
🔴ALERTE INF0
— Les Spectateurs (@SpectateursFr) June 10, 2025
🚨🇫🇷🇮🇱 LA FRANCE LIVRE « UN FLUX ININTERROMPU » D'ARMES À ISRAËL DEPUIS 2023
🚨Ce mardi matin, un rapport publié par plusieurs ONG contredit les récentes affirmations du ministre des Armées français.
🚨Selon ces documents, la France aurait maintenu "UN FLUX… pic.twitter.com/ZaoCBUT4rp
Affaire Markovic (1968)
L’affaire Markovic, qui émerge à la fin des années 1960, représente un moment marquant au sein du paysage politique français. Cette affaire est centrée autour de Michel Markovic, un homme d’affaires controversé dont les connections avec des figures politiques de premier plan ont suscité de nombreuses interrogations. En effet, Markovic, en tant que promoteur dans le secteur immobilier, a établi des relations étroites avec plusieurs politiciens, ce qui a donné lieu à des allégations de corruption et de favoritisme.
Les circonstances entourant l’affaire ont été révélées au cours d’une enquête judiciaire où des pratiques douteuses ont été mises en lumière. Des accusations de financements illégaux et d’abus de pouvoir ont été portées contre des personnalités politiques influentes, dont certaines étaient associées au pouvoir exécutif. L’impact médiatique de cette affaire a également été considérable, avec des révélations et des enquêtes qui ont captivé l’opinion publique. Les journalistes ont joué un rôle essentiel en exposant les détails de l’affaire, ce qui a contribué à une atmosphère de méfiance envers les élites politiques.
Les conséquences de l’affaire Markovic ont été profondes et ont entraîné une reevaluation des pratiques politiques en France. Plusieurs personnalités politiques ont été contraintes de démissionner ou ont fait face à des enquêtes criminelles. Ce scandale a également servi de catalyseur pour des réformes au sein du système politique, soulignant la nécessité de transparence et d’intégrité. Par ailleurs, l’affaire a incité le public à rester vigilant concernant les actions de ses représentants et a suscité un désir de changements dans la gouvernance. Ce chapitre de l’histoire politique française demeure un exemple emblématique des défis liés à la corruption et à l’éthique dans les affaires publiques.
Affaire des Mirages (1969)
En 1969, la France a été secouée par l’affaire des Mirages, un scandale impliquant l’achat d’avions de chasse qui a révélé de graves problèmes de corruption au sein du milieu militaire et politique. Cette affaire a été déclenchée lorsque des allégations concernant des commissions illégales sur les ventes d’avions Mirage, un modèle réputé pour sa technologie avancée, ont émergé. À l’époque, la France cherchait à moderniser ses forces armées, et ces acquisitions étaient jugées cruciales pour maintenir une position stratégique sur la scène internationale.
Les acteurs clés de ce scandale incluent des responsables gouvernementaux ainsi que des hauts dirigeants de l’industrie de l’armement, qui sont soupçonnés d’avoir facilité des paiements occultes. Les enquêtes ont mis en lumière des transactions financières suspectes et des pots-de-vin versés à des intermédiaires dans plusieurs pays, remettant en question l’intégrité des processus d’achat et d’approvisionnement militaire. Ce scandale a également mis en exergue des réseaux de corruption tentaculaires, reliant le secteur public à des intérêts privés, et soulevant des préoccupations concernant la transparence et la responsabilité au sein de l’administration publique.
Les répercussions de l’affaire des Mirages ont été significatives, entraînant des modifications réglementaires dans la gouvernance des contrats militaires en France. Des réformes ont été mises en place pour renforcer le contrôle des dépenses publiques et accroître la transparence dans les domaines des armements. De plus, la confiance dans les institutions militaires a été ébranlée, incitant à une réflexion plus approfondie sur l’équilibre entre la sécurité nationale et la prévention de la corruption. En conséquence, cette affaire demeure un exemple marquant des défis auxquels la France a dû faire face dans sa quête de réforme et de responsabilité dans le secteur de la défense.
Affaire de la feuille d’impôt de Chaban (1971)
En 1971, l’affaire de la feuille d’impôt de Jacques Chaban-Delmas, ancien Premier ministre français, a fait surface, soulevant des interrogations sur la transparence financière des politiciens en France. Le scandale a éclaté lorsque les documents fiscaux de Chaban ont été rendus publics, révélant des contradictions entre ses déclarations de revenus officielles et le niveau de vie apparent de sa famille. Ce dévoilement a non seulement ébranlé la carrière politique de Chaban, mais a également mis en lumière les lacunes dans le système de contrôle et de transparence financière au sein de la classe politique française.
Les révélations concernant la déclaration d’impôts de Chaban ont eu des répercussions significatives quant à la perception du public vis-à-vis de l’intégrité financière des responsables politiques. Les citoyens ont commencé à remettre en question la véracité des informations fournies par les élus, générant un climat de méfiance et d’inquiétude au sein de la population. Par ailleurs, cette affaire a incité les médias à adopter une approche plus vigilante et investigative concernant les finances des personnalités politiques, rendant compte de préoccupations croissantes sur la moralité et la responsabilité dans le gouvernement.
Alors que Chaban-Delmas a tenté de clarifier sa situation et de rétablir sa réputation, le scandale a durablement marqué le paysage politique français. Cette affaire a servi de catalyseur à des discussions sur la nécessité d’améliorer la transparence et la responsabilité financière des élus. À la suite de ce scandale, des réformes ont été envisagées pour renforcer les contraintes sur la déclaration des biens et des revenus des politiciens, dans le but de restaurer la confiance du public envers ses dirigeants.
Affaire de Broglie (1976)
L’affaire de Broglie, survenue en 1976, a éclaté lorsqu’un ensemble d’accusations de trafic d’influence et de financement illégal a été porté à l’attention des médias et des autorités judiciaires. Ce scandale a révélé des pratiques douteuses au sein même des cercles politiques français, mettant en lumière les interférences entre le monde des affaires et des décisions politiques. Au cœur de l’affaire se trouvait un personnage influent du secteur privé qui était soupçonné d’avoir usé de ses relations pour influencer des décisions gouvernementales en faveur de ses propres intérêts financiers.
Les enquêtes ont rapidement mobilisé les forces de l’ordre, lesquelles ont scruté les transactions financières et les correspondances suspectes entre les différents acteurs associés à cette affaire. Ces investigations ont mis en exergue un réseau complexe reliant des décideurs politiques à des entrepreneurs privés, souvent dans le but d’obtenir des contrats lucratifs ou des avantages matériels. Les services de police intéressés ont également fait usage de techniques d’écoutes téléphoniques, ce qui a contribué à générer un volume significatif de preuves contre les personnes impliquées.
Le résultat des enquêtes a conduit à des poursuites judiciaires contre plusieurs personnes, allant de hauts fonctionnaires à des chefs d’entreprise. Les conséquences de l’affaire de Broglie ont eu un impact durable sur le paysage politique français, engendrant un climat de méfiance vis-à-vis des établissements publics et des partis politiques. En outre, cela a suscité des débats sur la nécessité de réformer les lois encadrant le financement politique et la transparence des interactions entre les secteurs privé et public. Les répercussions de ce scandale continuent d’être ressenties, alimentant des réflexions sur l’éthique politique et les pratiques de gouvernance.
Affaire du sang contaminé (1983)
L’affaire du sang contaminé est l’un des scandales les plus tragiques de l’histoire récente de la France, mettant en lumière des dysfonctionnements majeurs dans le système de santé publique. Cet événement a commencé dans les années 1980, alors que des milliers de personnes recevaient des transfusions sanguines contenant le VIH, un virus responsable du sida. Ces transfusions provenaient de dons de sang non dépistés, exposant ainsi les victimes à un risque élevé de contamination.
Les circonstances qui ont conduit à cette crise sont complexes. À une époque où la recherche sur le VIH était encore à ses débuts, le gouvernement français, ainsi que les instances sanitaires, ont tardé à mettre en place des tests de dépistage efficaces pour le sang. De plus, des stocks de plasma contaminé ont été importés de l’étranger, aggravant la situation. La question de la responsabilité a donc rapidement émergé, incitant des investigations approfondies. Les acteurs impliqués, y compris des responsables de la santé publique et des membres du gouvernement, ont été ciblés pour leur négligence et leur manque de réactivité face à cette menace de santé publique croissante.
À la suite de l’affaire du sang contaminé, des réformes significatives ont été instaurées pour améliorer la sécurité transfusionnelle en France. Une prise de conscience accrue a conduit à la création de protocoles plus stricts pour le dépistage et le traitement du sang. Des lois ont été mises en place pour garantir la traçabilité des produits sanguins, afin de protéger les donneurs et les receveurs. Cette tragédie a eu un rôle catalyseur dans la transformation du système de santé français, soulignant l’importance de la vigilance et de la transparence dans la gestion des risques sanitaires. Cette crise a également conduit à une plus grande sensibilisation et à une réforme durable au sein des institutions médicales, visant à éviter que de telles erreurs ne se reproduisent à l’avenir.
Affaire du Rainbow Warrior (1985)
L’Affaire du Rainbow Warrior, survenue en 1985, représente l’un des épisodes les plus controversés de la politique française à l’échelle internationale. Cet incident a débuté avec le sabotage du navire de Greenpeace, le Rainbow Warrior, dans le port d’Auckland, en Nouvelle-Zélande. Ce bateau était engagé dans des activités de sensibilisation contre les essais nucléaires français dans le Pacifique, et la réaction du gouvernement français fut d’une ampleur sans précédent.
Les services secrets français, sous le couvert du plan d’opération de déstabilisation, ont orchestré l’attaque. Deux agents de la Direction Générale de la Sécurité Extérieure (DGSE) ont placé des explosifs sur le navire, provoquant une déflagration qui a conduit à la mort du photographe Fernando Pereira. Cette opération a été justifiée par le gouvernement français comme une nécessité pour protéger leurs intérêts stratégiques, mais elle a soulevé des questions éthiques majeures et des préoccupations quant à l’utilisation des services secrets dans des actions explicitement violentes.
Les conséquences diplomatiques furent immédiates et sévères. La Nouvelle-Zélande, qui avait accueilli l’incident, exprima son indignation et dénonça la violation de sa souveraineté. Cela entraîna une crise diplomatique, avec des répercussions importantes sur les relations entre les deux pays. Par ailleurs, la communauté internationale porta un regard critique sur les méthodes employées par la France, ce qui exacerba les tensions relatives à ses politiques nucléaires. Cet événement marquant a contribué à façonner l’image de la France sur la scène mondiale et a alimenté les débats sur l’impunité des états, sur la moralité de leurs actions en temps de conflit, ainsi que sur le respect des droits humains au niveau international.
Affaire du Carrefour du développement (1986-87)
L’affaire du Carrefour du développement a émergé dans les années 1986-87, lors d’un projet international destiné à soutenir le développement de plusieurs pays, notamment en Afrique. Les allégations de corruption entourant ce projet ont impliqué différents acteurs, y compris des responsables politiques et des organisations non gouvernementales. Des enquêtes approfondies ont été menées dans le but de définir la véracité des accusations de malversations financières et d’inconduites au sein des partis politiques et des institutions concernés.
Les préoccupations initiales ont été soulevées par des journalistes d’investigation qui ont mis en lumière des pratiques douteuses, y compris des pots-de-vin versés à des fonctionnaires dans le but d’obtenir des contrats gouvernementaux. Ces révélations ont entraîné un vaste comité d’enquête chargé de scruter les finances associées à ces projets de développement. Le scandale a également mis en évidence le manque de transparence dans les procédures de sélection et d’attribution des fonds destinés à l’aide internationale.
Les conséquences de cette affaire ont été significatives, non seulement pour les individus impliqués, mais également pour le paysage politique en France et au niveau international. Suite aux révélations et aux enquêtes, plusieurs responsables ont dû démissionner de leurs postes. En outre, cette affaire a suscité un appel à des réformes profondes dans la gestion des projets de développement, avec une insistance croissante sur la nécessité d’instaurer des pratiques de transparence et de responsabilité accrues. Cela a permis de poser les bases d’une législation visant à renforcer le contrôle sur les projets financés par l’État et à garantir un meilleur usage des fonds publics. Cet épisode a été un tournant dans l’approche des gouvernements face à la corruption dans le cadre de l’aide internationale, soulignant l’importance de maintenir une vigilance constante pour prévenir de tels abus à l’avenir.
Affaire Pey Chiney
L’affaire Pey Chiney est l’un des scandales politiques les plus significatifs de l’histoire récente de la France, mettant en lumière des pratiques douteuses en matière de gestion d’entreprise et des allégations de corruption au sein d’une des plus grandes entreprises du pays. Ce scandale a éclaté en 2005, lorsque des allégations de manipulations financières et de falsifications de documents ont commencé à faire surface, entraînant une enquête approfondie qui a révélé des activités illégales au sein de la direction de l’entreprise.
Les accusations portées contre les dirigeants de Pey Chiney incluaient l’abus de biens sociaux et le détournement de fonds, ce qui a suscité une indignation publique considérable. Ce scandale a non seulement mis en péril la réputation de l’entreprise, mais il a également eu des répercussions majeures sur le marché économique français. Les investisseurs ont perdu confiance, ce qui a conduit à une chute significative des actions de la société et à des conséquences financières notables pour l’ensemble du secteur. Cette situation a mis en exergue la nécessité d’une réglementation stricte et d’une surveillance accrue des entreprises, non seulement pour protéger les investisseurs, mais également pour maintenir l’intégrité du marché économique en France.
Afin de rétablir un climat de confiance, les pouvoirs publics français ont pris des mesures pour renforcer les lois sur la transparence des entreprises et lutter contre la corruption. Cela a notamment inclus la mise en place de mécanismes de contrôle internes plus rigoureux et l’obligation pour certaines entreprises de désigner des commissaires aux comptes indépendants. De plus, l’affaire Pey Chiney a conduit à des débats publics sur l’éthique des affaires, soulignant l’importance de la gouvernance d’entreprise responsable pour prévenir de futurs scandales. Cet événement marquant illustre bien à quel point les affaires peuvent influencer le paysage politique et économique d’un pays, tout en mettant l’accent sur la responsabilité légale et éthique des dirigeants d’entreprise.
Affaires SARKOZY

IL FAUT UTILSER un VPN
🧠🚿LES MÉDIAS ONT DÉMARRÉ
— François Asselineau 🇫🇷 (@f_asselineau) March 18, 2025
LE LAVAGE DE CERVEAU INSIDIEUX
pour pousser les Français à voter sous hypnose en 2027,comme en 2022, 2017, 2012
Jour après jour,ils médiatisent des pseudo-candidats à la présidentielle qui ont TOUS 3 POINTS COMMUNS: LEUR REFUS DE SORTIR DE 🇪🇺, €, OTAN. https://t.co/tl4qo8jOAI
Affaire URBA
les archives ont été brûlé dans le parlement de BRETAGNE
LES SECRETS MALSAINS DE MACRON ET BRIGITTE DÉVOILÉS : BRIGITTE EST NEE HOMME ?

L’affaire Fillon n’est rien en comparaison de ce qui suit.

Elle est désespérante, c’est vrai.
Mais n’est-ce pas l’arbre qui cache la foret ?…
Petit rappel pour mémoires défaillantes.
L’HOMME QUI RUINA LA FRANCE
Quand un homme politique meurt , la bienséance veut qu’on ne se rappelle que de ses qualités.
En revanche , le temps du respect semble être révolu et vous trouverez dans l’interminable colonne ci-dessous tous les détails de ce que l’on peut reprocher à F. Mitterrand !
Et la liste est d’autant plus longue que la mise en forme bizarre est étroite !
L’HOMME QUI RUINA LA FRANCE
Un petit rappel du passé et des 14 années de POUVOIR de François MITTERRAND dont on vient de fêter en grande pompe le vingtième anniversaire de sa mort
Il fut tout d’abord l’homme des “suicides”, de De Grossouvre à l’Elysée (qui préparait un livre sur lui) et de son ancien Premier ministre Pierre Beregovoy. (et P.Pelat ? On l’oublie ?…)
Et il a pu tout se permettre.
Si la PRESSE parlait, “Elle”, elle risquait de gros problèmes et ses journalistes avaient peur (Jean-Edern Hallier n’a-t-il pas été assassiné par une mauvaise chute en vélo sans témoin pour avoir voulu révéler l’existence de Mazarine, laquelle fût entretenue aux frais de la princesse plus de 20 ans durant ) ?
C’est du passé, mais qu’on ose encore le citer en exemple !
Il ne faut surtout pas non plus oublier qu’il a “demandé” (et obtenu)
le changement de l’itinéraire du TGV dans la Drôme afin de protéger la maison à Marsanne de son ami Henri MICHEL, le château La Borie dont un des actionnaires était Roger HANIN son beau frère, ainsi que des truffières appartenant à Mme Danielle MITTERRAND du côté de Suze-la-Rousse.
Ce changement a fait passer le TGV
au-dessus du Rhône et a coûté au contribuable la bagatelle de 5 milliards de francs liés aux nouveaux ouvrages d’art (ce montant n’était que le devis initial et ne comprend pas le surcoût, d’au moins 50% )
Ce n’est là qu’une toute petite partie de ce que l’on sait aujourd’hui et dont la presse aux mains de la gauche ne parle jamais, la partie émergée de l’iceberg oubliée dans la brume du mensonge permanent, et dont voici quelques-uns des faits et méfaits :
– Faux évadé des camps allemands, Mitterrand a été membre de la Cagoule en 1935, antisémite et anti-républicain, ce mouvement est de tendance fasciste.
– Sous-secrétaire d’État aux anciens combattants en 42, il a été décoré , sur sa demande écrite d’avril 42, de la Francisque (l’ordre de la Francisque est une décoration attribuée en tant que marque spéciale d’estime du maréchal Pétain par le gouvernement de Vichy en 1943, (il faut savoir que c’était valorisant, comme la Légion d’Honneur) actuellement, et qu’il fallait la demander (contrairement à l’ordre de la Légion d’Honneur), et se faire parrainer.
– Ceci explique peut-être la protection systématique dont bénéficia Bousquet ancien Secrétaire général de la Police de Vichy.
Il en fut le récipiendaire numéro 2202 donc cela implique tout de même une certaine volonté et un certain désir…
– Il était Garde des Sceaux pendant la Bataille d’Alger, et c’est lui qui a organisé les bandes de barbouzes, ce qu’il reniera plus tard.
C’est lui aussi qui a présidé au fonctionnement de la guillotine à cette époque.
– Il a organisé un faux attentat rue de l’Observatoire à Paris pour focaliser sur lui les regards de la presse.
– Il a fait financer le PS par des pratiques frauduleuses (affaires Urba, Graco, et de multiples autres).
– Il a appris qu’il avait un cancer de la prostate métastasé aux vertèbres lombaires quelques semaines avant les élections présidentielles de 1981, et n’a rien dit alors que l’aspiration à la fonction de chef d’État l’y obligeait, tout comme les fausses déclarations de fortune en omettant ses possessions en forêt de Troncay (défiscalisables évidemment).
– Il a fait nationaliser les banques et les industries françaises, obligeant la France à dévaluer sa monnaie 3 fois de suite en quelques mois.
– Il a fortement élevé le nombre des chômeurs en France (moins d’un million en mai 1981 à 3 millions dès 1983).
> – Il a protégé un ancien collaborateur des nazis, son ami René Bousquet.
– Il a protégé Bernard Tapie et l’a élevé au rang de ministre, et a plombé chaque contribuable de 2 500 francs sur 5 ans mini.
– Il entretenait sa maîtresse et sa fille adultérine cachées dans un appartement parisien appartenant à l’État, et les week-ends passés dans les palais de la République aux frais de
celle-ci.
– Il se rendait chaque Noël sur les bords du Nil aux frais de l’État, et emmenait avec lui une soixantaine de personnes lors de ses déplacements.
– Il descendait tous les ans à l’Old Cataract (un hôtel somptueux sur le Nil) avec “sa petite famille”, dont Françoise Sagan emmenée aussi en Amérique du Sud et qu’il fallut rapatrier d’extrême urgence par avion spécial, victime d’une overdose de cocaïne !
– Il a augmenté la dette de la France de plus de 250 % durant sa mandature. (Raymond barre parti en 1981 en laissant un excédent de 35 milliards de FF dans les caisses, soit 5,5 milliards d’€)
– Il a fait racheter l’entreprise de son ami Roger-Patrice PELAT (déjà largement mouillé de recel de délit d’initié dans l’affaire Péchiney-Triangle), la société “Vibrachoc”, par une société d’État pour 5 fois sa valeur réelle.
– Il a obligé son médecin personnel à publier durant 14 ans de faux certificats sur son état de santé (pauvre médecin, disparu lui aussi).
– Il a couvert ses sbires gendarmes qui ont inventé une histoire de terroristes à Vincennes.
– Il a totalement délaissé un de ses fidèles très proches, François de GROSSOUVRE, qui a fini par se suicider (d’une balle… dans la nuque !) avec un 357 Magnum dans un bureau à l’Élysée.
– Il a affirmé qu’il ne savait rien sur la destruction à l’explosif d’un bateau de Greenpeace en Nouvelle-Zélande, pourtant organisé par les services secrets français et sur son ordre !
– Il a mis sur écoute sans justification plus de 150 Français, dont Carole BOUQUET et Jean EDERN-HALLIER, et il a osé affirmer à la télévision qu’il n’a jamais commis ce forfait. Curieusement, le capitaine de gendarmerie qui branchait “les fils” s’est lui aussi “suicidé”.
– Les associations décomposées tenues par “tatie Danielle”, et qui lui survivent, lourdement subventionnées par l’État, ou encore le fric donné aux amis comme Guy LIGIER pour ses charrettes bleues (payées par la Seita et le Loto) : c’est encore “Tonton”.
– Il a fait nommer un de ses fils à un poste de conseiller en Afrique, rôle qu’il n’a jamais exercé.
– Il a laissé tomber son ex-Premier ministre Pierre Bérégovoy qui allait tout déballer mais s’est “suicidé” lors d’une promenade un dimanche après-midi, avec l’arme de service de son garde du corps ! Curieux non ….
– Bérégovoy était redevable du copain de Tonton, toujours Roger Patrice Pelat qui a fait un infarctus mortel au moment où on allait lui poser les bonnes questions.
– Son secrétaire ami François De Grossouvre qui allait tout déballer et qui se serait “suicidé” non sans s’être fracturé l’épaule durant la manœuvre, (on l’a un peu aidé) et ses archives et ses biens disparus, sa veuve les attend toujours…!
– Les 35 heures c’est encore un délire de démagogue pensé par DSK, appliqué par Martine BROCHEN, née DELORS, ex-épouse AUBRY (dont la dépendance à l’alcool ne lui a valu que trois cures de désintoxication, et n’a d’équivalent que l’addiction sexuelle de son mentor).
– Jospin qui perd les élections, très prévisiblement, entre dans le monde du silence, pour ne pas mourir suicidé aussi.
– Aujourd’hui nous payons ses erreurs dont l’entrée de la Grèce dans l’Europe à laquelle il contribua beaucoup.
– C’est ça LA GAUCHE ANGÉLIQUE qui se veut donneuse de leçons, et qui a pourtant bien contribué aux résultats difficiles auxquels nous devons à présent faire face, avec notamment une dette colossale ! On s’arrête là ?
Remarquez que la relève est assurée avec la bande de Charlots qui a suivi !
Français, vous avez la mémoire bien courte ! Patientez quelques jours, le livre de son amante préférée, mère de sa fille va bientôt sortir et devrait certainement vous faire aimer cet amant…
Et vive la gauche donneuse de leçons !
Affaire LE RN
Au total ,ce sont 4,1millions d’euros qui ont été détournés pendant 11 ans 😱😱😱😱 Les eurodéputés Il s’agit de neuf personnalités qui étaient élues au Parlement européen au moment des faits jugés (entre 2004 et 2016). Elles ont été reconnues coupables d’avoir embauché et payé des assistants parlementaires qui n’ont en réalité pas travaillé pour eux mais pour le parti. Toutes ont été condamnées pour détournement de fonds publics. Les eurodéputés 1)Marine Le Pen. 2)Louis Alliot 3)Marie-Christine Arnautu 4)Nicolas Bay 5)Bruno Gollnisch. 6)Dominique Bilde. 7)Mylène Troszczynski. 8)Marie-Christine Boutonnet. Fernand Le Rachinel. Les assistants parlementaires Yann Le Pen. La sœur de Marine Le Pen et mère de Marion Maréchal, soupçonnée d’avoir été injustement rémunérée comme collaboratrice de Bruno Gollnisch, est condamnée à douze mois de prison avec sursis simple et deux ans d’inéligibilité avec sursis. https://www.lemonde.fr/…/condamnation-de-marine-le-pen…
La maire de Paris Anne Hidalgo a effectué 12 voyages à l’étranger depuis janvier sans consultation ni approbation du Conseil de Paris, suscitant une grande controverse sur la transparence et les dépenses publiques.
Hidalgo a déménagé entre plusieurs pays, dont :
Pologne |
Mauritanie |
Belgique |
Maroc |
États-Unis |
Italie |


https://www.facebook.com/notes/701713260702624
Affaire Julien DRAY
Julien Dray, député PS de l’Essonne et vice-président du conseil régional d’Ile-de-France, fait l’objet d’une enquête préliminaire ouverte le 10 décembre par le parquet de Paris pour des faits présumés d’abus de confiance. Cette enquête fait suite à un signalement de Tracfin, un organisme antiblanchiment dépendant du ministère des finances, portant sur des mouvements de fonds suspects à partir de comptes de l’association Les Parrains de SOS-Racisme et de la Fédération indépendante et démocratique lycéenne (FIDL), depuis janvier 2006.
Chronologie : le 24 septembre 2008, Tracfin note des mouvements de fonds suspects sur le compte de l’association Les Parrains de SOS-Racisme. Le 28 novembre 2008, elle fait parvenir au procureur de Paris un signalement. Selon Tracfin, les mouvements suspects entre les comptes de cette association, de la FIDL et celui de Julien Dray, un des cofondateurs de SOS-Racisme et de la FIDL, auraient débutés en janvier 2006 et s’élèveraient au total à 351 027 euros. La justice suspecte M. Dray d’avoir touché une partie de cette somme.
Des financements suspects. La justice suspecte également le député de l’Essonne d’avoir bénéficié de financements indus provenant de particuliers et d’industriels. Plusieurs chefs d’entreprise ont été entendus par la brigade financière entre mars et avril. Se présentant comme des “amis” du député, nombre d’entre eux ont reconnu, selon Le Parisien du mercredi 10 juin, lui avoir donné ou prêté de l’argent. Selon Tracfin, cette somme avoisinerait au total les 114 000 euros. Prêts qui, selon le quotidien, n’ont pour la plupart pas été remboursés. “Les émetteurs de certains chèques ont soit leur siège social dans le département dont M. Dray est l’élu, soit obtenu un chantier public dans sa circonscription, soit enfin obtenu un marché public avec le conseil régional d’Ile-de-France” dont il est un des vice-présidents, avait à l’époque relevé Tracfin. La cellule antiblanchiment pointait à cette période de nombreux achats d’articles de luxe de la part du député.
Julien Dray : Alors que son domicile et ses bureaux à l’Assemblée nationale et au conseil régional d’Ile-de-France ont été perquisitionnés en décembre et en mars, le député de l’Essonne n’a pas encore été entendu par les juges et n’a pas accès au dossier. Une situation qu’il a lui-même dénoncée : “Mes explications semblent ne pas intéresser les juges”, avait-il déclaré en mai au journal Le Parisien. Pour le moment, seule une enquête préliminaire est ouverte dans cette affaire, et le procureur de Paris Jean-Claude Marin, qui en est en charge, a expliqué qu’il souhaitait progresser dans l’enquête avant d’auditionner M. Dray. De plus, le parquet ne sait pas sous quel statut interroger le député, qui bénéficie d’une immunité parlementaire. Pour le placer en garde à vue, le procureur de la République doit d’abord obtenir l’assentiment du bureau de l’Assemblée nationale. Selon Me Léon-Lef Forster, l’avocat de M. Dray, ce bureau n’a pas encore reçu de demande en ce sens alors que sa prochaine réunion a lieu le 17 juin. Julien Dray pourrait aussi être entendu comme simple témoin, mais il ne bénéficierait alors pas de l’assistance d’un avocat.
SOS-Racisme et la FIDL : Julien Dray est un des fondateurs de l’association SOS Racisme. Créée en 1984 après la “marche des beurs”, l’association a toujours été proche du Parti socialiste dont plusieurs cadres, comme Malek Boutih et Harlem Désir, en sont issus. Jusqu’à présent, les enquêteurs s’intéressaient davantage aux comptes de l’association Les Parrains de SOS Racisme, présidée par Pierre Bergé. Mais mardi, six membres de SOS-Racisme ont été entendus par la brigade financière et quatre d’entre eux placés en garde à vue. Parmi eux, se trouvent le président de l’association antiraciste, Dominique Sopo, et, selon Le Parisien, sa directrice administrative et financière. Les locaux de l’association ont également été perquisitionnés. M. Sopo, ainsi que trois autres membres de l’association, ont été relâchés jeudi.
De proches collaborateurs de M. Dray mis en cause. Nathalie Fortis, chargée de relations presse du député de l’Essonne et de SOS-Racisme, et Thomas Persuy, directeur administratif et financier de l’association, sont soupçonnés d’avoir servi d’intermédiaires entre SOS-Racisme, la FIDL et Julien Dray. Leurs domiciles ont fait l’objet de perquisitions. Tous deux mandataires de la FIDL sur un compte ouvert au Crédit coopératif, ils auraient encaissé, entre janvier 2006 et septembre 2008, plusieurs chèques tirés exclusivement sur les comptes de ces associations, pour un montant de 127 377 euros, selon Tracfin. Selon la même source, Nathalie Fortis et Thomas Persuy auraient ensuite émis des chèques en faveur de Julien Dray pour un montant de 102 985 euros.
Fuites dans la presse : En décembre 2008 et en janvier 2009, Julien Dray a porté plainte contre Le Monde, L’Est républicain et Le Journal du dimanche pour “violation du secret professionnel et recel”, suite à la publication d’éléments de l’enquête préliminaire le concernant. Le journal L’Est républicain avait notamment publié dans sa quasi intégralité, sur son site Internet, le rapport de Tracfin qui révélait l’adresse du député ainsi que plusieurs de ses déplacements et achats privés. Fin avril, le quotidien régional a été condamné à payer un euro de dommages et intérêts au socialiste et à publier un communiqué judiciaire faisant état de sa condamnation.
Affaire Rachida Dati la ministre des bijoux
Rachida Dati: Après les investigations menées par le PNF corroborées par complément d’enquête, on a de fortes raisons de penser que l’actuelle ministre de la culture ait érigé la corruption au rang de discipline nationale. Elle est accusée de corruption passive et de traffic d’influence passif pour avoir lors de son mandat d’eurodéputé perçue (au titre de ses activités annexes d’avocat) des centaines de milliers d’euros de la part de Renault et Gdf tout en multipliant prêches et amendements contre les énergies renouvelables, se positionnant bizarrement toujours en faveur du gaz de schiste et autres projets polluants.
Rachida Dati tente des études de médecine, mais échoue deux fois sa première année[19]. À partir d’octobre 1985, elle suit un diplôme d’études universitaires générales (DEUG) de sciences économiques à l’université de Dijon[20],[21]. Au cours de ces deux années, elle tient le stand de la Mutuelle nationale des étudiants de France (MNEF) à la rentrée universitaire[19]. À la même époque, elle écrit en août 1987 à l’hebdomadaire Jeune Afrique un courrier où elle propose de « faire le procès global des promoteurs de toutes les guerres, et particulièrement de celle d’Algérie »[22]. Puis elle s’inscrit pour l’année 1988-1989 à l’université Paris-Panthéon-Assas. Elle obtient une licence en 1990, puis une maîtrise en sciences économiques à l’été 1991[23].
En 1992, avec un financement de Matra, elle suit les cours pour obtenir une maîtrise en administration des affaires à l’Institut supérieur des affaires qui dépend du groupe HEC[24],[25]. En mai 1993, elle cesse ses études à l’institut sans obtenir le diplôme[26]. Elle rejoint alors l’équipe de Jacques Attali, à la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD)[27]. En 1996, elle obtient une maîtrise avec mention passable[28] en droit public en bénéficiant de la validation des acquis professionnels.
Sur les conseils de Simone Veil et Albin Chalandon[29], elle entre à l’École nationale de la magistrature (ENM), à l’âge de 31 ans[27], où elle est admise sans passer les épreuves du concours d’entrée, sur dossier, et en sort magistrate en 1999[30]. Le Canard enchaîné indique en 2007 qu’elle aurait produit un faux curriculum vitæ, en utilisant une formulation laissant entendre qu’elle était titulaire d’un MBA européen du groupe HEC-ISA, susceptible d’induire certains magistrats ou hauts fonctionnaires en erreur lors de sa demande d’entrée à l’ENM sur dossier[31],[32]. Le directeur d’HEC précise qu’elle « n’a pas obtenu son diplôme, alors qu’elle avait validé tous les modules, parce qu’elle n’a pas assisté au séminaire de clôture de l’année »[
Ah, Rachida Dati, une belle carrière faite à la force du poignet, en l'ouvrant souvent mais pas assez souvent pour parler, sacrée gourmande…
— @FrankyZZ007 (@FrankyZZ007) June 9, 2025
Elle nous coûte bien chère pour si peu de résultats et depuis si longtemps.
Moralité il vaut mieux Rachid à Darty que Rachida Dati…
Ça… pic.twitter.com/MktgF651p5
— podisse ⏚ (@podisse1) January 11, 2024
Rachida Dati a oublié de déclarer 420 000 euros de bijoux à la HATVP selon « Libération »Dans une longue enquête, « Libération » évoque le patrimoine de la ministre de la Culture, et ses bijoux de luxe.
Selon « Le Nouvel Obs » et « Complément d’enquête », la ministre de la culture aurait discrètement touché, en 2010 et 2011, 299 000 euros de GDF Suez, par le truchement d’un cabinet d’avocats d’affaires, cofondé par un proche de Nicolas Sarkozy. Les deux cofondateurs de ce cabinet apparaissent, selon nos informations, dans l’affaire judiciaire visant la ministre.
La ministre de la culture, Rachida Dati,
Dans l’attente d’un possible renvoi devant le tribunal correctionnel pour « corruption » et « trafic d’influence » dans l’affaire Carlos Ghosn – du nom de l’ex-PDG de Renault-Nissan –, Rachida Dati est bousculée par une nouvelle tempête médiatique. Selon les informations du Nouvel Obs et de l’émission « Complément d’enquête », la ministre de la culture et maire (Les Républicains) du 7e arrondissement de Paris aurait discrètement touché, en octobre 2010 puis en février 2011, 299 000 euros de GDF Suez, par le truchement du cabinet d’avocats d’affaires Sarrau Thomas Couderc (devenu STC Partners). Deux membres fondateurs de ce cabinet apparaissent également, selon les informations du Monde, dans le volet de l’affaire Carlos Ghosn qui concerne Mme Dati.
Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Rachida Dati et ses « pratiques déconcertantes » au Parlement européen épinglées par « Complément d’enquête » et « Le Nouvel Obs »
Les deux médias ont mis la main sur la comptabilité du cabinet d’avocats. Il y apparaît que ledit cabinet a reversé 149 500 euros (touchés initialement de GDF Suez), à deux reprises, à Mme Dati, alors députée européenne. Avec une mention troublante dans le livre des comptes du cabinet : « Dati honoraire GDF-Suez ». Selon « Complément d’enquête », des factures de 125 000 euros hors taxes (soit 149 500 toutes taxes comprises) ont été émises par Mme Dati, en octobre 2010 et janvier 2011, à l’attention du cabinet, manifestement saisies par les enquêteurs dans l’affaire Carlos Ghosn.
Dans l’attente d’un possible renvoi devant le tribunal correctionnel pour « corruption » et « trafic d’influence » dans l’affaire Carlos Ghosn – du nom de l’ex-PDG de Renault-Nissan –, Rachida Dati est bousculée par une nouvelle tempête médiatique. Selon les informations du Nouvel Obs et de l’émission « Complément d’enquête », la ministre de la culture et maire (Les Républicains) du 7e arrondissement de Paris aurait discrètement touché, en octobre 2010 puis en février 2011, 299 000 euros de GDF Suez, par le truchement du cabinet d’avocats d’affaires Sarrau Thomas Couderc (devenu STC Partners). Deux membres fondateurs de ce cabinet apparaissent également, selon les informations du Monde, dans le volet de l’affaire Carlos Ghosn qui concerne Mme Dati.
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Les deux médias ont mis la main sur la comptabilité du cabinet d’avocats. Il y apparaît que ledit cabinet a reversé 149 500 euros (touchés initialement de GDF Suez), à deux reprises, à Mme Dati, alors députée européenne. Avec une mention troublante dans le livre des comptes du cabinet : « Dati honoraire GDF-Suez ». Selon « Complément d’enquête », des factures de 125 000 euros hors taxes (soit 149 500 toutes taxes comprises) ont été émises par Mme Dati, en octobre 2010 et janvier 2011, à l’attention du cabinet, manifestement saisies par les enquêteurs dans l’affaire Carlos Ghosn.
Rachida Dati a oublié de déclarer 420 000 euros de bijoux à la HATVP selon « Libération »
Dans une longue enquête, « Libération » évoque le patrimoine de la ministre de la Culture, et ses bijoux de luxe.
Des révélations embarrassantes alors qu’un nouveau Conseil de Paris s’est ouvert en début de semaine ? La ministre de la Culture Rachida Dati est au cœur d’une enquête de Libération publiée ce mercredi 9 avril et portant sur ses très nombreux bijoux. Qu’elle aurait omis de faire figurer dans sa déclaration d’intérêts auprès de la Haute autorité de la transparence de la vie publique. Un oubli à 420 000 euros estiment nos confrères.
Tout en évoquant la déclaration de juin 2024 de Rachida Dati, et sur laquelle figure un patrimoine de plus de 5,6 millions d’euros, les journalistes de Libération s’étonnent de ne pas y voir figurer un véritable « petit trésor » qu’ils ont identifié : une vingtaine de montres, bagues, parures, colliers et autres bijoux de luxe à plus de 10 000 euros pièce. Et de citer par exemple une montre Chopard à 32 000 euros, un bracelet Cartier de près de 20 000 euros, ou encore une bague Buccellati à 11 600 euros. L’enquête mentionne aussi de très beaux cadeaux que l’ex-PDG d’EDF, Henri Proglio, aurait fait à la ministre.
Rachida Dati a déjà ses responsables si la réforme de l’audiovisuel ne passe pas
Or comme l’évoque toujours Libération, le règlement de la HATVP est clair, les déclarants doivent mentionner tous les biens mobiliers dont la valeur individuelle dépasse les 10 000 euros. Le quotidien affirme qu’en prenant en compte les bijoux d’une valeur inférieure à ce plancher et donc qu’elle n’est pas obligée de déclarer, le « petit trésor » de Rachida Dati dépasserait « largement les 500 000 euros ».
Auprès de Libération, les avocats de la ministre réaffirment que leur « cliente est parfaitement en règle avec ses obligations déclaratives auprès de la HATVP », et estiment par ailleurs que « la publication d’informations relatives à la possession, avérée ou non, de bijoux » relève « de la vie privée ». Plusieurs anciens ministres ont déjà été rattrapés par la HATVP pour des omissions, et poussé dans ces contextes à la démission.
Rachida Dati est actuellement visée par une information judiciaire, dans laquelle le parquet national financier (PNF) a requis en novembre qu’elle soit jugée pour corruption et trafic d’influence, aux côtés de l’ex-patron de Renault-Nissan Carlos Ghosn. Les magistrats s’intéressent notamment à 900 000 euros d’honoraires perçus par l’élue parisienne en tant qu’avocate de 2010 à 2012, alors qu’elle était députée européenne, versés par une filiale du constructeur automobile.
Coucou Rachida Daty.. est ce à dire qu'en devenant ministre de la culture de Macron on peut penser tout cela de vous 🤣pic.twitter.com/z8dwADohiM
— Anarcoluchiste♀️☮️🌏🖖 (@Anarcoluchiste) January 11, 2024
Rachida Dati en TT.
— Mohamed (@Boulahya78) January 11, 2024
C’est l’occasion de ressortir cette vidéo où on la voit fuir devant les questions d’Elise Lucet pic.twitter.com/KS7j8GJPh4
Charniers d'enfants : Rachida Daty contre Elise Lucet pic.twitter.com/rxni0ukrqH
— sergiodde🐭🐞 (@sergiodde) March 27, 2024

Pauvres Français!
L’affaire Fillon n’est rien en comparaison de ce qui suit. Elle est désespérante, c’est vrai.
Mais n’est-ce pas l’arbre qui cache la foret ?… Petit rappel pour mémoires défaillantes.
L’HOMME QUI RUINA LA FRANCE
Quand un homme politique meurt , la bienséance veut qu’on ne se rappelle que de ses qualités.
En revanche , le temps du respect semble être révolu et vous trouverez dans l’interminable colonne ci-dessous tous les détails de ce que l’on peut reprocher à F. Mitterrand ! Et la liste est d’autant plus longue que la mise en forme bizarre est étroite !
L’HOMME QUI RUINA LA FRANCE
Un petit rappel du passé et des 14 années de POUVOIR de François MITTERRAND dont on vient de fêter en grande pompe le vingtième anniversaire de sa mort
Il fut tout d’abord l’homme des “suicides”, de De Grossouvre à l’Elysée (qui préparait un livre sur lui) et de son ancien Premier ministre Pierre Beregovoy. (et P.Pelat ? On l’oublie ?…)
Et il a pu tout se permettre. Si la PRESSE parlait, “Elle”, elle risquait de gros problèmes et ses journalistes avaient peur (Jean-Edern Hallier n’a-t-il pas été assassiné par une mauvaise chute en vélo sans témoin pour avoir voulu révéler l’existence de Mazarine, laquelle fût entretenue aux frais de la princesse plus de 20 ans durant ) ?
C’est du passé, mais qu’on ose encore le citer en exemple ! Il ne faut surtout pas non plus oublier qu’il a “demandé” (et obtenu) le changement de l’itinéraire du TGV dans la Drôme afin de protéger la maison à Marsanne de son ami Henri MICHEL, le château La Borie dont un des actionnaires était Roger HANIN son beau frère, ainsi que des truffières appartenant à Mme Danielle MITTERRAND du côté de Suze-la-Rousse.
Ce changement a fait passer le TGV au-dessus du Rhône et a coûté au contribuable la bagatelle de 5 milliards de francs liés aux nouveaux ouvrages d’art (ce montant n’était que le devis initial et ne comprend pas le surcoût, d’au moins 50% )
Ce n’est là qu’une toute petite partie de ce que l’on sait aujourd’hui et dont la presse aux mains de la gauche ne parle jamais, la partie émergée de l’iceberg oubliée dans la brume du mensonge permanent, et dont voici quelques-uns des faits et méfaits :
– Faux évadé des camps allemands, Mitterrand a été membre de la Cagoule en 1935, antisémite et anti-républicain, ce mouvement est de tendance fasciste.
– Sous-secrétaire d’État aux anciens combattants en 42, il a été décoré , sur sa demande écrite d’avril 42, de la Francisque (l’ordre de la Francisque est une décoration attribuée en tant que marque spéciale d’estime du maréchal Pétain par le gouvernement de Vichy en 1943, (il faut savoir que c’était valorisant, comme la Légion d’Honneur actuellement, et qu’il fallait la demander (contrairement à l’ordre de la Légion d’Honneur), et se faire parrainer.
– Ceci explique peut-être la protection systématique dont bénéficia Bousquet ancien Secrétaire général de la Police de Vichy. Il en fut le récipiendaire numéro 2202 donc cela implique tout de même une certaine volonté et un certain désir…
– Il était Garde des Sceaux pendant la Bataille d’Alger, et c’est lui qui a organisé les bandes de barbouzes, ce qu’il reniera plus tard. C’est lui aussi qui a présidé au fonctionnement de la guillotine à cette époque.
– Il a organisé un faux attentat rue de l’Observatoire à Paris pour focaliser sur lui les regards de la presse.
– Il a fait financer le PS par des pratiques frauduleuses (affaires Urba, Graco, et de multiples autres).
– Il a appris qu’il avait un cancer de la prostate métastasé aux vertèbres lombaires quelques semaines avant les élections présidentielles de 1981, et n’a rien dit alors que l’aspiration à la fonction de chef d’État l’y obligeait, tout comme les fausses déclarations de fortune en omettant ses possessions en forêt de Troncay (défiscalisables évidemment).
– Il a fait nationaliser les banques et les industries françaises, obligeant la France à dévaluer sa monnaie 3 fois de suite en quelques mois.
– Il a fortement élevé le nombre des chômeurs en France (moins d’un million en mai 1981 à 3 millions dès 1983).
> – Il a protégé un ancien collaborateur des nazis, son ami René Bousquet.
– Il a protégé Bernard Tapie et l’a élevé au rang de ministre, et a plombé chaque contribuable de 2 500 francs sur 5 ans mini.
– Il entretenait sa maîtresse et sa fille adultérine cachées dans un appartement parisien appartenant à l’État, et les week-ends passés dans les palais de la République aux frais de celle-ci.
– Il se rendait chaque Noël sur les bords du Nil aux frais de l’État, et emmenait avec lui une soixantaine de personnes lors de ses déplacements.
– Il descendait tous les ans à l’Old Cataract (un hôtel somptueux sur le Nil) avec “sa petite famille”, dont Françoise Sagan emmenée aussi en Amérique du Sud et qu’il fallut rapatrier d’extrême urgence par avion spécial, victime d’une overdose de cocaïne !
– Il a augmenté la dette de la France de plus de 250 % durant sa mandature. (Raymond barre parti en 1981 en laissant un excédent de 35 milliards de FF dans les caisses, soit 5,5 milliards d’€)
– Il a fait racheter l’entreprise de son ami Roger-Patrice PELAT (déjà largement mouillé de recel de délit d’initié dans l’affaire Péchiney-Triangle), la société “Vibrachoc”, par une société d’État pour 5 fois sa valeur réelle.
– Il a obligé son médecin personnel à publier durant 14 ans de faux certificats sur son état de santé (pauvre médecin, disparu lui aussi).
– Il a couvert ses sbires gendarmes qui ont inventé une histoire de terroristes à Vincennes.
– Il a totalement délaissé un de ses fidèles très proches, François de GROSSOUVRE, qui a fini par se suicider (d’une balle… dans la nuque !) avec un 357 Magnum dans un bureau à l’Élysée.
– Il a affirmé qu’il ne savait rien sur la destruction à l’explosif d’un bateau de Greenpeace en Nouvelle-Zélande, pourtant organisé par les services secrets français et sur son ordre !
– Il a mis sur écoute sans justification plus de 150 Français, dont Carole BOUQUET et Jean EDERN-HALLIER, et il a osé affirmer à la télévision qu’il n’a jamais commis ce forfait. Curieusement, le capitaine de gendarmerie qui branchait “les fils” s’est lui aussi “suicidé”.
– Les associations décomposées tenues par “tatie Danielle”, et qui lui survivent, lourdement subventionnées par l’État, ou encore le fric donné aux amis comme Guy LIGIER pour ses charrettes bleues (payées par la Seita et le Loto) : c’est encore “Tonton”.
– Il a fait nommer un de ses fils à un poste de conseiller en Afrique, rôle qu’il n’a jamais exercé.
– Il a laissé tomber son ex-Premier ministre Pierre Bérégovoy qui allait tout déballer mais s’est “suicidé” lors d’une promenade un dimanche après-midi, avec l’arme de service de son garde du corps ! Curieux non ….
– Bérégovoy était redevable du copain de Tonton, toujours Roger Patrice Pelat qui a fait un infarctus mortel au moment où on allait lui poser les bonnes questions.
– Son secrétaire ami François De Grossouvre qui allait tout déballer et qui se serait “suicidé” non sans s’être fracturé l’épaule durant la manœuvre, (on l’a un peu aidé) et ses archives et ses biens disparus, sa veuve les attend toujours…!
– Les 35 heures c’est encore un délire de démagogue pensé par DSK, appliqué par Martine BROCHEN, née DELORS, ex-épouse AUBRY (dont la dépendance à l’alcool ne lui a valu que trois cures de désintoxication, et n’a d’équivalent que l’addiction sexuelle de son mentor).
– Jospin qui perd les élections, très prévisiblement, entre dans le monde du silence, pour ne pas mourir suicidé aussi.
– Aujourd’hui nous payons ses erreurs dont l’entrée de la Grèce dans l’Europe à laquelle il contribua beaucoup.
– C’est ça LA GAUCHE ANGÉLIQUE qui se veut donneuse de leçons, et qui a pourtant bien contribué aux résultats difficiles auxquels nous devons à présent faire face, avec notamment une dette colossale ! On s’arrête là ?
Remarquez que la relève est assurée avec la bande de Charlots qui a suivi !
Français, vous avez la mémoire bien courte ! Patientez quelques jours, le livre de son amante préférée, mère de sa fille va bientôt sortir et devrait certainement vous faire aimer cet amant…
Et vive la gauche donneuse de leçons ! Chimère, chimère…

Patrick Drahi, le roi de la dette, s’offre un lifting à 9 milliards € payé par ses créanciers

La justice valide son plan de structuration !
Altice efface 9 milliards de dettes comme par magie !
Abracadabra !!

Les créanciers, grands princes, acceptent de perdre des milliards ET deviennent actionnaires à 45%.
Drahi garde 55% sans sortir un centime.
Génie ou arnaque du siècle ?
Les syndicats hurlent (comme d’hab) : “C’est un démantèlement !”
Bah oui, quand on doit 24 milliards et qu’on peut pas payer, généralement on vend des trucs.
Le PDG joue l’innocent : “Aucune offre de rachat pour SFR !”
Mais si jamais Orange passe par là avec un gros chèque… “on étudiera”

Morale : Quand tu dois 1 million, c’est ton problème. Quand tu dois 24 milliards, c’est le problème des autres.
Chapeau l’artiste
Affaire Conclusion et réflexions finales
Les affaires politiques marquantes qui ont jalonné l’histoire de la France révèlent des leçons essentielles sur l’importance de la transparence et de la responsabilité dans la gouvernance. À travers des scandales tels que l’affaire Cahuzac, le contexte politique s’est vu profondément affecté, nudging la société à exiger des normes plus élevées de ses dirigeants. Ces événements ont montré clairement comment la corruption et le manque d’éthique peuvent éroder la confiance du public et nuire à la crédibilité des institutions.
En réponse à ces scandales, la France a évolué dans son cadre juridique, adoptant des réformes destinées à renforcer la transparence dans la vie politique. Des lois comme celle sur la transparence de la vie publique ont été mises en place pour empêcher la répétition de tels abus de pouvoir. Ces initiatives reflètent une volonté collective d’éradiquer les pratiques néfastes qui ont pu prospérer par le passé et d’encourager une culture de l’intégrité au sein des institutions.
La société civile a également joué un rôle crucial en réagissant aux scandales politiques. Les mouvements sociopolitiques, ainsi que les initiatives citoyennes, ont contribué à une prise de conscience accrue concernant les enjeux de gouvernance et de moralité. Grâce à ces voix, les électeurs sont devenus plus proactifs, exigeant des comptes à leurs représentants et demandant que des mécanismes de surveillance soient en place. Cette vigilance citoyenne représente un enjeu fondamental pour l’avenir de la démocratie en France.
En somme, les scandales politiques en France ont non seulement façonné le paysage politique actuel, mais ils ont également ouvert la voie à une réflexion nécessaire sur la manière dont la société peut participer activement à la promotion d’un système politique plus transparent et responsable. La combinaison de réformes institutionnelles et de l’engagement civique continuera d’être essentielle pour prévenir de futurs abus et garantir la santé de la démocratie.

Bonjour les Amis
Un discours que chacun est capable de comprendre…
Lisez attentivement s’il vous plaît
BREAKING NEWS : L’AVERTISSEMENT CHOQUANT DE POUTINE À L’EUROPE : « LA RUSSIE N’EST PAS VOTRE ENNEMI. VOS DIRIGEANTS LE SONT !
Dans un discours télévisé époustouflant, Vladimir Poutine a brisé les mensonges des élites occidentales. Il a exposé comment les dirigeants mondialistes ont utilisé la peur, la propagande et la guerre économique pour garder l’Europe sous leur contrôle. La Russie n’a jamais menacé l’Europe, mais vos dirigeants l’ont fait.
Qui est vraiment à l’origine de la crise énergétique ?
À qui profite la machine de guerre de l’OTAN ?
Qui détruit l’Europe de l’intérieur ?
La vérité a éclaté. Et les élites paniquent.
Les mots de Poutine étaient clairs : la Russie n’a jamais été et ne sera jamais votre ennemie. Alors que l’Europe s’effondre sous la ruine économique, les pénuries d’énergie et le chaos interne, les gouvernements contrôlés par les mondialistes continuent d’alimenter le même faux récit.
Pendant des années, les dirigeants occidentaux ont dépeint la Russie comme le méchant, utilisant de fausses menaces pour justifier la guerre, la montée en flèche des budgets militaires et la surveillance de masse. Mais maintenant, les fissures de leur tromperie s’élargissent.
Poutine a dit la vérité indéniable :
– La Russie n’a pas besoin des ressources de l’Europe : c’est le pays le plus riche du monde en matières premières.
– La Russie est deux fois plus grande que toute l’Europe réunie. À quoi serviraient les territoires européens ?
– La Russie a fourni à l’Europe du gaz, des matières premières et une aide bon marché, tandis que l’Occident a saigné à blanc ses propres citoyens.
Et soudain ? Les médias dominants sont silencieux.
LE VÉRITABLE ENNEMI : LES DIRIGEANTS EUROPÉENS
Ce n’est pas la Russie qui :
– Imposer des politiques énergétiques qui ont rendu le chauffage inaccessible.
– Il a ouvert les frontières à l’immigration de masse, entraînant la criminalité et l’effondrement social.
– Elle a créé des crises économiques, des pénuries alimentaires et une inflation record.
Toutes les difficultés auxquelles l’Europe est confrontée aujourd’hui ont été orchestrées par ses propres dirigeants.
Poutine a posé une question simple :
« Qu’est-ce que la Russie vous a fait pour la haïr à ce point ? »
La réponse ? Rien.
POURQUOI L’OCCIDENT CRAINT-IL CE MESSAGE ?
Les élites occidentales prospèrent sur la guerre, la division et la peur. Ils utilisent la Russie comme bouc émissaire pour détourner l’attention de leur propre corruption. Mais maintenant ? L’illusion est en train de se briser.
– Que se passe-t-il lorsque les Européens se rendent compte qu’ils ont été trompés pendant des décennies ?
– Que se passe-t-il lorsqu’ils cessent de croire à la propagande ?
– Que se passe-t-il lorsqu’ils demandent un compte ?
La réponse terrifie les élites, car elle signifiera la fin de leur règne.
L’Europe doit faire un choix : va-t-elle continuer à être un pion des mondialistes ou va-t-elle se réveiller ?
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