eux d’utiliser leur connexion maçonnique pour mener des missions d’espionnage, qu’il s’agisse de recueillir des informations confidentielles ou d’influencer des événements politiques clés. Ces interactions ont parfois été appelées à la lumière des intrigues politiques, mêlant la loyauté maçonnique à des objectifs potentiellement sinistres.

Des exemples historiques illustrent ce phénomène. Au cours des guerres, certains francs-maçons ont servis dans des fonctions militaires et administratives, utilisant leur appartenance à la loge pour faciliter la communication entre alliés. Cependant, ces alliances maçonniques n’étaient pas toujours empreintes de transparence; des actes de trahison et des manipulations ont pu être orchestrés sous couvert d’amitié fraternel, faisant de certaines opérations des exemples de meurtres ciblés au service d’intérêts particuliers.

Ainsi, le lien entre les espions et la Franc-Maçonnerie apparaît comme une toile complexe d’opérations secrètes, où manipulation et fraternité se rejoignent. Cet aspect mystérieux de l’organisation ajoute une couche d’intrigue à la compréhension de son rôle historique et des implications morales de ses membres. Il est essentiel de continuer à explorer cette connexion tout en restant critique envers les récits autour de la Franc-Maçonnerie et de son involvement dans le monde de l’espionnage.

Cas Célèbres de Meurtres Impliquant des Maçons

Au cours des siècles, plusieurs meurtres ont été associés à la Franc-Maçonnerie, créant un mystère qui alimente l’imaginaire collectif. Parmi les affaires les plus marquantes figure le meurtre d’Anders Behring Breivik, un individu ayant prétendument des liens avec des groupes maçonniques. Sur les lieux de son acte tragique, des soupçons ont été soulevés quant aux motivations sous-jacentes qui auraient pu être influencées par des rituels ou des croyances maçonniques. La complexité de cette affaire a conduit à un examen minutieux des connexions potentiellement maçonniques entourant les motivations du meurtrier.

Un autre cas célèbre est celui du meurtre de William Morgan, un franc-maçon qui a disparu en 1826. Morgan, en révélant des secrets de la Franc-Maçonnerie, aurait suscité la colère des membres de son propre ordre. Les circonstances entourant sa disparition sont entourées de mystère, et plusieurs témoins ont évoqué l’implication de maçons dans son assassinat. Ce geste a provoqué un tollé parmi le public et a mis en lumière les tensions conflictuelles entre ceux qui soutenaient le secret de la Franc-Maçonnerie et ceux qui exigeaient la transparence.

De plus, l’affaire du meurtre de J. Edgar Hoover, ancien directeur du FBI, a également été l’objet de spéculations sur une éventuelle implication maçonnique. Hoover, qui avait des relations particulièrement tendues avec certains membres du gouvernement et d’organisations secrètes, a été la cible de nombreuses théories du complot, suggérant que ses rivalités l’ont rendu vulnérable à des actions extrêmes menées par des groupes cherchant à protéger leurs intérêts. Ces affaires, bien qu’ayant des contextes distincts, montrent comment le ressentiment, la recherche de pouvoir et les tensions entre la transparence et le secret ont conduit à des actes tragiques liés à la Franc-Maçonnerie.

Les Théories du Complot : Paranoïa ou Réalité ?

La Franc-Maçonnerie, depuis ses origines au début du XVIIIe siècle, a été au centre de nombreuses théories du complot. Ces témoignages souvent enveloppés de mystère et d’hyperbole soulèvent des questions sur la réalité sous-jacente de ces assertions. Les détracteurs avancent que la Franc-Maçonnerie est un réseau secret d’individus puissants, manœuvrant dans l’ombre pour influencer les affaires mondiales et réaliser des opérations criminelles. Cependant, il est crucial d’analyser ces allégations avec un regard critique, en tenant compte des sources et des contextes historiques qui les entourent.

Un aspect fondamental des théories du complot autour de la Franc-Maçonnerie réside dans sa réputation secrète. Les rituels, les symboles et le langage codé utilisés par ses membres sont souvent interprétés comme des preuves de machinations sinistres. Cependant, plusieurs experts suggèrent que cette perception est davantage le produit d’une méconnaissance des traditions maçonniques que d’une réalité objective. Les rituels, par exemple, peuvent être vus comme une forme de solidarité et de camaraderie entre les membres, plutôt qu’un moyen de dissimulation.

Il convient aussi d’examiner comment les théories du complot se nourrissent de la paranoïa collective, souvent amplifiée par des événements historiques tels que les guerres ou les crises économiques. Les période d’incertitude favorisent l’émergence de récits qui désignent des boucs émissaires. Ainsi, la Franc-Maçonnerie, avec son aura de mystère, devient une cible idéale. Les recherches vont parfois jusqu’à exprimer que l’imaginaire collectif se construit autour de ces entités invisibles, renforçant l’idée d’une manipulation systématique.

À travers les siècles, les accusations de criminalité et de manipulation continuent de circuler, l’historiographie provenant de divers auteurs aboutissant à des conclusions radicalement opposées. En conséquence, il est essentiel de naviguer dans ces eaux tumultueuses de certitudes et de doutes, et de se demander si ces théories représentent un véritable aperçu de la Franc-Maçonnerie ou si elles relèvent de la paranoïa contemporaine.

Impact Social et Politique de la Franc-Maçonnerie

Reportage consacré aux francs-maçons avec une visite de la Grande Loge Nationale de France à Paris.

La Franc-Maçonnerie, en tant qu’organisation fraternelle, a eu un impact significatif sur le paysage social et politique des sociétés à travers le monde, particulièrement depuis son émergence au XVIIIe siècle. En tant que mouvement cultivant l’esprit de « liberté, égalité, et fraternité », la Franc-Maçonnerie a joué un rôle crucial dans la promotion d’idées éclairées qui ont façonné les valeurs démocratiques modernes. Ainsi, elle a été un vecteur de progrès social, visant à encourager la tolérance religieuse et à prôner l’éducation comme fondement d’une société éclairée.

Cependant, cet impact n’a pas toujours été perçu de manière positive. Les critiques de la Franc-Maçonnerie évoquent souvent ses implications dans des complots politiques, une influence perçue comme secrète et potentiellement corrosive pour les institutions établies. Des événements historiques majeurs, tels que la Révolution française, illustrent comment les valeurs maçonniques ont été mobilisées pour défier l’autorité monarchique, mais ont également conduit à une période de désordre et de violence. Cette dualité dans l’effet de la Franc-Maçonnerie suscite des débats intenses sur le rôle des sociétés secrètes à travers l’histoire.

En outre, la Franc-Maçonnerie a contribué à la diffusion des idéaux républicains et des droits de l’homme, favorisant de nombreuses réformes à travers le monde, tant en Europe qu’en Amérique. Son réseau de membres influents dans des domaines variés tels que la politique, la culture et la science a permis de faire avancer des causes sociales qui ont également de lourdes implications politiques. En ce sens, la Franc-Maçonnerie se révèle être un acteur important, naviguant entre contributions positives et controverses, tout en marquant la ligne d’évolution des civilisations modernes.

Les Enquêteurs et le Mystère des Meurtres

Au fil des siècles, les meurtres associés à la Franc-Maçonnerie ont captivé l’attention des enquêteurs, des historiens et du grand public. Chaque cas présente un mystère singulier, souvent caractérisé par des éléments qui laissent présager une implication plus complexe qu’un simple acte criminel. Les enquêteurs se retrouvent alors face à un ensemble d’obstacles qui rendent la résolution de ces affaires d’autant plus ardue. La nature secrète de l’organisation maçonnique et son réseau d’influences peuvent obscurcir les pistes à suivre, créant ainsi un premier défi notable pour les enquêteurs.

Les enquêtes sont généralement entravées par le manque de preuves matérielles. Dans de nombreux cas historiques, les scènes de crime ont été compromises par des témoins indiscrets ou par la rapidité avec laquelle les organisations ont tenté de dissimuler l’affaire. Cela amène les enquêteurs à s’appuyer sur des témoignages souvent biaisés ou erronés, alimentant ainsi les théories du complot et les spéculations. De plus, la peur de représailles par ces sociétés secrètes dissuade souvent des individus de s’exprimer. Ce climat de méfiance engendre des difficultés supplémentaires pour les enquêteurs désireux de tirer la vérité au clair.

Les circonstances entourant ces meurtres ajoutent une couche de complexité. Chaque affaire est unique et révèle souvent des tensions internes au sein de la Franc-Maçonnerie ou des rivalités avec d’autres organisations. Les enquêteurs doivent donc étudier non seulement les détails des meurtres, mais aussi le contexte socio-historique qui pourrait avoir conduit à ces événements tragiques. Cela nécessite une approche minutieuse et une compréhension profonde des dynamiques en jeu, tant au niveau personnel que culturel. Les défis sont nombreux, mais l’engagement des enquêteurs reste constant face à ces meurtres mystérieux, cherchant à dévoiler la vérité qui se cache derrière les ombres des sociétés secrètes.

La Franc-Maçonnerie Aujourd’hui : Un Nouveau Visage?

La Franc-Maçonnerie, qui jouit d’une longue histoire marquée par des mystères et des controverses, s’engage maintenant dans un processus d’évolution pour s’adapter aux exigences du monde contemporain. De nombreux ordres maçonniques contemporains cherchent à se distancier des stigmates liés à leur image, souvent perçue comme rétrograde ou secrète. Aujourd’hui, un certain nombre de loges adoptent une approche plus ouverte, mettant en avant la transparence et la communication. Cette transformation s’accompagne d’un intérêt renouvelé pour les valeurs humanistes et éthiques, qui sont au cœur de leur philosophie.

La Franc-Maçonnerie, dans sa forme moderne, vise à redéfinir son rôle au sein de la société. Par exemple, plusieurs loges ont entrepris d’impliquer activement des membres dans des activités caritatives et des initiatives communautaires. Cela démontre une volonté de contribuer à des causes sociales et d’éradiquer les idées reçues sur leur organisation. En outre, les maçons contemporains s’engagent souvent dans des discussions publiques sur des questions de société, telles que l’éthique, la tolérance et l’égalité des droits, ce qui reflète une ouverture d’esprit significative.

Ainsi, l’image de la Franc-Maçonnerie évolue avec le temps, cherchant à se réinventer. Les récents changements ont également eu un impact positif sur la perception du public. La nouvelle génération de francs-maçons met l’accent sur la diversité et l’inclusivité, invitant plusieurs groupes à rejoindre leurs rangs. Cela représente un effort délibéré pour dissiper les mythes entourant le sujet tout en renforçant un engagement collectif envers la justice et la fraternité. Ce nouveau visage de la Franc-Maçonnerie pourrait signaler le début d’une ère plus prospère pour l’organisation et ses membres.

Conclusion : Reflets d’un Passé Ténébreux

Les enquêtes sur les meurtres attribués aux espions de la Franc-Maçonnerie révèlent une histoire complexe et intrigante, empreinte de mystères et d’ombres. Depuis plus de trois siècles, la Franc-Maçonnerie, avec ses rituels secrets et ses réseaux influents, a suscité des controverses qui ont perduré à travers les âges. En considérant les nombreux événements tumultueux reliant la Franc-Maçonnerie à des morts mystérieuses, nous pouvons observer un motif récurrent de désordre et de conspirations qui a façonné son image au fil du temps.

Les assassinats et autres actes de violence associés à cette organisation secrète ont non seulement alimenté les théories du complot, mais ont également mis en lumière les tensions qui existent entre le pouvoir, la politique et les idéaux maçonniques. À travers divers chapitres de l’histoire, la Franc-Maçonnerie a souvent été perçue comme une force énigmatique qui tente de définir l’avenir des sociétés. L’impact durable de cette association sur le monde est indéniable, influençant des mouvements politiques et sociaux tout en suscitant méfiance et admiration.

Alors que nous réfléchissons à l’héritage de la Franc-Maçonnerie, il devient essentiel de se demander quel sera le rôle futur de cette organisation controversée. Dans un monde moderne où la transparence et la connexion sont valorisées, les secrets maçonniques confronteront les défis actuels tout en continuant d’inspirer des éléments de mystère. La Franc-Maçonnerie sera-t-elle capable d’évoluer en harmonie avec les sociétés contemporaines ou restera-t-elle un vestige d’un passé ténébreux, figée dans les enjeux qui l’ont défini ? Ces questions continueront de nourrir les débats sur la pertinence de cette institution face aux réalités d’aujourd’hui et de demain.

« La franc-maçonnerie est orientée vers une action politique secrète » (1/2)

Ancien haut fonctionnaire territorial et ancien vénérable maître franc-maçon, Serge Abad-Gallardo révèle, dans son dernier livre Franc-maçonnerie et politique (Artège), l’influence des loges dans les décisions politiques et les lois, au détriment même de la démocratie et du pouvoir du peuple.

Iris Bridier. Récemment, des membres du GODF et du CESE (Conseil économique, social et environnemental) ont déjeuné ensemble. Qu’est-ce que cela vous inspire ?

Serge Abad-Gallardo. Le CESE est particulièrement infiltré par la franc-maçonnerie. Ce déjeuner ne me surprend nullement. En effet, selon L’Obs, « le CESE est sous l’influence des francs-maçons ». D’autant plus que François Hollande y avait nommé deux « personnalités compétentes » : Daniel Keller et Philippe Guglielmi, tous deux anciens grands maîtres du Grand Orient de France. Par ailleurs, un autre hebdomadaire relevait le poids déterminant de la franc-maçonnerie au sein du CESE : « Dans ce lieu où se mêlent partenaires sociaux, associations, environnementalistes, “personnalités qualifiées” nommées par Matignon, les alliances surprennent. Sans compter le poids de la franc-maçonnerie. » Il semble que 2015 ait été l’année d’une véritable prise en main du CESE par la franc-maçonnerie : « Une page s’est tournée, mardi après-midi, au Conseil économique, social et environnemental (CESE)… surtout avec l’entrée en force des francs-maçons dans les instances. » La franc-maçonnerie est coutumière du fait : elle intègre de nombreuses instances consultatives (ou parfois même décisionnaires) afin de peser politiquement dans le sens d’une mise en œuvre de son idéologie. C’est ce qu’avouait Fred Zeller, ancien grand maître du Grand Orient : « L’influence de la franc-maçonnerie est peut-être plus importante encore que sous la IIIe République. Elle se place à un autre niveau… Il n’y a pas, aujourd’hui, d’association, de groupement, de syndicat dans lesquels les francs-maçons ne se trouvent, aux postes de responsabilité les plus éminents. »

I. B. Vous avez fréquenté une loge de gauche et vous êtes pourtant un fervent lecteur de BV ! Est-ce compatible ?

S. A.-G. À l’époque, j’ignorais totalement la dimension politique de la franc-maçonnerie. J’ai intégré une loge en faisant confiance à un ami qui en faisait partie. Je pensais que la franc-maçonnerie était constituée de personnes cherchant des réponses aux questions existentielles de l’humanité. J’explique dans mon livre comment j’ai découvert progressivement que, si cette dimension ésotérique est déterminante, la franc-maçonnerie est, en réalité, bel et bien orientée vers une action politique secrète. Je dois toutefois préciser que j’utilise le terme générique de “franc-maçonnerie” pour la commodité de l’exposé. En effet, il existe de nombreuses obédiences que l’on peut classer en deux catégories : déistes ou laïques d’une part (le « dieu » de la franc-maçonnerie – le grand architecte de l’Univers – n’est en rien le Dieu des catholiques), et politiques ou apolitiques d’autre part. Mais seule la Grande Loge nationale française (scindée, aujourd’hui, en Grande Loge de l’Alliance maçonnique française et Grande Loge nationale française) et la Grande Loge traditionnelle et symbolique Opéra (qui en est une émanation) sont bien moins politisées et se disent spiritualistes. À l’exception de ces trois obédiences, toutes les autres ont investi le champ politique. Toutefois, même les membres des trois obédiences citées sont impliquées dans certaines actions politiques.

I. B. La franc-maçonnerie est-elle de gauche ou de droite ?

À ce sujet — Deux institutions dépassées : quand la franc-maçonnerie festoie au CESE

S. A.-G. Elle est constituée d’obédiences de gauche et de droite. Je ne considère ici que les obédiences ayant plus de 5.000 membres. Les autres sont plutôt anecdotiques. Par exemple, peuvent être classées à gauche ou au centre gauche le Grand Orient, le Droit humain, la Grande Loge féminine de France. Peuvent être classées à « droite » la Grande Loge de France, la Grande Loge nationale française, la Grande Loge de l’Alliance maçonnique française. Je note « droite » avec des guillemets car, en réalité, qu’elles se placent à gauche ou à « droite », les options politiques de la franc-maçonnerie s’inscrivent dans une conception progressiste, fondamentalement réformiste. En fait, il s’agit d’une « droite » plus proche des idéaux de Valery Giscard d’Estaing ou de Jacques Chirac que d’Éric Zemmour. En quelque sorte, une « droite » qui veut s’affirmer comme telle mais qui agit au centre ou au centre gauche.

I. B. Pourquoi avez-vous quitté votre loge, et est-ce simple d’en sortir ?

S. A.-G. Il est aisé, d’un point de vue administratif, de quitter la franc-maçonnerie. Une simple lettre de démission suffit, suivie d’une rencontre avec des membres de la loge (éventuellement appartenant aux hauts grades, comme ce fut mon cas, si l’on en fait partie) afin d’évaluer les motivations de la démission. Mais c’est sur le plan pratique que les choses sont plus compliquées. La plupart des francs-maçons et franc-maçonnes, y compris ceux avec qui j’avais des liens d’amitié profonde, ne me saluent plus dans la rue. Comme, durant des décennies, on finit par n’avoir que des amis francs-maçons, on perd quasiment tous ses amis. Par ailleurs, on perd, en cas de démission, toute possibilité d’intervention de « frères » ou « sœurs » dans la gestion de dossiers administratifs. Appartenir à la franc-maçonnerie permet aisément de faire placer un dossier « en haut de la pile » dans une administration où il se trouve toujours un « frère » ou une « sœur » permettant une aide bienveillante, voire un passe-droit. Cela se gâte quand, comme dans mon cas, l’ancien franc-maçon écrit ou donne des conférences et interviews. J’ai souvent reçu des menaces ou des insultes. La franc-maçonnerie n’aime pas que l’on parle d’elle. Sa tolérance est à géométrie variable car elle ne tolère que les idées qui s’expriment en proximité avec sa doxa progressiste. J’ai même été publiquement traité d’intégriste religieux par un franc-maçon narbonnais du Grand Orient qui ne s’apercevait pas de son propre intégrisme ni de son absence de tolérance.

I. B. On imagine la franc-maçonnerie comme une société secrète humaniste. Pourtant, à vous lire, on comprend que son champ d’action dépasse largement celui de la réflexion philosophique pour impacter de manière très concrète la politique. Pouvez-vous nous en dire plus ?

S. A.-G. En réalité, la franc-maçonnerie est une organisation réellement politique sous couverture ésotérique. Dans mon livre, je démontre comment les idéaux politiques de la franc-maçonnerie sont issus de sa doctrine ésotérique. Ce qui n’est pas surprenant : nous savons depuis Aristote que la philosophie est le substrat de la politique. Autrement dit, que la politique n’est rien d’autre que la mise en œuvre d’idéaux, voire, ce qui est plus pernicieux dans le cas de la franc maçonnerie, d’une idéologie secrète. La franc-maçonnerie est persuadée que ses utopies doivent être réalisées au sein de la société. Je démontre cela dans le livre par divers textes authentiquement maçonniques ou des extraits de convents (assemblée générale nationale annuelle). Ce faisant, la franc-maçonnerie procède par une inversion totale des concepts, partant d’un contresens. Comme la plupart des progrès humains ont constitué des bouleversements, voire des ruptures, la franc-maçonnerie a tendance à considérer que toute rupture avec une situation établie est un progrès. Son erreur est d’autant plus fondamentale que la franc-maçonnerie ne s’appuie sur aucune morale transcendante et estime qu’elle détient seule la clé du bien et du mal, voire, puisqu’elle prône le relativisme, qu’il n’existe ni bien ni mal ! Je montre dans mon livre que le titulaire du 30e degré (tout comme le maître (3e degré) définit ontologiquement le bien et le mal. Cela est d’autant plus dangereux que la franc-maçonnerie est persuadée de faire partie du camp du bien et d’être la seule instance à pouvoir œuvrer au bonheur de l’humanité. Or, on s’aperçoit que ce « bonheur » est toujours fondé sur une transgression.

Depuis l’élection de François Hollande, les frères sont de retour. Et peuvent compter sur des relais haut placés, au Sénat à l’Assemblée ou à Matignon. Portraits.

MANUEL VALLS

Le ministre de l’Intérieur a été initié au Grand Orient de France dans les années 1980. Ce n’est pas Alain Bauer, son ami et futur grand maître qui l’a mis au parfum mais un responsable socialiste parisien. Valls a pris ses distances avec les ateliers dès 1996. Mais place Beauvau, où la tradition maçonnique perdure, cette formation se révèle utile… (photo Witt-Sipa)

JEAN-YVES LE DRIAN

Membre du GO de longue date, le maire de Lorient et fidèle ami de François Hollande a pris les rênes du ministère de la Défense. Cédric Léwandowski, directeur du cabinet du ministre, est un initié influent. Selon la tradition républicaine, les frères sont nombreux parmi les officiers. La nomination de Le Drian n’a pas fait de vagues. (photo Sevgi/Sipa)

JÉRÔME CAHUZAC

La carrière d’élu à Villeneuve-sur-Lot passe nécessairement par les loges. Le ministre du Budget a participé à de nombreuses tenues. Mais Jérôme Cahuzac n’a jamais reconnu qu’il a appartenu à la chaîne d’union des maçons du GODF. Cependant, il n’a pas démenti non plus cette appartenance que beaucoup d’initiés lui prêtent ! (photo B. Chibane/Sipa)

ALAIN VIDALIES

Dans les Landes, son initiation à la franc-maçonnerie locale est un secret de Polichinelle. Mais le ministre des Relations avec le Parlement ne souhaite pas confirmer ou commenter cette appartenance bien utile : dans les deux Chambres, quelque 150 élus membres de la Fraternelle parlementaire se reconnaissent encore de la franc-maçonnerie. (photo Witt-Sipa)

VICTORIN LUREL

Le président du conseil régional de Guadeloupe devenu ministre des Outre-mer a été initié en 1988 au Grand Orient de France et fréquente la loge Acacia des Tropiques. En novembre dernier, il a accompagné François Hollande au siège parisien du Grand Orient lorsque le candidat socialiste a été auditionné en tenue blanche fermée. (photo M. Euler/Sipa)

ANNE-MARIE ESCOFFIER

La ministre déléguée chargée de la Décentralisation a été nommée à la demande de Marylise Lebranchu. Anne-Marie Escoffier entretient les meilleures relations avec la Grande Loge féminine de France (GLFF). Et pour cause : l’ex sénatrice radicale de gauche de l’Aveyron y aurait été initiée.(photo Antoniol/Sipa)

FREDERIC CUVILLIER

L’ancien maire de Boulogne et député du Pas-de-Calais a de solides amitiés chez les maçons nordistes. Interrogé au sujet de son initiation au Grand Orient de France, le ministre des Transports et de l’Economie maritime a indiqué qu’il ne pouvait répondre. Garder le secret est une attitude 100% maçonnique… (photo Antoniol/Sipa)

CHRISTOPHE CHANTEPY

Centralien et énarque, le directeur du cabinet de Jean-Marc Ayrault a fréquenté les loges du GODF. « J’ai été au Grand Orient de France. Mais je n’y suis plus », assure-t-il. Une chose est sûre : son emploi du temps à Matignon ne lui permet guère de participer régulièrement à des tenues comme l’exige la règle maçonnique. (photo J. Mars/Sipa)

JEAN-PIERRE BEL

A peine élu président du Sénat, il recevait le grand maître d’alors, Guy Arcizet, pour parler laïcité. Elu local puis sénateur de l’Ariège, ce fidèle de Jospin, puis de Hollande, passe pour avoir été initié au Grand Orient, même s’il doit sa formation politique au trotskisme version LCR. Discret par nature, Bel n’a jamais confirmé. (photo Chesnot/Sipa)

FRANÇOIS REBSAMEN

Membre actif du Grand Orient de France jusqu’à son élection à la mairie de Dijon en 2001, le président du groupe socialiste au Sénat rêvait du ministère de l’Intérieur où son réseau aurait fait merveille. Hélas, il a été coiffé par un “frère” : Manuel Valls. Les deux hommes ont su se réconcilier. Preuve que la fraternité n’est pas un vain mot. (photo Ibo/Sipa)

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