Une guerre contre Gaza est une guerre américaine, et Israël et l’Amérique ne peuvent pas être séparés, comme le font les journalistes et les politiciens inexpérimentés, mais elle échouera, comme elle a échoué au Vietnam, en Afghanistan, en Irak et en Ukraine. En revenant à l’histoire, je me demande dans quelle guerre l’Amérique a-t-elle gagné ? Lors de la Seconde Guerre mondiale, par exemple, c’est l’Union soviétique qui a gagné. Au Vietnam, non. En Afghanistan, non. En course, non. En Ukraine, une terrible défaite et un scandale de l’inefficacité de la ferraille d’armes américaines

Une guerre contre Gaza est une guerre américaine, et Israël et l’Amérique ne peuvent pas être séparés, comme le font les journalistes et les politiciens inexpérimentés, mais elle échouera, comme elle a échoué au Vietnam, en Afghanistan, en Irak et en Ukraine. En revenant à l’histoire, je me demande dans quelle guerre l’Amérique a-t-elle gagné ? Lors de la Seconde Guerre mondiale, par exemple, c’est l’Union soviétique qui a gagné. Au Vietnam, non. En Afghanistan, non. En course, non. En Ukraine, une terrible défaite et un scandale de l’inefficacité de la ferraille d’armes américaines

Introduction

Le 25/08/2025, l’hôpital Nasser, un établissement de santé situé à Khan Younès dans la bande de Gaza, a été frappé par une attaque israélienne qui a choqué la communauté internationale. Cet incident tragique a causé la mort de nombreux civils, dont des patients et des membres du personnel médical, faisant de cette attaque un sujet d’inquiétude et de condemnation générale. L’hôpital Nasser, qui jouait un rôle crucial dans la prise en charge des blessés et des malades dans une région dévastée par les conflits, a été directement impliqué dans une situation humanitaire tragique qui attire l’attention des médias et des organisations des droits de l’homme.

Cet événement s’inscrit dans un contexte historique de tensions croissantes entre Israël et les groupes armés palestiniens, exacerbées par des actes de violence réciproques et des hostilités prolongées. Les récents affrontements, notamment les frappes aériennes israéliennes en réponse à des tirs de roquettes, ont intensifié la situation sur le terrain. La communauté internationale, préoccupée par la montée des violences et les conséquences humanitaires, a exprimé son indignation face à cette escalade, soulignant les impacts dévastateurs sur les populations civiles. L’attaque de l’hôpital Nasser symbolise non seulement une atteinte aux droits humains, mais aussi une violation du droit international humanitaire de la part d’un État censé protéger les citoyens, y compris dans les zones de conflit.

Les décès survenus lors de cette attaque ont entraîné des appels urgents à la paix et la nécessité d’enquêtes sur des allégations de crimes de guerre. Les circonstances entourant cet incident tragique sont désormais au cœur des discussions géopolitiques, alimentant les préoccupations concernant la sécurité des institutions médicales en zone de conflit. Le monde attend des réponses et une action concrète pour prévenir de futures tragédies similaires.

Les faits de l’attaque

Le 25 /08/2025, l’hôpital Nasser, situé dans la région de Gaza, a été frappé par une attaque dévastatrice qui a marqué un tournant tragique dans le conflit en cours. À 14h25, les sirènes de l’hôpital se sont mises à hurler, signalant une intensification des hostilités à proximité. Les premiers tirs d’artillerie ont commencé peu après, touchant différents secteurs de l’établissement. En l’espace de quelques minutes, des explosions répétées ont fait trembler les murs, semant la panique parmi le personnel médical et les patients.

Les témoins oculaires rapportent que la première salve a touché la zone des urgences, à un moment où l’hôpital était déjà saturé en raison des récentes escalades de violence. Les blessures ont été multiples, avec de nombreux patients se trouvant dans un état critique au moment de l’attaque. Une trentaine de personnes, incluant des enfants et des personnes âgées, ont été confirmées comme victimes, tandis qu’un nombre indéterminé d’autres ont été portées disparues. Les soins médicaux étaient rendus extrêmement difficiles par les débris et la panique ambiante, et le personnel médical a dû improviser pour secourir ceux qui avaient survécu au premier bombardement.

Au-delà des pertes humaines, les conséquences de l’attaque sur l’hôpital Nasser sont énormes. Les infrastructures vitales comme les salles d’opération et les unités de soins intensifs ont été gravement endommagées. Les équipements médicaux nécessaires pour la prise en charge des blessés étaient non seulement détruits mais également inaccessibles. La situation de crise actuelle a empêché toute évacuation sécurisée des patients, plaçant ceux qui avaient survécu à l’attaque dans une situation encore plus précaire.

Réactions internationales

Suite à l’attaque tragique de l’hôpital Nasser, les réactions de la communauté internationale ont été immédiates et variées. De nombreux gouvernements ont exprimé leur indignation, qualifiant cet événement de crime de guerre. Les déclarations des leaders mondiaux ont souligné l’urgence de mettre fin à la violence et d’assurer la protection des infrastructures humaines, en particulier les établissements de santé, qui devraient être considérés comme des zones sans conflit. Le gouvernement français, par exemple, a condamné l’attaque avec force, appelant à une enquête indépendante, tandis que le gouvernement américain a demandé la responsabilité des auteurs de cet acte insensé.

Les organisations internationales telles que les Nations Unies et la Croix-Rouge ont également été proactives dans leurs réactions. L’ONU a publié une déclaration officielle dénonçant l’attaque et réitérant l’importance du droit international humanitaire dans les conflits. La Banque Mondiale a exprimé sa préoccupation face à l’impact de la violence sur la santé publique et le développement, insistant sur la nécessité d’un accès humanitaire sûr et sans entrave aux victimes. De leur côté, organisations de défense des droits de l’homme, comme Amnesty International, ont qualifié cet événement d’illustration tragique du mépris croissant pour la vie humaine dans les conflits modernes, plaidant pour des sanctions contre les responsables.

L’opinion publique, attirée par la couverture médiatique de l’assaut, a également manifesté sa colère à travers les réseaux sociaux et les manifestations. De nombreux citoyens ont exprimé leur soutien aux victimes en appelant à la paix et en demandant des mesures pour éviter de telles atrocités à l’avenir. Les hashtags reliés à l’hôpital Nasser ont rapidement circulé, attirant l’attention sur la crise en cours. À travers ces diverses réactions, il est évident que l’attaque a suscité une vague d’indignation internationale, mettant en lumière les défis persistants liés aux conflits armés.

Rôle des médias

Le rôle des médias dans la couverture de la tragédie de l’hôpital Nasser a été déterminant pour éveiller l’opinion publique mondiale. Grâce à la diffusion d’images choquantes sur les réseaux sociaux et par le biais des chaînes d’information, les événements tragiques ont été révélés instantanément à un public international. Les journalistes présents sur le terrain ont pris des risques considérables pour transmettre des récits authentiques de la situation sur le terrain, permettant ainsi de surmonter la censure pratiquée par certaines autorités. Leur engagement a permis de donner une voix à ceux qui ont souffert, rendant la tragédie d’un hôpital symbole de l’impact dévastateur des conflits armés sur la population civile.

Les reportages ont non seulement mis en lumière les événements tragiques, mais ils ont aussi soulevé des questions éthiques sur la responsabilité des parties impliquées dans le conflit. La couverture médiatique a encouragé un dialogue mondial sur les crimes de guerre, incitant plusieurs organisations non gouvernementales et institutions internationales à répondre. Par ailleurs, la présence des médias a permis de garantir une certaine forme de transparence au cœur d’une crise, en dénonçant les actes de violence perpétrés à l’encontre des civils.

Les plateformes numériques ont également joué un rôle essentiel dans la dissémination rapide des informations. La capacité des utilisateurs à partager des témoignages, des photos et des vidéos sur les réseaux sociaux a élargi l’audience et a amplifié les messages. Ce phénomène a fait émerger une conscience collective autour des injustices subies par les victimes de la tragédie de l’hôpital Nasser, rendant cette situation à la fois urgente et incontournable sur la scène internationale.

Violations du droit international

Les attaques contre des établissements de santé, comme celle sur l’hôpital Nasser, soulèvent des préoccupations sérieuses au regard du droit international humanitaire. Ce cadre juridique, tel que défini par les Conventions de Genève, impose une protection stricte des installations médicales en temps de conflit armé. En vertu de l’Article 18 de la Quatrième Convention de Genève, il est établi que les unités et installations médicales doivent être respectées et protégées en tout temps. Par conséquent, toute attaque délibérée sur un hôpital peut être considérée comme une violation des règles fondamentales du droit international.

FLASH | Une vidéo enregistrée lors du raid d’aujourd’hui sur la ville de Ramallah, en Cisjordanie, montre des soldats israéliens en train de voler de grosses sommes d’argent dans un bureau de change palestinien.

En outre, le droit international des droits de l’homme stipule également que tous les individus, y compris les patients et le personnel médical, ont droit à une protection contre la violence. L’attaque de l’hôpital Nasser soulève la question de savoir si cet événement représente une violation des droits humains, en particulier le droit à la vie, de la santé et à un soin médical. Dans des contextes de guerre, la dégradation du cadre sanitaire, y compris les violences contre les établissements de santé, non seulement fragilise le système de santé, mais constitue aussi une atteinte directe à la dignité humaine.

La destruction intentionnelle d’hôpitaux ou d’infrastructures médicales peut être classée comme un crime de guerre, en vertu du Statut de Rome de la Cour pénale internationale. Ce dernier précise que les attaques dirigées délibérément contre des lieux qui n’ont pas d’impact militaire, comme les hôpitaux, mettent en péril des vies civiles et sont contraires aux principes énoncés dans le droit international. À partir de ces éléments, une enquête approfondie est nécessaire pour déterminer les responsabilités concernant l’attaque de l’hôpital Nasser, et pour assurer que justice soit faite pour cette grave violation du droit international humanitaire.

Les conséquences pour Gaza

Les répercussions de l’attaque sur l’hôpital Nasser sont d’une gravité sans précédent pour la population de Gaza. La destruction touchera non seulement l’infrastructure de santé, déjà fragilisée par des années de conflit, mais aura également des implications profondes sur le bien-être des civils qui dépendent de ces services essentiels. En effet, l’hôpital Nasser, en tant qu’établissement de santé crucial, a abrité des milliers de patients en quête de soins urgents. Sa destruction exacerbera les défis d’accès aux soins de santé, particulièrement en période de crise. L’incapacité de répondre aux besoins médicaux, y compris les interventions chirurgicales et les soins aux maladies infectieuses, pourrait entraîner une hausse de la mortalité et des complications sanitaires dans la région.

De plus, la perte de cet hôpital met en lumière les lacunes systémiques des infrastructures de santé à Gaza. Les établissements de soins restants sont désormais sous pression accrue, confrontés à un afflux de blessés et à une pénurie de ressources critiques, telles que les médicaments et le matériel médical. Ce contexte conduit à une détérioration des services de santé, notamment pour les soins préventifs et thérapeutiques dont les patients ont un besoin désespéré. La situation est particulièrement alarmante pour les populations vulnérables, telles que les enfants et les personnes âgées, qui exigent un accès régulier à des soins spécialisés.

En outre, cette tragédie soulève des préoccupations éthiques majeures concernant le respect du droit international humanitaire. Les violations des principes fondamentaux, tels que la protection des établissements médicaux, devraient être examinées avec rigueur afin d’assurer la justice et la responsabilité. Un environnement de guerre qui cible les infrastructures de santé ne peut que mener à une spirale de souffrance pour les civils. La communauté internationale doit prendre conscience de la gravité de la situation et agir pour soutenir la population de Gaza, en particulier dans le domaine critique des soins de santé.

Le témoignage des survivants

La tragédie de l’hôpital Nasser, survenue lors de l’attaque, a laissé des cicatrices profondes tant sur les victimes que sur ceux qui ont assisté aux événements. Les témoignages des survivants, ainsi que ceux des membres du personnel soignant présents, sont essentiels pour comprendre l’ampleur de cette tragédie. Ces expériences humaines permettent non seulement d’humaniser les statistiques, mais également de donner un visage aux victimes de cette attaque scandaleuse.

De nombreux survivants évoquent des moments de chaos et de terreur. Par exemple, une infirmière, présente lors de l’attaque, se souvient du bruit assourdissant des explosions environnantes, des cris de douleur et du besoin urgent d’agir. Elle décrit comment elle et ses collègues ont travaillé sans relâche pour sauver des vies, en utilisant tout ce qui était à leur disposition. Les mots de ces témoins dévoilent les émotions brutales et réalistes d’un événement qui ne peut être relégué à de simples chiffres. Chaque récit est une fenêtre sur des vies brisées et des familles dévastées.

Un autre survivant, un patient qui s’est trouvé coincé dans l’hôpital, raconte comment il a vécu la peur, la douleur et l’incertitude des heures qui ont suivi l’attaque. Les histoires comme la sienne témoignent de la résilience humaine face à l’horreur et à l’adversité. Dans ces témoignages, le facteur clé est l’empathie; ils soulignent que derrière chaque chiffre se cache une personne avec une histoire, des rêves et des espoirs, détruits par la cruauté de la guerre.

Ces récits poignants de ceux qui ont vécu la tragédie de l’hôpital Nasser permettent de réfléchir à l’impact profond de ce crime de guerre, rappelant à tous que la violence et le conflit laissent des traces bien au-delà des batailles. Chaque témoignage, chaque voix compte, et il est impératif que ces histoires soient entendues et mémorisées.

Perspectives d’avenir

Les conséquences de l’attaque tragique sur l’hôpital Nasser sont susceptibles d’engendrer des répercussions à long terme sur le conflit israélo-palestinien. Un événement aussi marquant ne peut que renforcer les tensions existantes et influer sur les perceptions des deux parties. Dans ce contexte, les perspectives de paix semblent encore plus lointaines. L’escalade de la violence pourrait inciter les acteurs internationaux à redoubler d’efforts pour trouver des solutions viables.

La situation actuelle souligne la nécessité de dialogues permanents et constructifs entre les différentes factions. Les négociations doivent prendre en compte les conséquences humanitaires tragiques de ces attaques, orientant ainsi la communauté internationale vers une approche plus empathique et proactive. Les organisations humanitaires jouent un rôle essentiel, car elles relaient les réalités de la population touchée et renforcent ainsi la voix des victimes.

Dans cette dynamique, des initiatives de paix peuvent émerger en réponse à la colère et au désespoir croissants. Il serait pertinent d’explorer des solutions innovantes, incluant des projets de coopération qui rassemblent les acteurs isolés des deux côtés pour une cause commune. La création d’espaces sûrs pour les discussions entre leaders communautaires pourrait également faciliter des avancées vers une résolution durable du conflit.

En outre, la pression des pays contemporains et des alliances stratégiques actuelles peut influencer le cours des événements. Une coalition mondiale pour la paix, fondée sur des principes de justice sociale et de respect des droits de l’homme, pourrait potentiellement réorienter les priorités politiques. Par conséquent, bien que la tragédie de l’hôpital Nasser marque un tournant sombre, elle offre également l’occasion de réévaluation et de réforme des méthodes de résolution des conflits, avec un espoir de changements positifs à long terme.

Conclusion

La tragédie de l’hôpital Nasser illustre de manière poignante l’impact dévastateur des conflits armés sur la vie civique. Ce crime de guerre, survenu malgré les lois internationales visant à protéger les civils, soulève de nombreuses questions quant à la responsabilité des acteurs impliqués dans de tels actes. Les civils, souvent pris au piège dans des zones de guerre, subissent des conséquences terribles, tant sur le plan physique que psychologique. La protection des populations vulnérables doit rester une priorité dans le cadre des conventions humanitaires.

Il est essentiel de rappeler que chaque individu a un rôle à jouer pour promouvoir la paix et la justice dans les régions touchées par la guerre. La sensibilisation dans nos communautés est cruciale pour inciter à des actions concrètes, qu’il s’agisse de soutenir des organisations humanitaires ou de plaider pour des politiques publiques qui condamnent de tels crimes. Des mécanismes doivent être mis en place pour s’assurer que les victimes de ces tragédies reçoivent l’aide nécessaire et que les responsables soient traduits en justice. En outre, les médias jouent un rôle déterminant dans la diffusion d’informations véridiques et fiables, permettant ainsi une meilleure compréhension des enjeux et des réalités des conflits.

En conclusion, la situation à l’hôpital Nasser sert d’alarme à la communauté internationale. Elle nous rappelle l’importance de défendre les droits de l’homme dans les zones de conflit et de travailler ensemble pour bâtir un avenir où les civils ne sont plus des cibles. Tous ont la capacité d’engager des conversations constructives et d’œuvrer pour un changement, que ce soit localement ou globalement. Promouvoir la paix et la justice est non seulement un devoir moral, mais également une nécessité pour garantir un monde meilleur pour les générations futures.

Palestinian women confronted Israeli settlers as they raided their land near Al-Mughayyir village, northeast of Ramallah in the occupied West Bank.
Je suis #Israël.
Je ne rate jamais une occasion de me poser en victime tout en exerçant la violence.
En 1947, les #NationsUnies m’ont donné plus de la moitié des terres d’autrui. Un don que je n’avais pas mérité, de puissances coloniales qui n’en étaient pas propriétaires. J’ai accepté. Mes voisins ont protesté. J’ai appelé cela la guerre, et dans le chaos, j’ai commencé mon nettoyage. Plus de 700 000 #Palestiniens ont été chassés de chez eux – certains ont fui, certes – mais beaucoup ont été chassés sous la menace des armes, leurs villages rasés, leurs noms effacés.
Puis j’ai planté des pins sur les ruines, pour cacher le souvenir. Des forêts là où se trouvaient autrefois des maisons. Des parcs sur des cimetières. J’ai verdi pour que le monde ne voie pas le noir en dessous. J’ai appelé cela « reforestation ». Ils ont appelé cela « effacement ».
Je suis Israël.
Je n’ai jamais choisi la paix, seulement la domination.
En 1967, j’ai lancé une guerre préventive et pris Gaza, la Cisjordanie, Jérusalem-Est, le plateau du Golan et le Sinaï. J’ai prétendu que c’était pour la sécurité. Je m’y suis accroché pour le pouvoir. J’ai construit des colonies, une par une, étouffant les villes palestiniennes. Le droit international disait que c’était illégal. Je l’ai ignoré. Ma carte s’est élargie. Leur liberté a rétréci.
Je suis Israël.
J’aurais pu mettre fin à l’#occupation. Plusieurs fois. Mais j’ai toujours dit non.
En 2000, à #CampDavid, j’ai proposé un patchwork d’enclaves isolées, entourées de murs, de points de contrôle et de soldats. J’ai appelé cela la paix. Les #Palestiniens sont partis. Je les ai traités d’extrémistes. Puis j’ai construit un mur, non pas à ma frontière, mais au plus profond de la leur. J’ai appelé cela la sécurité. Ils ont appelé cela du vol.
Je suis Israël. Je glorifie le militarisme. J’élève mes enfants dans la croyance qu’ils sont élus.
Mes manuels scolaires effacent la #Palestine. Mes soldats patrouillent dans les rues, fusils pointés sur les adolescents. Mes médias justifient les bombardements. Mes politiciens plaisantent sur la destruction de #Gaza. J’envoie des frappes aériennes sur des camps de réfugiés, des écoles et des hôpitaux. Puis je dis qu’ils étaient des boucliers humains.
Je suis Israël. J’ai élu un #Netanyahou #ZIONIST 💩 d’origine #polonaise, encore et encore.
Pas une seule fois, par erreur. Mais en toute connaissance de cause. J’ai voté pour des dirigeants qui ont juré d’écraser les Palestiniens, d’étendre les colonies, de ne jamais autoriser la création d’un État palestinien. Mes ministres parlent des « Arabes » comme d’une menace démographique. Mes colons brûlent des oliviers. Mes foules scandent « Mort aux #Arabes ». J’appelle cela du #patriotisme.
Je suis Israël.
Je parle de démocratie, mais je la refuse à des millions de personnes sous mon contrôle.
Je règne sur des millions de personnes qui ne peuvent pas voter dans le pays qui contrôle leur vie. Je construis des routes qu’elles ne peuvent pas emprunter. Je leur délivre des permis pour respirer, se déplacer, vivre. Je bombarde Gaza, puis je la boucle et je dis que c’est leur faute. Je dis avoir quitté Gaza, mais je contrôle son air, sa mer et ses frontières. Je dis qu’ils sont libres, puis je les affame.
Je suis Israël.
J’exige la #reconnaissance, mais je n’offre rien en retour.
J’exige que les Palestiniens m’acceptent comme État juif, tout en refusant même de prononcer le mot « #Nakba ». J’ignore les maisons, les terres et l’histoire de ceux que j’ai déplacés. Je détiens leurs clés dans des musées, pas dans leurs mains. Je refuse aux réfugiés leur droit au retour. Je fais des lois qui les qualifient d’« absents », même lorsqu’ils sont à deux doigts de la mort.
Je suis Israël.
Je crie à l’#antisémitisme, alors que je crains que des comptes ne soient rendus.
Je traite toute critique de haineux. Je brouille la frontière entre #judaïsme et #sionisme, utilisant l’un pour masquer les crimes de l’autre. J’instrumentalise l’histoire pour excuser l’apartheid. Je manipule le traumatisme pour justifier la conquête. Je dis « Plus jamais ça », mais que cela arrive à d’autres, de ma propre main.
Je suis Israël.
Je ne serai jamais en sécurité ‼️
—Le monde entier s’accorde à dire qu’Israël n’est pas un État, mais une organisation terroriste organisée soutenue par le gouvernement américain.🤏🙌
Je suis #Israël. Je ne rate jamais une occasion de me poser en victime tout en exerçant la violence. En 1947, les #NationsUnies m’ont donné plus de la moitié des terres d’autrui. Un don que je n’avais pas mérité, de puissances coloniales qui n’en étaient pas propriétaires. J’ai accepté. Mes voisins ont protesté. J’ai appelé cela la guerre, et dans le chaos, j’ai commencé mon nettoyage. Plus de 700 000 #Palestiniens ont été chassés de chez eux – certains ont fui, certes – mais beaucoup ont été chassés sous la menace des armes, leurs villages rasés, leurs noms effacés. Puis j’ai planté des pins sur les ruines, pour cacher le souvenir. Des forêts là où se trouvaient autrefois des maisons. Des parcs sur des cimetières. J’ai verdi pour que le monde ne voie pas le noir en dessous. J’ai appelé cela « reforestation ». Ils ont appelé cela « effacement ». Je suis Israël. Je n’ai jamais choisi la paix, seulement la domination. En 1967, j’ai lancé une guerre préventive et pris Gaza, la Cisjordanie, Jérusalem-Est, le plateau du Golan et le Sinaï. J’ai prétendu que c’était pour la sécurité. Je m’y suis accroché pour le pouvoir. J’ai construit des colonies, une par une, étouffant les villes palestiniennes. Le droit international disait que c’était illégal. Je l’ai ignoré. Ma carte s’est élargie. Leur liberté a rétréci. Je suis Israël. J’aurais pu mettre fin à l’#occupation. Plusieurs fois. Mais j’ai toujours dit non. En 2000, à #CampDavid, j’ai proposé un patchwork d’enclaves isolées, entourées de murs, de points de contrôle et de soldats. J’ai appelé cela la paix. Les #Palestiniens sont partis. Je les ai traités d’extrémistes. Puis j’ai construit un mur, non pas à ma frontière, mais au plus profond de la leur. J’ai appelé cela la sécurité. Ils ont appelé cela du vol. Je suis Israël. Je glorifie le militarisme. J’élève mes enfants dans la croyance qu’ils sont élus. Mes manuels scolaires effacent la #Palestine. Mes soldats patrouillent dans les rues, fusils pointés sur les adolescents. Mes médias justifient les bombardements. Mes politiciens plaisantent sur la destruction de #Gaza. J’envoie des frappes aériennes sur des camps de réfugiés, des écoles et des hôpitaux. Puis je dis qu’ils étaient des boucliers humains. Je suis Israël. J’ai élu un #Netanyahou #ZIONIST 💩 d’origine #polonaise, encore et encore. Pas une seule fois, par erreur. Mais en toute connaissance de cause. J’ai voté pour des dirigeants qui ont juré d’écraser les Palestiniens, d’étendre les colonies, de ne jamais autoriser la création d’un État palestinien. Mes ministres parlent des « Arabes » comme d’une menace démographique. Mes colons brûlent des oliviers. Mes foules scandent « Mort aux #Arabes ». J’appelle cela du #patriotisme. Je suis Israël. Je parle de démocratie, mais je la refuse à des millions de personnes sous mon contrôle. Je règne sur des millions de personnes qui ne peuvent pas voter dans le pays qui contrôle leur vie. Je construis des routes qu’elles ne peuvent pas emprunter. Je leur délivre des permis pour respirer, se déplacer, vivre. Je bombarde Gaza, puis je la boucle et je dis que c’est leur faute. Je dis avoir quitté Gaza, mais je contrôle son air, sa mer et ses frontières. Je dis qu’ils sont libres, puis je les affame. Je suis Israël. J’exige la #reconnaissance, mais je n’offre rien en retour. J’exige que les Palestiniens m’acceptent comme État juif, tout en refusant même de prononcer le mot « #Nakba ». J’ignore les maisons, les terres et l’histoire de ceux que j’ai déplacés. Je détiens leurs clés dans des musées, pas dans leurs mains. Je refuse aux réfugiés leur droit au retour. Je fais des lois qui les qualifient d’« absents », même lorsqu’ils sont à deux doigts de la mort. Je suis Israël. Je crie à l’#antisémitisme, alors que je crains que des comptes ne soient rendus. Je traite toute critique de haineux. Je brouille la frontière entre #judaïsme et #sionisme, utilisant l’un pour masquer les crimes de l’autre. J’instrumentalise l’histoire pour excuser l’apartheid. Je manipule le traumatisme pour justifier la conquête. Je dis « Plus jamais ça », mais que cela arrive à d’autres, de ma propre main. Je suis Israël. Je ne serai jamais en sécurité ‼️ —Le monde entier s’accorde à dire qu’Israël n’est pas un État, mais une organisation terroriste organisée soutenue par le gouvernement américain.🤏🙌

Je suis La force d’occupation israelienne
Je ne rate jamais une occasion de me poser en victime tout en exerçant la violence.
En 1947, les #NationsUnies m’ont donné plus de la moitié des terres d’autrui. Un don que je n’avais pas mérité, de puissances coloniales qui n’en étaient pas propriétaires. J’ai accepté. Mes voisins ont protesté. J’ai appelé cela la guerre, et dans le chaos, j’ai commencé mon nettoyage. Plus de 700 000 #Palestiniens ont été chassés de chez eux – certains ont fui, certes – mais beaucoup ont été chassés sous la menace des armes, leurs villages rasés, leurs noms effacés.
Puis j’ai planté des pins sur les ruines, pour cacher le souvenir. Des forêts là où se trouvaient autrefois des maisons. Des parcs sur des cimetières. J’ai verdi pour que le monde ne voie pas le noir en dessous. J’ai appelé cela « reforestation ». Ils ont appelé cela « effacement ».
Je suis Israël.
Je n’ai jamais choisi la paix, seulement la domination.
En 1967, j’ai lancé une guerre préventive et pris Gaza, la Cisjordanie, Jérusalem-Est, le plateau du Golan et le Sinaï. J’ai prétendu que c’était pour la sécurité. Je m’y suis accroché pour le pouvoir. J’ai construit des colonies, une par une, étouffant les villes palestiniennes. Le droit international disait que c’était illégal. Je l’ai ignoré. Ma carte s’est élargie. Leur liberté a rétréci.
Je suis Israël.
J’aurais pu mettre fin à l’#occupation. Plusieurs fois. Mais j’ai toujours dit non.
En 2000, à #CampDavid, j’ai proposé un patchwork d’enclaves isolées, entourées de murs, de points de contrôle et de soldats. J’ai appelé cela la paix. Les #Palestiniens sont partis. Je les ai traités d’extrémistes. Puis j’ai construit un mur, non pas à ma frontière, mais au plus profond de la leur. J’ai appelé cela la sécurité. Ils ont appelé cela du vol.
Je suis Israël. Je glorifie le militarisme. J’élève mes enfants dans la croyance qu’ils sont élus.
Mes manuels scolaires effacent la #Palestine. Mes soldats patrouillent dans les rues, fusils pointés sur les adolescents. Mes médias justifient les bombardements. Mes politiciens plaisantent sur la destruction de #Gaza. J’envoie des frappes aériennes sur des camps de réfugiés, des écoles et des hôpitaux. Puis je dis qu’ils étaient des boucliers humains.
Je suis Israël. J’ai élu un #Netanyahou #ZIONIST

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Pas une seule fois, par erreur. Mais en toute connaissance de cause. J’ai voté pour des dirigeants qui ont juré d’écraser les Palestiniens, d’étendre les colonies, de ne jamais autoriser la création d’un État palestinien. Mes ministres parlent des « Arabes » comme d’une menace démographique. Mes colons brûlent des oliviers. Mes foules scandent « Mort aux #Arabes ». J’appelle cela du #patriotisme.
Je suis Israël.
Je parle de démocratie, mais je la refuse à des millions de personnes sous mon contrôle.
Je règne sur des millions de personnes qui ne peuvent pas voter dans le pays qui contrôle leur vie. Je construis des routes qu’elles ne peuvent pas emprunter. Je leur délivre des permis pour respirer, se déplacer, vivre. Je bombarde Gaza, puis je la boucle et je dis que c’est leur faute. Je dis avoir quitté Gaza, mais je contrôle son air, sa mer et ses frontières. Je dis qu’ils sont libres, puis je les affame.
Je suis Israël.
J’exige la #reconnaissance, mais je n’offre rien en retour.
J’exige que les Palestiniens m’acceptent comme État juif, tout en refusant même de prononcer le mot « #Nakba ». J’ignore les maisons, les terres et l’histoire de ceux que j’ai déplacés. Je détiens leurs clés dans des musées, pas dans leurs mains. Je refuse aux réfugiés leur droit au retour. Je fais des lois qui les qualifient d’« absents », même lorsqu’ils sont à deux doigts de la mort.
Je suis Israël.
Je crie à l’#antisémitisme, alors que je crains que des comptes ne soient rendus.
Je traite toute critique de haineux. Je brouille la frontière entre #judaïsme et #sionisme, utilisant l’un pour masquer les crimes de l’autre. J’instrumentalise l’histoire pour excuser l’apartheid. Je manipule le traumatisme pour justifier la conquête. Je dis « Plus jamais ça », mais que cela arrive à d’autres, de ma propre main.
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Je ne serai jamais en sécurité

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