Pour tous ceux qui pensent que l’Arabie saoudite, l’Égypte ou le Qatar sont ceux qui ont arrêté la guerre à Gaza…
Bien comprendre 👇
Si l’Amérique et Israël avaient voulu que la guerre continue, personne n’aurait pu l’arrêter, ni les dirigeants ni les médiateurs.
La vérité est que l’occupation est incapable d’atteindre ses objectifs… Elle a subi de lourdes pertes, a échoué militairement et politiquement, et a dû faire face à la haine mondiale, au siège et à la pression de toutes parts.
C’est pourquoi il a été contraint de se retirer et de recourir à un accord de « paix », non par amour de la paix, mais pour échapper à la défaite…
Pour améliorer son image aux yeux du monde, il s’est caché derrière le rideau des « médiateurs » comme s’ils étaient les décideurs.
Et surtout 👇
Ceux qui ont soutenu Gaza corps et âme, issus des peuples libres, les véritables partisans et les voix de la vérité partout dans le monde… sont ceux qui ont forcé l’occupant à rompre,
Ce qui a imposé un cessez-le-feu, c’est la détermination de Gaza et le soutien du peuple libre, et non la médiation de qui que ce soit.
Cette guerre n’était pas seulement une bataille sur le terrain, mais un test de conscience…
Il a montré à chacun qui il était vraiment, a enlevé les masques et a révélé qui défendait la vérité et qui se cachait derrière des slogans creux.
Cette guerre a divisé les positions… il n’y a pas de neutralité entre le bien et le mal.
The demon wrote a letter to Netanyahu begging him to invade and destroy Venezuela.
— ADAM (@AdameMedia) October 10, 2025
The Nobel prize needs to be destoyred or dezionised.
We can never let zlonlsts have power. They literally ruin everything. pic.twitter.com/1slZWZSh39
🚨 Tucker Carlson just turned the gun around.
— Brian Allen (@allenanalysis) October 10, 2025
Tucker Carlson is now accusing Trump’s regime of using Charlie Kirk’s assassination as a pretext to:
– Abolish the First Amendment
– Round up Americans
– And Nazify the country
Yes, Tucker said that.
And for once… he’s not wrong.… pic.twitter.com/yTfW5Jtehw
« Si nous gagnons, nous déplacerons l’ambassade du Venezuela à Jérusalem pour soutenir Israël. » C’est la marionnette de la CIA/Mossad chargée de déstabiliser le pays à qui ils ont décerné le prix Nobel de la paix. Elle tente de détruire le Venezuela afin que les États-Unis puissent piller son pétrole. @NobelPrize est une arnaque.
PUTIN CHATS FACTS: 🏆
— Khalissee (@Kahlissee) October 10, 2025
"With these decisions, the Nobel Peace prize committee has caused tremendous harm to the prestige of the prize… the prestige has largely been lost." https://t.co/zCTDE4bsbc pic.twitter.com/H6epqi0jqf
Malgré la pression, la Résistance a maintenu 4 lignes rouges essentielles.
— Michel Collon (@MichelCollon) October 10, 2025
Michel Collon expose les conditions palestiniennes et les enjeux des prochaines phases de la négociation.
La Minute Michel épisode #52 pic.twitter.com/3v6ZkZOUw9
Jared Kushner (Jеwish), Trump’s Son in Law talking about building waterfront property in Gaza months ago.
— Dr. Anastasia Maria Loupis (@DrLoupis__) October 10, 2025
They have been planning this for a long time. pic.twitter.com/Ovb5PrSWhF
🇺🇸🇮🇱🇵🇸FLASH INFO
— Citizen Média 🗞️ (@CitizenMediaFR) October 10, 2025
CANDACE OWENS DÉTRUIT LITTÉRALEMENT DONALD TRUMP
« Donald Trump voulait un prix Nobel de la Paix pour le nettoyage ethnique planifié et pour profiter des terres et en faire une station balnéaire. Alors laissez-moi vous dire ceci : C’est un vrai holocauste et… pic.twitter.com/PMh2czdr8S
President Putin responds to President Trump not winning the Nobel Peace Prize:
— Benny Johnson (@bennyjohnson) October 10, 2025
“This award lost credibility. The committee discussed the prize for people who have done nothing for the world.”
“He solves complex problems, crises that last for decades.”
pic.twitter.com/fQjiKYuiMM
JUST IN: US Representative Marjorie Taylor Greene on Palestinian people:
— Sulaiman Ahmed (@ShaykhSulaiman_) October 10, 2025
They’re not Hamas. They’re women and children.
You can’t unsee the images of kids blown apart and pulled from rubble.
That’s not fake or propaganda, it’s real. pic.twitter.com/tEEYvdWAvm
🚨🇻🇪 LIFETIME ACHIEVEMENTS of ZIONIST PUPPET & NOBEL PRIZE WINNER Maria Corina Machado:
— Jackson Hinkle 🇺🇸 (@jacksonhinklle) October 10, 2025
✅ Accepted millions of USAID & NED cash
✅ Wrote letter to Netanyahu begging Israel to invade Venezuela
✅ Begged Biden to overthrow Venezuelan government
✅ Colluded with BIDEN CIA & State… pic.twitter.com/uvtWZz48rG
🚨🇻🇪 HISTORIC VIDEO: The ZIONIST DEEP STATE puppet in Venezuela who just won the NOBEL PEACE PRIZE was DENIED A HANDSHAKE from her own country’s troops on Election Day.
— Jackson Hinkle 🇺🇸 (@jacksonhinklle) October 10, 2025
Venezuelan soldiers have much more integrity than the Nobel Prize committee.
pic.twitter.com/GzRWf0iVnH
Introduction : Contexte historique
Les relations entre les États-Unis, Israël et la Palestine sont d’une complexité historique profonde et ont été marquées par des événements significatifs au cours des sept dernières décennies. Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale et la création de l’État d’Israël en 1948, ces relations ont connu des hauts et des bas, affectant non seulement la région, mais aussi l’échiquier international. Les États-Unis ont rapidement reconnu Israël, ce qui a établi une alliance stratégique durable, souvent perçue comme une extension de l’influence américaine au Moyen-Orient.
Au fil des ans, divers événements ont façonné la dynamique de ce conflit. La guerre de 1967, connue sous le nom de Guerre des Six Jours, a conduit à des changements territoriaux majeurs et a exacerbé les tensions entre Israël et les pays arabes voisins, ainsi que les populations palestiniennes. L’occupation israélienne des territoires palestiniens a été un point de contention majeur, alimentant le ressentiment et les hostilités dans la région. D’autre part, le soutien américain à Israël a souvent été justifié par des arguments de sécurité nationale et de promotion de la démocratie, mais a également suscité des critiques et des interrogations sur l’impact de cette politique sur les droits des Palestiniens.
Dans cette analyse, il est essentiel de prendre en compte les acteurs clés, tels que l’Organisation de libération de la Palestine (OLP), le Hamas et divers gouvernements arabes, qui ont chacun joué un rôle dans l’évolution de cette relation trilatérale. Les pourparlers de paix dans les années 1990, bien qu’initialement prometteurs, n’ont pas abouti à une résolution durable du conflit, laissant place à de nouvelles vagues de violence et de méfiance. Ainsi, le prisme historique à travers lequel nous examinons les relations américano-israéliennes et leurs implications sur la Palestine est fondamental pour comprendre les événements récents et la prévalence de la méfiance envers ces gouvernements dans le contexte actuel.
Le génocide en Palestine : Une réalité ignorée
La situation des Palestiniens représente un enjeu humanitaire majeur, marquée par des actions controversées qui soulèvent des accusations de génocide à l’encontre de l’État d’Israël. Au cours des dernières décennies, des milliers de civils palestiniens ont été victimes de violences, de bombardements et d’opérations militaires souvent fatales. Les rapports d’organisations internationales et de défense des droits de l’homme documentent non seulement ces actes violents, mais aussi des déplacements forcés de populations, qui amplifient la crise humanitaire dans la région.
Les statistiques sont alarmantes : des enquêtes révèlent que des milliers de Palestiniens ont été tués, avec un nombre de blessés dépassant les dizaines de milliers, souvent incluant des femmes et des enfants. En outre, les destructions de maisons et d’infrastructures essentielles exacerbent les difficultés économiques, et selon plusieurs études, la situation actuelle des Palestiniens s’apparente à un nettoyage ethnique. Les pertes humaines et matérielles, couplées à l’absence de protections juridiques, alimentent un climat de désespoir et de souffrance, éveillant ainsi des préoccupations au sein de la communauté internationale.
Les réactions venant de l’étranger sont variées. Certains pays, ainsi que des alliances régionales, ont fermement condamné les actions menées par Israël, qualifiant ces interventions de génocide. D’un autre côté, d’autres nations choisissent de soutenir Israël, accentuant le clivage entourant ce sujet. Ce manque d’unité dans la réponse internationale peut être perçu comme une forme d’approbation tacite des pratiques controversées, laissant les Palestiniens dans une situation précaire sans solution à l’horizon.
Il est impératif d’accroître la sensibilisation à la situation des Palestiniens et de remettre en question les narratives dominant cette crise. La non reconnaissance des souffrances vécues par cette population soulève des questions essentielles sur le respect des droits de l’homme et des normes internationales. Devant l’escalade des actes de violence, il est vital que la communauté internationale s’engage activement pour une résolution pacifique, salvatrice pour l’avenir de la région.
L’impact du déclin des États-Unis sur le conflit israélo-palestinien
Le déclin des États-Unis, tant sur le plan économique que géopolitique, soulève des questions cruciales concernant le conflit israélo-palestinien et son éventuelle résolution. Historiquement, les États-Unis ont joué un rôle prédominant en tant que médiateur dans le processus de paix au Moyen-Orient. Leur soutien indéfectible à Israël et leur influence sur les pays arabes ont façonné le paysage politique de la région. Toutefois, avec la montée en puissance d’autres acteurs globaux, notamment la Chine et la Russie, le rôle traditionnel des États-Unis a été remis en question, suscitant des doutes sur leur capacité à résoudre ce conflit complexe.
La théorie selon laquelle la résolution du conflit israélo-palestinien est inextricablement liée au déclin des États-Unis repose sur l’idée que la concentration de pouvoir influence la dynamique des négociations. À mesure que les États-Unis semblent perdre leur hégémonie, d’autres forces régionales pourraient émerger, entraînant un rééquilibrage des priorités et des alliances. Par exemple, un affaiblissement de l’influence américaine pourrait permettre à des pays comme l’Iran, la Turquie ou les États du Golfe de jouer un rôle plus actif dans la médiation entre Israël et la Palestine, ce qui pourrait changer la donne.
En outre, un déclin des États-Unis pourrait entraîner une réduction de leur soutien militaire et économique à Israël, rendant le pays plus susceptible d’envisager des concessions dans le cadre d’un accord de paix. Dans ce contexte, les instances internationales, telles que l’ONU, pourraient également revêtir une importance accrue dans la facilitation des discussions entre les parties prenantes. Alors que les États-Unis continuent d’être une puissance influente, leur potentiel déclin pourrait ainsi ouvrir la voie à des solutions plus plurilatérales et inclusives, rendant possible une avancée vers la paix dans cette région depuis longtemps en conflit. Cette dynamique suggère que le changement des rapports de force internationaux pourrait jouer un rôle déterminant dans l’évolution du conflit israélo-palestinien.
Maria Corina Machado et les controverses de soutien
“Le prix Nobel de la Paix a été décerné à la représentante n°1 de l’Impérialisme Américain, riche héritière de droite financée par la CIA et surnommée “Augusta Pinocheta” pour ses idées 100% alignées avec le néolibéralisme le plus pur, qui souhaite la privatisation de l’ensemble des services publics vénézueliens ainsi que la cession des ressources stratégiques aux grandes firmes US. Maria Machado Pinocheta est aussi connue pour sa tentative ratée de coup d’Etat contre Hugo Chavez en 2002 et pour avoir demandé à son “ami” Benyamin Netanyahou d’intervenir pour l’aider à renverser Maduro. Qui mieux pour représenter la paix et la democratie ?”
Maria Corina Machado, figure politique vénézuélienne, s’est récemment retrouvée au cœur de controverses au sujet de son soutien manifeste à Israël, ce qui a suscité des débats et des critiques tant sur le plan national qu’international. Son engagement en faveur d’Israël, notamment par le biais d’une lettre adressée au premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, a provoqué des discussions animées sur les motivations politiques qui l’animent. Dans cette lettre, elle exprime non seulement un soutien indéfectible à la nation israélienne, mais aussi une dénonciation des pratiques de certains gouvernements, y compris celui du Venezuela, qu’elle juge tyranniques.
Les motivations de Machado peuvent être interprétées à travers le prisme de la lutte pour la démocratie au Venezuela, où elle se positionne comme une fervente opposante au régime actuel. Son soutien à Israël pourrait être perçu comme une tentative de s’allier avec des nations qui partagent ses idéaux démocratiques et ses valeurs politiques. Toutefois, cette posture ne manque pas de soulever des questions éthiques et géopolitiques, notamment en ce qui concerne le traitement des Palestiniens et les implications d’une telle alliance pour le Venezuela et l’Amérique Latine en général.
De plus, la position de Machado met en lumière les tensions entre les mouvements de solidarité latino-américains envers la Palestine et ceux qui, comme Machado, choisissent d’exprimer leur loyauté envers Israël. Ce phénomène pourrait engendrer des fractures au sein de l’opposition vénézuélienne et au-delà, créant des divisions qui pourraient être exploitées par des gouvernements autoritaires pour décrédibiliser les voix dissidentes. Il est impératif d’examiner ces développements avec soin, étant donné les implications potentielles pour la démocratie et les droits humains au Venezuela et dans toute l’Amérique Latine.
Jared Kushner et les prières pour la paix au Moyen-Orient
Jared Kushner, en tant qu’envoyé spécial pour les négociations de paix au Moyen-Orient sous l’administration Trump, a joué un rôle significatif dans les dynamiques complexes de ce conflit de longue date. Son approche a été marquée par un mélange de diplomatie informelle et d’interventions symboliques, comme sa prière controversée au Mur des Lamentations à Jérusalem. Cette action, bien que spirituelle, a suscité des interrogations sur ses véritables intentions et sur l’impact qu’elle a pu avoir sur les débats concernant la paix dans la région.
Les prières pour la paix, bien que souvent considérées comme un geste noble, peuvent également être perçues comme des manœuvres politiques. Kushner a défendu sa prière comme un appel sincère pour la réconciliation et la paix, mais cette démarche a été critiquée par certains observateurs qui y voient une instrumentalisation de la religion dans le cadre d’une politique étrangère. Sur la scène internationale, ses actions ont été interprétées à la fois comme une tentative d’harmoniser les relations entre Israël et les États arabes, mais également comme un effort pour renforcer les alliances américaines dans la région.
Par ailleurs, le soutien indéfectible de Kushner à Israël et sa position sur des questions sensibles, telles que la colonisation et les droits des Palestiniens, ont contribué à polariser l’opinion publique tant aux États-Unis qu’à l’étranger. Les critiques l’accusent souvent de favoriser des politiques qui ne tiennent pas compte des aspirations légitimes des Palestiniens. Ainsi, bien que sa prière soit orientée vers la paix, le contexte dans lequel elle a eu lieu remet en question l’authenticité de l’engagement de l’administration envers une solution juste et durable au conflit israélo-palestinien.
Le rôle des médias dans la narration du conflit
Les médias jouent un rôle crucial dans la façon dont les conflits internationaux, tels que celui entre Israël et la Palestine, sont perçus par le public. Leur couverture peut non seulement influencer l’opinion publique, mais aussi impacter les décisions politiques des gouvernements concernés. Traditionnellement, les médias ont été critiqués pour leur biais potentiel, que ce soit en faveur d’un côté ou de l’autre. Cette question de partialité est particulièrement pertinente dans le contexte du conflit israélo-palestinien, où les narrations peuvent différer considérablement entre différentes sources de nouvelles.
Les médias occidentaux, notamment américains, ont souvent été accusés de présenter une vision qui favorise les intérêts israéliens. Les reportages peuvent parfois minimiser ou ignorer les souffrances des Palestiniens, tandis que les actions des forces israéliennes sont souvent décrites dans un cadre de légitimité. Ce biais peut façonner la perception que le public a des événements, élucidant ainsi pourquoi de nombreuses personnes se méfient des récits élaborés par les médias traditionnels. Paradoxalement, les médias arabes peuvent également véhiculer un narratif qui se concentre exclusivement sur les injustices subies par les Palestiniens, tout en négligeant ou en minimisant les menaces auxquelles Israël doit faire face.
En plus des reportages, les analyses et les commentaires médiatiques d’experts peuvent encore renforcer certaines perceptions. L’interprétation des événements par des analystes influents peut guider le débat public et façonner les politiques des gouvernements américains et israéliens. L’impact des réseaux sociaux a également ajouté une couche supplémentaire à la dynamique médiatique. Les plateformes permettent aux utilisateurs de partager des informations mais peuvent également conduire à la diffusion de contenus biaisés ou erronés, exacerbant ainsi les tensions existantes. Ainsi, la façon dont les médias narrent le conflit joue un rôle déterminant dans la formation des attitudes et des croyances parmi le public et les décideurs.
Réactions internationales au génocide en Palestine
Les événements récents entourant la situation en Palestine ont suscité des réactions variées de la part de la communauté internationale. De nombreux pays et organisations internationales se sont exprimés sur les allégations de génocide, qui continuent de polariser l’opinion publique et les décideurs politiques à l’échelle mondiale. Les Nations Unies ont joué un rôle central en appelant à une enquête approfondie sur les violations des droits humains et en exprimant leur préoccupation face à la détérioration des conditions humanitaires dans la région.
De nombreux gouvernements ont adopté des positions critiques envers les actions militaires israéliennes en Palestine. Par exemple, certains pays européens ont dénoncé ce qu’ils considèrent comme des violations du droit international et ont appelé à des sanctions contre Israël, tout en exigeant la protection des civils palestiniens. En revanche, d’autres nations, soutenues par des alliés historiques, continuent de défendre les opérations d’Israël, évoquant le droit à l’autodéfense dans un contexte de grève terroriste. Cette divergence de vues souligne la complexité des relations internationales concernant ce conflit de longue date.
Les organisations non gouvernementales (ONG) ont également joué un rôle crucial en attirant l’attention sur les allégations de génocide. Certaines, allant jusqu’à qualifier la situation de nettoyage ethnique, ont mobilisé des campagnes de sensibilisation pour faire pression sur les gouvernements afin qu’ils prennent des mesures concrètes. Les rapports d’ONG comme Amnesty International et Human Rights Watch ont contribué à alimenter le débat, bien que leur qualification de la situation en Palestine ait été controversée et ait suscité des réactions mitigées.
En somme, la Réaction internationale au génocide allégué en Palestine met en exergue la division persistante dans la communauté mondiale, les intérêts géopolitiques façonnant souvent les réponses des pays. Ce contexte complexe nécessite une vigoureuse volonté politique et un engagement durable pour aborder les causes sous-jacentes du conflit et favoriser une résolution durable.
Conséquences pour la paix au Moyen-Orient
Les actions des gouvernements américain et israélien au cours des dernières décennies ont eu un impact profond sur le processus de paix au Moyen-Orient. En effet, les décisions politiques, ainsi que les initiatives diplomatiques, ont souvent été perçues comme des facteurs de division, creusant davantage le fossé entre les différentes parties prenantes. Les tentatives de négociations, telles que les Accords d’Oslo dans les années 1990, ont suscité des espoirs initiaux, mais de nombreux défis subséquents ont conduit à des échecs notables.
Les gouvernements américains successifs ont alterné entre une posture de soutien et des efforts de médiation. Toutefois, leur appui sans réserve à Israël, notamment en matière de financement et de soutien militaire, a été critiqué comme un acte qui compromet l’équilibre nécessaire pour une résolution pacifique du conflit. Par ailleurs, les politiques israéliennes de colonisation en Cisjordanie et à Jérusalem-Est ont considérablement facilité les tensions et réduit la confiance entre les deux parties. Ainsi, ces actions engendrent des frustrations croissantes au sein de la population palestinienne, rendant le dialogue constructif plus difficile.
Malgré ces obstacles, il existe encore des avenues pour un avenir pacifique. Des initiatives indépendantes de plusieurs pays et organisations internationales montrent qu’il est possible d’envisager des solutions novatrices. Par exemple, des propositions basées sur la coopération économique régionale pourraient atténuer les conflits et offrir des bénéfices tangibles pour toutes les parties impliquées. Tous ces éléments soulignent l’importance d’une approche équilibrée et constructive dans le cadre du processus de paix, nécessaire pour bâtir un avenir plus stable au Moyen-Orient.
Conclusion : Vers une compréhension de la complexité du conflit
Les événements récents liés au conflit israélo-palestinien ont mis en lumière la méfiance croissante envers les gouvernements américain et israélien. Cette méfiance, enracinée dans des décennies de politique étrangère et de décisions controversées, souligne l’importance d’une compréhension approfondie des dynamiques en jeu. Les actions des États-Unis et d’Israël, souvent perçues comme biaisées, peuvent exacerber les tensions et contribuer à un climat où la paix semble difficile à atteindre.
Il est essentiel de reconnaître que le conflit ne se réduit pas à une simple opposition entre deux entités. Au contraire, il est le résultat d’une multitude de facteurs, y compris l’histoire, la culture, la religion et les intérêts géopolitiques. Les solutions doivent donc être envisagées dans une perspective qui prend en compte cette complexité. L’impact des politiques américaines dans la région, ainsi que les choix stratégiques d’Israël, ont des répercussions non seulement sur le peuple palestinien mais également sur la stabilité de toute la région du Moyen-Orient.
Pour bâtir un avenir où le dialogue l’emporte sur la méfiance, les gouvernements doivent adopter une approche plus équilibrée et empathique dans leurs interactions. Cela implique d’écouter les voix des deux parties impliquées et d’encourager un processus qui favorise la justice et la réconciliation. En fin de compte, comprendre les diverses dimensions du conflit israélo-palestinien est crucial pour encourager des solutions durables et promouvoir une coexistence pacifique. Le chemin vers la paix vous demande un engagement sérieux envers l’écoute et la compréhension mutuelle, éléments indispensables pour surmonter les défis institutionnels qui subsistent aujourd’hui.
PUTIN CHATS FACTS: 🏆
— Khalissee (@Kahlissee) October 10, 2025
"With these decisions, the Nobel Peace prize committee has caused tremendous harm to the prestige of the prize… the prestige has largely been lost." https://t.co/zCTDE4bsbc pic.twitter.com/H6epqi0jqf
STEVE WITKOFF AND JARED KUSHNER AT THE WAILING WALL pic.twitter.com/fLD4ypLNZX
— Sulaiman Ahmed (@ShaykhSulaiman) October 10, 2025
Conclusion:
Trump célèbre l’accord Israël-Hamas sur un cessez-le-feu et un échange otages-prisonniers, signé en Égypte. Netanyahou et le Hamas revendiquent des gains partiels, mais des ambiguïtés et des tensions persistent, tandis que les pays arabes ont joué un rôle clé. La trêve offre un espoir fragile, mais la paix durable reste incertaine face aux défis. Donald Trump a célébré sur Truth Social l’approbation par Israël et le Hamas de la première phase de son plan de paix en 20 points, un tournant après deux ans de guerre à Gaza. Fier de son rôle d’architecte de la trêve, il salue une « grande journée » pour le monde arabe, Israël et les États-Unis, visant ouvertement le prix Nobel de la paix. Cette avancée, formalisée le 9 octobre en Égypte, inclut un cessez-le-feu, la libération de 20 otages israéliens contre 2 000 prisonniers palestiniens en 72 heures, et une aide humanitaire immédiate, bien que des points comme le désarmement du Hamas restent flous. Vers une paix définitive ? Trump a forcé la main à Benjamin Netanyahou, obtenant son soutien malgré les réticences de sa coalition d’extrême droite, notamment Bezalel Smotrich et Itamar Ben-Gvir, qui s’opposent à la libération des prisonniers. Netanyahou, appuyé par un « filet de sécurité » de l’opposition, revendique une victoire avec le rapatriement des otages, tout en maintenant 53 % de Gaza sous contrôle militaire, laissant une porte ouverte à une reprise des opérations si le désarmement stagne. Pour le Hamas, la survie est une victoire proclamée. Il remercie le Qatar, l’Égypte, la Turquie et Trump, mais les pressions arabes l’ont contraint à des concessions, tandis que subsistent de nombreuses zones d’ombre : désarmement ambigu, retrait différé et reconstruction supervisée par un comité international. Sur le terrain, les Palestiniens, après 67 000 morts dans une enclave en ruine, vivent un répit précaire, marqué par des frappes résiduelles. Les capitales arabes brillent en coulisses. Le Qatar renforce sa médiation post-attaque israélienne à Doha, obtenant des excuses de Netanyahou et des garanties US. La Turquie, via Erdogan, voit une chance d’alléger les sanctions et d’acheter des F-35 américains. L’Égypte d’al-Sissi sécurise sa frontière et restaure son influence, évitant un afflux de réfugiés. Ces acteurs ont imposé des « lignes rouges » (pas de déplacement forcé, rôle palestinien), mais l’accord, fragile, dépend de la seconde phase, laissant planer des incertitudes sur une paix durable à Gaza.