Ceux qui refusent de divulguer les fichiers sont ceux qui sont DANS les fichiers.

Un certain nombre des plus grands alliés du président Trump à la Chambre des représentants ont demandé la libération complète des dossiers de Jeffrey Epstein.
Alex Jones s’est officiellement retourné contre Trump.
Il dit que Trump est contrôlé par le chantage du Mossad.
Tu sais que l’arnaque est cuite quand même les opérations contrôlées s’en prennent à toi.

Un certain nombre des plus grands alliés du président Trump à la Chambre des représentants ont demandé la libération complète des dossiers de Jeffrey Epstein.

« Israël ne veut pas, mais Jeffrey Epstein s’est retrouvé dans la ligne des israéliens par Robert Maxwell en haut, nos services secrets militaires », a affirmé l’ancien espion israélien Ari Ben Menashe, qui a confirmé que Jeffrey Epstein était un agent du Mossad.

Stacey Williams, un ancien mannequin de Sports Illustrated qui est brièvement sorti avec Jeffrey Epstein, parle avec Brianna Keilar de CNN et décrit la relation d’Epstein avec Donald Trump. Elle allègue également que Trump l’a déjà tripotée en 1993, mais il nie cette affirmation.

Les victimes d’Epstein ont enduré une horreur inimaginable. « J’étais violée trois fois par jour. Il y avait un flot constant de filles victimes de trafic, d’abus et de destruction. » Ce n’était pas seulement un crime, c’était une entreprise sadique.

Introduction au scandale Epstein

Napolitano : Le Mossad fait chanter Trump avec la liste des clients d’Epstein Le juge Napolitano a déclaré qu’il pensait que le nom de Trump figurait sur la liste des clients d’Epstein et que Trump était terrifié à l’idée que le Mossad la divulgue.

Le scandale Epstein, qui a éclaté avec l’arrestation de Jeffrey Epstein en juillet 2019, a révélé une toile complexe d’abus sexuels, de manipulation et de secrets bien gardés. Epstein, un financier et homme d’affaires américain, était accusé d’avoir orchestré un réseau de trafic sexuel impliquant des mineurs, dont de nombreuses victimes étaient recrutées sous de fausses promesses. Ses connexions avec des personnalités influentes, y compris des hommes politiques, des célébrités et des aristocrates, ont alimenté des spéculations autour de la portée de ses activités criminelles.

Les relations d’Epstein avec des figures renommées, dont l’ancien président des États-Unis, Donald Trump, ont suscité un vif intérêt et des interrogations. La nature de ces connexions a soulevé des préoccupations quant à l’utilisation de l’information et des relations pour influencer les décisions politiques. Au cœur de ce scandale se trouve une liste alléguée de clients d’Epstein, contenant les noms de personnalités dont les actions pourraient être compromises par les révélations de leur association avec lui. Cette liste est considérée par certains comme un instrument potentiel de manipulation, insinuant que certaines de ces personnalités, y compris Trump, pourraient être sous pression pour des raisons politiques.

En outre, le scandale Epstein met en lumière les dynamiques de pouvoir en jeu, illustrant comment les élites peuvent parfois se trouver à la croisée des chemins, entre protection et chantage. Les implications du scandale ne se limitent pas aux individus, mais s’étendent à des systèmes qui pourraient permettre ou dissimuler de tels abus. L’écho des répercussions de cette affaire continue de résonner dans les sphères politique et médiatique, suscitant des débats sur la moralité, la justice et l’éthique au sein des institutions de pouvoir.

Le rôle de Napolitano dans l’affaire

Le juge Andrew Napolitano joue un rôle crucial dans l’affaire liée à Epstein et ses implications sur l’ancien président Donald Trump. Fort de son expérience en tant qu’analyste juridique et commentateur, Napolitano a régulièrement abordé la complexité des allégations entourant les réseaux d’influence et de pouvoir impliquant Epstein. Sa vision prend en compte non seulement les implications juridiques, mais également l’impact de ces allégations sur la réputation des personnalités politiques, y compris Trump.

Dans ses interventions publiques, Napolitano a souvent souligné les incohérences dans les déclarations officielles et a interrogé la transparence des motivations politiques derrière les enquêtes. En ce qui concerne Trump, il a mis en lumière les contradictions dans la défense de l’ancien président, tout en évoquant les conséquences potentielles de la divulgation de la liste des clients d’Epstein. Napolitano a également exprimé ses préoccupations quant à l’abus de pouvoir et à la manière dont les informations pourraient être utilisées à des fins politiques. Cela a incité des discussions sur l’éthique et les responsabilités des agents de l’État, en particulier dans des affaires où des intérêts personnels sont en jeu.

La réputation de Napolitano repose sur son intégrité et sa capacité à aborder des questions délicates avec impartialité. Ses analyses juridiques sont souvent perçues comme étant basées sur des faits et des principes de droit, ce qui lui confère une crédibilité considérable. Ses motivations semblent dériver d’un engagement envers la justice et la vérité, des valeurs qui semblent primordiales dans une affaire aussi explosive. En tant qu’acteur influent dans le débat public, Napolitano s’avère être une voix importante pour clarifier les questions légales et éthiques qui entourent ces allégations, rappelant au public l’importance de la transparence dans le domaine politique.

Le Mossad et ses opérations secrètes

Le Mossad, le service de renseignement extérieur d’Israël, est réputé pour ses opérations clandestines et son expertise dans la collecte d’informations vitales. Fondé en 1949, le Mossad s’est finalement imposé comme l’une des agences de renseignement les plus redoutées et respectées au monde. Ses activités vont bien au-delà de la simple collecte de renseignements; elles incluent des opérations d’infiltration, de sabotage et, dans certains cas, d’assassinat ciblé. Ces méthodes, bien que souvent efficaces, soulèvent des questions éthiques complexes.

Les opérations secrètes du Mossad ne se limitent pas à des missions à l’étranger. L’agence est également impliquée dans des efforts pour influencer et manipuler des personnalités politiques à travers le monde. Ces manipulations peuvent se manifester sous la forme de chantage, où des informations compromettantes sont utilisées pour faire pression sur des dirigeants, comme cela a été suggéré dans le contexte des liens de certaines personnalités avec Jeffrey Epstein. Cette pratique soulève des préoccupations majeures concernant le respect des droits individuels et les conséquences de telles actions sur la stabilité politique mondiale.

Les méthodes employées par le Mossad ont souvent été décrites comme un mélange d’intelligence stratégique et de soutien aux intérêts israéliens. Par exemple, l’agence a été impliquée dans des campagnes de déstabilisation visant à affaiblir des régimes hostiles ou à préserver des alliés sur la scène internationale. Cependant, ces opérations, qui peuvent sembler justifiées dans un certain contexte, peuvent également entraîner des répercussions négatives sur les relations diplomatiques et provoquer des conflits internes, tant au sein d’Israël que chez ses partenaires.

Dans ce contexte, il est essentiel de considérer les implications éthiques des actions du Mossad. Alors que la nécessité de garantir la sécurité nationale peut justifier certaines actions, il est tout aussi crucial de peser les conséquences à long terme de la manipulation politique et du chantage. La ligne entre la défense des intérêts d’un État et l’érosion des normes éthiques est souvent mince, ce qui appelle à un examen critique des pratiques du Mossad et de leurs répercussions potentiellement déstabilisatrices.

La liste des clients d’Epstein

Les victimes d’Epstein ont enduré une horreur inimaginable. « J’étais violée trois fois par jour. Il y avait un flot constant de filles victimes de trafic, d’abus et de destruction. » Ce n’était pas seulement un crime, c’était une entreprise sadique.

La liste des clients d’Epstein est devenue un sujet de préoccupation majeur, tant sur le plan médiatique que politique. Cette liste, qui aurait été compilée à partir des archives personnelles de Jeffrey Epstein, un financier américain condamné pour exploitation sexuelle, contient les noms de diverses personnalités, y compris des célébrités, des politiciens, et des hommes d’affaires influents. La nature même des informations qui y figurent en fait un document à la fois précieux et dangereux, car il pourrait potentiellement démanteler la réputation de ceux qui pourraient être impliqués.

Il est crucial de comprendre pourquoi cette liste est si sensible. D’une part, elle donne un aperçu des réseaux de pouvoir qui gravitent autour d’Epstein et expose la manière dont certaines figures publiques ont pu être connectées, de près ou de loin, à des allégations d’activités illégales. D’autre part, la simple présence d’un nom sur cette liste peut avoir des conséquences significatives pour la carrière et l’image des individus concernés, même si ces derniers n’ont pas été accusés de crimes. Cela souligne la volatilité de la réputation dans un monde où l’information peut vite circuler et être interprétée de manière biaisée.

Les implications pour les personnes identifiées sur cette liste sont considérables. Pour certains, cela pourrait signifier une ostracisation sociale, une perte de contrats ou d’opportunités professionnelles, et des répercussions juridiques potentielles. Cela entraîne un climat de peur, où la présomption d’innocence peut être anéantie par une simple mention. Ainsi, cette liste ne concerne pas seulement l’identification des clients d’Epstein, mais elle soulève aussi des questions éthiques et morales quant à la responsabilité de ceux qui ont eu des interactions avec lui. La complexité de cette situation va bien au-delà d’une simple liste ; elle interroge nos valeurs sociétales et la manière dont la justice est perçue.

Trump et ses relations avec Epstein

Donald Trump est accusé par le WSJ d’avoir écrit en 2003 un message salace à Jeffrey Epstein.

Trump nie, dénonce un faux et menace de poursuite judiciaire. L’affaire relance les spéculations sur leurs liens, alors que Trump promet de déclassifier des documents, malgré le démenti officiel du FBI sur l’existence d’une liste de clients. Un dessin obscène, une signature controversée, un milliardaire sulfureux : le cocktail explosif révélé par le Wall Street Journal (WSJ) remet Donald Trump sous les projecteurs.

Le journal américain affirme que le président américain aurait offert en 2003 à Jeffrey Epstein une carte d’anniversaire à caractère érotique, alors que ce dernier fêtait ses 50 ans. Cette carte figurait dans un album de lettres préparé par Ghislaine Maxwell, proche du financier, contenant des messages de personnalités diverses. L’un d’eux est signé « Donald » et serait, selon le WSJ, de la main de Trump. Lire aussi De l’attaque chimique par drone à la provocation industrielle : Moscou dénonce la tactique de Kiev du chaos toxique Toujours d’après le quotidien, la carte envoyée à Epstein se distingue par sa vulgarité : elle présente un texte dactylographié, encastré dans un dessin au marqueur épais représentant une femme nue. Les contours sommaires marquent sa poitrine, tandis que la signature « Donald », tracée de manière sinueuse sous la taille du dessin, évoque une représentation de pilosité pubienne. Interrogé par le WSJ, Trump a fermement nié toute implication : « Ce n’est pas moi. C’est un faux. C’est une histoire inventée par le Wall Street Journal ». Il a aussi réfuté être l’auteur du dessin : « Je n’ai jamais dessiné de ma vie. Je ne dessine pas de femmes. Ce n’est pas mon langage. Ce ne sont pas mes mots ». Le président a ensuite menacé de poursuivre le quotidien : « Je vais poursuivre le Wall Street Journal en justice comme je l’ai fait avec tous les autres ». La provenance exacte de cette lettre demeure floue. Le message tapé à la machine, inséré dans le dessin d’une femme nue, simule un échange fictif entre Trump et Epstein : « Il doit bien y avoir plus dans cette vie que d’avoir tout », commençait la note. « Donald : Oui, il y a quelque chose de plus, mais je ne vous dirai pas ce que c’est. Jeffrey : Je ne le dirai pas non plus, car je sais aussi ce que c’est. Donald : Nous avons quelque chose en commun, Jeffrey. Jeffrey : Oui, c’est vrai. Donald : Les énigmes ne vieillissent jamais, tu as remarqué ? Jeffrey : En fait, c’était clair pour moi la dernière fois que je t’ai vu. Donald : Un ami est une chose merveilleuse. Joyeux anniversaire, et que chaque jour soit un nouveau merveilleux secret ». Ces révélations relancent les spéculations sur les liens entre Trump et Epstein, mis en cause publiquement dès 2006 pour abus sexuels sur mineures. Epstein avait été arrêté une première fois cette année-là, puis en 2019 pour trafic sexuel, avant de se suicider en prison à 66 ans, sans attendre le jugement. Donald Trump, durant sa campagne présidentielle, avait promis de déclassifier les documents liés à l’affaire Jeffrey Epstein. Pourtant, une note conjointe récemment publiée par le ministère de la Justice et le FBI affirme qu’« aucun registre de clients » n’existe dans leurs archives. Ce registre, réclamé par l’opinion publique, désignerait une liste de personnalités influentes soupçonnées d’avoir profité du réseau de trafic sexuel organisé par Epstein. Depuis la publication du WSJ, le président américain Donald Trump a annoncé sur Truth Social qu’il chargeait le procureur général Pam Bondi de déclassifier une partie du dossier Epstein. « Compte tenu de la publicité ridicule faite à Jeffrey Epstein, j’ai demandé à la procureure générale Pam Bondi de produire tous les témoignages s’y rapportant du grand jury, sous réserve de l’approbation de la Cour. Cette ARNAQUE relayée par les démocrates doit s’arrêter tout de suite ! », a-t-il indiqué.
 

Les relations entre Donald Trump et Jeffrey Epstein suscitent de nombreuses interrogations, notamment en raison des répercussions sur la réputation de Trump dans le cadre du scandale entourant Epstein. À la fin des années 1990 et au début des années 2000, Trump et Epstein se sont fréquentés dans des cercles sociaux exclusifs. Leur amitié semble s’être développée autour d’un intérêt commun pour la haute société new-yorkaise, où Epstein était déjà un personnage influent. Les deux hommes avaient été aperçus ensemble lors de divers événements, bien que leur relation n’ait jamais été aussi étroite qu’avec d’autres célébrités du milieu.

Au fil des années, le lien entre Trump et Epstein a évolué. Alors qu’Epstein faisait face à des allégations de conduite criminelle, Trump a tenté de se distancier de lui. En 2002, Trump a déclaré que Epstein était “un type intéressant”, mais il a également ajouté qu’il n’était pas en contact avec lui à l’époque. Cette affirmation a été mise à mal par des informations ultérieures, indiquant que les deux hommes s’étaient bien connus pendant de nombreuses années et avaient partagé un cercle social similaire. Cette dissonance peut poser des questions sur la véracité des déclarations de Trump et sur la nature de leurs interactions.

Les conséquences de cette amitié pourraient avoir un impact significatif sur la perception du public à l’égard de Trump, surtout dans le contexte de l’actualité. Les liens d’Epstein avec des personnalités influentes ont suscité des controverses qui, par ricochet, affectent celles des personnes qui l’ont connu. La réévaluation du passé de Trump à la lumière des événements récents met en avant les nuances de sa personnalité politique et personnelle, ainsi que les vérités parfois inconfortables que l’on doit aborder dans leur intégralité. Cela place Trump dans une position où ses relations passées pourraient désormais devenir un facteur déterminant pour son image publique.

Tucker Carlson

Tucker Carlson affirme que des membres de l’élite se livrent à des abus rituels démoniaques sur des enfants, les décrivant comme un sinistre échange de pouvoir. Il affirme qu’ils trouvent du plaisir à corrompre l’innocence, qualifiant cela de vérité spirituelle troublante.

Tucker Carlson affirme que des membres de l’élite se livrent à des abus rituels démoniaques sur des enfants, les décrivant comme un sinistre échange de pouvoir. Il affirme qu’ils trouvent du plaisir à corrompre l’innocence, qualifiant cela de vérité spirituelle troublante.

Les implications politiques de cette affaire

La révélation de la liste des clients d’Epstein, associée à des allégations concernant le Mossad et Donald Trump, suscite d’importantes préoccupations politiques. Cette affaire ne concerne pas uniquement l’individu impliqué, mais elle pourrait également avoir des répercussions significatives sur l’administration Trump et le paysage politique américain dans son ensemble. Si les allégations s’avèrent fondées, cela pourrait engendrer des conséquences désastreuses pour la crédibilité de Trump ainsi que pour la confiance du public envers le gouvernement.

Premièrement, une telle divulgation pourrait avoir des répercussions immédiates sur la position de Trump au sein du Parti républicain. En effet, le soutien des membres du parti pourrait s’éroder, car ils souhaiteraient se distancer d’une figure controversée impliquée dans un scandale de cette ampleur. Une perte de soutien parmi les élus républicains pourrait compromettre les chances de Trump de remporter les élections à venir, exacerber les divisions au sein du parti et affaiblir sa base électorale.

Ensuite, les implications sur la politique étrangère ne doivent pas être sous-estimées. De telles révélations pourraient influencer la position des États-Unis sur des questions internationales, notamment celles liées à la sécurité, à la coopération ou à la transparence. Le service de renseignement israélien, qui pourrait être impliqué dans cette affaire, pourrait décourager le dialogue constructif entre Washington et d’autres nations. Ce climat de méfiance pourrait également favoriser la manipulation politique à l’international, entraînant des tensions supplémentaires.

Enfin, la perception publique de la corruption au sein des institutions politiques pourrait se renforcer, voire engendrer une mobilisation citoyenne accrue contre les abus de pouvoir. Cela pourrait entraîner des demandes d’enquêtes officielles et des appels à la transparence, redéfinissant ainsi le rapport entre les citoyens et leurs représentants élus. Le paysage politique américain pourrait donc évoluer de manière significative, façonné par ce scandale potentiel et par les réactions qui en découleront.

La peur de Trump face aux révélations

Les récentes allégations concernant le nom de Donald Trump apparaissant sur la liste des clients d’Jeffrey Epstein ont suscité d’importantes inquiétudes quant aux conséquences potentielles pour sa carrière politique. Trump craint que de telles révélations n’affectent de manière irréversible son image publique et sa position parmi ses partisans. Ce type de scandale pourrait non seulement ternir sa réputation, mais également miner la confiance que ses partisans lui portent, ce qui est crucial pour sa future carrière politique.

Ce qui est particulièrement alarmant pour Trump, c’est que le contexte entourant Epstein est déjà chargé d’égarements moraux et d’accusations d’exploitation. L’association d’un nom aussi controversé peut influencer négativement la perception du public. Les craintes de Trump se nourrissent de l’idée que, même sans preuves tangibles, les insinuations peuvent suffire à éroder sa crédibilité. Un tel événement pourrait créer des opportunités pour ses adversaires politiques, qui ne manqueraient pas de se servir de cette information pour l’affaiblir davantage.

Ces préoccupations semblent également influencer ses décisions politiques. En effet, Trump pourrait être amené à adopter une stratégie de défense plus agressive, non seulement pour se protéger des conséquences de telles révélations, mais aussi pour apaiser la base électorale qui lui reste fidèle. Il est probable que cette situation le pousse à redoubler d’efforts pour renforcer son image, tout en cherchant à minimiser les risques associés à d’autres scandales. L’impact de ces craintes pourrait également se refléter dans sa manière de conduire sa campagne électorale et de choisir ses alliés.

Dans l’ensemble, la peur palpable de Donald Trump face aux révélations entourant son éventuelle association avec Epstein pourrait s’avérer déterminante dans le façonnement de ses décisions politiques et stratégies de défense. Cette situation démontre à quel point les enjeux peuvent être élevés pour un individu de sa position, rendant chaque action minutieusement pesée dans le but de protéger son image publique.

Réactions publiques et médiatiques

Les récentes déclarations d’Andrew Napolitano concernant le Mossad et leur prétendue capacité à faire chanter l’ancien président Donald Trump avec la liste des clients d’Jeffrey Epstein ont déclenché une onde de choc à la fois dans les sphères médiatiques et au sein du public. Les commentaires de Napolitano, ancien juge et analyste politique, ont été largement diffusés et ont généré des réactions diverses, révélant la polarisation des opinions sur les thèmes du pouvoir, de la responsabilité et de la moralité dans la politique américaine.

Du côté des médias, certains commentateurs ont vu cette déclaration comme une validation de théories du complot qui entourent Epstein et ses réseaux influents. D’autres, en revanche, soulignent la nécessité d’une enquête approfondie sur les allégations soulevées. Cela illustre une tension manifeste dans le discours public – entre scepticisme et révélation. Par ailleurs, les défenseurs de Trump ont rejeté les allégations comme infondées et ont critiqué Napolitano, le qualifiant de détracteur dont les motivations pourraient être influencées par des agendas politiques.

Sur les plateformes de médias sociaux, les réactions ont été tout aussi vives. Certains internautes ont exprimé leur indignation, appelant à une plus grande transparence concernant les implications de ces allégations. D’autres, en revanche, ont soulevé des questions sur la crédibilité des sources d’information et ont douté de la véracité des déclarations de Napolitano. Cette controverse met en lumière non seulement le pouvoir de l’information et des rumeurs dans la sphère publique, mais également la complexité de la narration médiatique entourant Epstein et ses relations. Le débat reste donc ouvert, nourrissant des discussions sur la puissance et les abus du pouvoir dans le paysage politique contemporain.

Conclusion et perspectives d’avenir

La situation entourant Donald Trump et le Mossad, ainsi que les allégations de chantage liées à la liste des clients d’Epstein, soulève des questions complexes quant aux implications futures pour le paysage politique et judiciaire. Les informations divulguées mettent en lumière la vulnérabilité des personnalités influentes face à des stratégies d’intimidation. Cela pourrait créer un précédent inquiétant pour d’autres figures politiques qui, par le passé, ont pu agir en toute impunité, sachant qu’elles peuvent être exposées à un risque de chantage similaire.

Les implications potentielles pour la justice dans des affaires impliquant des individus puissants sont également significatives. Si des preuves tangibles circulent concernant des comportements illégaux ou immoraux, les mécanismes judiciaires devront réévaluer leur efficacité face aux ressources financières et aux connexions de ceux qui cherchent à éviter la responsabilité. Cette affaire pourrait inciter à une pression accrue pour une réforme judiciaire, adaptée à traiter des cas de corruption et d’influence illégitime au sein des cercles politiques.

Cette situation fait également résonner des préoccupations auprès du public. Les citoyens peuvent éprouver un sentiment d’inquiétude face à la possibilité que les dirigeants politiques soient sujets à des manipulations externes. La perception de la transparence et de l’intégrité au sein des gouvernements est mise à l’épreuve, incitant à une demande accrue pour des enquêtes approfondies et des mesures de responsabilisation. Alors que cette affaire évolue, il sera essentiel d’observer comment les institutions judiciaires et gouvernementales répondront aux défis posés par cette complexité croissante.

En somme, l’émergence de telles problématiques pourrait influencer le débat public sur la moralité en politique et pourrait demander aux électeurs de se questionner sur l’intégrité de leurs dirigeants. Les événements à venir devront être suivis de près pour comprendre la portée réelle de celles-ci sur la justice et la gouvernance à l’avenir.

Un mariage Donald Trump ne pouvait être moins que majestueux, exubérant, somptueux ! Et ce n’était pas seulement un mariage, c’était le troisième mariage du millionnaire et ancien président des États-Unis. La mariée, Melania Knauss est une ancienne mannequin née en Slovénie et après l’union, elle a commencé à signer sous le nom de Melania Knauss-Trump. 

Mariage de Melania et Donald Trump  

 La date choisie pour le mariage de Melania et Donald Trump était le 22 janvier 2005. Les célébrations ont commencé par la cérémonie religieuse, qui s’est tenue à l’église épiscopale de Palm Beach, Bethesda by The Sea. Un seul détail qui n’influence pas la grandeur de la cérémonie est que la mariée, Melania, était catholique romaine de naissance. 

 Le luxe était présent lors du grand jour des mariés, depuis les petits détails du modèle de robe choisi par la mariée pour la cérémonie religieuse. Qui a signé la robe de Melania était la marque Christian Dior. C’était une belle robe en satin et avait environ 1550 cristaux. Oui, vous avez bien lu, 1500 cristaux ! Melania a dû faire quatre essayages de la robe, chacun durant environ quatre heures. 

Comme si cela ne suffisait pas, la robe nécessitait environ 89 mètres de tissu, en plus des quatre mètres de traîne et des cinq mètres de voile. Maintenant, bien sûr, tout cet ornement aurait littéralement un poids, n’est-ce pas ? Melania devait porter un poids de 22 kilos ! Oui, c’était le poids de la robe quand elle était finie. Imagine comment tu arrives à rester pleine et élégante avec un tel poids ?! Le modèle choisi par Melania pour la robe était la sirène, avec une touche plus sensuelle. Sur la jupe, il y avait des appliqués ronds et circulaires qui faisaient référence aux détails de la jupe d’une autre mariée illustre; Jacqueline Kennedy Onassis.

 Entre les mains, l’actuelle épouse de Donald Trump, a choisi de prendre un chapelet hérité de la famille. Ainsi, elle a remplacé la tradition de porter un bouquet de fleurs.

 Pour le moment de la fête, Melania a choisi une deuxième robe pour avoir plus de liberté pour danser et profiter de sa fête. Oufa ! Car avec 22 kilos de tissu ce serait vraiment compliqué. La robe de soirée a été signée par la styliste Vera Wang. C’était un modèle à bretelles et un décolleté en “V”, structuré comme un corset, c’est un corsetet non uncorselet. Connaissez-vous la différence entre les deux ? La robe était toute blanche. Pour accompagner la robe, Melania portait une magnifique guirlande de fleurs blanches. Mais la star du look de Melania était le collier de style édouardien, prêté à la mariée par Fred Leighton. En raison des répercussions, Melania était à l’époque en couverture du magazine américain Vogue, avec sa robe, évaluée à environ 2 millions de dollars américains. maison Dior n’a cependant pas facturé ce montant. Compte tenu de l’impact que cela aurait sur la marque dans les médias, ils ont facturé 100 000 $ pour la robe.

 Quant au menu du mariage, comme prévu, il ne laissait rien à désirer. Pour le dîner, diverses gourmandises divines étaient proposées, arrosées de champagne Cristal et sans lésiner sur le caviar.

Le gâteau était une attraction en soi. De sa conception à la fabrication finale, le gâteau a mis deux mois à être prêt. Le responsable de la préparation du gâteau était le célèbre chef pâtissier Cedric Barberet, du Bistro Barberet & Bakery. La garniture des sept étages du gâteau était composée de la liqueur Grand Manier au beurre vanillé. Les étages du gâteau étaient également recouverts de 3 000 roses blanches. Les invités ont également reçu un mini-gâteauavec une garniture au chocolat à emporter chez eux en souvenir.

 Le blanc et l’or prédominaient dans la décoration de la fête. Environ 10 000 fleurs ont décoré la salle de bal, où plus de 350 invités ont été reçus. Parmi eux, la présence de nombreuses célébrités et personnalités politiques.

 Bien qu’il s’agisse du troisième mariage de Donald Trump, ce n’était rien de moins que le luxe, la pompe et les circonstances de ses deux premiers.

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