Le New York Times a publié une photo de Jeffrey Epstein avec le prince héritier saoudien Mohammed bin Salmane, exposée dans la maison d’Epstein à Manhattan. La famille royale saoudienne est juive.
Ceci est intéressant :
Par Abdulaziz Saud
LA DYNASTIE SAOUDIENNE : D’OÙ VIENT-ELLE ? ET QUI EST LE VÉRITABLE ANCÊTRE DE CETTE FAMILLE ?
RECHERCHE ET PRÉSENTATION DE : MOHAMMAD SAKHER , qui a été assassiné par le régime saoudien pour les raisons suivantes :
- Les membres de la famille saoudienne appartiennent-ils à la tribu d’ANZA BEN WA’EL comme ils le prétendent ?
- L’islam est-il leur véritable religion ?
- Sont-ils vraiment d’ORIGINE ARABE ?
En l’an 851 de l’hégire, un groupe d’hommes du CLAN AL MASALEEKH, qui était une branche de la tribu ANZA, a formé une caravane pour acheter des céréales (blé et maïs) et d’autres produits alimentaires en IRAK, et les transporter au NAJD. Le chef de ce groupe était un homme appelé SAHMI BIN HATHLOOL. La caravane atteignit BASRA, où les membres du groupe se rendirent chez un marchand de céréales qui était juif et s’appelait MORDAKHAI BIN IBRAHIM BIN MOSHE’. Pendant qu’ils négociaient avec ce marchand, le Juif leur demanda : « D’où venez-vous ? » Ils répondirent : « D’ANZA TRIBUNE ». En entendant ce nom, le Juif a commencé à serrer chacun d’eux dans ses bras en disant qu’il était lui aussi du clan d’AL MASALEEKH, mais qu’il était venu s’installer à BASRA (IRAQ) à la suite d’une querelle de famille entre son père et certains membres de la tribu d’ANZA.
This is interesting:
— Cliff Willhoff (@CRWillhoff) March 27, 2025
By Abdulaziz Saud
THE SAUDI DYNASTY: FROM WHERE IS IT? AND WHO IS THE REAL ANCESTOR OF THIS FAMILY?
RESEARCH AND PRESENTATION OF: MOHAMMAD SAKHER , who was ordered killed by the Saudi Regime for the following findings:
1. Are the Saudi Family members…
The New York Times has published a photo of Jeffrey Epstein with Saudi Crown Prince Mohammed bin Salman that was on display at Epstein's mansion in Manhattan.
— Dr. Anastasia Maria Loupis (@DrLoupis__) August 6, 2025
This is why he supports "Israel". pic.twitter.com/TK0AUs6NsY


Introduction

Au cours des dernières années, la figure de Jeffrey Epstein a suscité une attention médiatique considérable, et ce, pour de nombreuses raisons. Récemment, une photo révélant Epstein en compagnie du prince héritier saoudien Mohammed bin Salmane a redonné une nouvelle ampleur à cette controverse. Cette image incite à s’interroger sur les liens complexes qui peuvent exister entre Epstein, connu pour ses activités criminelles, et la famille royale saoudienne, dont l’image publique est souvent au cœur du débat international.
La connexion entre Epstein et des personnalités influentes à travers le monde, en particulier au sein des élites politiques et économiques, soulève des questions cruciales sur le pouvoir et l’influence. Dans le contexte actuel, où les nations et les citoyens prennent de plus en plus conscience des injustices et des abus de pouvoir, cette photo pourrait avoir des répercussions significatives. Elle met en lumière non seulement les relations problématiques d’Epstein, mais aussi la façon dont les dynasties à travers le monde, comme la famille royale saoudienne, pourraient être impliquées dans des affaires controversées.
Cette situation revêt une importance particulière car elle relance le débat sur l’intégrité des institutions royales, tout en alarmant certains observateurs internationaux quant aux impacts potentiels sur la diplomatie et les relations intergouvernementales. La famille royale saoudienne a déjà été critiquée par le passé pour ses choix de leadership et ses actions, et l’association potentielle avec un personnage aussi controversé qu’Epstein pourrait nuire à sa légitimité aux yeux de nombreux pays et organisations.
Les implications de cette relation méritent d’être examinées minutieusement, en prenant en compte les antécédents d’Epstein ainsi que les alliances stratégiques de l’Arabie saoudite sur la scène mondiale. Avec l’évolution rapide de la situation, il devient impératif d’analyser ses dimensions sous différents angles et d’envisager les conséquences futures que cela pourrait avoir pour la famille royale saoudienne et ses relations internationales.
Contexte de la photo révélée
La controverse entourant la photographie de Jeffrey Epstein en compagnie du prince héritier saoudien, Mohammad ben Salmane, a capté l’attention des médias et du public, révélant des implications complexes pour les deux parties. Cette image a été prise à l’été 2017 lors d’un événement à l’occasion du Forum économique mondial de Davos, en Suisse. Ce forum a toujours été un haut lieu de rencontres entre des personnalités influentes et des dirigeants mondiaux, ce qui a permis à Epstein de se rapprocher de figures de premier plan, telles que le prince héritier. Le timing de cette photo est particulièrement signifiant, car il a été révélé que l’affaire Epstein commençait à se développer, mais elle n’avait pas encore pris une ampleur médiatique significative.
La photo a été d’abord publiée par le New York Times en juillet 2019, peu après l’arrestation d’Epstein pour des accusations sex-trafficking. Cette révélation a provoqué des réactions variées allant de la défense de l’intégrité du prince héritier aux spéculations infondées sur les relations entre les deux hommes. Les défenseurs de Mohammad ben Salmane ont affirmé que la rencontre était purement sociale et ne impliquait aucun lien d’affaires ou personnel, tandis que d’autres s’interrogeaient sur les implications d’une telle association. La publication de cette image a mis en lumière non seulement les liens d’Epstein avec des personnalités influentes, mais aussi les enjeux politiques et diplomatiques concernant l’Arabie Saoudite.
Les réactions initiales ont été principalement teintées de surprise et de désapprobation, tant du côté des observateurs politiques que du grand public. Les médias internationaux ont exploré divers scénarios, l’un des plus préoccupants étant la possibilité que cette image puisse nuire à la réputation de la famille royale saoudienne, qui a toujours cherché à maintenir une image de respectabilité. Il est crucial de comprendre le contexte entourant cette photo pour appréhender pleinement l’impact social et politique qu’elle a eu, ainsi que les dimensions morales encore floues de cette alliance.
La famille royale saoudienne : histoire et origine
La famille royale saoudienne, connue sous le nom de Al Saud, possède une histoire riche qui remonte au XVIIIe siècle. Unifiée par Muhammad ibn Saud en 1744, cette dynastie a établi un pacte avec le prédicateur religieux Muhammad ibn Abd al-Wahhab, qui a donné naissance au mouvement wahhabite. Ce partenariat a non seulement permis de renforcer l’autorité d’Al Saud, mais a également contribué à façonner l’identité religieuse du pays, reliant ainsi la famille à un héritage islamique plus large. L’ascension au pouvoir de cette famille a été marquée par des conquêtes militaires et des alliances stratégiques, consolidant leur domination sur la péninsule arabique.
Le royaume d’Arabie saoudite a été proclamé en 1932, lorsque Abdulaziz Ibn Saud a réussi à unifier plusieurs régions. Ce succès a été alimenté par sa politique d’engagement avec les clans locaux et ses efforts pour établir un gouvernement centralisé. Au fil des décennies, la famille s’est enrichie considérablement grâce à la découverte de vastes réserves de pétrole dans les années 1930, transformant ainsi le pays en un acteur important sur la scène mondiale. Les revenus du pétrole ont non seulement accru la richesse de la famille royale, mais ont aussi permis des investissements considérables dans les infrastructures et l’éducation, redéfinissant l’économie saoudienne.
Il existe diverses théories et allégations concernant les origines de la famille, notamment des spéculations sur des liens avec des lignées tribales anciennes et d’éventuels ancêtres d’autres régions. Certains chercheurs avancent des hypothèses sur des influences ethniques et religieuses qui pourraient avoir marqué l’identité de la dynastie. Cependant, il est important de reconnaître que ces théories ne sont pas toujours soutenues par des preuves historiques solides. Ainsi, la famille royale saoudienne demeure un sujet d’intérêt complexe, mêlant histoire, politique et culture.
La question de l’identité juive
L’identité juive de la famille royale saoudienne est un sujet complexe et controversé qui suscite des débats passionnés tant sur le plan académique que social. Certaines affirmations suggèrent que des éléments des lignées royales saoudiennes pourraient avoir des racines juives, en se basant sur des études généalogiques et des documents historiques. Ces assertions sont souvent alimentées par des théories du complot qui tentent de relier des figures influentes de l’Arabie Saoudite à des origines juives, ce qui engendre des interrogations concernant leur identification culturelle et religieuse.
Cependant, il est essentiel d’examiner ces allégations de manière critique. La majorité des recherches académiques et historiques réfutent ces affirmations, se basant sur des sources solides et une analyse rigoureuse des archives. Les résultats indiquent que la famille royale saoudienne, en tant que dépositaire de la tradition wahhabite, s’identifie clairement à l’islam sunnite et ne présente pas de preuves substantielles pour soutenir une ascendance juive. Cette distinction est non seulement importante sur le plan religieux, mais elle joue également un rôle crucial dans le contexte sociopolitique actuel.
Les implications de telles identités, qu’elles soient réelles ou hypothétiques, pourraient influencer les relations entre l’Arabie Saoudite et d’autres nations, en particulier dans le contexte particulièrement tendu des relations arabo-israéliennes et des perceptions mondiales autour de l’identité musulmane et juive. De plus, la propagation de ces idées peut nuire aux efforts de dialogue interreligieux et à la compréhension mutuelle, contribuant ainsi à perpétuer des stéréotypes néfastes et des divisions au sein de la société. Au final, les discussions sur l’identité juive de la famille royale saoudienne nécessitent une approche nuancée, en tenant compte à la fois des faits historiques et des dynamiques sociopolitiques actuelles.
L’héritage de Mohammad Sakher
Mohammad Sakher est une figure emblématique dont le parcours complexe reflète les défis politiques et sociaux au sein du royaume saoudien. Son assassinat, survenu dans un contexte de répression intense, soulève des questions cruciales sur la dynastie saoudienne et son rapport à la contestation de l’identité royale. Sakher, connu pour son engagement envers la justice sociale et son opposition au régime, a été perçu comme une menace par certains membres influents de la famille royale. Ses critiques ouvertes des pratiques autocratiques et son appel à des réformes démocratiques en ont fait une cible pour le gouvernement.
L’assassinat de Mohammad Sakher n’a pas seulement symbolisé un acte de violence, mais également un message clair sur les limites de la dissidence au sein des structures de pouvoir saoudiennes. En tant qu’activiste, il s’est démarqué par ses discours mobilisateurs et sa capacité à rassembler des voix marginalisées, remettant en question l’autorité et l’héritage historique de la dynastie saoudienne à travers une approche radicale. Sa volonté de promouvoir une identité nationale qui transcende les clivages tribaux a contrarié de nombreux dignitaires, renforçant ainsi l’idée que son existence au sein du discours public était intolérable pour un régime en quête de contrôle absolu.
Par ailleurs, les conséquences de son assassinat s’étendent bien au-delà de sa personne. Elles touchent à la perception de la famille royale saoudienne à l’international. Cet événement tragique met en lumière la lutte entre une vision traditionnelle de monarchie et une aspiration croissante vers des réformes sociopolitiques. Ainsi, l’héritage de Mohammad Sakher continue d’inspirer les mouvements contestataires, devenant un symbole d’un souhait collectif de changement et d’émancipation face à l’autorité monarchique. Dans ce contexte, son rôle dans la contestation de l’identité royale saoudienne demeure essentiel à la compréhension des dynamiques de pouvoir en cours dans le pays.
Les liens avec la tribu d’Anza ben Wa’el
La famille royale saoudienne est souvent associée à la tribu d’Anza ben Wa’el, une connexion qui mérite d’être examinée de près. Les traditions orales et l’histoire de la péninsule arabique indiquent que la tribu Anza a joué un rôle central dans l’ascension du pouvoir saoudien lors de la fondation de l’État moderne d’Arabie Saoudite. En effet, un grand nombre des ancêtres des Saoudiens modernes seraient issus de cette tribu nomade, qui était connue pour sa bravoure et son sens de la solidarité clanique.
Des historiens et des anthropologues ont investigué ces racines tribales, reliant la famille royale saoudienne à des lignées précises au sein d’Anza ben Wa’el. Les preuves historiques se trouvent dans des chroniques qui datent du 18ème siècle, période à laquelle les premières alliances entre tribus ont permis la consolidation de l’autorité d’Abdulaziz Al Saoud, le fondateur de l’Arabie Saoudite moderne. Il a su établir des alliances fortes avec les clans Anza, utilisant leur influence pour étendre son règne.
Cependant, les termes de cette connexion ne sont pas toujours acceptés de manière unanime. Certains critiques estiment que les reflétant ou interprétant les relations tribales peuvent être biaisées, suggérant que les prétentions sur l’héritage d’Anza ben Wa’el ne s’appuient pas sur des historiques probants mais plutôt sur des récits glorifiés. En outre, la structure politique actuelle de la monarchie saoudienne, qui repose sur des institutions modernes, pourrait diminuer l’importance des liens tribaux dans le contexte contemporain.
En somme, l’affiliation de la famille royale saoudienne à la tribu d’Anza ben Wa’el illustre une complexité historique qui mérite d’être approfondie. Bien que ces liens soient souvent mis en avant pour légitimer le pouvoir royal, ils doivent être de manière critique évalués à travers le prisme de l’histoire et des récits populaires.
La véritable religion de la famille royale
La famille royale saoudienne incarne les complexités et les contradictions de l’Islam dans le cadre de leur règne. En tant que gardiens des lieux les plus sacrés de l’Islam, à savoir La Mecque et Médine, ils sont souvent perçus comme les représentants exemplaires des valeurs islamiques. Cependant, l’interprétation de l’Islam par cette famille a suscité de nombreuses controverses. Les notions de tradition et de modernité sont parfois en conflit, ce qui mène à des questionnements quant à leur engagement véritable envers cette religion.
Au cœur de la gouvernance saoudienne se trouve une version particulière de l’Islam, connue sous le nom de wahhabisme, qui prône une interprétation stricte et puritaine des enseignements islamiques. Cette approche a été instrumentaliste pour la consolidation de la dynastie saoudienne, car elle a permis de justifier leur pouvoir tout en renforçant leur alliance avec les autorités religieuses. Toutefois, cette interprétation du wahhabisme a souvent été critiquée à l’échelle internationale pour son caractère rigide et pour son rôle supposé dans la propagation de l’extrémisme.
Il est également essentiel de reconnaître que la famille royale navigue dans des eaux parfois tumultueuses entre la nécessité de maintenir de bonnes relations avec les États-Unis et d’autres partenaires occidentaux et de répondre aux attentes de leur population fidèle. De nombreux observateurs soulignent que cet équilibre complexe rend difficile une lecture univoque de leur engagement religieux. Par ailleurs, les scandales liés à des personnalités controversées comme Jeffrey Epstein ont mis en lumière la possibilité d’un décalage entre les valeurs professées et les pratiques réelles de la dynastie. Ainsi, le véritable rapport de la famille royale saoudienne avec l’Islam demeure un sujet de débat avidement discuté et analysé.
L’origine arabe de la dynastie saoudienne
La dynastie saoudienne, établie au XVIIIe siècle, suscite de nombreuses discussions sur ses origines arabes et les implications historiques qui en découlent. Cette question est particulièrement pertinente dans le contexte des dynamiques régionales et des perceptions contemporaines de la royauté en Arabie Saoudite. Plusieurs chercheurs avancent que les Saoudiens descendent des tribus arabes, notamment les Banu Hanifa, qui occupaient la région de Najd. Cela est étayé par des archives historiques et des traditions orales qui transmettent la lignée des Al Saud en tant que descendants de grands chefs arabes.
Cependant, certains historiens remettent en question la pureté de cette ascendance. Ils soulignent des influences extérieures, notamment des mariages mixtes avec d’autres dynasties et l’importance des alliances tribales à travers les siècles, qui ont contribué à la complexité de l’identité saoudienne. Même si le lien arabique est clair, les nuances de cette identité soulèvent des questions sur le nationalisme arabe en général et sur la manière dont la dynastie saoudienne se positionne au sein des autres États arabes. Les recherches archéologiques soutiennent ces arguments, montrant des interactions entre les différentes cultures qui ont façonné la péninsule arabique.
Les débats sur l’origine arabe de la dynastie saoudienne ont également un impact significatif sur la perception de la royauté en Arabie Saoudite. D’une part, cette souveraineté est fréquemment associée à un héritage millénaire, renforçant la légitimité et l’autorité des acteurs royaux. D’autre part, les contestations relatives à l’authenticité de cette origine peuvent miner la position des dirigeants, faisant ressortir des appels à un renouvellement culturel et identitaire au sein de la société saoudienne. L’exploration des racines de la dynastie saoudienne est donc cruciale et soulève des questions d’identité, de pouvoir et de légitimité qui demeurent d’actualité.
La caravane des Al Masaleekh et son importance historique
Au cours du 9ème siècle hégirien, la caravane des Al Masaleekh, dirigée par Sahmi bin Hathlool, a joué un rôle essentiel dans les échanges commerciaux et culturels à travers la région. Cette caravane, qui reliait diverses zones du Moyen-Orient, était non seulement un moyen de transport pour des marchandises précieuses, mais aussi un vecteur d’interaction entre différentes cultures et sociétés. Les échanges pratiqués lors de ces voyages ont largement contribué à façonner les dynamiques économiques de l’époque.
Le succès de cette caravane repose sur son habileté à naviguer à travers des reliefs géographiques complexes, renforçant ainsi les liens économiques entre les villes et les petits bourgades. Les produits échangés incluaient des textiles, des épices, des bijoux et d’autres biens de luxe qui étaient recherchés tant localement qu’internationalement. Cette dynamique a non seulement stimulé l’économie, mais elle a aussi permis la diffusion de connaissances, de traditions et de croyances religieuses, enrichissant ainsi le tissu socio-culturel de la région.
Moreover, les caravaniers, en tant qu’agents de commerce, ont également eu un impact sur les questions identitaires de l’époque. En fréquentant diverses entités économiques et culturelles, ils ont contribué à forger une conscience collective, reliant des peuples qui, autrement, n’auraient pas eu d’interactions directes. Cet aspect de la caravane des Al Masaleekh est d’une pertinence particulière aujourd’hui, alors que les débats autour de l’identité et des origines dans la région persistent. Ainsi, le legs de ces caravanes dépasse le simple cadre économique pour s’étendre vers des questions de multiculturalisme et de cohabitation pacifique.
En résumé, la caravane des Al Masaleekh et la figure de Sahmi bin Hathlool sont emblématiques de l’importance historique des échanges au 9ème siècle hégirien. Ils illustrent comment le commerce et la culture interagissent pour modeler non seulement l’économie, mais aussi l’identité des peuples au fil du temps.
Conclusion et implications futures
Au terme de notre analyse, il est clair que le lien entre Jeffrey Epstein et la famille royale saoudienne soulève des questions délicates et suscite des préoccupations majeures sur les implications géopolitiques. L’examen des échanges entre Epstein et certains membres de la dynastie saoudienne révèle des dynamiques de pouvoir complexes. Ces interactions ne sont pas seulement significatives d’un point de vue personnel, mais elles portent également des répercussions sur les relations diplomatiques entre l’Arabie Saoudite et d’autres nations. Les révélations entourant Epstein suggèrent qu’une vigilance accrue est nécessaire quant à l’influence que peuvent avoir des individus sur les relations entre États.
La perception de la famille royale saoudienne pourrait évoluer suite à ces accusations, entraînant un potentiel impact sur la légitimité de la dynastie au sein de la communauté internationale. Les scandales, tels que ceux associés à Epstein, peuvent endommager la réputation d’un pays, compromettant ainsi ses initiatives diplomatiques. Les préoccupations éthiques et morales liées à de telles associations pourraient inciter les gouvernements étrangers à reconsidérer leurs collaborations avec l’Arabie Saoudite, affectant des domaines aussi variés que le commerce, la sécurité et les échanges culturels.
À l’avenir, il sera essentiel de surveiller comment ces révélations influenceront non seulement les politiques intérieures du royaume, mais également ses interactions internationales. L’état de la diplomatie saoudienne sera sans doute testé alors que le monde observe les réactions de la dynastie face aux allégations persistantes et à la pression de l’opinion publique. Les implications de cette situation pourraient également inciter d’autres pays à adopter des positions plus critiques à l’égard de leurs relations avec la famille royale, renforçant ainsi la nécessité d’une transparence accrue dans les affaires internationales.