Dimanche, sur l’émission « Face the Nation » de CBS, le représentant Thomas Massie (R-KY) a déclaré que la Chambre des représentants s’apprêtait à déclarer la procureure générale Pam Bondi coupable d’outrage inhérent au Congrès en raison de la publication partielle des dossiers Epstein.
Massie a déclaré : « Ils bafouent l’esprit et la lettre de la loi. Leur attitude est très inquiétante. Je ne serai satisfait que lorsque les victimes le seront. Vous savez, j’ai dit quelques heures avant cette publication que nous verrons s’ils coopèrent, s’ils impliquent d’autres criminels et suspects, les témoins que ces victimes ont elles-mêmes fournis au FBI, et dont le nom n’a jamais été mentionné. »
L’animatrice Margaret Brennan a déclaré : « Que comptez-vous faire pour les obliger à obtempérer ? Je veux dire, pouvez-vous faire quelque chose ? »
Massie a déclaré : « Oh, absolument. Écoutez, on en a parlé – et d’ailleurs, Todd Blanch est le visage de cette affaire, mais c’est en réalité le bureau du procureur général. C’est Pam Bondi qui est responsable. Et il y a plusieurs façons d’y parvenir. Certaines sont plus longues, d’autres plus courtes. La plus rapide, et je pense la plus efficace pour obtenir justice pour ces victimes, est de porter plainte pour outrage au tribunal contre Pam Bondi. Et cela ne nécessite pas de passer par les tribunaux. Ro Khanna sont justement en train d’en discuter et de rédiger un document à ce sujet. »
Michael Jackson, Mick Jagger, des femmes nues… Ce que contiennent les documents déclassifiés sur Epstein
Comme le lui avait ordonné le Congrès, l’administration Trump a publié, ce vendredi, plus de 300 000 documents issus des enquêtes menées sur Jeffrey Epstein, mais ne publiera pas la totalité des pièces en sa possession.
Le ministère de la Justice a publié plus de 300 000 documents relatifs à ses enquêtes sur Jeffrey Epstein, le 19 décembre 2025. © Epstein Estate/House Oversight/Z
Aux alentours de 22 heures, ce vendredi, le ministère américain de la Justice a rendu publics plus de 300 000 documents issus de ses enquêtes sur Jeffrey Epstein.
Cette promesse de campagne de Donald Trump est devenue un caillou dans la chaussure du président, qui a redoublé d’efforts, ces derniers mois, pour détourner l’attention de ses liens passés avec le défunt pédocriminel. En vain. Le Congrès avait laissé au gouvernement jusqu’au 19 décembre pour s’exécuter. Une date très attendue, puisque le site du ministère a vite saturé, créant une file d’attente virtuelle. Même s’il faudra du temps pour examiner la totalité des documents, voici ce que révèle une première exploration.
Un fichier de 50 images de femmes nues
Les trente premières pages du dossier Epstein, désigné par le ministère de la Justice comme le « dossier de données n° 1 », comportent de nombreux liens PDF – environ une quarantaine par page, selon la BBC. La majorité de ces liens renvoient à des photos d’intérieur de propriété, sans qu’il ne soit possible de déterminer s’il s’agit d’un même lieu ou de plusieurs résidences. Aucune information contextuelle n’est mentionnée : ni date, ni localisation.
« Tu vas tout faire exploser » : comment Trump a plié sur le dossier Epstein
Plusieurs fichiers contiennent des milliers d’images, certaines prises lors d’une perquisition du FBI au domicile d’Epstein à Manhattan, à New York. Un fichier en particulier contient 50 images censurées de femmes nues.
Les visages de nombreuses personnes figurant sur ces photos sont masqués. Le ministère de la Justice a précisé dans une note que « tous les efforts raisonnables ont été déployés » pour expurger les informations personnelles des victimes, mais prévient que certaines pourraient être divulguées par inadvertance en raison du volume de documents.
Des photos de Bill Clinton, Mick Jagger et Michael Jackson
Des photos de Bill Clinton avec Mick Jagger et Michael Jackson – n’illustrant aucune inconduite sexuelle – figurent dans la masse de documents. De même qu’un cliché de l’ancien président dans une piscine en compagnie de Ghislaine Maxwell, la partenaire et coaccusée d’Epstein, et d’une autre personne dont le visage a été masqué.
Une photo montre également l’ancien prince Andrew allongé sur cinq personnes dont les visages ont été masqués, à l’exception de celui de Ghislaine Maxwell.
Des centaines de caméras étaient disposées dans les propriétés de Jeffrey Epstein, lui permettant d’espionner ses invités à leur insu. Des photos prises au domicile du défunt pédocriminel par les autorités montrent notamment un enregistreur vocal avec des cassettes dont les annotations sur les étiquettes ont été masquées par le ministère, ainsi que des cassettes VHS semblant provenir des caméras de surveillance de sa résidence à Palm Beach, en Floride.
« Rien d’autre qu’une opération de camouflage »
L’administration Trump n’a pas publié la totalité des pièces en sa possession. Todd Blanche, procureur général adjoint, s’est justifié sur Fox News en invoquant des enquêtes en cours et des raisons de sécurité nationale – la publication de la photo de Bill Clinton, dont les liens avec Epstein font l’objet d’une enquête, semble contredire cet argument.
Dans une lettre adressée au Congrès, il a indiqué que le ministère de la Justice avait révélé des centaines de milliers de documents, mais qu’il en examinait d’autres en vue d’une éventuelle publication, ce qui pourrait prendre environ deux semaines. Selon lui, les dossiers contenaient plus de 1 200 noms de victimes ou de leurs proches.
Le chef des sénateurs démocrates Chuck Schumer a rappelé dans un communiqué que la loi imposait au gouvernement de publier « TOUS les documents » ce vendredi. « Ce n’est rien d’autre qu’une opération de camouflage pour protéger Donald Trump de son passé peu reluisant », s’est-il insurgé, accusant l’administration de « tout faire pour cacher la vérité ».
Imperturbable, la Maison-Blanche a affirmé qu’« en publiant des milliers de pages de documents, en coopérant avec la commission de surveillance de la Chambre des représentants suite à sa demande de citation à comparaître, et en appelant récemment le président Trump à des enquêtes plus approfondies sur les amis démocrates d’Epstein, l’administration Trump a fait davantage pour les victimes que les démocrates ne l’ont jamais fait ».
Une victime d’Epstein affirme qu’il existe une bande vidéo de Donald Trump ayant des relations sexuelles avec « de nombreuses filles » enregistrée par Jeffrey Epstein.
For decades, people called Maria Farmer a liar.
The report she made to the FBI on September 3, 1996 was released …
… Proving that the US government was complicit in Epstein and Maxwell’s crimes. https://t.co/SNa2TQrceB pic.twitter.com/nVFafXlP0b
— Christine ❤️🕉😊 (@ChristineNunya) December 20, 2025



Le directeur du FBI, Kash Patel, sous serment : « Il n’existe aucune information crédible indiquant que Jeffrey Epstein ait fait l’objet d’un trafic de mineurs. » 40 mineurs ont témoigné sous serment avoir été victimes d’un trafic organisé par Jeffrey Epstein. Il s’agit là d’un acte de trahison.
— Cool (@JustMe98692898) December 20, 2025
Qui se souvient quand Kash Patel s’est assis là et a déclaré que la raison pour laquelle la liste Epstein n’avait pas été publiée était à cause des personnes qui y figuraient, et nous savons tous qui est l’une de ces personnes, surtout maintenant après avoir lu les e-mails de la succession Epstein qui ont été saisis par Ro Khanna !
This is treason.👇👇👇https://t.co/wC51OnwpRp
— TruthMatters 🐸 (@WayPastTimeX) December 20, 2025
Trump au Royaume-Uni : des images du président américain et d’Epstein projetées sur Windsor, quatre arrestations La visite de Donald Trump au Royaume-Uni a été assombrie par un incident provocateur : des images contestataires, dont des photos du président américain et de Jeffrey Epstein, financier condamné pour délits sexuels, ont été projetées sur le château de Windsor. Quatre personnes ont été arrêtées. La police britannique a arrêté quatre personnes soupçonnées d’avoir projeté des images de Donald Trump et du financier Jeffrey Epstein, condamné pour délits sexuels, sur le château de Windsor, a rapporté la BBC, citant la police de Thames Valley. L’incident s’est produit après l’arrivée du président américain en Grande-Bretagne pour sa deuxième visite d’État, le soir du 16 septembre. Une enquête a été ouverte après que les agents ont réagi « rapidement » pour mettre fin à la projection sur le château. Les personnes arrêtées sont actuellement en détention. Le groupe militant Led by Donkeys a revendiqué la responsabilité de cette action, qui consistait également à projeter la photo d’identité judiciaire de Trump prise en 2023, après son inculpation pour tentative de renverser les résultats de l’élection présidentielle de 2020. Jeffrey Epstein a été accusé aux États-Unis de trafic de mineurs à des fins d’exploitation sexuelle et de complot en vue de les impliquer dans ce trafic. Entre 2002 et 2005, selon les procureurs, il aurait eu des relations sexuelles avec des dizaines de mineures qu’il accueillait dans ses résidences de New York et de Floride. En 2019, le financier s’est retrouvé en détention, mais il a fini par se suicider. Trump était ami avec Epstein dans les années 1990 et au début des années 2000, mais il a ensuite rompu toute relation avec lui. En 2024, pendant sa campagne électorale, il a promis de divulguer les documents relatifs à une affaire Epstein, qui devaient notamment inclure la « liste des clients » du financier américain. Cependant, en juillet dernier, le FBI et le ministère de la Justice ont nié l’existence d’une telle liste
In today’s hearing, I told FBI Director Kash Patel that we know FBI still has unreleased documents which contain 20 names of rich and politically connected men who Epstein trafficked girls and young women to.
FBI needs to release the Epstein files and investigate these men. pic.twitter.com/xe2Fy9s2Ow
— Thomas Massie (@RepThomasMassie) September 17, 2025
Introduction à la visite de Donald Trump
La seconde visite d’État de Donald Trump au Royaume-Uni, qui a eu lieu en juin 2019, a suscité une attention médiatique considérable et a été marquée par diverses manifestations à travers le pays. Cette visite s’inscrit dans un contexte diplomatique particulier, alors que le Royaume-Uni naviguait dans les eaux tumultueuses du Brexit, cherchant à redéfinir ses relations internationales. L’arrivée de Trump a été précédée de discussions sur l’impact potentiel de cette visite sur les relations bilatérales entre les deux nations, notamment en ce qui concerne les enjeux commerciaux et de sécurité.
Ce voyage avait pour objectif de renforcer les liens transatlantiques tout en abordant des questions critiques telles que le commerce, la défense et la coopération en matière de sécurité. Pendant son séjour, Trump a rencontré la Reine et d’autres figures politiques significatives, renforçant ainsi l’importance diplomatique de cette visite. Les relations anglo-américaines ont toujours été un pilier de la politique mondiale et cette visite visait à affirmer cet engagement mutuel.
Il convient également de noter que le voyage de Trump a été marqué par des tensions. Les critiques de ses politiques et de ses commentaires ont alimenté des manifestations, mettant en lumière les divisions au sein de la société britannique quant à sa présence. Malgré cela, les dirigeants des deux pays ont cherché à tirer parti de cette visite pour avancer sur les questions commerciales et sécuritaires qui dominent actuellement l’agenda international.
En somme, cette visite avait non seulement une portée symbolique, mais aussi des implications concrètes pour l’avenir des relations entre les États-Unis et le Royaume-Uni dans un monde en constante évolution.
Le contexte de la projection sur le château de Windsor
La visite de Donald Trump au Royaume-Uni en juillet 2018 a suscité un large éventail de réactions de la part de la population britannique, allant de l’enthousiasme à une forte opposition. Ce climat de tension a culminé avec une projection d’images contestataires sur le château de Windsor, un événement marquant qui a capté l’attention tant sur place qu’à l’international. En effet, le château de Windsor est non seulement une résidence royale, mais également un symbole emblématique de la monarchie britannique, ce qui rend la projection sur ses murs d’autant plus provocatrice.
Les événements de cette soirée étaient orchestrés par un groupe de manifestants opposés à la visite de Trump. Les organisateurs avaient prévu cette intervention artistique comme un moyen de faire entendre leur voix, en utilisant les murs historiques du château comme un écran pour faire passer leur message. La projection a eu lieu pendant la rencontre entre Donald Trump et la Reine, soulignant ainsi l’opposition à ses politiques. Les images projetées comprenaient des messages sur des questions telles que les droits de l’homme et l’immigration, reflétant les inquiétudes de nombreux citoyens britanniques concernant le président et ses positions.
Le moment choisi pour cet incident était également stratégique, coïncidant avec les visites de Trump dans divers lieux emblématiques du pays. En impactant visuellement un lieu chargé d’histoire comme le château de Windsor, les manifestants espéraient non seulement attirer l’attention des médias, mais aussi du public sur leurs revendications. Les réactions à cet acte de protestation n’ont pas tardé à se manifester, suscitant à la fois l’admiration pour les porte-parole de la cause et des critiques sur les méthodes utilisées. En somme, cet incident a illustré la profondeur des sentiments à l’égard de la visite de Donald Trump, posant des questions sur l’avenir des relations entre le Royaume-Uni et les États-Unis.
Les images projetées et leurs significations
Lors de la visite très médiatisée de Donald Trump au Royaume-Uni, des images diverses ont été projetées sur des bâtiments emblématiques, attirant l’attention internationale. Parmi ces images, celles représentant Donald Trump aux côtés de figures controversées, notamment Jeffrey Epstein, ont suscité de vives réactions. Cette projection visuelle n’était pas seulement une représentation graphique ; elle visait à évoquer des interprétations profondes sur le personnage politique de Trump et ses associations.
Les images mettant en scène Trump et Epstein ont été particulièrement significatives. Jeffrey Epstein, accusé de crimes graves, symbolise des réseaux d’influence souvent enveloppés de mystère et de controverse. En projetant ces images, les artistes et activistes ont signalé une critique de l’élite politique, soulignant les liens perçus entre les puissants et des comportements immoraux. Cette juxtaposition entre Trump et Epstein est un moyen efficace d’inviter le public à réfléchir sur la moralité en politique et sur la responsabilité des dirigeants.
Le choix de ces images s’explique également par la nécessité de résonner avec des préoccupations sociétales contemporaines. En période d’accroissement des débats sur l’intégrité et la transparence des dirigeants politiques, la représentation visuelle de Trump aux côtés d’une figure aussi discutable qu’Epstein incarne une critique potentiellement plus large sur les abus de pouvoir et la justice. Par cette approche, les artistes visent à mobiliser les citoyens, à poser des questions sur l’éthique en politique et à inciter à une réflexion critique sur la personnalité publique de Trump.
Réaction des autorités et arrestations
Lors de la visite de Donald Trump au Royaume-Uni, l’incident provocateur a suscité une réaction rapide et significative de la part des forces de l’ordre britanniques. Dès que les événements se sont intensifiés, la police a déployé un nombre important d’agents pour assurer la sécurité du président et des autres participants à l’événement. L’approche proactive visait non seulement à maintenir l’ordre public, mais aussi à prévenir d’éventuels affrontements entre partisans et opposants de Trump.
Les autorités ont rapidement procédé à des arrestations, justifiant leurs actions par la nécessité de prévenir toute forme de violence ou de trouble à l’ordre public. En effet, les manifestants, certains d’entre eux s’opposant vigoureusement à la présence de Trump, ont incité les forces de l’ordre à agir. Ainsi, plusieurs individus ont été interpellés pour des actes considérés comme préjudiciables, allant de l’agression à la perturbation de l’ordre public. Ces arrestations ont alimenté un débat autour de l’équilibre entre la liberté d’expression et la nécessité de maintenir la sécurité lors d’événements sensibles.
Le cadre juridique entourant les actions de la police lors de cet incident repose sur des lois britanniques qui permettent des arrestations en cas de comportements menaçants ou violents. La police a souligné son engagement à respecter les droits des manifestants, tout en affirmant que la sécurité collective prime lors de situations à haut risque. Ce dilemme entre protection des libertés civiles et nécessité de sécurité publique a été au cœur des discussions, notamment sur les réseaux sociaux et dans les médias, illustrant les tensions qui peuvent surgir lors de visites officielles de personnalités controversées.
Le groupe militant ‘Led by Donkeys’
‘Led by Donkeys’ est un groupe militant britannique en faveur de la transparence et de la responsabilité politique, fondé en 2018. Composé de citoyens engagés, il s’est formé en réaction aux événements politiques tumultueux anticipés autour du Brexit, notamment l’impact de la désinformation sur le débat public. Leur nom, qui évoque une célèbre citation de Winston Churchill, symbolise le décalage entre le leadership politique et les préoccupations des citoyens. Ce groupe a rapidement gagné en notoriété grâce à ses campagnes de communication astucieuses, mêlant humour et satire.
Leurs méthodes se concentrent sur l’utilisation de médias visuels pour attirer l’attention sur des questions politiques cruciales. Par exemple, Led by Donkeys a souvent utilisé des panneaux d’affichage dans des zones très fréquentées, combinant des images choc avec des messages forts pour interpeller le public et les médias. Cela inclut des caricatures de figures politiques, telles que Donald Trump, visant à critiquer leurs décisions et à raviver le débat public sur des sujets controversés. Leur présence lors de l’incident provocateur pendant la visite de Trump au Royaume-Uni n’a donc pas été surprenante, témoignant de leur engagement à tenir les leaders politiques responsables de leurs actes.
Les motivations derrière leurs actions vont au-delà de la simple critique; elles s’articulent autour d’un souhait de susciter un dialogue constructif. En dénonçant ce qu’ils perçoivent comme des mensonges ou des manquements au devoir de rendre des comptes, le groupe souhaite inspirer une mobilisation citoyenne. Leur ligne directrice repose sur la conviction que l’information est un droit fondamental et que, pour une démocratie saine, les citoyens doivent être informés des décisions qui impactent leur vie quotidienne.
Le passé de Donald Trump et Jeffrey Epstein
La relation entre Donald Trump et Jeffrey Epstein a longtemps suscité l’intérêt des médias et du public. Leur amitié remonte aux années 1990, lorsque Trump, alors homme d’affaires en pleine ascension, a été présenté à Epstein, un financier controversé et socialite. Les deux hommes fréquentaient les cercles de la haute société et partageaient des intérêts communs, notamment dans le domaine de l’immobilier et des relations publiques. Cependant, il convient de noter que leur amitié n’a pas été exempte de controverses.
Au fil des ans, des allégations de comportements inappropriés ont émergé au sujet d’Epstein, qui a été accusé de diverses infractions liées à l’exploitation sexuelle. Ces allégations ont non seulement terni l’image d’Epstein, mais elles ont également eu des répercussions sur ses relations, puisqu’il a été associé à plusieurs personnalités célèbres, dont Donald Trump. Bien que Trump ait par la suite tenté de prendre ses distances par rapport à Epstein, des images et des témoignages témoignent de moments où les deux hommes ont été vus ensemble dans des événements sociaux. Trump a lui-même déclaré qu’il connaissait Epstein, mais qu’il ne l’avait pas vu depuis de nombreuses années, ce qui a éveillé des soupçons concernant l’étendue de leur lien.
Cette relation a posé des questions importantes sur l’image publique de Trump, notamment en période de campagne politique. Les opposants ont utilisé ces associations pour remettre en question son jugement et sa moralité, ce qui a eu un impact significatif sur la perception du public. La complexité de cette relation entre Donald Trump et Jeffrey Epstein illustre les défis auxquels les personnalités publiques peuvent être confrontées lorsque des liens avec des individus controversés sont exposés, entraînant ainsi de potentielles répercussions sur leur carrière et leur réputation.
Les accusations contre Jeffrey Epstein
Jeffrey Epstein, un financier américain au parcours douteux, a été au centre d’un scandale difficile à ignorer, avec des accusations graves de trafficking sexuel et d’abus de mineurs. Ses activités criminelles, qui ont duré plusieurs années, ont été révélées au grand jour lors de son arrestation en juillet 2019. À l’époque, les procureurs de New York ont accusé Epstein d’avoir exploité des mineurs à des fins sexuelles dans ses résidences à travers plusieurs États, incluant le Florida et New York. Ces allégations ont suscité une indignation publique considérable et une intense couverture médiatique.
Les enquêtes autour de ses actes ont mis en lumière un réseau complexe d’abus impliquant de nombreuses victimes, souvent des adolescentes vulnérables. Les accusations portées contre lui ont également mis en exergue des liens troublants avec des personnalités influentes, soulignant ainsi les préoccupations concernant la justice et l’impunité. Les responsables judiciaires ont soumis des preuves démontrant la manière dont il aurait manipulé ses victimes, souvent en leur promettant de l’aide ou des opportunités, avant de les soumettre à des abus.
La mort suspecte d’Epstein en août 2019, alors qu’il était en détention, a exacerbé les tensions entourant ces allégations. Officiellement décrite comme un suicide, sa disparition a alimenté des théories du complot et a laissé de nombreuses questions sans réponse pour les victimes et les observateurs. Sa mort a également semblé freiner les enquêtes plus profondes qui auraient pu éventuellement lier d’autres individus à ses actions criminelles. Au-delà de ses crimes individuels, Epstein reste une figure emblématique de l’exploitation systémique, un reflet des inégalités de pouvoir qui perdurent dans la société.
Les implications politiques et sociales de l’incident
L’incident lors de la visite de Donald Trump au Royaume-Uni a suscité un large éventail de réactions politiques et sociales, tant sur le plan national qu’international. Sur le plan politique, cet événement pourrait avoir des répercussions significatives sur la perception de Trump auprès des électeurs. En effet, les incidents provocateurs comme celui-ci peuvent influencer l’électorat, le poussant à réévaluer son soutien au président, surtout à l’approche des prochaines élections. Ce type d’événement offre une opportunité pour les opposants politiques de critiquer le président et de mobiliser leurs bases, en mettant en lumière les controverses entourant sa présidence.
Sur le plan social, les réactions du public à l’incident ont été variées. De nombreux citoyens du Royaume-Uni ont exprimé leur mécontentement à l’égard des actions de Trump, allant jusqu’à organiser des manifestations pour faire entendre leur voix. Cette montée en puissance du mécontentement pourrait également encourager des mouvements sociaux visant à influencer les politiques, non seulement au Royaume-Uni, mais aussi aux États-Unis. Ces mouvements peuvent avoir un effet d’entraînement sur le discours public, modifiant les façons dont les futurs dirigeants abordent les questions de diplomatie et de relations internationales.
Par ailleurs, les relations entre les États-Unis et le Royaume-Uni pourraient être affectées par cet incident, créant des tensions diplomatiques qui pourraient avoir des implications durables. L’attitude des électeurs envers les alliances internationales pourrait également changer, en fonction de leur évaluation des comportements des dirigeants sur la scène mondiale. Ainsi, cet incident se révèle être une pierre angulaire qui, au-delà des actes immédiats, pourrait redéfinir le cadre politique et social pour les années à venir, incitant les acteurs politiques à ajuster leurs stratégies respectives.
Conclusion et perspectives d’avenir
Lors de la visite de Donald Trump au Royaume-Uni, un incident provocateur a marqué les esprits, soulevant des questions cruciales concernant les relations anglo-américaines. Cet événement a mis en lumière les tensions sous-jacentes qui peuvent exister même entre des alliés historiques, tels que les États-Unis et le Royaume-Uni. Les manifestations qui ont agité les rues de Londres pendant sa visite sont le reflet d’une opinion publique divisée, à la fois concernant l’administration Trump et certains des choix politiques qu’il a faits. Ce contexte démontre que les relations internationales, bien que parfois solides, peuvent rapidement évoluer en raison d’événements percutants.
En analysant cet incident, on peut constater que les répercussions sur les relations anglo-américaines pourraient être significatives. Si d’une part, les deux pays partagent des intérêts stratégiques communs, d’autre part, cet incident souligne que l’image et la perception politique d’une nation peuvent influencer ses partenariats. L’avenir des échanges diplomatiques sera donc déterminé non seulement par les décisions politiques, mais également par la perception publique et la réaction des citoyens face aux actions gouvernementales.
Concernant le destin politique de Donald Trump, cet incident pourrait constituer un tournant. Les réactions, tant au Royaume-Uni qu’aux États-Unis, pourraient influencer son soutien électoral, notamment à l’approche des futures élections. Si cet épisode devait exacerber les sentiments d’opposition à Trump, cela pourrait avoir des implications sur sa capacité à mener à bien ses politiques tant intérieures qu’extérieures.
À court et moyen terme, il sera intéressant d’observer comment cet incident influencera non seulement les perceptions mutuelles entre les deux pays, mais aussi la manière dont chaque nation jouera son rôle sur la scène internationale. Les relations entre le Royaume-Uni et les États-Unis continueront d’évoluer, façonnées par les choix politiques de leurs dirigeants respectifs et la volonté de leurs citoyens de soutenir un partenariat qui s’étend au-delà des défis immédiats.
Worldwide !?!
We’ve seen what their Armed Security Forces get up to !
They’re either Knicker Sniffers
Or
Knickers on Top
(also known as Superman syndrome 😐) pic.twitter.com/oExR9wl19H— AymonHoush (@AymonHoush) December 19, 2025
NOBODY’S GIRL : Les mémoires explosives de la survie, des secrets et du combat final pour la justice Dans « Nobody’s Girl », Virginia Giuffre accomplit ce que le monde n’aurait jamais cru possible : elle lève le voile sur des décennies de silence et livre un récit cru et sans concession d’abus, de trahison et de résilience. Loin du secret, ces 400 pages dévoilent des noms, révèlent des lieux d’horreur et révèlent les conversations glaçantes qui ont façonné son destin. En savoir plus : 👇 👇 👇 http://newlifes.org/…/st-virginia-giuffres-last-stand… Il ne s’agit pas d’un appel à la compassion. C’est une détonation de vérité – une exigence de responsabilité de la part des hommes les plus puissants qui croyaient que leurs secrets ne seraient jamais révélés au grand jour. Virginia n’a jamais vécu assez longtemps pour exprimer sa vérité à haute voix. Elle a laissé derrière elle une bombe à retardement : ses mémoires, un acte ultime et courageux qui garantit que sa voix ne sera plus jamais réduite au silence. Sans filtre. Implacable. Déchirant. Nobody’s Girl n’est pas seulement un mémoire : c’est une prise de conscience qui promet d’ébranler les fondements du pouvoir et de déclencher un appel mondial à la justice.
Epstein’s victims have declared they will release the names of his clients independently, without any government involvement.
They said they’ve had enough and will expose every single client they know. pic.twitter.com/AgG5ZitULY
— Shadow of Ezra (@ShadowofEzra) September 3, 2025
EPSTEIN RАРЕ VICTIM:
“A constant stream of girls being raped over and over again…I was 10 years old…. that’s how long the sex trafficking ring has been going on for.”pic.twitter.com/sixiWrqplE
— Dr. Anastasia Maria Loupis (@DrLoupis__) September 3, 2025
Listen to alias “Katie Johnson” she says she was 13 years old when she had sex with Donald J. Trump.https://t.co/WOzZsa1JTI
— Knight Of Justice (@DefendXJustice) September 4, 2025
WOW! Survivors of Jeffrey Epstein and Ghislaine Maxwell reveal none of them have been contacted even ONCE by the Department of Justice pic.twitter.com/z9C9qp4rit
— Khalissee (@Kahlissee) September 3, 2025
Introduction au Scandale Epstein
Le scandale Jeffrey Epstein a émergé comme l’un des cas les plus marquants de l’exploitation sexuelle et du trafic de personnes au cours des deux dernières décennies. Jeffrey Epstein, un homme d’affaires et financier, a été accusé d’avoir orchestré un réseau complexe de trafic sexuel, ciblant de jeunes adolescentes vulnérables. Les allégations mettent en lumière non seulement les crimes odieux d’Epstein, mais aussi les dynamiques de pouvoir et d’impunité qui ont permis à ces abus de prospérer. De nombreuses victimes ont témoigné de leur souffrance, révélant des expériences traumatisantes qui continuent de les hanter.
Les accusations portées contre Epstein impliquent non seulement son comportement personnel, mais aussi un cadre de complicité impliquant d’autres figures influentes. Ces révélations ont suscité une indignation nationale et mondiale, provoquant un appel pressant à l’examen des institutions qui ont pu faciliter ou ignorer de tels abus. Le scandale a mis en lumière l’importance de la protection des droits des femmes et des enfants, soulignant les lacunes dans les systèmes judiciaires et juridiques qui ont échoué à défendre les plus vulnérables.
Au-delà des détails sordides des accusations, le cas d’Epstein a également engendré un débat crucial sur la question de la responsabilité des élites et le rôle que la richesse et le statut peuvent jouer dans la préservation de l’impunité. Les victimes, qui ont longtemps été silencieuses, commencent à obtenir une plateforme pour partager leurs histoires et réclamer justice. Le combat pour la vérité et la justice se poursuit, non seulement pour les victimes directes d’Epstein, mais aussi pour la société dans son ensemble, qui est confrontée à des questions fondamentales sur l’éthique, la responsabilité et la protection des droits humains.
Les Victimes se Manifestent
Les affaires entourant Jeffrey Epstein ont suscité un اهتمام considérable à travers le monde, mais au-delà des gros titres, se trouvent des histoires poignantes de victimes. Peu après le début des enquêtes, plusieurs femmes et hommes ont commencé à raconter leurs expériences traumatisantes, cherchant à briser le silence qui les entourait. La lutte pour la justice a permis à ces victimes de trouver la force nécessaire pour s’exprimer et revendiquer leurs droits, souvent après des années d’isolement et de souffrance silencieuse.
Ces témoignages, qui varient en contexte et en gravité, partagent un dénominateur commun : un désir profond de vérité et de reconnaissance. Chaque histoire dévoile des couches de manipulation, d’abus de pouvoir et de coercition, mais aussi de résilience et de courage. En s’exprimant, les victimes d’Épstein espèrent non seulement obtenir des réparations personnelles, mais aussi sensibiliser le public à l’ampleur de l’exploitation sexuelle et aux systèmes qui la perpétuent. Des plateformes comme le mouvement #MeToo ont joué un rôle clé dans la création d’un environnement plus favorable à ces déclarations, rendant la parole aux victimes et leur offrant une tribune.
Les récits variés, comprenant des témoignages individuels et collectifs, illustrent des parcours de vie profondément affectés par l’abus. Ces voix permettent également de mettre en lumière la diversité des expériences vécues, rendant compte de la complexité des traumatismes. Aggregations de dons et d’appels publics se sont également transformés en actions concrètes avec des associations créées pour soutenir ces victimes dans leur quête de guérison. Cette dynamique de prise de parole est un élément fondamental pour faire face à l’injustice et inciter d’autres victimes à se manifester.
L’engagement à Révéler les Noms
Les victimes d’Épstein, ayant vécu des expériences traumatisantes, démontrent un engagement fort envers la vérité et la transparence. Leur détermination à divulguer les noms de tous ceux qui ont été associés à Jeffrey Epstein ne repose pas uniquement sur un besoin de justice personnelle, mais également sur la nécessité de briser le silence entourant cette affaire. Cela s’inscrit dans un mouvement plus large visant à responsabiliser ceux qui ont abusé de leur pouvoir et ont perpétré des actes d’exploitation.
Dans leurs déclarations, plusieurs victimes expriment un profond sentiment de frustration face à l’impasse judiciaire et à la lenteur des procédures gouvernementales. Elles estiment que l’attente d’une intervention de la part des institutions officielles ne fait que prolonger leur douleur et leur quête de justice. En choisissant de parler publiquement, elles cherchent à mettre en lumière non seulement leur propre meurtre, mais aussi à dévoiler un réseau plus vaste de complicité et d’abus.
Ce choix de transparence souligne le désir des victimes de ne pas se sentir isolées ou réduites au silence. Pour elles, la lutte pour leurs droits est indissociable de celle pour la vérité. Elles espèrent que la publication des noms des individus impliqués dans le cercle d’Épstein encouragera d’autres victimes à prendre la parole et à partager leurs expériences. Par conséquent, cela pourrait contribuer à une culture de responsabilité et à une prise de conscience plus large des abus de pouvoir dans diverses sphères de la société.
Ce mouvement pour la divulgation des noms est clairement motivé par un besoin urgent de justice, de reconnaissance et de soutien. Alors que le public et les autorités sont confrontés à des informations nouvellement révélées, la volonté des victimes de défendre leurs droits et de lutter pour la vérité s’érige en tant qu’appel puissant à l’action pour tous ceux qui aspirent à un monde plus juste.
Témoignages Déchirants
Les histoires des victimes d’Épstein sont souvent marquées par une intensité émotionnelle qui révèle l’ampleur du traumatisme qu’elles ont vécu. Au cœur des révélations, des témoignages poignants retracent les événements tragiques qui ont profondément influencé leurs vies. Une jeune femme, par exemple, a partagé son expérience dévastatrice, soulignant comment elle a été manipulée et forcée dans un monde où la peur et le contrôle prenaient le dessus. Elle a mentionné que ce n’était pas seulement une victime d’abus, mais un exercice de pouvoir incessant sur son existence.
Une autre victime a relaté les moments où elle a été recrutée pour des festivités glamour, où elle s’est vite rendu compte que ces événements n’étaient qu’un leurre. Sous le vernis de l’opulence, elle a été confrontée à une réalité cruelle, où son consentement était ignoré et son corps soumis à des exigences terribles. Les détails de son récit révèlent un aspect tragique du réseau de trafic sexuel, soulignant comment des individus vulnérables ont été attirés dans ce piège créé par ceux en position de pouvoir.
Les retours de ces femmes mettent en évidence l’impact dévastateur que ce réseau a eu sur leur santé mentale et physique. Beaucoup continuent de lutter avec des sentiments de honte et de culpabilité, des émotions qu’elles ont été induites à ressentir pour cacher la vérité. L’isolement social et la stigmatisation ont exacerbé leur souffrance, rendant encore plus difficile leur chemin vers la guérison. Leurs récits ne sont pas des récits isolés, mais des échos d’un système plus vaste qui a permis l’exploitation et la brutalité.
Ces témoignages servent de puissante déclaration de l’injustifiable vécu de ces femmes, appelant à la justice et à une escorte indéfectible de la vérité. Chaque histoire met en lumière le besoin de dénonciation et de compréhension d’un problème systémique qui persiste toujours dans l’ombre.
Le Réseau de Trafic Sexuel
Le réseau de trafic sexuel dirigé par Jeffrey Epstein constitue une organisation complexe aux ramifications étendues, qui a su opérer discrètement pendant plusieurs années. Cette structure a mis en place un ensemble de méthodes sophistiquées pour exploiter les victimes, souvent des jeunes filles vulnérables, en les manipulant psychologiquement et en les isolant. Les victimes étaient généralement recrutées à travers des canaux variés, allant des annonces d’emploi trompeuses à des rencontres stratégiques dans des cercles sociaux influents. Une fois intégrées dans le réseau, ces jeunes femmes se trouvaient souvent dans des situations de dépendance, tant émotionnelle que financière, ce qui facilitait leur exploitation.
Les méthodes utilisées par Epstein et ses complices s’inscrivent dans un cadre opérationnel bien rodé. Promouvoir un environnement d’impunité était essentiel à leur succès. Epstein a su tirer parti de ses relations avec des personnalités influentes pour dissiper toute suspicion qui aurait pu émerger de ses actions, créant ainsi une sorte de bouclier contre la justice. De plus, l’utilisation des médias et des réseaux sociaux a permis au réseau de préserver une façade respectable tout en dissimulant des activités criminelles. Les déplacements fréquents d’Epstein entre différentes résidences, notamment des propriétés de luxe à New York et dans les îles Vierges, ont contribué à éluder la surveillance des autorités.
Le fonctionnement du réseau reposait également sur un système de silence et de peur. Les victimes étaient souvent menacées de violence, ou manipulées par des promesses de richesse ou de succès, ce qui les empêchait de se manifester. Cela a renforcé un cycle de silence, où la honte et la peur bloquaient toute tentative de dénonciation. Les éléments présents dans cette tragédie soulèvent des questions cruciales sur la responsabilité des institutions et des individus qui ont permis à cette organisation d’exister et de prospérer. Cet aspect souligne l’importance d’une enquête approfondie et d’une réponse judiciaire appropriée pour assurer justice aux victimes de ce réseau de trafic sexuel profondément enraciné.
La Réaction du Public et des Médias
Les révélations concernant Jeffrey Epstein et ses crimes odieux envers de nombreuses victimes ont suscité une onde de choc à travers le monde. La réaction du public a été marquée par un mélange de colère, de tristesse et de revendication de justice. L’intérêt pour cette affaire a rapidement engendré une discussion sur les thèmes de la culture du silence et du pouvoir démesuré des élites, qui semblent parfois exempter certaines personnes de toute responsabilité.
Les médias ont joué un rôle crucial dans cette dynamique, en exposant de manière approfondie non seulement les atrocités commises par Epstein, mais également les complicités et les protections dont il a bénéficié durant des décennies. La couverture médiatique a mis en lumière des témoignages puissants de survivantes qui racontent leur parcours doloroso, et a soulevé des questions sur comment la société a tourné le dos à ces individus pendant si longtemps. Ce ton accusateur à l’égard des instances de pouvoir, qu’elles soient politiques ou économiques, a créé un sentiment général d’exigence pour une plus grande transparence et une justice réelle.
Les réseaux sociaux ont également amplifié cette réaction, permettant aux voix des victimes de se faire entendre sans filtre. Des hashtags tels que #MeToo et #JusticePourLesVictimes ont pris de l’ampleur, servant de plateforme pour dénoncer non seulement Epstein, mais aussi la culture de la viol et du harcèlement qui perdure à travers différentes strates de la société. Cependant, cette couverture médiatique ne vient pas sans critiques. Des voix s’élèvent pour interroger l’engagement des médias : ont-ils réellement fait leur devoir en rapportant ces atrocités, ou ont-ils contribué à la culture du sensationnalisme qui prive les victimes de leur dignité et soutien ?
La responsabilité des médias reste un sujet de débat, surtout face à l’impératif de rendre compte d’histoires qui sont souvent compliquées et tragiques. Cette question demeure essentielle alors que les appels à la justice continuent de se multiplier, reflétant une volonté collective de briser le cycle de silence qui protège les puissants.
Impacts Sociaux et Juridiques
Le scandale Epstein a révélé des dysfonctionnements majeurs au sein du système judiciaire américain, touchant à la fois les explications socioculturelles de l’exploitation sexuelle et les mécanismes juridiques censés protéger les victimes. Les allégations portées contre Jeffrey Epstein ont servi de catalyseur pour une prise de conscience collective sur la gravité de l’exploitation sexuelle, en mettant en lumière des cas de victimisation souvent passés sous silence. Cette situation a incité de nombreuses victimes à partager leurs expériences, brisant ainsi le cycle de la honte et de la stigmatisation qui entoure souvent de tels abus.
Sur le plan social, le cas Epstein a encouragé des discussions essentielles concernant les préjugés systémiques que subissent les victimes d’agressions sexuelles. Beaucoup ont commencé à plaider pour une restructuration des normes sociétales qui permettent l’impunité des criminels, surtout ceux qui occupent des positions de pouvoir et d’influence. L’idée que l’exploitation sexuelle est une problématique qui transcende les classes sociales a été mise en avant, alimentant des mouvements comme #MeToo qui visent à responsabiliser les agresseurs et à protéger les victimes.
Au niveau juridique, le scandale a suscité un examen approfondi des lois entourant les délits sexuels et a mis en lumière la nécessité d’une réforme systémique pour garantir une justice équitable. D’importantes pressions ont été exercées sur les législateurs pour qu’ils revoient les lois existantes, afin d’améliorer la protection des victimes et d’assurer que les coupables soient tenus responsables de leurs actes. La mise en place de protocoles plus rigoureux pour traiter les allégations d’agression sexuelle dans le système judiciaire est devenue une priorité, avec l’espoir d’un avenir où les voix des victimes seront non seulement entendues mais également prises en compte de manière significative dans le cadre des enquêtes et des poursuites judiciaires.
Solidarité et Soutien aux Victimes
La lutte contre la violence sexuelle est une problématique mondiale qui requiert l’engagement et la solidarité de l’ensemble de la société. De nombreuses organisations se consacrent à fournir un soutien aux victimes, notamment celles touchées par des cas hautement médiatisés comme celui d’Épstein. Ces initiatives offrent une plateforme précieuse pour la guérison des survivants et aident à promouvoir la sensibilisation à l’exploitation sexuelle.
Des groupes tels que la RAINN (Rape, Abuse & Incest National Network) aux États-Unis ou l’Association Européenne contre les Violences faites aux Femmes au Travail en Europe, travaillent sans relâche pour la protection des droits des victimes. Ils fournissent des services essentiels, tels que l counseling, les lignes d’assistance téléphonique, et les programmes éducatifs visant à prévenir la violence sexuelle. En soutenant ces organisations, la communauté joue un rôle vital dans la reconstitution de la dignité et de la voix des survivants.
La sensibilisation publique est également un aspect fondamental du soutien aux victimes. À travers des campagnes de communication, des mots de soutien sur les réseaux sociaux, et des événements locaux, la communauté peut démontrer sa solidarité. Cela permet non seulement de donner une visibilité aux expériences des survivants, mais aussi de créer un environnement où ils se sentent compris et soutenus dans leurs luttes.
En engageant des discussions ouvertes sur ces questions, nous pouvons contribuer à diminuer la stigmatisation souvent associée aux victimes de violence sexuelle. Cette éducation est cruciale pour créer un espace sûr et inclusif afin que plus de personnes se sentent prêtes à partager leurs expériences et à chercher l’aide nécessaire. Par conséquent, la solidarité communautaire est primordiale pour encourager la guérison et la justice.
Affaire Epstein : plus de 33 000 pages dévoilées par le Congrès américain

Keating est la fille de l’ancien Premier ministre australien Paul Keating. Elle a été photographiée quittant la maison d’Epstein, accompagnée du prince Andrew.J’ai souvent conclu que le réseau international de trafic sexuel de Jeffrey Epstein et Ghislaine Maxwell s’inscrivait dans la continuité d’autres réseaux pédophiles d’élite. Bien que les spéculations sur la raison pour laquelle Katherine Keating a été aperçue dans la demeure d’Epstein à Manhattan soient encore nombreuses, je crois l’avoir découverte, et c’est terrifiant.

Le Congrès américain a mis en ligne plus de 33 000 pages issues de l’enquête sur Jeffrey Epstein. Une opération censée apporter des réponses, mais qui laisse planer le doute. Peu d’éléments nouveaux, des documents en vrac, et une administration Trump prise entre ses promesses de transparence et les critiques de dissimulation. La commission de surveillance de la Chambre des représentants des États-Unis a publié, ce 2 septembre, plus de 33 000 pages de documents relatifs au financier déchu Jeffrey Epstein. Ces fichiers proviennent du ministère de la Justice et ont été mis en ligne sans tri préalable. Selon les déclarations du président de la commission, l’élu républicain James Comer, cette démarche vise une « transparence complète » afin que « tout le monde en Amérique puisse voir ces documents ». We just released ALL the subpoenaed documents from the DOJ related to Jeffrey Epstein. 📁 Access them here: https://t.co/oGY6BYcAcO— Oversight Committee (@GOPoversight) September 2, 2025
“Les responsables du ministère de la Justice nous ont informés que le ministère commencerait à fournir Epstein-les dossiers connexes au Comité de surveillance cette semaine vendredi. Il existe de nombreux dossiers sous la garde du ministère de la Justice, et il faudra du temps au ministère pour produire tous les dossiers et s’assurer que l’identification des victimes et tout matériel d’abus sexuel sur enfant sont expurgés. J’apprécie l’engagement de l’administration Trump en faveur de la transparence et ses efforts pour fournir au peuple américain des informations sur cette question.”
Le 5 août, le président Comer émis une assignation à comparaître aux États-Unis Ministère de la Justice pour les dossiers liés à Epstein. Le même jour, il a également émis des assignations à comparaître à Bill et Hillary Clinton, James Comey, Loretta Lynch, Eric Holder, Merrick Garland, Robert Mueller, William Barr, Jeff Sessions et Alberto Gonzales pour des témoignages liés aux crimes horribles perpétrés par Jeffrey Epstein. Ces assignations à comparaître font suite à l’action d’un sous-comité de surveillance, qui a approuvé des requêtes visant à assigner à comparaître ces dossiers et à contraindre les témoins à témoigner.
Cependant, cette publication massive ne semble pas répondre aux attentes. Selon le représentant démocrate Robert Garcia, « 97 % de ces documents étaient déjà publics ». D’autres élus, comme Summer Lee et Ro Khanna, dénoncent une opération de communication sans apport d’éléments nouveaux. Le seul ajout notable serait moins de 1 000 pages de journaux de vol de l’avion privé d’Epstein, obtenus par les douanes américaines. Les documents ont été publiés sous forme d’images individuelles, rendant leur consultation difficile pour le public. Certaines données ont été volontairement retirées afin de protéger les victimes d’exploitation sexuelle. Une administration Trump en difficulté Jeffrey Epstein, arrêté en 2019 pour trafic sexuel de mineures, est mort en prison la même année. Officiellement, il se serait suicidé, mais cette version alimente depuis de nombreuses théories du complot. Le Wall Street Journal avait révélé en juillet que le nom de Donald Trump figurait dans certains documents internes, tout comme ceux de nombreuses personnalités de haut rang. La Maison Blanche avait alors démenti ces informations. Le président Trump, mis sous pression par sa propre base qui exige la transparence promise depuis sa campagne, tente depuis plusieurs semaines de calmer la controverse. Il a mandaté son ancien avocat Todd Blanche, désormais haut responsable au ministère de la Justice, pour interroger Ghislaine Maxwell, complice condamnée d’Epstein. Le verbatim de cet entretien a été rendu public fin août. Maxwell y affirme ne pas croire à la thèse du suicide et nie toute existence d’une « liste de clients ». Elle indique également n’avoir « jamais observé » un comportement inapproprié de Trump. La pression politique s’intensifie Cette publication intervient dans un contexte de méfiance croissante envers les institutions américaines. La pression monte au Congrès, où une proposition de loi bipartisane — le Epstein Files Transparency Act — cherche à contraindre le ministère de la Justice à rendre publics l’ensemble des fichiers. Les élus organisent même des conférences de presse en compagnie de plusieurs victimes pour exiger des réponses. Malgré les promesses de transparence, les voix critiques se multiplient. Comme le déclare la députée démocrate Melanie Stansbury, il ne s’agirait que d’une tentative de « dissimulation ». En arrière-plan, les convocations se poursuivent. Bill et Hillary Clinton, ainsi que d’anciens ministres de la Justice et directeurs du FBI, doivent répondre prochainement devant le Congrès de leurs liens avec Epstein. La prochaine audition de Ghislaine Maxwell, initialement prévue pour le 11 août, a été repoussée sans nouvelle date. À ce jour, malgré l’ampleur du volume rendu public, aucune « liste de clients » ou révélation fracassante n’a émergé. Les victimes, elles, continuent de réclamer justice.
Conclusion : Un Appel à l’Action
Le sujet des victimes d’Épstein ne se limite pas à un seul cas, mais soulève des questions cruciales sur le trafic sexuel et l’exploitation des individus dans divers contextes. Il est essentiel que chaque lecteur prenne conscience de la gravité de ces enjeux et de l’impact dévastateur qu’ils ont sur la vie des personnes concernées. Dans un monde où l’impunité semble parfois prévaloir, il est indispensable d’unir nos forces pour soutenir ceux qui ont souffert et qui continuent de lutter pour la justice.
Il est urgent d’encourager une culture de transparence et d’intégrité, qui ne tolère en aucun cas les abus sous toutes leurs formes. Chaque voix compte dans cette lutte. Que ce soit à travers le bénévolat pour des organisations de soutien aux victimes ou en sensibilisant d’autres personnes à ces problèmes, notre engagement collectif peut faire une différence significative. Il est également crucial d’éduquer les jeunes générations sur les dangers du trafic et de l’exploitation, afin de les protéger et de les aider à devenir des acteurs du changement.
Le pouvoir de l’action citoyenne peut contribuer à battre en brèche les structures qui permettent encore la continuation de telles injustices. Nous devons exiger des mesures concrètes de la part des gouvernements et des organisations internationales afin d’éradiquer non seulement le trafic sexuel, mais également de renforcer les réseaux de protection pour les victimes. Cela inclut un soutien législatif, des ressources appropriées pour les enquêtes sur les crimes liés au sexe, et un accompagnement psychologique pour celles et ceux qui osent parler.
En conclusion, un appel à l’action s’impose : soutenons les victimes, agissons pour la justice, et travaillons ensemble à créer un avenir sans violence ni exploitation. Il est temps que chaque citoyen prenne position et fasse entendre sa voix dans cette lutte pour la dignité humaine et les droits fondamentaux.
BREAKING: 🚨 🇺🇸 🇮🇱 Marjorie Taylor Greene tells 60 Minutes that Trump was FURIOUS she supported releasing the Epstein files.
He said that it was going to “hurt people.”
Trump has been acting like a blackmailed pedo since inauguration.
pic.twitter.com/jcxFAM7VGr— ADAM (@AdameMedia) December 6, 2025
It’s not the Epstein files, it’s the Jewish pedophile grooming gang worldwide. pic.twitter.com/yz18jzxvHO
— Palestinian OG 🇵🇸 🇾🇪 (@Tonykharouf) December 21, 2025
9 ans avant le 7/10/2023, l’actuel ministre sionsiste de la Sécurité Ben-Gvir a célébré avec des colons l’immolation du bébé palestinien Ali Dawabsha, riant, chantant, poignardant et brûlant sa photo. Cet événement, bien sûr, n’a pas été couvert par les médias.
Menteur !!https://t.co/PlIk3Az9xA
— Isaac-יצחק 🎗️ 🍌 (@zepmacM) December 19, 2025
Les Dossiers Epstein récemment publiés, qui doivent être révélés en intégralité par la loi, ont vu 119 pages entièrement noircies (parmi d’autres suppressions importantes ailleurs).
Contrairement à cette affirmation, au lieu de transparence, l’administration assure la défense des pédophiles et des violeurs.
President Trump is leading the most transparent administration in American history.
By moving to unseal these documents, we hope to give the American people more answers about that fateful day in Butler, Pennsylvania. https://t.co/v7iH9sfpiW
— Attorney General Pamela Bondi (@AGPamBondi) December 20, 2025
45000 morts par armes à feu en 2023, un taux d’obésité de 80%, un taux d’inculture proche de 90% (bon, chez nous ça approche ok !), la came a contaminé les trottoirs de toutes les villes, les gosses flinguent avec les pétards des parents, détecteurs d’armes dans les écoles, éviction d’humoristes qui te vannent, il fait rêver ton pays, Donald ! Il y a de très beaux endroits chez toi, mais tellement plus accueillants ailleurs…tu as rejoint le club des enculés de la planète, bien plus nombreux hélas que les autres…
Dans l’Amérique de Trump, tout devient ridiculement cher : l’alimentation, le loyer, les soins de santé, la garde d’enfants, l’essence, les services publics.
Les gens travaillent plus dur que jamais et pourtant, ils s’accumulent. Le quotidien est devenu une lutte financière incessante, loin de la croissance économique florissante qui nous avait été promise.
Depuis les années 1990, les coûts du logement ont augmenté de plus de 200 %, tandis que les salaires ont progressé beaucoup plus lentement.
Les dépenses de santé par personne ont plus que triplé.
Dans de nombreuses villes, les services de garde d’enfants rivalisent désormais avec le loyer.
Les prix des produits alimentaires et des services publics montent en flèche, puis ne redescendent jamais complètement.
Et lorsque les dirigeants ne cessent de répéter que l’économie est « formidable », alors que les familles s’endettent au maximum, quelque chose se brise : la confiance.
S’attaquer aux données économiques, minimiser l’inflation et ignorer la réalité vécue ne fait pas baisser les prix. Cela ne fait que masquer la difficulté.
Ce n’est pas une croissance que les gens peuvent ressentir.
C’est l’épuisement.
C’est de la colère.
C’est la peur.
Et oui, c’est pourquoi tant de gens disent : ce n’est pas ce à quoi nous nous attendions.







