l'empire du mensonge

Ils vous ont menti au sujet de la Yougoslavie Ils vous ont menti au sujet de l’Irak Ils vous ont menti au sujet de la Libye Ils vous ont menti au sujet de la Syrie Ils vous ont menti au sujet de la guerre en Ukraine Ils vous ont menti au sujet de l’Iran Ils vous ont menti au sujet de l’Afrique du Sud Ils vous ont menti au sujet du Nigeria Ils vous ont menti au sujet de Gaza Ils vous MENTENT au sujet du Venezuela Focus Africains
C’est ce qu’est le Venezuela
La dépendance entre l’Irak et les États-Unis dans le secteur pétrolier s’exerce à travers un système à plusieurs niveaux de contrôle financier, juridique et infrastructurel.
L’Irak possède son pétrole, mais les États-Unis exercent leur influence par des mécanismes qui influencent la façon dont ce pétrole est monétisé, exporté et réinvesti. Voici comment fonctionne la dépendance :
Ventes de pétrole libellé en dollars
Tout le pétrole irakien est vendu en dollars américains, ce qui signifie que l’Irak doit diriger ses revenus via le système financier mondial basé sur le dollar.
Cela donne aux États-Unis un levier sur les revenus pétroliers de l’Irak, car les transactions en dollars passent souvent par des banques régulées par les États-Unis ou par des systèmes comme SWIFT.
Surveillance de la Réserve fédérale
Les revenus pétroliers de l’Irak sont déposés à la Réserve fédérale de New York, plus précisément dans le Fonds de développement pour l’Irak (DFI).
Cet arrangement, initialement mis en place après l’invasion de 2003, permet aux États-Unis de surveiller et d’influencer la manière dont l’Irak accède et dépense ses fonds pétroliers.
Protections juridiques et décrets exécutifs
Le décret exécutif 13303 (2003) protège les compagnies pétrolières et institutions financières américaines contre les réclamations juridiques liées au pétrole irakien.
Ce cadre juridique privilégie l’accès commercial des États-Unis et protège les intérêts américains contre les poursuites liées à la guerre ou à la recherche de profit.
Contrats de Service Technique (TSC)
Les compagnies pétrolières américaines et étrangères opèrent en Irak sous le régime des TSC, où elles sont payées par redevance fixe par baril extrait.
Bien que l’Irak conserve la propriété du pétrole, ces contrats lient la production à l’expertise et aux infrastructures étrangères, limitant ainsi l’autonomie opérationnelle de l’Irak.
Sanctions et contrôle monétaire
Les États-Unis ont empêché l’Irak de payer certains partenaires étrangers (par exemple, l’Iran, la Chine) en devises non dollarières, invoquant des sanctions.
Cela oblige l’Irak à s’appuyer sur des canaux financiers approuvés par les États-Unis, même lorsqu’il s’agit de relations avec des alliés non occidentaux.
Levier politique et conditionnalité
Le soutien militaire, diplomatique et financier des États-Unis s’accompagne souvent de conditions implicites ou explicites liées à la gouvernance pétrolière, à la transparence et aux partenariats étrangers.
Par exemple, la pression américaine a influencé la position de l’Irak sur les exportations de pétrole kurde, les accords sur les pipelines avec la Turquie et les contrats avec des entreprises russes ou chinoises.
Une boucle de levier
MécanismeEffet sur l’Irak
Ventes de pétrole uniquement en dollars
Enferme l’Irak dans un système financier centré sur les États-Unis
La garde des revenus pétroliers par la FedPermet la surveillance américaine des dépenses irakiennes
Protection juridique des entreprises américainesPriorise les intérêts commerciaux américains
Champs pétrolifères exploités à l’étranger
Limite la souveraineté technique et opérationnelle de l’Irak
Application des sanctions
Restriction de la capacité de l’Irak à diversifier les partenaires et les systèmes de paiement
Influence politiqueFaçonne la politique pétrolière interne de l’Irak et Diplomatie énergétique externe
Absolutely… pic.twitter.com/s3yW6va7Gt
— Abu-Abdullaah (@ArewaBizHub) November 30, 2025
Ce n’est pas du colonialisme au sens ancien, mais une forme de dépendance économique et infrastructurelle, où la souveraineté est techniquement intacte mais contrainte par des points de contrôle externes.
Les récentes initiatives de l’Irak pour commercer en yuan ou s’associer à des entreprises non occidentales sont des tentatives de retrouver leur autonomie, mais elles suscitent souvent une réaction de la part de Washington.
C’est ce que Trump veut pour le Venezuela
L’industrie pétrolière américaine doit limiter les exportations du Venezuela. De plus, les tarifs américains ne peuvent pas empêcher les achats chinois de pétrole vénézuélien avec le yuan.
‘La prévision générale pour le WTI en 2026 est d’environ 59,00 $ le baril, alimentée par une suroffre mondiale projetée qui pourrait exercer une pression à la baisse sur les prix. Cependant, les risques géopolitiques pourraient constituer un plancher de prix. Les analystes sont divisés quant à la baisse ou à la reprise modérée des prix, et ils pourraient descendre sous les 55 $ s’il n’y a pas de perturbation significative de l’approvisionnement, selon Goldman Sachs.
Prévisions du prix du pétrole WTI 2026
•Sondage Reuters : Le sondage mené auprès de 35 économistes prévoit un prix moyen de 59,00 $ le baril pour 2026, en baisse par rapport à la précédente prévision de 60,23 $, due à l’augmentation de l’offre.
•Macquarie : Les analystes visent 56,63 $ le baril pour le WTI en 2026, anticipant une « suroffre punitive » qui pourrait nécessiter une baisse significative des prix.
•Goldman Sachs : Prédit des prix encore plus bas et dit que le marché ne rééquilibrera pas avant 2027.
•Facteurs à surveiller :
◦Offre : La hausse de l’offre des pays OPEP+ et non-OPEP+ est le principal facteur baissier.
◦Demande : Une croissance modeste de la demande peut être éclipsée par l’offre.
◦Risques géopolitiques : Ces risques pourraient mettre un plancher sous les prix et empêcher qu’ils ne chutent aussi bas que le suggère l’excès d’offre.
◦Conditions économiques : Les conditions économiques sous-estimées et la transition énergétique contribuent également à une croissance plus lente de la demande.
Ce que cela signifie pour le Venezuela
•Sanctions : Le Venezuela est soumis aux sanctions américaines, qui limitent sa capacité à exporter du pétrole et à influencer le prix mondial.
•Production : Une période soutenue de bas prix du pétrole pourrait impacter la capacité du Venezuela à financer ses propres programmes économiques et sociaux.
•Réunion OPEP+ : OPEP+ doit tenir une réunion pour discuter des conditions du marché et des décisions potentielles pour équilibrer le marché. »
Aperçu de l’IA Google basé sur la requête
‘WTI oil price forecast 2026 Venezuela’
30 novembre 2025
— Siva Sivakumar (@YogaSivaya) November 30, 2025
— Derick (@realderickayers) November 30, 2025
.@ali_naka pic.twitter.com/dC9SXvX02R
— LuisS (@_LuisS6839) November 30, 2025
Influence israélienne, Al-Qaïda, assassinats : Afshin Rattansi défie l’ancien chef de la station de la CIA à Tel-Aviv
Tout les chemins mènent à CIA pic.twitter.com/J7iXpnDygb
— READ🥏 (@DerAder911) November 29, 2025
https://t.co/Ka0UiQsxzb
En effet, on assiste à une construction d’un narratif par un transfert de culpabilité des européens vers le monde musulman et arabe afin de justifier ces horreurs et cette colonisation qui est la pire de l’histoire moderne !— Rafik Hocini (@RafikHocini) November 30, 2025
Since #Ceasefire:
153 TONS Bombs Dropped
62 Shootings #WestBank
67k Killed
169k Injured
4k Children Lost Limbs
154 Children Starved to Death
355 Bullets #HindRajab
1722 Aid Workers Murdered
300 Journalists Murdered
34 Hospitals Destroyed
2 #ICC Warrants Issued
>>ZERO EU ACTIONS!< pic.twitter.com/o5Q7yiUbej— Alpha100 (@100_alpha) December 1, 2025






![L’ancienne cheffe de la diplomatie de l’Union européenne, Federica Mogherini, a été placée en garde à vue mardi en Belgique, dans le cadre d’une enquête pour usage frauduleux de fonds européens, selon une source proche du dossier David Cronin – Federica Mogherini termine son mandat de Haute-Représentante de la politique étrangère de l’Union européenne comme elle l’a commencé : en caressant Israël dans le sens du poil. Peu après son entrée en fonction en 2014, Mogherini a rendu visite à Benjamin Netanyahu. Elle a assuré au Premier ministre israélien qu’il pouvait « compter sur l’Union européenne » pour prendre un « nouveau départ ». Mogherini n’avait pas précisé ce qu’elle voulait dire par là, mais elle a modifié – et pas en mieux – les relations internationales. Sous sa direction, l’UE a adopté un discours encore plus lénifiant sur les graves violations des droits de l’homme. En février 2001, la position officielle de l’UE était de « déplorer » les assassinats ciblés dont Israël se rendait coupable. Mais après le dernier assassinat ciblé commis par Israël en novembre 2019, l’équipe de Mogherini a simplement parlé d’une « opération » sans exprimer la moindre critique. La dite « opération » a causé la mort du commandant du Djihad islamique Baha Abu al-Ata et de son épouse. Le refus de l’équipe de Mogherini de dénoncer l’acte manifestement illégal d’Israël, revenait en fait à l’approuver. Caresses et cajoleries Mogherini a maintenu un contact régulier avec les principaux politiciens israéliens au cours des cinq dernières années. Lorsque le Likoud de Netanyahu est sorti vainqueur des élections de 2015, Mogherini s’est empressée de le féliciter. Elle disait à cette occasion qu’elle considérait les relations d’Israël avec l’Union européenne comme « mutuellement bénéfiques ». Cajoler de la sorte l’État d’apartheid témoigne d’un grand mépris pour les Palestiniens qui réclament justice et égalité. La meilleure expression de leurs aspirations est sans doute l’appel palestinien de 2005 au Boycott, Désinvestissement et Sanctions [BDS] d’Israël. Mais après un entretien avec Netanyahou en 2016, Mogherini a exprimé son « ferme rejet » du BDS. Pour être tout à juste, Mogherini a parfois dit la vérité. En 2017, le parlement israélien, la Knesset, a approuvé un projet de loi visant à « régulariser » le vol de terres palestiniennes, en reconnaissant officiellement les colonies de peuplement en Cisjordanie occupée, jusqu’alors jugées illégales même par Israël. Mogherini a formulé une critique inhabituellement franche. Si la loi entrait en vigueur, elle « enracinerait davantage la réalité d’un État unique aux droits inégaux », a-t-elle regretté. Pour une fois, elle identifiait nommément le problème à résoudre. Une boussole morale ? Au niveau de la base, de nombreux Palestiniens cherchent à faire évoluer la « réalité d’un État unique aux droits inégaux » vers celle d’un seul État qui garantisse l’égalité à tous. Bien que Mogherini ait exposé la vraie nature du problème, elle a continué à traiter par le mépris ceux qui cherchaient à y mettre fin. Plutôt que de plaider en faveur d’une véritable égalité, elle a préconisé une solution à deux États qui, selon toute probabilité, ne donnerait aux Palestiniens la souveraineté que sur tout petit morceau de leur patrie historique. Mogherini a insisté sur le fait qu’ « il n’y avait pas d’alternative » à une solution à deux États. En parlant récemment de son mandat, Mogherini a » rel= »noopener » target= »_blank »>déclaré : « Je suis fière que nous, Européens, n’ayons jamais perdu notre boussole » et que nous ayons « toujours travaillé pour préserver et permettre une solution négociée à deux États pour Israël et la Palestine ». Heureusement qu’elle n’a pas parlé de « boussole morale » car la position de l’UE sur ces questions clés est profondément immorale. Depuis le 30 mars 2018, Israël a attaqué à plusieurs reprises les Gazaouis qui participaient à la Grande Marche du retour. Lorsque des manifestants ont été tués, l’équipe de Mogherini a laissé entendre qu’ils étaient responsables de leur propre mort. Les déclarations de son équipe suggéraient que, si de manifestants avaient été abattus, c’est parce qu’ils étaient violents. Elles passaient sous silence des éléments de contexte cruciaux, comme le fait que les pierres lancées par les manifestants ne sont en rien comparables aux balles explosives ou aux grenades lacrymogènes tirées à grande vitesse par des tireurs d’élite israéliens. D’ailleurs, depuis quand jeter une pierre sur un soldat lourdement armé est devenu un délit passible de la peine de mort ? Euphémismes Une population sous occupation militaire a le droit de résister selon l’ONU. Mais apparemment, Mogherini ne veut pas le savoir. Son « nouveau départ » s’est traduit par une frénésie d’euphémismes. Ce n’est plus de mode, selon elle, de qualifier la situation à Gaza de siège ou de blocus. Elle préfère utiliser le mot de « fermeture ». L’exquise courtoisie de Mogherini et son équipe avec Israël n’a pas d’égal. Dans leurs déclarations, l’équipe demande à Israël de bien vouloir « reconsidérer » les démolitions prévues de maisons palestiniennes. L’année dernière, l’équipe de Mogherini a même déclaré qu’elle « espérait » qu’Israël « reviendrait » sur des décisions qui allaient chasser les Palestiniens de Cisjordanie occupée. Évidemment, il n’y avait pas la moindre menace de sanction si Israël ne tenait pas compte de la frileuse demande de l’UE. Le successeur de Mogherini au poste de Haut-Représentant de la politique étrangère de l’UE, Josep Borrell, sera peut-être plus franc. Borrell, lorsqu’il était ministre espagnol des Affaires étrangères, n’a pas dansé de joie quand Israël a célébré le 70e anniversaire de sa création en mai 2018. Il a déclaré, dans Republica, que les célébrations étaient « ensanglantées » parce qu’Israël avait commis un massacre à Gaza quelques jours auparavant (*). Borrell se comportera-t-il différemment de Mogherini lorsqu’il prendra ses nouvelles fonctions ? Son aptitude antérieure à dénoncer Israël ne fait pas de lui un vaillant défenseur des droits de l’homme. Il a fait partie d’un gouvernement qui a essayé d’écraser brutalement le mouvement indépendantiste catalan. Borrell a même émis de fausses allégations contre des personnalités éminentes de ce mouvement. Il est même allé jusqu’à publier un document classifié pour tenter de salir une de ses personnalités. Être ministre des Affaires étrangères de l’Espagne n’est pas la même chose que représenter l’UE, qui compte aujourd’hui 28 pays. Collectivement, leurs gouvernements ont toujours plié devant Israël. Borrell pourrait introduire quelques petits changements, mais il est très probable que la complaisance de l’UE envers Israël ne prendra pas fin. Il est donc vital que les Européens ordinaires fassent ce que les dirigeants politiques ne feront pas : boycotter et isoler Israël. Note : (*) Dans un éditorial cinglant du 18 mai 2018, le ministre des Affaires étrangères a condamné Israël pour son massacre à la clôture de Gaza quatre jours auparavant, qui coïncidait avec le 70e anniversaire de la création de l’État d’Israël et l’ouverture de l’ambassade des États-Unis à Jérusalem. Ces célébrations ont été « couvertes de sang car ce lundi noir reflète la déshumanisation des Palestiniens par une grande partie de la classe politique et de la société israéliennes », a-t-il écrit dans Republica. Dans l’article de Republica, Borrell dénonce les campagnes militaires israéliennes contre le Hamas à Gaza comme de « terribles bombardements » et dénonce « l’arrogance guerrière » de Netanyahu.](https://mfvnnews.com/wp-content/uploads/2025/12/Sans-titre-26-218x150.png)


