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Voici ce qu’il a dit :

‘Les mensonges, les enfants affamés… Il s’est avéré qu’il souffrait de paralysie cérébrale ou de maladies congénitales.

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Introduction à la question palestinienne

D’autres pays européens mais non membres de l’UE ont reconnu la Palestine la même année. C’est notamment le cas de

la Turquie, le 15 novembre 1988,

de la Serbie (le 16 novembre) ou

de l’Ukraine, qui a officiellement reconnu cet État le 19 novembre 1988.

Plusieurs pays ont suivi, comme la Géorgie en 1992 ou

le Monténégro en 2006. 

La reconnaissance de l’État de Palestine parmi les États membres de l’Union européenne

État membre de l’UE

Date de la reconnaissance

Chypre 18 novembre 1988

République tchèque (Tchécoslovaquie)18 novembre 1988

Slovaquie (Tchécoslovaquie) 18 novembre 1988

Hongrie23 novembre 1988

Roumanie 24 novembre 1988

Bulgarie 25 novembre 1988

Pologne14 décembre 1988

Suède30 octobre 2014

Espagne28 mai 2024

Irlande28 mai 2024

Slovénie4 juin 2024

La question palestinienne est un enjeu complexe qui s’étend sur plusieurs décennies et qui a des racines historiques profondément ancrées. Ce conflit oppose principalement les aspirations nationales des Palestiniens à celles des Israéliens et trouve ses origines dans la fin du XIXe siècle, avec la montée des mouvements nationalistes. Après la Première Guerre mondiale, le mandat britannique sur la Palestine a exacerbé les tensions entre les populations juives et arabes, culminant en 1948 avec la création de l’État d’Israël, événement connu sous le nom de Nakba pour les Palestiniens, marquant la perte de leurs terres.

la façon dont Israël a pris la terre palestinienne

148 pays sur 193 reconnaissent aujourd’hui la Palestine

Aujourd’hui, 148 des 193 pays membres de l’ONU reconnaissent officiellement l’État de Palestine, dont la quasi-totalité des pays africains, sud-américains et asiatiques. A l’inverse, plusieurs pays comme les États-Unis et le Japon n’ont pas franchi le pas. Jusqu’à présent, la France faisait également partie de ces derniers, aux côtés de 15 autres membres de l’Union européenne, tels que l’Allemagne, l’Italie ou l’Autriche.

Mais sa position vient de changer : le 24 juillet 2025, Emmanuel Macron a annoncé que la France reconnaîtra l’État palestinien en septembre, lors d’une réunion de l’Assemblée générale de l’ONU à New-York. Une décision qui relève d’une prérogative présidentielle et n’exige pas formellement de vote du Parlement. Ce geste vise à relancer la solution “à deux États”, dans un contexte de guerre à Gaza et de blocage du processus de paix.

À l’issue d’une réunion d’urgence du gouvernement britannique le 29 juillet, le Premier ministre Keir Starmer a annoncé son intention de reconnaître l’État de Palestine lors de l’Assemblée générale de l’ONU en septembre, à moins qu’Israël ne respecte certains engagements : accepter un cessez-le-feu, s’engager en faveur d’un processus de paix vers une solution à deux États, renoncer à annexer la Cisjordanie et permettre l’acheminement de l’aide humanitaire à Gaza. Le gouvernement britannique a également réaffirmé ses exigences à l’égard du Hamas, lui demandant de “libérer immédiatement tous les otages, de se désarmer, de signer un cessez-le-feu et de ne jouer aucun rôle dans le gouvernement de Gaza”.

D’autres pays de l’UE devraient eux aussi reconnaître l’État palestinien. Mercredi 30 juillet, quinze pays occidentaux ont lancé “l’appel de New York” pour une solution à deux États entre Israël et la Palestine. Neuf d’entre eux se sont dits prêts à reconnaître l’État palestinien, dont la France, le Portugal, la Finlande et le Luxembourg membres de l’UE. Andorre, l’Australie, le Canada, la Nouvelle-Zélande et Saint-Marin complètent la liste.

L’État palestinien est reconnu par 11 des 27 pays membres de l’Union européenne. Le 24 juillet, Emmanuel Macron a annoncé que la France le reconnaîtra à son tour durant la prochaine assemblée générale des Nations unies, en septembre. D’autres États européens devraient faire de même. 

Depuis lors, les Palestiniens ont cherché à établir leur propre État, un processus qui s’illustre par des tentatives de négociations et des déclarations unilatérales de souveraineté. En 1988, l’Organisation de Libération de la Palestine (OLP) a déclaré un État palestinien, mais cette reconnaissance n’a pas abouti à une pleine souveraineté. Les Accords d’Oslo dans les années 1990 ont marqué un tournant dans la dynamique du conflit en introduisant l’idée de deux États, mais la mise en œuvre de cet objectif a rencontré de nombreux obstacles, tels que la colonisation israélienne, les violences et un climat de méfiance mutuelle.

Les efforts pour reconnaitre l’État palestinien sont également intimement liés à la dynamique internationale. Les résolutions des Nations unies et les initiatives de divers pays ont joué un rôle crucial dans la quête palestinienne d’un statut reconnu sur la scène mondiale. La question des droits des Palestiniens et la légitimité de leur État sont souvent sources de tensions géopolitiques, en particulier en ce qui concerne l’engagement de pays tels que la Belgique et les États-Unis, qui influencent fortement le paysage diplomatique. Une coalition internationale serait donc essentielle pour soutenir cette aspiration historique.

L’importance de la reconnaissance d’un État palestinien

La reconnaissance d’un État palestinien est perçue comme un élément clé pour favoriser la paix et la stabilité au Moyen-Orient. En effet, cette reconnaissance pourrait non seulement renforcer les droits nationaux des Palestiniens, mais également poser les bases d’un dialogue constructif pour une solution durable au conflit israélo-palestinien. D’un point de vue politique, un État palestinien reconnu contribuerait à la légitimité du gouvernement palestinien, facilitant ainsi son travail sur la scène internationale et augmentant son influence dans les discussions régionales.

Sur le plan social, l’établissement d’un État palestinien permettrait d’améliorer les conditions de vie des Palestiniens. La reconnaissance engendrerait un soutien accru des organisations internationales et des pays dotés de ressources, ce qui pourrait favoriser des investissements dans les infrastructures, l’éducation et la santé. De plus, il offrirait aux Palestiniens la possibilité de s’approprier davantage leur avenir et de promouvoir une identité nationale forte, essentielle pour la cohésion sociale et le développement.

Économiquement, un État palestinien reconnu pourrait bénéficier d’accords commerciaux plus flexibles et d’un accès facilité aux marchés internationaux. Cela permettrait de dynamiser l’économie palestinienne, qui souffre actuellement de nombreuses restrictions en raison du conflit. La coopération économique avec les pays voisins serait également renforcée, contribuant ainsi à une prospérité régionale plus large et à une meilleure sécurité pour tous les acteurs concernés.

En somme, la reconnaissance d’un État palestinien représente un maillon essentiel dans la quête d’une paix durable. Elle offre des perspectives de stabilité politique, d’amélioration sociale et de développement économique non seulement pour les Palestiniens, mais également pour les pays de la région et au-delà.

La position des États-Unis et de la Belgique

La question de la reconnaissance d’un État palestinien est au cœur des relations internationales, notamment pour des pays influents tels que les États-Unis et la Belgique. Actuellement, la position des États-Unis, en tant que superpuissance mondiale, joue un rôle pivotal dans le soutien ou l’opposition à la cause palestinienne. Historiquement, les États-Unis ont adopté une approche favorable à Israël, marquant ainsi une distance vis-à-vis d’un soutien explicite à un État palestinien indépendant. Cette position découle en partie des alliances stratégiques et des valeurs de sécurité nationale, qui guident la politique étrangère américaine au Moyen-Orient. Cependant, l’argument selon lequel la reconnaissance d’un État palestinien pourrait contribuer à la paix régionale est parfois exposé par des voix aux États-Unis, ce qui témoigne d’une certaine complexité dans leur positionnement.

En revanche, la Belgique, tout en étant un État membre de l’Union européenne, a adopté une position plus favorable à la reconnaissance de l’État palestinien. Le gouvernement belge a exprimé à plusieurs reprises que la reconnaissance d’un État palestinien pourrait servir d’outil pour relancer le processus de paix et renforcer les droits des Palestiniens. Toutefois, cela se heurte à la nécessité de consensus au sein de l’Union européenne, où des pays comme la France et l’Allemagne maintiennent des réserves. Le soutien belge à la reconnaissance de la Palestine repose sur des valeurs de respect des droits humains et de justice, manifestant ainsi une volonté d’arbitrage dans le conflit israélo-palestinien.

Ce contraste entre les positions des États-Unis et de la Belgique montre comment les dynamiques géopolitiques influencent la reconnaissance d’un État palestinien. D’une part, les États-Unis semblent réticents à soutenir cette initiative, tandis que la Belgique, dans le cadre de ses engagements humanitaires et diplomatiques, plaide pour une reconnaissance qui promeut un dialogue pacifique dans la région.

La coalition internationale : membres et objectifs

La coalition internationale pour la reconnaissance d’un État palestinien est une initiative regroupant divers pays et organisations qui partagent un objectif commun : supporter l’établissement d’un État reconnu, souverain et viable pour le peuple palestinien. Parmi les membres notables de cette coalition figurent des pays de différentes régions, incluant des États de l’Union européenne, des nations arabes et même certaines puissances globales. Chacun de ces pays apporte sa perspective unique et ses ressources pour renforcer la cause palestinienne.

Les objectifs de cette coalition sont multiples et visent à créer un soutien global en faveur de la reconnaissance de l’État palestinien. D’une part, les membres travaillent à promouvoir des résolutions au sein des organisations internationales telles que l’Assemblée générale des Nations Unies. Ces résolutions visent à accroître la visibilité du problème palestinien et à encourager d’autres États à reconnaître officiellement la Palestine. D’autre part, la coalition s’efforce de mobiliser l’opinion publique à travers le monde pour influencer les gouvernements qui hésitent à soutenir cette cause.

Néanmoins, la coalition n’est pas sans défis. L’absence de soutien de certains pays influents, notamment la Belgique et les États-Unis, représente un obstacle significatif dans leurs efforts. De plus, les divergences entre membres sur les meilleures stratégies à adopter peuvent entraver l’unité des actions entreprises. Malgré ces contraintes, la coalition continue de rechercher des moyens novateurs pour rallier des alliés, à travers des campagnes diplomatiques et des initiatives de sensibilisation. L’objectif ultime demeure la transition vers un État palestinien reconnu par la communauté internationale, garantissant ainsi la paix et la sécurité dans la région.

Les défis de la reconnaissance internationale

La reconnaissance d’un État palestinien constitue un défi majeur sur le plan international, confronté à des obstacles diplomatiques, géopolitiques et à des réactions variées de la part de nombreux pays. Parmi les principaux défis, on note les tensions géopolitiques qui subsistent dans la région du Moyen-Orient. Les relations complexes entre Israël, les pays arabes voisins, et d’autres acteurs internationaux, comme l’Iran et la Turquie, compliquent considérablement le dialogue autour de la reconnaissance d’un État palestinien. Ces tensions exacerbent non seulement les positions des États favorables à la Palestine, mais également celles des nations opposées à cette reconnaissance.

Sur le plan diplomatique, les alliances stratégiques jouent un rôle prépondérant. Des pays comme les États-Unis et certains membres de l’Union européenne affichent des réserves sur la question de la reconnaissance d’un État palestinien, ce qui crée un manque de consensus international. En se basant sur des intérêts géopolitiques, certains pays sont pressés de soutenir Israël dans ses efforts pour maintenir sa sécurité, même si cela implique de freiner le processus de reconnaissance d’une entité palestinienne. Par ailleurs, les efforts diplomatiques déployés par la coalition internationale pour promouvoir la reconnaissance rencontrent des résistances, tant au niveau des négociations multilatérales qu’à travers la pression exercée par des pays non alignés sur la cause palestinienne.

Les réactions des pays qui s’opposent à la reconnaissance d’un État palestinien sont également un facteur déterminant. Ces nations, qui peuvent inclure des alliés d’Israël ou des États ayant des intérêts stratégiques au Moyen-Orient, s’engagent souvent à faire échouer les initiatives de la coalition internationale. Les manœuvres de lobbying et les déclarations officielles de ces pays agissent pour freiner toute avancée vers la reconnaissance, agissant ainsi comme un obstacle persistant à l’évolution de la situation. L’ensemble de ces défis impose une réflexion approfondie sur les mécanismes nécessaires à la promotion et à l’obtention de la reconnaissance d’un État palestinien sur la scène internationale.

Le rôle des organisations internationales

Les organisations internationales jouent un rôle crucial dans la promotion de la cause palestinienne, en agissant comme des plateformes pour la diplomatie, la sensibilisation et l’élaboration de politiques. Parmi celles-ci, les Nations Unies (ONU) se distinguent par leur capacité à constituer un forum mondial pour les discussions sur les droits des Palestiniens et leur quête d’un État souverain. En formulant des résolutions et des initiatives visant à soutenir les droits des Palestiniens, l’ONU contribue à façonner le discours international autour de cette question. Les agences spécialisées de l’ONU, telles que l’UNRWA (Agence des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine), fournissent également une aide humanitaire et un soutien au développement, ce qui renforce la situation sur le terrain.

D’autres organisations, comme l’Union européenne, exercent également une influence significative sur les politiques des États membres en matière de soutien à la Palestine. Par le biais de déclarations officielles et de projets de coopération, elles peuvent inciter les États à adopter des positions favorables à la reconnaissance d’un État palestinien. Les coalitions internationales, formées par des mouvements de solidarité et des ONG, complètent les efforts des organisations intergouvernementales en sensibilisant le public et en mobilisant l’opinion mondiale. Ces acteurs jouent un rôle crucial pour faire entendre la voix des Palestiniens et porter leurs préoccupations sur la scène internationale.

En outre, les organisations internationales peuvent influencer les décisions politiques des gouvernements par le biais de pressions diplomatiques et de recommandations basées sur des recherches et témoignages sur le terrain. Les rapports élaborés sur l’état des droits humains en Palestine, par exemple, sont essentiels pour éclairer les décideurs et le public sur la réalité des conditions de vie des Palestiniens. En engendrant un climat international favorable, ces institutions augmentent les chances de succès pour la reconnaissance d’un État palestinien.

Facteurs de soutien à la coalition

Le soutien à une coalition internationale pour la reconnaissance d’un État palestinien est influencé par divers facteurs stratégiques et sociopolitiques. Parmi ces éléments, les mouvements sociaux jouent un rôle déterminant. À travers le monde, des groupes de militants et des organisations non gouvernementales se mobilisent pour promouvoir la cause palestinienne, ce qui peut inciter des gouvernements à reconsidérer leur position. Ces mouvements, qui se manifestent souvent par des manifestations, des campagnes de sensibilisation et des événements culturels, visent à attirer l’attention sur les défis auxquels fait face le peuple palestinien et à galvaniser un soutien populaire pour la reconnaissance de leur État.

Un autre facteur essentiel est la pression médiatique. Les médias ont la capacité de façonner l’opinion publique et d’influencer les décisions politiques. Les reportages sur les conditions de vie des Palestiniens et sur les efforts pour obtenir la reconnaissance d’un État peuvent susciter une empathie accrue et un désir de changement au sein des sociétés. Les réseaux sociaux, en particulier, facilitent la diffusion rapide d’informations et le partage de récits, ce qui peut mobiliser des communautés et inciter les décideurs à agir. À mesure que la conscience publique s’éveille, la pression exercée sur les gouvernements pour qu’ils soutiennent la reconnaissance de l’État palestinien peut augmenter.

Enfin, les déclarations publiques de personnalités influentes, telles que des leaders politiques, des académiciens et des figures de proue dans le domaine culturel ou sportif, peuvent également renforcer la crédibilité de la coalition. Lorsqu’une personnalité respectée prend position en faveur d’une cause, cela peut inciter d’autres à faire de même, créant ainsi un effet bouleversant. L’engagement de ces figures publiques peut catalyser un mouvement plus large en faveur de la reconnaissance d’un État palestinien, soulignant l’importance de la solidarité internationale dans cette dynamique complexe.

Perspectives d’avenir pour la Palestine

Les perspectives d’avenir pour un État palestinien au sein de la coalition internationale suscitent un débat intense parmi les acteurs politiques, les citoyens et les analystes. Tandis que la reconnaissance de l’État palestinien demeure un objectif partagé par de nombreux pays, diverses conditions doivent être réunies pour rendre cela possible. D’une part, le soutien international continu, notamment à travers les Nations Unies, est essentiel pour légitimer les revendications palestiniennes sur la scène mondiale. D’autre part, la consolidation des organisations palestiniennes au sein d’un cadre unifié pourrait renforcer la position de la Palestine dans les négociations.

Un des principaux facteurs d’espoir réside dans la dynamique changeante des relations internationales. La montée en puissance des alliances régionales et l’évolution des priorités géopolitiques pourraient favoriser la diplomatie en faveur de l’État palestinien. Par exemple, certains pays arabes ont récemment amorcé des processus de normalisation avec Israël, ce qui pourrait créer un environnement propice à la relance des discussions sur la paix. Cependant, ces initiatives doivent être accompagnées d’un engagement fort en faveur des droits des Palestiniens pour avoir un impact positif.

Parallèlement, il est crucial de promouvoir des solutions alternatives qui visent à résoudre le conflit israélo-palestinien. L’éducation et la sensibilisation auprès des jeunes générations de chaque côté doivent être une priorité afin de favoriser la coexistence pacifique. La création d’espaces de dialogue ouvert entre Palestiniens et Israéliens pourrait également permettre de construire une compréhension mutuelle, essentielle pour un succès à long terme. En favorisant la participation des diverses communautés dans le processus de négociation, la coalition internationale peut jouer un rôle déterminant dans la mise en place des conditions nécessaires à une paix durable dans la région.

Conclusion : Appel à l’action

Les États-Unis reconnaissent-ils l’État de Palestine ?

Bien que les États-Unis ne reconnaissent pas l’État de Palestine, ils reconnaissent l’Organisation de libération de la Palestine (OLP) comme l’entité représentative légitime du peuple palestinien ; à la suite des accords d’Oslo, ils ont reconnu l’Autorité nationale palestinienne comme le gouvernement palestinien légitime du peuple palestinien.

La question de la reconnaissance d’un État palestinien demeure un sujet complexe et controversé, mais les enjeux qui en découlent sont d’une importance capitale. À travers cet article, nous avons examiné les différentes dimensions de cette problématique, notamment l’absence de soutien actif de la Belgique et des États-Unis, et les implications de ces positions pour la diplomatie internationale. La situation des Palestiniens repose non seulement sur des décisions politiques, mais également sur un large éventail de considérations humanitaires, juridiques et sociales.

Dès lors, un appel à l’action s’impose. Les électeurs et les citoyens des nations du monde entier doivent se faire entendre en faveur d’une reconnaissance internationale de l’État palestinien. La prise de conscience et l’engagement civique jouent un rôle crucial dans la préservation des droits humains et la promotion de la paix au Moyen-Orient. Les gouvernements doivent être encouragés à adopter des politiques qui reflètent le désir de justice et d’égalité pour tous les peuples de la région.

Il est impératif que les individus s’informent sur la situation actuelle et les efforts en cours pour soutenir la reconnaissance d’un État palestinien. Cela peut passer par la participation à des campagnes de sensibilisation, le partage d’informations pertinentes sur les réseaux sociaux, ou même la participation à des manifestations pacifiques. Chaque voix compte dans le mouvement pour l’égalité des droits et la justice, et un soutien collectif peut avoir un impact significatif sur les décisions politiques prises à l’échelle internationale.

En conclusion, il est essentiel de s’unir pour la cause palestinienne. La reconnaissance d’un État palestinien ne doit pas être perçue comme une question de politique extérieure isolée, mais comme un impératif moral qui concerne chacun de nous. En agissant ensemble, nous pouvons transformer les discussions sur le conflit israélo-palestinien en actions concrètes et positives vers une paix durable.

Je sens qu’ils ne vont pas tarder à balancer sur Paris la bombe nucléaire offerte par la France dans le cadre du complot de Sèvres !
Bezalel Yoel Smotrich Israeli 🇮🇱 Finance minister: ‘Israel will take action against any state recognising Palestine’ ‘Bury the idea of Palestine’ ‘Ensure by September there is nothing left for European states to recognise’ This is Apartheid and Zionism
La criminalité de l’état colonial israélien, c’est l’allié américain qui en parle le mieux… Cette absurdité criminelle est révélatrice d’une société israélienne malade, comme l’était l’Afrique du Sud de l’apartheid, l’Allemagne nazie, les USA esclavagiste et pas seulement…
1⃣À ceux qui accusent le tweet : ➖Qui crient à l’antisémitisme ; ➖Qui inventent un lien avec la shoah ; ➖Qui affirment que l’auteur serait un homme, qui s’appellerait “Mouloud” et qu’il serait islamiste ; ➖Et qui se vantent d’avoir signalé la publication sur PHAROS, et d’avoir porté plainte contre son auteur ; 2⃣Voici ma réponse : Les seuls racistes ici, c’est vous, les auteurs de ces accusations ; ➖Parce que vous avez considéré que les personnes sur les photos serait d’une même religion ; ➖Et que le rédacteur serait forcément un méchant antisémite arabe-musulman ; 3⃣Or : ➖La publication n’accorde aucune importance et ne fait aucune supposition sur la “croyance/religiosité” ou non des personnes sur les photos ; Leur présence dans un même tweet se justifie par leurs seules actions (1). En effet, il sont tous très présents dans les médias, et diffusent le message similaire suivant : ➖Le soutien inconditionnel à Israël ; ➖L’utilisation des termes propagandistes de Tsahal ; ➖L’accusation des soutiens des Palestiniens de terrorisme et d’antisémitisme “couscous “; ➖Le refus de condamner, ni même de reconnaître, que les actes israéliens sur GAZA a déjà causé la mort de dizaines de milliers de civils. Pour rappel : A ce jour, 23 843 Palestiniens ont perdu la vie, dont au moins 5 350 enfants et 3 250 femmes. Ramené à la France, cela donnerait (772.059 français tués dont 173 238 enfants) (2 & 3) ; 4⃣Par ailleurs : ➖Ces personnes sont financées, directement ou indirectement, par le lobby sioniste, pour influencer la politique et l’opinion publique Française ; ➖Elles ont importé le conflit du Moyen-Orient en France ; ➖Elles ont contribué à la division de la France et à la montée de l’extra et ultra droite ; ➖Elles font du mal à notre république et sont, des fois, auteurs d’incitation à la violence envers une partie de la population française. 🟢Alors : Non seulement je maintien le tweet, mais en plus, je demande à mes abonnés de le retweeter au maximum ; ❗️❗️❗️Le temps de l’interdiction de la liberté d’expression, par le chantage à l’antisémitisme, est révolu. ❗️❗️❗️ sources: (2):https://ochaopt.org (3):https://unicef.fr/article/israel-palestine-les-enfants-paient-le-prix-de-la-guerre/ (1):La vidéo présente les propos de 3 personnes sur les photos. Il est difficile de tout mettre dans une seule publication en raison du nombre de propos choquants de ces “personnalités publiques”. La suite sera donc accessible sur la chaîne YouTube, à laquelle vous pouvez vous abonner ici : https://youtu.be/V3W1auMkwz0

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