si l’état hébreux disparaissait , personne ne le regrettera et les tueries disparaitont

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150 000 Palestiniens ont été tués et blessés par Israël depuis 2008. Parmi eux, 33 000 étaient des enfants. Mais personne n’en parle, personne ne les traite de terroristes. PERSONNE N’A DIT UN MOT.

Israël a prononcé : Son dernier souffle

S’il-n’existait-pas-d’Israël, les-États-Unis-devraient-inventer-Israël-pour-protéger-ses-intérêts-dans-la région

L’attaque du Hamas sur les alentours de la bande de Gaza n’est que le dernier soubresaut d’un conflit israélo-palestinien qui dure depuis plus de 75 ans. Sputnik fait le point sur l’un des dossiers les plus épineux du Moyen-Orient.

En lançant une offensive au-delà de la bande de Gaza, le Hamas a remis une pièce dans la machine infernale du conflit israélo-palestinien. Un conflit dont les origines remontent à la Seconde Guerre mondiale.

Le 29 novembre 1947, au lendemain de la guerre et de l’Holocauste, l’Onu a en effet voté pour un plan de partage de la Palestine. Il s’agissait d’en finir avec la Palestine mandataire, jusque-là sous contrôle britannique, pour créer deux États, un juif et un arabe. La ville de Jérusalem devait conserver le statut de zone internationale.

🛑Un peu d’histoire🛑

Le 29 novembre 1947, le plan de partage de la Palestine élaboré par le Comité spécial des Nations unies sur la Palestine créé par l’Assemblée générale de l’ONU, est approuvé par cette dernière à New York, par le vote de sa résolution 181.

Ce plan prévoit… pic.twitter.com/12ndQsvvqi

Mais le plan de l’Onu tombe à l’eau dès le départ des Britanniques. Le 4 mai 1948, Israël proclame son indépendance. Immédiatement, les pays arabes -Égypte, Syrie, Jordanie, Liban et Irak– entrent en guerre contre le nouvel État. Le conflit dure un an et se solde par une victoire israélienne. L’État fixe temporairement ses frontières avec l’Égypte et le Liban, mais ses gains par rapport au plan de l’Onu de 1947 sont substantiels.

Une nouvelle flambée des tensions a lieu lors de la guerre des Six Jours, en 1967. Israël déclare la guerre à l’Égypte suite au blocus du détroit de Tiran, au large de la péninsule du Sinaï. Syrie, Jordanie, Irak et Liban se joignent une fois de plus à l’Égypte dans le conflit. Mais les pays arabes sont défaits suite à une guerre éclair, qui durera moins d’une semaine.

Au sortir du conflit, Israël triple sa superficie: l’Égypte perd la bande de Gaza, occupée en 1948, ainsi que le Sinaï. La Syrie perd le plateau du Golan, aujourd’hui encore annexé. La Jordanie perd la Cisjordanie et Jérusalem-Est. Ces territoires sont dès lors couramment désignés sous le nom de “territoires occupés”. Israël y favorise peu à peu l’installation de villages, de colonies et de kibboutz.

Le temps des intifadas

En 1973, la guerre du Kippour oppose une nouvelle coalition de pays arabes à Israël et s’ouvre le jour de la fête juive de Yom Kippour, férié en Israël. Prises par surprise, les forces israéliennes reculent, avant de parvenir à stabiliser la situation. L’incapacité des services de renseignements à voir venir l’offensive arabe fera beaucoup parler, scénario qui rappelle celui du conflit actuel. L’Égypte parvient à récupérer le Sinaï à la fin du conflit.

À partir des années 1990, le conflit prend un accent plus palestinien, avec le déclenchement de plusieurs intifadas, des soulèvements aussi appelés “guerre de pierres”. Celle de 1987 débouche sur les accords d’Oslo et sur la Déclaration de principes, qui pose les bases d’une autonomie palestinienne pour une période de cinq ans. Le Premier ministre israélien Yitzhak Rabin et Yasser Arafat, président du comité exécutif de l’OLP (Organisation de libération de la Palestine) reçoivent le prix Nobel de la paix pour ce rapprochement.

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Le Premier ministre israélien Yitzhak Rabin et le président de l’OLP, Yasser Arafat se serrent la main alors que le président Bill Clinton préside la cérémonie marquant la signature de l’accord de paix de 1993

En 2002, une deuxième intifada est déclenchée, sur fond de lutte d’influence entre les deux partis palestiniens: le Fatah, fondé par Yasser Arafat, et le Hamas, considéré par certains pays comme un mouvement terroriste. Les États-Unis, l’Union européenne, la Russie et l’Onu tentent de mettre fin aux cycles de violences en proposant une Feuille de route pour la paix. Celle-ci prévoit la reprise des négociations et la création d’un État palestinien indépendant.

Suite à cette seconde intifada, Israël retire finalement ses troupes de la bande de Gaza en 2005, sans aucun accord politique. Le Hamas remporte de son côté les élections législatives de 2006, mais le conflit politique s’envenime avec le Fatah. Le Hamas prend finalement le contrôle total de la bande de Gaza après avoir évincé la plupart des militants du Fatah.

Le 29 novembre 2012, la Palestine reçoit finalement le statut d’État observateur auprès de l’Onu, ce que beaucoup considèrent comme une reconnaissance de facto du statut d’État palestinien par la communauté internationale.

La situation autour de Jérusalem reste néanmoins explosive. La résolution de l’Onu de 1947 prévoyait un statut international, mais Israël fait de la ville sa capitale par une déclaration unilatérale, en 1950. Les Palestiniens considèrent pour leur part Jérusalem-Est comme la capitale de leur État. Le Président américain Donald Trump ajoute encore à la confusion en 2018, en officialisant la reconnaissance par les États-Unis de Jérusalem comme capitale d’Israël. L’ambassade américaine y est transférée depuis Tel Aviv.

Racines du conflit Israël-Hamas

Le 29 novembre 1947, l’Assemblée générale des Nations Unies a voté pour la création de deux États – juif et arabe – en Cisjordanie du Jourdain, Jérusalem conservant son statut de zone internationale. Le 4 mai 1948, Israël a déclaré son indépendance. Immédiatement après, les pays arabes – Égypte, Syrie, Jordanie, Liban et Irak – ont déclenché une guerre contre l’État nouvellement créé.

Pendant la guerre des Six Jours de 1967, Israël a occupé le Bande de Gaza et la Cisjordanie du Jourdain, y compris Jérusalem-Est. La population juive a commencé à cultiver des terres palestiniennes, entraînant un déplacement massif de Palestiniens.

Après la première Intifada ( le soulèvement palestinien contre l’autorité israélienne dans les territoires occupés ), la Déclaration de principes pour l’autonomie provisoire de la Palestine a été signée. Le document établit une période de transition de cinq ans, qui devait commencer par la relocalisation des troupes israéliennes de la bande de Gaza et de Jéricho ( Cisjordanie ). Ensuite, le statut permanent des territoires palestiniens devait être déterminé.

Les médecins palestiniens portent des vêtements de protection lorsqu’ils travaillent aux urgences de l’hôpital al-Quds de Gaza, le lundi 7 septembre 2020. Des dizaines de travailleurs de la santé de première ligne ont été infectés, ce qui a porté un nouveau coup aux hôpitaux surchargés.

Monde

Le ministère de la Santé de la bande de Gaza appelle à l’ouverture d’un corridor pour les fournitures de médecine urgente

En 1996, la Palestine a tenu les premières élections. Yasser Arafat a été élu président de l’Autorité Nationale Palestinienne. En 2002, après la deuxième Intifada, les États-Unis, l’Union européenne, la Russie et les Nations Unies ont proposé un plan de paix appelé Feuille de route. Il a déclaré la reprise des négociations, le règlement des conflits et la création d’un État palestinien indépendant.

En 2005, Israël a complètement retiré ses troupes de la bande de Gaza unilatéralement et sans aucun accord politique. Le 25 janvier 2006, une deuxième élection a eu lieu. Hamas il a remporté la victoire, remportant 80 sièges, tandis que le Fatah en a remporté 43 au Conseil législatif palestinien. En juin 2007, le Fatah (qui n’a plus statué selon les résultats des élections de 2006) et le Hamas se sont affrontés dans un conflit militaire dans la bande de Gaza. La confrontation a permis au Hamas de prendre le contrôle total de la bande de Gaza, après avoir forcé la plupart des militants du Fatah à quitter la bande de Gaza.

La situation s’est aggravée de manière spectaculaire lorsque le président des États-Unis, Donald Trump, a annoncé en 2018 qu’il reconnaîtrait Jérusalem comme capitale d’Israël et y déplacerait l’ambassade américaine. Le 29 novembre 2012, la Palestine a obtenu le statut d’État observateur à l’ONU, ce que beaucoup considèrent comme une reconnaissance de facto du statut d’État palestinien par la communauté internationale.

Depuis 2008, Israël a riposté à des frappes d’artillerie sur son territoire en menant des opérations militaires contre l’infrastructure du Hamas dans la bande de Gaza. La dernière a eu lieu en mai 2023. La Russie exhorte Israël et la Palestine à cesser les hostilités et à retourner à la table des négociations.

Comment Israël a aidé à créer le Hamas ou le retour de baton.

Saviez-vous également que le Hamas – qui est un acronyme arabe pour « Mouvement de résistance islamique » – n’existerait probablement pas aujourd’hui sans l’État juif ?

Que les Israéliens ont contribué à transformer un groupe d’islamistes palestiniens marginaux à la fin des années 1970 en l’un des groupes militants les plus notoires au monde ?

L’ancien fonctionnaire israélien Brig. Le général Yitzhak Segev, qui était gouverneur militaire israélien à Gaza au début des années 1980, a déclaré à un journaliste du New York Times qu’il avait aidé à financer le mouvement islamiste palestinien comme « contrepoids » aux laïcs et aux gauchistes de l’Organisation de libération de la Palestine et de l’Organisation de libération de la Palestine. Parti Fatah, dirigé par Yasser Arafat. Avner Cohen, un ancien responsable israélien des affaires religieuses qui a travaillé à Gaza pendant plus de deux décennies, a déclaré au Wall Street Journal en 2009 que le Hamas est « la création d’Israël ».

… et qui a créé ISIS, alias les services secrets israéliens ? La même CIA qui a créé les moudjahidines, alias les « combattants de la liberté ». | C’est UN GRAND CLUB.

La décision de l’#Union européenne de choisir de se souvenir uniquement des victimes d’#Israël, tout en refusant de mentionner les victimes de #Gaza, est impardonnable. Est-ce là la raison d’être des « valeurs européennes » ? L’UE donne carte blanche à l’État d’#Israël sous l’apartheid pour commettre des crimes de guerre à Gaza….

Texte de Valentin Vasilescu paru sur Facebook (traduction du roumain) :

Précisions :

-V.Vasilescu est un ancien pilote de chasse roumain

-remplacer dans tout le texte le Hamas par « la résistance palestinienne », car 3 forces ont participé à l’opération : les brigades Al-Qassam une des branches militaires du Hamas dissidente et opposée à la direction politique du Hamas qui siège au Qatar, les brigades Al-Qods du Gihad Islamique et « la fosse aux lions ».

1/-Le conflit entre le Hamas et Israël est rempli de mystères.

Étrangeté n°1 – Israël ne connaissait pas les préparatifs de l’attaque.

Gaza est un territoire étroit d’une superficie de 365 kilomètres carrés. On pensait que tout y était détecté et surveillé par l’armée israélienne et les services de renseignement, mais lors de l’attaque, il s’est avéré que ce n’était pas le cas. Il est probable que le Hamas ait développé un système de coordination et de communication qui exclut les communications électroniques, et les Palestiniens ont réussi à tout cacher aux services de renseignement israéliens.

Étrangeté n°2 – Israël n’a pas pu empêcher l’attaque.

Peu de temps avant l’attaque des postes de contrôle et des villes importantes le 7 octobre, le Hamas a déployé de manière organisée des MLRS, des forces terrestres, des parapentes et d’autres équipements sur des positions. Les préparatifs et les premières étapes sont passés inaperçus, et les frappes préventives israéliennes n’ont pas été lancées.

Étrangeté n°3 – le système d’alarme à la frontière n’a pas fonctionné.

Les systèmes électroniques à la frontière, dans lesquels Israël a investi des milliards de dollars, se sont révélés inutiles. Les nombreuses caméras et capteurs n’ont rien détecté. L’attaque palestinienne aurait pu être évitée en ayant des patrouilles de combat israéliennes présentes. Elles n’étaient tout simplement pas à proximité. Les drones palestiniens ont facilement frappé les mitrailleuses télécommandées et les tours de capteurs, et les équipes d’assaut du Hamas ont fait sauter la clôture calmement et ont traversé la frontière. Personne n’a essayé de les arrêter. En raison de la défaillance de l’alerte en temps opportun, les soldats de l’IDF ont été tués dans leurs casernes et pendant leur sommeil.

Étrangeté n°4 : La tactique du Hamas.

Contrairement à la croyance populaire, les Palestiniens n’ont pas contourné les fortifications et les bases de l’IDF. Ils ont attaqué à la fois les postes de contrôle et les bases où se trouvaient des véhicules blindés. En même temps, le Hamas a cessé d’utiliser des chars, apparemment en raison des qualifications médiocres des attaquants ou parce que cela n’était pas nécessaire. Il n’est pas encore clair où étaient les sentinelles, les agents de sécurité et les forces de couverture israéliennes à ce moment-là.

Étrangeté n°5 – la préparation de l’équipement militaire.

Le char israélien Merkava Mk.4 a été détruit par un projectile lancé depuis un drone quadricoptère. Il a été touché dans l’une des zones les moins protégées, celle du haut. Dans le même temps, le système de protection active Trophy a été apparemment désactivé. Les vidéos montrant la destruction du char et la capture de l’équipage montrent clairement que le canon du véhicule est couvert d’une housse. Cela suggère que l’équipage n’a pas préparé le véhicule pour le combat et a simplement compté sur l’intimidation, ce qui n’est non seulement une violation grave des procédures, mais aussi tout simplement une manière stupide d’agir en cas d’attaque.

Étrangeté n°6 – panique dans les villes frontalières.

Toutes les communautés, en particulier en ce qui concerne la proximité d’une région comme la bande de Gaza, doivent avoir des plans en place en cas d’escalade du conflit. Cependant, aucune alerte ni évacuation organisée n’a été effectuée. Les forces de sécurité locales se sont révélées peu nombreuses et faiblement armées, et ont été rapidement éliminées par les Palestiniens.

Étrangeté n°7 – Le manque de coordination entre l’IDF et le Hamas.

Jusqu’à environ midi le 7 octobre, le gouvernement israélien n’a pas réagi de quelque manière que ce soit, car c’était un samedi matin, le Shabbat. Ce n’est qu’à 14-15 heures que les forces de sécurité ont commencé à rassembler des réservistes et à organiser des raids de représailles. Cependant, la mort du commandant de la brigade Nahal, le colonel Jonathan Steinberg, indique une réaction chaotique avec des forces qui auraient dû être rassemblées immédiatement. Apparemment, l’intervention de la brigade Nahal dans les combats contre le Hamas a été initiée par le commandant de la brigade et n’a pas été le résultat d’un ordre direct de l’état-major de l’armée israélienne.

Dans le même temps, au cours des deux jours suivants, l’IDF lancera probablement une opération militaire dans les quartiers de la bande de Gaza. Cependant, les actions en zones ouvertes sont différentes de celles en zones résidentielles. Une tentative des forces terrestres israéliennes d’entrer dans l’enclave palestinienne sera presque certainement accompagnée d’un grand nombre de morts des deux côtés. Il est peu probable que la décision d’impliquer les Palestiniens et le Hezbollah dans la guerre soit prise sans l’approbation préalable de l’Iran. Jusqu’à présent, l’Iran n’a pas permis au Hezbollah de bouger. La préparation du Hezbollah est liée à l’attente d’une opération terrestre israélienne dans la bande de Gaza. Si tout se limite à des frappes réciproques et à la chasse du Hamas hors du territoire israélien, alors le Hezbollah, comme en 2021, se limitera au soutien local, c’est-à-dire pas grand-chose. Les bombardements de l’aviation israélienne sont inutiles. Traditionnellement, le Hamas se cache dans un vaste réseau de bunkers et de tunnels souterrains, de sorte que son infrastructure militaire est peu affectée.

(fin de la traduction)

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2/-Petit rappel :

« Israël et Washington ont créé le Hamas… et maintenant ils veulent le tuer »–Ron Paul, 2008

« Nous avons donc d’abord indirectement, puis directement via Israël, contribué à la création du Hamas », rappelait le représentant américain, expliquant les effets boomerang des expérimentations américaines avec le « terrorisme » international.

Juste « parce qu’ils voulaient que le Hamas fasse obstacle à Yasser Arafat ».

« Saviez-vous aussi que le Hamas, acronyme arabe pour « Mouvement de résistance islamique », n’existerait probablement pas aujourd’hui sans l’Etat juif ? » rappelle (https://theintercept.com/2018/02/19/hamas-israel-palestine-conflict/) The Intercept.

« Les Israéliens ont contribué à transformer un groupe d’islamistes palestiniens marginaux à la fin des années 1970 en l’un des groupes militants les plus notoires au monde. »

Même le très mainstream et très obéissant Wall Street Journal le détaille (https://www.wsj.com/articles/SB123275572295011847) : Israël a permis l’émergence du Hamas.

3/-Et voici l’analyse faite par le journaliste roumain Adrian Onciu, celui qui a enquêté et dévoilé l’affaire Ursula/UE-Bourla/Pfizer

AL-AQSA – Adrian Onciu (traduction CalliFanciulla)

1. Les médias ont évité d’expliquer dans quelles conditions le conflit a éclaté. Ils se sont contentés de parler d’une “attaque non provoquée des terroristes du Hamas”. Or, l’opération du Hamas lancée le samedi 7 octobre s’appelle “Tempête sur Al-Aqsa”. La mosquée Al-Aqsa est le troisième lieu saint de l’islam. Le 5 octobre, plus de 800 colons israéliens ont pris d’assaut l’enceinte d’Al-Aqsa à Jérusalem-Est, sous la protection des forces israéliennes. Pour les musulmans, les attaques contre la mosquée ont toujours représenté une violation de la ligne rouge. Le Hamas a mis en garde Israël contre Al-Aqsa depuis le 1er octobre.

2. Plusieurs rapports circulent sur les canaux Telegram au Moyen-Orient, affirmant que le Hamas a attaqué des positions israéliennes avec des armes fournies à l’Ukraine par les États-Unis et l’OTAN.

3. L’armée de l’air israélienne s’est mise en grève au début de l’année contre la réforme constitutionnelle de Benjamin Netanyahu. La réforme judiciaire a divisé la société israélienne. En outre, elle a créé des dissensions au sein même des services secrets. Certains analystes à Tel Aviv affirment que le Hamas a profité des faiblesses au sommet de l’armée israélienne. Ce qui est certain, c’est que les manifestations internes ont été suspendues pour une durée indéterminée. Netanyahou pourrait être tenté de blâmer les performances lamentables des services de renseignement pour avoir purgé certains officiers aux opinions gauchistes et mondialistes.

4. Le bien-être économique et même la vie des 500 000 Palestiniens de Gaza dépendent de la bonne volonté d’Israël et de l’aide fournie par l’Égypte, l’Union européenne et les États-Unis. Le Hamas n’a aucune chance de gagner une guerre contre Israël. Il a été suggéré qu’il faisait le jeu de l’extrême gauche à Tel-Aviv (les admirateurs de Biden, qui attaquent les réformes de Netanyahou) ou de l’extrême droite (les admirateurs de Trump, qui rejettent l’idée d’un État palestinien et veulent que Jérusalem soit exclusivement israélienne). Il a également été dit que le Hamas cherchait simplement à empêcher le rapprochement attendu entre l’Arabie saoudite et Israël sous l’égide des États-Unis.

5. Il est très peu probable que les forces de sécurité de Tel-Aviv n’aient pas été averties des attaques du Hamas le 7 octobre. Il est plus probable qu’elles aient été organisées de concert avec certains membres du Hamas qui travaillent également à temps partiel pour le Mossad.

6. Qui gagne et qui perd avec l’accord ? Le Hamas a réussi à raviver le sentiment anti-israélien au Moyen-Orient. D’importantes manifestations de solidarité avec les Palestiniens ont eu lieu dans plusieurs États de la région, ce qui accélérera leur alignement sur la Russie et la Chine. L’Occident n’a collectivement pas d’autre choix que de soutenir fermement Israël. Peut-être au détriment de l’Ukraine. En théorie, la Russie et la Chine tenteront de calmer les esprits en Iran et en Syrie. Il est possible que l’Arabie saoudite, la Russie et d’autres membres de l’OPEP réduisent encore leur production de pétrole, ce qui aurait un impact majeur sur l’économie mondiale et l’élection présidentielle américaine.

7. Jusqu’à présent, le Hamas n’a eu droit qu’à des “Breaking News” à la télévision. Le grand gagnant pourrait être Bibi Netanyahu. L’approvisionnement en argent, en électricité et en carburant de la bande de Gaza a déjà été interrompu ; un mur est susceptible d’apparaître le long de la ligne de démarcation avec Gaza, semblable aux murs de la Cisjordanie ; la libre circulation entre Gaza et la Cisjordanie pourrait être bloquée ; la question de la reconnaissance de l’État palestinien est reportée “sine die” ; les colonies israéliennes en Cisjordanie se multiplieront ; les protestations contre la réforme judiciaire de Netanyahou s’éteindront ; les structures de pouvoir israéliennes donneront à Netanyahou tout ce qu’il n’a pas pu leur donner dans des conditions pacifiques.

8. Les États-Unis viennent de rapprocher d’Israël un groupe d’attaque de porte-avions, poursuivant ainsi leurs efforts pour accroître leur présence militaire au Moyen-Orient. Une présence obligatoire pour protéger les contrebandiers de pétrole.

9. Les Palestiniens sont appelés “terroristes” et les Ukrainiens “forces de résistance”. Ou vice versa, selon les chaînes de télévision. Cela pourrait même être drôle, si tant d’innocents ne mouraient pas. (fin de la traduction)

4/-Eric Montana (texte paru sur sa pageTelegram) :

“Les populations civiles de Gaza prises pour cibles par “l’armée la plus morale du monde”. Cette fable pour naïfs ne marche plus. Malgré le monopole des sionistes sur les médias, le monde a compris qu’Israël est un Etat terroriste et criminel.

Aucun Etat au monde n’a été condamné par l’ONU autant que l’entité sioniste mais Itzaak Shamir, l’ancien Premier Ministre déclarait que “les résolutions de l’ONU, Israël les placarde dans ses toilettes”, démontrant la nature cynique et criminelle de cet Etat raciste ne respectant ni le Droit international, ni les droits de l’homme ni même les Conventions de Genève.

Israël affiche son mépris de la communauté internationale car sa domination sur les Etats Unis a permis au boucher Ariel Sharon d’affirmer :”Ne vous inquiétez pas de ce que diront les Etats-Unis. Nous Juifs, nous contrôlons l’Amérique et les Américains le savent bien.”

Sharon aurait pu rajouter :”Nous sionistes contrôlons la Grande Bretagne, la France, l’Allemagne et les Européens le savent bien.” 

5/-« Une escalade en Israël pourrait déclencher une réaction en chaîne », les BRICS vont être « mis à l’épreuve » : texte de Douguine (trouvé sur Telegram -Kompromatmedia)

« Le comportement des Etats islamiques va être au centre de l’attention », fait remarquer (https://twitter.com/Agdchan/status/1710607550326943989) le philosophe russe.

Pour Alexander Douguine, les Palestiniens tentent « d’enflammer la sensibilité eschatologique des musulmans, qu’ils soient chiites ou sunnites ».

« C’est dans cette situation que le pôle islamique, qui a récemment rejoint les BRICS de manière provocante, sera mis à l’épreuve », prédit-il.

L’Egypte, l’Iran, l’Arabie saoudite et les Emirats arabes unis vont en effet rejoindre le groupe en 2024. Et les lignes de démarcations sur la question sont fortes non seulement entre eux mais aussi avec les autres membres.

Si Téhéran a déjà apporté un soutien clair au Hamas, Riyad s’est montrée beaucoup plus mesurée. La Russie a elle adopté un position de neutralité absolue, alors que le Brésil et l’Inde – sans surprise – ont déjà indiqué se ranger du côté de Tel Aviv.

Ce qui place les BRICS au devant de leur premier véritable test diplomatique.

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Je n’ai aucune conclusion si ce n’est que notre planète s’enflamme de plus en plus, et que „notre” Occident a sa part de responsabilité en soutenant la guerre et le colonialisme, et plus précisément l’UE en ré-affectant le „Fonds pour la Paix” en „Fonds pour la Guerre” !

Et cette question : quand la presse (française notamment) va t-elle parler des armes de l’OTAN offertes à Kiev et arrivées entre les mains du HAMAS ? Pourtant Maria Zakharova et des leaders africains ont annoncé celà en 2022 …

En occultant sa responsabilité, la communauté internationale incapable de régler le conflit israélo-palestinien qu’elle a provoqué il y a 70 ans, s’offusque des horreurs atteintes aujourd’hui.

Samedi 7 octobre 2023, le Hamas attaque la population civile Israélienne. Même en temps de guerre les pires belligérants se doivent d’épargner les civils. C’est du terrorisme. Et du pire.

Le terrorisme broie des personnes innocentes, inoffensives et désarmées. C’est un des actes les plus horribles, ignominieux, atroces et pour cela il est injustifiable, irrémissible.

Au demeurant, la guerre, même si elle ne tuait que des militaires, est aussi monstrueuse et indigne de l’humanité.

Tous nos justes et courageux journalistes outrés, politiciens presque unanimement révoltés, dirigeants du monde libre indignés, intellectuels offusqués, religieux choqués, font bien de condamner, de vilipender ces odieux terroristes qui prétendent agir au nom d’un peuple…

Mais, qu’est-ce qu’ils ont fait tous ceux là depuis 70 ans pour que ça n’arrive pas, ça n’arrive plus ?

Albert Einstein nous avait prévenus : « Le monde est dangereux à vivre ! Non pas tant à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire. »

Ils ont laissés faire.

Voilà la réalité historique, voilà leur culpabilité.

La connexion sioniste nazie et la création d’Israël. @gregreese Le père d’Adolf Hitler était Alois Schickelgruber, l’enfant bâtard de Maria Schickelgruber, qui a changé son nom en Hitler pour cacher le fait qu’il était un enfant illégitime. De nombreux historiens ont affirmé que Maria avait été mise enceinte par le baron Rothschild lorsqu’elle travaillait pour lui. Mais leur nom n’est pas vraiment Rothschild. 🌼 Tous mes liens Ici👉 https://linkmix.co/18048882

“ Le Sionisme : la dé-classification progressive des archives change le regard des historiens sur les Processus associés à sa mise en œuvre. ”

J.P. Ciron, Agoravox, Novembre 2018.

« Theodor Herzl a été reçu, début 1903, par le British Colonial Secretary Joseph Chamberlain, peu après les pogroms de Kishinev, en Russie. L’objectif était de trouver d’urgence un refuge pour les Juifs d’Europe qui se trouvaient en danger imminent face à l’antisémitisme violent.

Joseph Chamberlain proposa un territoire de quelques 15 000 km2 au climat tempéré situé dans l’actuel Kenya. C’était le ‘Plan Ouganda’ Uasin Gishu.

Au septième Congrès Sioniste (1905), le ‘Plan Ouganda’ fut définitivement rejeté. Le Foyer National Juif ne pouvait donc être que la ‘Terre d’Israël’. Cependant, une partie des participants n’ont pas accepté la décision du Congrès, et ont quitté le mouvement sioniste. Zangwill en faisait partie.

Plus tard, Theodor Herzl écrira dans sa correspondance : ” Mon cœur est pour Sion, ma raison pour l’Ouganda. ” »

Comment les Britanniques et les sionistes ont provoqué l’exode de 120 000 Juifs d’Iraq après 1948.

Écrit par Naeim Giladi. (1926 – 2010), écrivain né en Irak, dans The Link, 1998.

« Vingtième Congrès Sioniste, Zurich, 3-16 août 1937, déclaration de Rabbi Meir Berlin (Meir Bar-Ilan, 1880-1949) :

“ Nous devrions être prêts à accepter des conditions difficiles et même la guerre si c’est ce qui est nécessaire pour hériter de l’intégralité de la Biblique Eretz Israël (La Terre d’Israël en hébreu). (…) Nous pensons que Eretz Israël nous appartient, dans sa totalité. ”

Et celle de David Ben Gourion, leader sioniste, lors de ce congrès :

“ Tout État juif proposé serait obligé de déplacer la population arabe hors de la zone, si possible de son libre arbitre, ou sinon sous la contrainte. ” »

Ben Gourion était laïc. Il est étonnant qu’il parle d’un État juif.

Journal de David Ben Gourion, 1947-1948, Les Secrets de la Création de l’État d’Israël.

Allan Kaval – Les Clés du Moyen Orient, article 13 décembre 2012.

« Ben Gourion comprend (…) que “ la défaite allemande et la découverte par l’opinion publique internationale des horreurs de la Shoah donnent au mouvement sioniste une occasion historique d’atteindre son objectif ultime : la fondation d’un État juif en Palestine. ”

Il mène alors une triple action, à la fois diplomatique (assistance de l’Union Soviétique à l’ONU), politique (unification des mouvements sionistes) et militaire (livraison de matériel militaire de Tchécoslovaquie) dont les archives présentées témoignent. »

En réalité la création d’un État Israélien mais pas d’un État juif ! Un État pour les israéliens pas pour les religieux seulement.

HISTOIRE DU MONDE

J.M. Roberts ; O.A. Westad.

Éditions Perrin, 2013.

« Dès cette époque (1946), la question du futur des terres arabes est brouillée par la décision des Juifs d’établir un État national en Palestine, par la force. (…)

Jacob Rothschild : “Ma famille a joué un rôle dans la création d’Israël”

En 1949, le gouvernement israélien déplace son siège à Jérusalem, capitale du nouvel État Juif. La moitié de la ville est aux mains des troupes jordaniennes, mais c’est là un moindre problème. Grâce au soutien des Américains et des Soviétiques et de l’argent privé, les Juifs sont parvenus à établir un État-nation dont rien ne pouvait laisser présager l’apparition vingt-cinq ans auparavant. (…)

En 1948-1949, les actions des sionistes extrémistes et des soldats israéliens provoquent l’exode de nombreux Arabes. Ils sont bientôt 750 000 réfugiés dans des camps en Jordanie et en Égypte, problème social et économique, fardeau pesant sur la conscience du monde et potentielle arme militaire et diplomatique pour les nationalistes arabes. »

“ Comment Israël expulsa les Palestiniens (1947 – 1949) ”,

Alternatives International – 2007 – Edition de l’Atelier,

Dominique Vidal journaliste, diplômé de philosophie et d’histoire ;

Sébastien Boussois, docteur en sciences politiques.

« Ces Palestiniens qu’on expulse, on fait en même temps main basse sur leurs biens. (…) La loi de décembre 1948 sur les ” propriétés abandonnées “, destinée à rendre possible la saisie des biens de toute personne ” absente “, en légalise la confiscation. »

Article : “ Not Again ”,

The Guardian 30 Sept 2002,

Arundhati ROY.

« En 1969, la première ministre Golda Meir disait ” Les Palestiniens n’existent pas. “

Son successeur Levi Eshkol disait : ” Les Palestiniens c’est quoi ? Quand je suis venu ici [en Palestine] il y avait 250 000 non-Juifs, principalement Arabes et Bédouins. C’était le désert, moins que sous-développé. Rien.”

Le premier ministre Menahem Begin appelait les Palestiniens ” bêtes à deux pattes. “

Le premier ministre Yizhak Shamir disait d’eux qu’ils étaient des ” sauterelles ” qui pouvaient être écrasées. »

Article dans Confluences Méditerranée, 2005.

Sébastien Boussois, docteur en sciences politiques.

« Benny Morris, (historien Israélien, professeur d’histoire de l’université de Bersheva) donnait le 9 janvier 2004, cette interview recueillie par Ari Shavit journaliste au quotidien Haaretz :

” Ben Gourion avait raison (…) Sans le déracinement des Palestiniens, un État juif ne serait pas né ici. (…)

Je pense qu’il a commis une grave erreur historique en 1948 (…).

Puisqu’il avait commencé à les expulser, il aurait peut-être dû finir le travail. (…) S’il avait expulsé tout le monde (…), il aurait assuré la stabilité de l’État d’Israël pour des générations. (…)

Si l’histoire se termine mal pour les Juifs, ce sera parce que Ben Gourion n’a pas fait un transfert complet en 1948. (…)

Si vous me demandez si je soutiens le transfert et l’expulsion des Arabes de la Cisjordanie, de Gaza et peut-être même de Galilée et du Triangle, je dis : pas en ce moment. (…)

Dans des circonstances apocalyptiques, qui pourraient se présenter dans cinq ou dix ans, je pourrais accepter des causes d’expulsion. Elles seraient même indispensables “. »

Par Ben Sales

28 mars 2019, 19:43.

The times of Israël.

Gaza resident sheds light on US weapons contributing to Gaza ‘genocide’

« En 2015, Netanyahu s’est de nouveau prononcé contre un État palestinien.

“ Quiconque veut aujourd’hui créer un État palestinien et se retirer des territoires donne la possibilité à l’islam radical d’attaquer l’État d’Israël ”, avait-il alors déclaré au site d’information israélien NRG. Quand on lui a demandé si cela signifiait qu’un État palestinien ne serait pas créé sous sa direction, il a répondu : “ En effet”. »

Par AFP et Times of Israel Staff

7 avril 2019, 19:34.

« Netanyahu a déclaré samedi soir vouloir annexer des implantations israéliennes en Cisjordanie en cas de réélection. “ J’appliquerai la souveraineté (israélienne) sans faire de distinction entre les (plus grands) blocs d’implantations et les implantations isolées ”, a-t-il affirmé sur la Douzième chaîne de télévision israélienne. »

Justes et courageux journalistes outrés, politiciens presque unanimement révoltés, dirigeants du monde libre indignés, intellectuels offusqués, religieux choqués, vous n’avez jamais rien dit, rien fait pour empêcher sinon arrêter les déportations, les spoliations, les annexions qu’annonçaient tous ces dirigeants israéliens depuis le début ?

Les annexions israéliennes sont-elles plus tolérables que celle de la Russie en Ukraine, l’Azerbaïdjan dans le Haut Karabakh, les nazis en Autriche.

Aujourd’hui infâmes, vous vous scandalisez de l’horrible catastrophe que toutes ces forfaitures, votre silence et votre inaction ont laissé advenir une fois de plus.

Sans avoir sollicité l’avis et encore moins l’accord des arabes qui y vivaient, les Nations Unies, par la résolution 181 (II) du 29 novembre 1947 dans sa Partie 2, procède à la partition de la Palestine en deux États et en définit les frontières.

C’étaient deux États sans moyens, sans ressources, ayant besoin pour se construire d’infrastructure, d’investissement, de technologie, etc. Les grandes puissances qui ont voulu cette implantation, avaient le pouvoir d’empêcher le conflit en partageant avec la Palestine l’aide apportée qu’à Israël.

Ils ne l’ont pas fait. L’issue était inéluctable.

Pour finir.

Écœurant la récupération politicienne empressée, ignoble de la première ministre française, par exemple !

« “ L’antisionisme ” de La France insoumise est “ parfois aussi une façon de masquer une forme d’antisémitisme ”, a lâché Elisabeth Borne, au micro de BFMTV. »

Les martyrs israéliens la remercient pour cette urgente mise au point qui leur fait tellement chaud au cœur.

Madame Borne ne sait même pas ce qu’est l’antisionisme.

Anti sionistes : des ultra-orthodoxes juifs, les Satmar, les Toldot Aharon et plus particulièrement les Neturei Karta, des organisations sociale-démocrates, socialistes et communistes du Yiddishland, le Bund (Union générale des travailleurs juifs), le Parti social-démocrate juif de Galicie, le Folksgrupe de Russie, en Pologne, le Folkspartei (en yiddish : Yidishe folkspartay), l’Alliance israélite universelle, organisation française, républicaine et patriote.

Netanyahu dans les années 80 se vante de la façon dont le lobby juif contrôle l’Amérique. « Nous possédons le sénat, le congrès, et nous avons un lobby juif record de notre côté. Nous avons une forte influence sur le soutien général.
C’est un ancien porte-parole de Tsahal qui dit que les frontières d’Israël continueront à s’étendre jusqu’à ce qu’ils prennent le contrôle et « purifient La Mecque ». Il n’a jamais été question d’otages. Il s’agissait toujours de nettoyage ethnique.

Ces antisionistes juifs et israéliens sont antisémites, alors ! Selon l’expertise de madame Borne.

Elle ne sait pas non plus ce qu’est le sionisme : « La Résolution 3379 de l’Assemblée générale des Nations unies en 1974 considère que “ le sionisme est une forme de racisme et de discrimination raciale ”. »

Madame Borne répète doctement mais niaisement ce qu’elle a entendu dire ou ce qu’on lui a dit de dire.

Et tous les autres se précipitent dans tous les média à longueur de temps.

Pour tenter de ramener la paix sans doute.

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