Les mensonges mille fois répétés deviendront-ils des vérités ?

Calomniez ! Calomniez ! Il en restera toujours quelque chose.

Jamais une entreprise du mensonge n’a été aussi monstrueuse que celle de l’Etat d’Israël depuis ce 7 octobre. Les journalistes qui essaient de faire leur métier n’ont jamais été autant en danger. Ils risquent leur vie quotidiennement pour nous faire parvenir des brides de vérité. 81 journalistes ont été tués par l’armée israélienne depuis le 7 octobre. 77 journalistes tués à Gaza en quatre mois selon le décompte du CPJ. Un article de Médiapart qui veut leur rendre hommage précise : “Jamais autant de journalistes ne sont morts en si peu de temps, ni durant les deux guerres mondiales, ni durant les guerres du Vietnam, de Bosnie, d’Irak, d’Afghanistan, pour citer quelques-unes des plus meurtrières. En Ukraine, depuis deux ans, 17 journalistes ont été tué·es, selon le CPJ.”

Ce pays est devenu une menace planetaire et doit etre déprogrammé.

La férocité du combat contre la vérité des sionistes est à la hauteur de leur projet… Ils sont accusés de génocide par la Cour Internationale de Justice. C’est un blocus de l’information qui est organisé à Gaza pour masquer toutes les atrocités auxquelles se livre l’armée des sionistes. Reporters Sans Frontières a déposé plainte devant la Cour pénale internationale pour des crimes de guerre commis contre les journalistes en Palestine et en Israël. Ne comptez pas sur ces criminels pour raconter ce qui s’est réellement passé le 7 octobre.

Introduction

Le conflit israélo-palestinien est un sujet complexe et souvent controversé. Récemment, une vidéo a fait surface, montrant les forces israéliennes en train de kidnapper cinq enfants en Cisjordanie. Il est crucial de noter que cet incident s’est produit avant le 7 octobre, et non à Gaza.

Contexte de l’Incident

La Cisjordanie, un territoire disputé depuis des décennies, est souvent le théâtre de tensions entre les forces israéliennes et les Palestiniens. Dans ce climat de conflit, les incidents tels que le kidnapping d’enfants par les forces israéliennes soulèvent des questions sur les droits de l’homme et la légalité des actions militaires dans la région.

Réactions et Implications

La vidéo du kidnapping a provoqué une vague d’indignation et de condamnations internationales. Les organisations de défense des droits de l’homme appellent à une enquête approfondie pour faire la lumière sur cet incident et pour s’assurer que les responsables soient tenus pour responsables. Cet incident met également en lumière la nécessité d’une solution pacifique et durable au conflit israélo-palestinien.

Conclusion

Le kidnapping de cinq enfants en Cisjordanie par les forces israéliennes est un rappel tragique des réalités brutales du conflit dans cette région. Il est essentiel que la communauté internationale continue de suivre de près ces événements et de travailler pour une résolution pacifique qui respecte les droits et la dignité de toutes les parties impliquées.

 

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Histoire | Des navires de réfugiés arrivent à Haïfa en 1946. Ils arrivent en tant que réfugiés et sont accueillis avec une générosité et une compassion sans limites. Juste avant qu’ils ne volent les terres et fassent des réfugiés des propriétaires fonciers. C’est la pire trahison de l’histoire.

 

 

 

 

 

 

 

Le colonel israélien, Golan Vach, reconnaît lors d’un entretien que les chars de l’armée israélienne ont ouvert le feu sur des maisons qui contenaient des colons israéliens le 7 octobre. #Gaza_Genocide‌ #CeaseFirelnGazaNOW #IsraelWarCrimes

 

 

Parmi elles, 331 victimes – soit 48,4 % – ont été confirmées comme étant des soldats et des officiers de police, dont de nombreuses femmes. Treize autres sont décrits comme des membres des services de secours, et les 339 autres sont ostensiblement considérés comme des civils. Bien que cette liste ne soit pas exhaustive et ne représente qu’environ la moitié du nombre de morts déclaré par Israël, près de la moitié des personnes tuées dans la mêlée sont clairement identifiées comme des combattants israéliens. Jusqu’à présent, aucun décès d’enfant de moins de trois ans n’a été enregistré, ce qui remet en question la thèse israélienne selon laquelle les bébés auraient été pris pour cible par les résistants palestiniens. Sur les 683 victimes recensées à ce jour, sept étaient âgées de 4 à 7 ans et neuf de 10 à 17 ans. Les 667 autres victimes semblent être des adultes.

 

 

 

Les politiciens américains sont les esclaves d’Israël et des Juifs sionistes.

 

 

 

 

Le kibboutz de Be’eri après l’arrêt des combats.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Parmi elles, 331 victimes – soit 48,4 % – ont été confirmées comme étant des soldats et des officiers de police, dont de nombreuses femmes. Treize autres sont décrits comme des membres des services de secours, et les 339 autres sont ostensiblement considérés comme des civils. Bien que cette liste ne soit pas exhaustive et ne représente qu’environ la moitié du nombre de morts déclaré par Israël, près de la moitié des personnes tuées dans la mêlée sont clairement identifiées comme des combattants israéliens. Jusqu’à présent, aucun décès d’enfant de moins de trois ans n’a été enregistré, ce qui remet en question la thèse israélienne selon laquelle les bébés auraient été pris pour cible par les résistants palestiniens. Sur les 683 victimes recensées à ce jour, sept étaient âgées de 4 à 7 ans et neuf de 10 à 17 ans. Les 667 autres victimes semblent être des adultes.

 

 

 

 

 

 

Massacres du 7 octobre : des témoins israéliens accusent l’armée d’avoir tué ses propres soldats et citoyens

https://twitter.com/RealAlexJones/status/1796327570654286116

هذه روايتنا.. لماذا طوفان ا… by Amany Hassan

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Plus de 200 civils palestiniens innocents ont été impitoyablement massacrés pour libérer Noa Argamani et lui permettre de danser à moitié nue avec son père torse nu sur des arnaques techno merdiques pendant que son petit ami est toujours en captivité. Quelle société malade et dérangée

L’inversion des réalités entre Israël et la Palestine, selon l’ancien colonel de l’armée française et ancien conseiller en relations internationales au ministère de l’Intérieur et de la Défense, Alain Corvez, à la télévision algérienne .

L’attaque du 7 octobre 2023 est attribuée dans toute la presse au Hamas. Il y avait en fait d’autres factions d’attaquants résistants. Nous ne disposons d’aucune enquête sérieuse sur la réalité des faits. Une seule certitude : les autorités israéliennes ont menti. Elles commencent d’ailleurs à rétropédaler bien timidement.

Les énormes mensonges à propos de l’attaque du 7 octobre servent à tenter de justifier l’atroce réalité que subit maintenant la population de Gaza et les autres palestiniens d’Israël et de Cisjordanie.

La Cour internationale de Justice (CIJ), a rendu une première décision le vendredi 26 janvier sur des mesures urgentes contre Israël, accusé de « génocide » dans la bande de Gaza. La présidente de la CIJ a estimé qu’« au moins certains actes [à Gaza] semblent susceptibles de tomber sous le coup de la convention sur le génocide » et a ordonné à Israël de « prévenir et punir » l’incitation au « génocide ».

Les énormes mensonges visent à inverser l’accusation.

Depuis le 7 octobre, le détail de l’attaque du Hamas n’a quasiment pas été questionné en langue française, tout comme la distinction de plusieurs factions d’attaquants qui ont participé à l’attaque avec le Hamas.

Des faits invraisemblables ont été rapportés. les prétendus “sanguinaires assaillants du Hamas” ont été accusés de mettre des bébés israéliens dans des fours, d’éventrer des femmes enceintes, de charcuter femmes et enfants.

Quatre mois après, une écrasante majorité de dirigeants, médias et personnalités continue de qualifier l’action du “Hamas” (sans jamais nommé les autres groupes) de massacre de plus de 1000 victimes. Jusque dans les rangs du mouvement ouvrier, il est question d’ “une série de pogrom antisémites”. D’où sortent-ils que “le bilan de ses pogroms est de l’ordre de 1400 morts” ou qu’il s’agissait d’ “une opération militaire préparée sous supervision iranienne pour aller massacrer, démembrer, violer, et se retirer ensuite” ou encore d’ “une série de pogroms affirmant une visée génocidaire” ?

The Grayzone a enquêté sur la fabrique à mensonge en Israël.

The Grayzone a poursuivi son enquête auprès de relais au New York Times et dans d’autres organes de presse du monde “libre”.

Quelques personnalités ont alors commencé à rétropédaler. Le 12 octobre, Biden change de version à propos de soi-disant bébés décapités.

Quelques médias tels The Craddle, Mondoweiss, The Grayzone, Times of Israel, Haaretz, +972 Magazinze, ont fait remonter à la surface des témoignages de survivants et de militaires, des rapports de police attestant d’une autre version sur le rôle de l’armée israélienne que celle de Netanyahou reprise en chœur par médias et gouvernants occidentaux.

Il sera difficile de connaître toute la vérité mais nous avons maintenant quelques certitudes. Le témoignage de Yossi Landau, chef des opérations de ZAKA pour la région sud d’Israël n’est pas crédible. ZAKA est une organisation religieuse “d’identification des victimes de catastrophes”. The Grayzone précise en effet :

“Malgré la présence de plusieurs témoins potentiels à l’intérieur de Beeri avant l’arrivée de ZAKA pour récupérer les cadavres, aucun témoignage indépendant corroborant les affirmations de Landau n’a encore fait surface. De plus, aucun décès de frères et sœurs âgés de 6 à 8 ans n’a été enregistré à Beeri le 7 octobre. Toute trace d’un jeune enfant tué de la manière décrite par Landau est également inexistante, tout comme les photos de la famille assassinée qu’il a décrite. En fait, les seuls frères et sœurs proches de cette tranche d’âge qui sont morts dans la communauté ce jour-là – les jumeaux Liel et Yanai Hetrzroni, 12 ans – ont été tués par les bombardements de chars israéliens.”

Je rappelle de quoi il s’agissait. Le “témoignage” de ce Yossi Landau avait été repris par Blinken lui-même qui a rapporté cette “scène horrible destinée à illustrer la sauvagerie du Hamas”. “Un jeune garçon et une jeune fille, âgés de 6 et 8 ans et leurs parents autour de la table du petit-déjeuner”. “l’œil du père a été arraché devant ses enfants. Le sein de la mère a été coupé. Le pied de la fille a été amputé, les doigts du garçon ont été coupés avant leur exécution”. Cet abominable racontar, mille fois répété, est évidemment entièrement faux.

Le journal Libération confirme : “le bilan presque définitif confirme que certaines horreurs alléguées, parfois relayées hâtivement au plus haut niveau pour obtenir le soutien international, n’ont pas eu lieu”. Tout ce qui a été dit sur le massacre de bébés est entièrement faux : “Le mensonge de « 40 bébés massacrés par le Hamas » est parti d’une déclaration d’une correspondante de la chaîne israélienne i24 News (détenue par le milliardaire français Patrick Drahi également propriétaire de BFMTV), à partir d’un Kibboutz qui venait d’être libéré, le 10 octobre”.

Dans toute la presse occidentale, le décompte des victimes n’est fait qu’à partir des données officielles israéliennes. Comment se fait-il qu’en pleine propagande de guerre on ne prenne en compte que les données venant d’un seul camp ? D’ailleurs ces données sont déjà revues à la baisse par les autorités israéliennes elles-mêmes. Le porte parole israélien Mark Regev, ancien ambassadeur d’Israël au Royaune-Uni, déclare dans une interview accordée à MSNBC le 17 novembre 2023 : « nous avions initialement annoncé un chiffre de 1400 victimes, que nous avons ramené à 1200, car nous avons compris que nous avions surestimé, que nous nous étions trompés… » (Voir cette vidéo à 6mn45s). Confrontées à l’invraisemblance des chiffres annoncés, les autorités israéliennes effectuent un timide rétropédalage. Gageons que nous attendrons longtemps une liste des victimes vérifiable par des journalistes indépendants. Il en est de même au sujet des prétendus “viols de masse”. Nous apprenons en effet que des enquêtes sont en cours au sujet d’éventuelles “agressions sexuelles”. Le rétropédalage amène donc à requalifier les faits de “viols” en “agressions sexuelles”… lesquelles ne sont toujours pas prouvées. Wikipédia, tout en prenant nettement parti pour la version israélienne, avoue : “Néanmoins, le temps de l’enquête fait qu’aucune preuve matérielle n’est présentée avant début décembre 2023.” L’ONU-femmes reste prudente en déclarant être : “toujours alarmée par les récits de violence basées sur le genre le 7 octobre et appelle a une enquête rigoureuse”. Nombreux sont ceux qui ne s’embarrassent pas de tant de rigueur !

Les mensonges mille fois répétés deviendront-ils des vérités ?

Calomniez ! Calomniez ! Il en restera toujours quelque chose.

Jamais une entreprise du mensonge n’a été aussi monstrueuse que celle de l’Etat d’Israël depuis ce 7 octobre. Les journalistes qui essaient de faire leur métier n’ont jamais été autant en danger. Ils risquent leur vie quotidiennement pour nous faire parvenir des brides de vérité. 81 journalistes ont été tués par l’armée israélienne depuis le 7 octobre. 77 journalistes tués à Gaza en quatre mois selon le décompte du CPJ. Un article de Médiapart qui veut leur rendre hommage précise : “Jamais autant de journalistes ne sont morts en si peu de temps, ni durant les deux guerres mondiales, ni durant les guerres du Vietnam, de Bosnie, d’Irak, d’Afghanistan, pour citer quelques-unes des plus meurtrières. En Ukraine, depuis deux ans, 17 journalistes ont été tué·es, selon le CPJ.”

La férocité du combat contre la vérité des sionistes est à la hauteur de leur projet… Ils sont accusés de génocide par la Cour Internationale de Justice. C’est un blocus de l’information qui est organisé à Gaza pour masquer toutes les atrocités auxquelles se livre l’armée des sionistes. Reporters Sans Frontières a déposé plainte devant la Cour pénale internationale pour des crimes de guerre commis contre les journalistes en Palestine et en Israël. Ne comptez pas sur ces criminels pour raconter ce qui s’est réellement passé le 7 octobre.

Israël est le dernier avatar du colonialisme « britannique » dont la genèse remonte au XIX° siècle avec l’idée de coloniser la Palestine avec des Juifs importés d’Europe pour en faire des fermiers de Judée et de Galilée (1)…Il faut des colons pour coloniser…qui donnera un peu à la fois le colonialisme de peuplement que l’on connaît (les anglais avaient assez affaire avec leurs colons dans le Commonwealth)

Le contexte géopolitique du XIX° est le démantèlement de l’empire ottoman en cours par l’Angleterre, la France, la Russie, l’Italie… coalisés, l’affaiblissement de l’Égypte par l’endettement (2), de la Banque ottomane également (3), le Canal de Suez « Nouvelle route des Indes », les navires steam-vapeur, puis le pétrole de cette région nouvel eldorado avec l’arrivée des moteurs à explosion…et de cette nouvelle énergie fossile bon marché qui allait changer la face du monde

Également anticipation aussi pour empêcher un fédéralisme des pays arabes pour remplacer cet empire ottoman que pouvait faire craindre la Nahda… et donc nécessité de contrôler la région https://fr.wikipedia.org/wiki/Nahda

En laissant de côté les émois insignifiants de Theodor Herzl (grand commis des banques européennes) avec l’affaire Dreyfus, et les ligues antisémites et antimaçonniques allemande et française, qui font partie du décor, les Accords de Sykes-Picot sont en cours de tricotage pour redessiner les frontières du Moyen-Orient. En résumé..

À l’Idée Messianique d’Un Retoure des Juifs en Palestine, Car l’intention du LanUtueur Était Sans équivoque Clairement Coloniale.

L’auteur en est Anthony Ashley Cooper, 7e comte de Shaftesbury, Un Lord, Le Comte de Shaftesbury.

“Une terre sans peuple pour un peuple sans terre” … “et les Juifs … reviendront probablement en plus grand nombre, et se redeviendront les mariages de Judée et de Galilée.”

(et les JUIFS … Y Retourneront Probablement Encore en Grand Nombre, et Deviendront une de plus les Fermiers de Judée et de Galilée!)

Religion et restaurationnisme juif

Le «mémorandum de Lord Shaftesbury aux monarques protestants de l’Europe pour la restauration des Juifs en Palestine», publié à l’époque coloniale, en 1841

Shaftesbury était un étudiant d’Edward Bickersteth et ensemble, ils sont devenus des défenseurs d’éminents du sionisme chrétien en Grande-Bretagne. [33] [34] Shaftesbury a été un premier partisan de la restauration des Juifs en Terre Sainte, fournissant la première proposition d’un grand politicien pour réinstaller les Juifs en Palestine. La conquête de la Grande Syrie en 1831 par Muhammad Ali d’Égypte a changé les conditions dans lesquelles la politique du pouvoir européenne opérait au Proche-Orient. En conséquence de ce changement, Shaftesbury a pu aider le ministre des Affaires étrangères Palmerston à envoyer un consul britannique à Jérusalem en 1838. Un chrétien engagé et un Anglais fidèle, Shaftesbury a plaidé pour un retour juif à cause de ce qu’il considérait comme le politique et l’économie Avantages pour l’Angleterre et parce qu’il croyait que c’était la volonté de Dieu. En janvier 1839, Shaftesbury a publié un article dans The Quarterly Review, qui, bien que commençant initialement les lettres de 1838 sur l’Égypte, Edom et la Terre Sainte (1838) de Lord Lindsay, a fourni la première proposition par un politicien majeur pour réinstaller les Juifs en Palestine: [35] [36]

Le sol et le climat de la Palestine sont singulièrement adaptés à la croissance des produits requis pour les exigences de la Grande-Bretagne; Le meilleur coton peut être obtenu en abondance presque illimitée; La soie et le plus fou sont l’aliment de base du pays, et l’huile d’olive est maintenant, comme jamais, la graisse même de la terre. Le capital et les compétences sont seuls nécessaires: la présence d’un officier britannique, et la sécurité accrue des biens que sa présence conférera peut les inviter de ces îles à la culture de la Palestine; Et les Juifs, qui se dresseront à l’agriculture dans aucune autre terre, ayant découvert, dans le consul anglais, un médiateur entre leur peuple et la Pacha, reviendront probablement en plus grand nombre, et redeviendront les mariages de Judée et de Judée et Galilée. [37]

L’affichage de la guerre de Crimée (1854), comme l’expansionnisme militaire de Muhammad Ali deux décennies plus tôt, a signalé une ouverture pour les réalignements au Proche-Orient. En juillet 1853, Shaftesbury a écrit au Premier ministre Aberdeen que la Grande Syrie était «un pays sans nation» ayant besoin de «une nation sans pays … y a-t-il une telle chose? Pour être sûr qu’il y a, les seigneurs anciens et légitimes du sol, les Juifs! “Dans son journal de cette année, il a écrit:« Ces vastes régions fertiles seront bientôt sans souverain, sans pouvoir connu et reconnu de revendiquer la domination. Le territoire doit être affecté à quelqu’un ou à l’autre … Il y a un pays sans nation; et Dieu maintenant dans sa sagesse et sa miséricorde, nous dirige vers une nation sans pays. «[38] [39] Ceci est généralement cité comme Une utilisation précoce de la phrase, «une terre sans peuple pour un peuple sans terre» par laquelle Shaftesbury faisait écho à un autre partisan britannique de la restauration des Juifs à Israël (Dr Alexander Keith.)

Buste d’Anthony Ashley-Cooper, par F. Winter 1886. Dans la collection du Dorset County Museum, Dorchester.

Shaftesbury était président de la British and Foreign Bible Society (BFBS) de 1851 jusqu’à sa mort en 1885. Il a écrit, de la Bible Society, «de toutes les sociétés, c’est le plus proche de mon cœur … La Bible Society a toujours été un mot d’attente en notre maison. »Il a également été président de l’alliance évangélique pendant un certain temps. [2]

​initially commenting on the 1838 Letters on Egypt, Edom and the Holy Land (1838) by Lord Lindsay, provided the first proposal by a major politician to resettle Jews in Palestine :[35][36]

The soil and climate of Palestine are singularly adapted to the growth of produce required for the exigencies of Great Britain ; the finest cotton may be obtained in almost unlimited abundance ; silk and madder are the staple of the country, and olive oil is now, as it ever was, the very fatness of the land. Capital and skill are alone required : the presence of a British officer, and the increased security of property which his presence will confer, may invite them from these islands to the cultivation of Palestine ; and the Jews’, who will betake themselves to agriculture in no other land, having found, in the English consul, a mediator between their people and the Pacha, will probably return in yet greater numbers, and become once more the husbandmen of Judaea and Galilee.  [37]

The lead-up to the Crimean War (1854), like the military expansionism of Muhammad Ali two decades earlier, signalled an opening for realignments in the Near East. In July 1853, Shaftesbury wrote to Prime Minister Aberdeen that Greater Syria was “a country without a nation” in need of “a nation without a country… Is there such a thing ? To be sure there is, the ancient and rightful lords of the soil, the Jews !” In his diary that year he wrote “these vast and fertile regions will soon be without a ruler, without a known and acknowledged power to claim dominion. The territory must be assigned to some one or other… There is a country without a nation ; and God now in his wisdom and mercy, directs us to a nation without a country.« [38][39] This is commonly cited as an early use of the phrase,  »A land without a people for a people without a land” by which Shaftesbury was echoing another British proponent of the restoration of the Jews to Israel, (Dr Alexander Keith.)

Bust of Anthony Ashley-Cooper, by F. Winter, 1886. In the collection of Dorset County museum, Dorchester.

Shaftesbury was President of the British and Foreign Bible Society (BFBS) from 1851 until his death in 1885. He wrote, of the Bible Society, « Of all Societies this is nearest to my heart… Bible Society has always been a watchword in our house. » He was also president of the Evangelical Alliance for some time.[2]

 
 
 
 
 
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Le bureau de presse du gouvernement israélien vient de confirmer formellement qu’il n’y a jamais eu 40 bébés décapités, ni à Kfar Aza, ni dans aucun autre kibboutz ! Le 10 octobre, les comptes officiels israéliens se font le relais d’une allégation sordide, mais infondée. Six mois plus tard, celle-ci continue de circuler, alimentant les accusations de désinformation israélienne. Dans ce flot de témoignages de meurtres, de pillages, de mutilations, une rumeur à pris une ampleur extraordinaire : quarante bébés décapités auraient été retrouvés dans le kibboutz Kfar Aza, l’une des localités israéliennes les plus meurtries. Ce récit, et ses variantes, a connu une viralité inédite, jusqu’à être évoquée à la Maison Blanche. Pourtant, dans l’horreur qu’a constitué ce massacre, où trente-huit mineurs dont deux nourrissons ont été tués, il n’y a jamais eu quarante bébés décapités. Ni à Kfar Aza, ni dans aucun autre kibboutz, a confirmé au Monde le bureau de presse du gouvernement israélien

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