Exclusive Content:

Best Places to Get Your Mexican Food Fix When You Visit Mexico City

I understand how that could positively effect your body,...

The Biggest Hollywood Celebrities Visit the Jungles of Thailand

I understand how that could positively effect your body,...

Celebrity Make-up Artist Gary Meyers Shows you His Beauty Tricks

I understand how that could positively effect your body,...

Macron, toujours plus détestable, 

corruption de la Véme République

`

Un sujet qui peut faire la différence aux législatives ?

Pourquoi la politique menée durant la pseudo-pandémie n’a jamais été évoquée pendant les élections européennes par les partis alors que les masques et les confinements n’avaient aucune justification scientifique ?

Arrêtez de vous acharner sur Macron il est cuit , devenu cible universelle de tous les politiques et partis .Vous lui faites trop d’honneur  !
C’est pas qu’il ne mérite pas d’être critiqué , mais à la limite vous lui rendez service : Vous parlez encore et toujours de lui et c’est pas de l’ego dont il manque !

Macron pourrait aussi passer la patate chaude de la gestion du pays à d’autres, alors que l’impasse économique dans laquelle il a placé notre pays devient bien plus complexe à gérer. Ainsi, il n’aurait pas à assumer l’équation budgétaire inextricable qu’il a mis en place, échappant pour partie aux conséquences de ses actes, tout en lui permettant d’essayer de redorer son image. Mais au final, sa défaite serait aussi une mise à la retraite anticipée, ce qui serait extrêmement réjouissant.
Macron pourrait aussi passer la patate chaude de la gestion du pays à d’autres, alors que l’impasse économique dans laquelle il a placé notre pays devient bien plus complexe à gérer. Ainsi, il n’aurait pas à assumer l’équation budgétaire inextricable qu’il a mis en place, échappant pour partie aux conséquences de ses actes, tout en lui permettant d’essayer de redorer son image. Mais au final, sa défaite serait aussi une mise à la retraite anticipée, ce qui serait extrêmement réjouissant.
MACRON FAIT CAMPAGNE POUR BARDELLA ET LE PEN : ÇA COMMENCE À SE VOIR

Introduction au phénomène de rejet

Au total ,ce sont 4,1millions d'euros qui ont été détournés pendant 11 ans 😱😱😱😱 Les eurodéputés Il s’agit de neuf personnalités qui étaient élues au Parlement européen au moment des faits jugés (entre 2004 et 2016). Elles ont été reconnues coupables d’avoir embauché et payé des assistants parlementaires qui n’ont en réalité pas travaillé pour eux mais pour le parti. Toutes ont été condamnées pour détournement de fonds publics. Les eurodéputés 1)Marine Le Pen. 2)Louis Alliot 3)Marie-Christine Arnautu 4)Nicolas Bay 5)Bruno Gollnisch. 6)Dominique Bilde. 7)Mylène Troszczynski. 8)Marie-Christine Boutonnet. Fernand Le Rachinel. Les assistants parlementaires Yann Le Pen. La sœur de Marine Le Pen et mère de Marion Maréchal, soupçonnée d’avoir été injustement rémunérée comme collaboratrice de Bruno Gollnisch, est condamnée à douze mois de prison avec sursis simple et deux ans d’inéligibilité avec sursis. https://www.lemonde.fr/.../condamnation-de-marine-le-pen...
Au total ,ce sont 4,1millions d’euros qui ont été détournés pendant 11 ans 😱😱😱😱 Les eurodéputés Il s’agit de neuf personnalités qui étaient élues au Parlement européen au moment des faits jugés (entre 2004 et 2016). Elles ont été reconnues coupables d’avoir embauché et payé des assistants parlementaires qui n’ont en réalité pas travaillé pour eux mais pour le parti. Toutes ont été condamnées pour détournement de fonds publics. Les eurodéputés 1)Marine Le Pen. 2)Louis Alliot 3)Marie-Christine Arnautu 4)Nicolas Bay 5)Bruno Gollnisch. 6)Dominique Bilde. 7)Mylène Troszczynski. 8)Marie-Christine Boutonnet. Fernand Le Rachinel. Les assistants parlementaires Yann Le Pen. La sœur de Marine Le Pen et mère de Marion Maréchal, soupçonnée d’avoir été injustement rémunérée comme collaboratrice de Bruno Gollnisch, est condamnée à douze mois de prison avec sursis simple et deux ans d’inéligibilité avec sursis. https://www.lemonde.fr/…/condamnation-de-marine-le-pen…

Depuis son élection en 2017, Emmanuel Macron est devenu une figure de plus en plus controversée dans l’opinion publique française. Initialement perçu comme un réformateur dynamique, son mandat a progressivement suscité une hostilité croissante. Plusieurs événements et décisions politiques ont contribué à cette perception négative, plongeant le président dans une spirale de mécontentement populaire.

Parmi les facteurs les plus marquants, on peut citer les réformes économiques et sociales qu’il a mises en œuvre. La réforme du Code du travail, par exemple, a été perçue par beaucoup comme trop favorable aux entreprises au détriment des travailleurs. Cette perception a été exacerbée par le mouvement des “Gilets jaunes”, qui a vu des milliers de manifestants descendre dans la rue pour protester contre la hausse des taxes sur les carburants et les inégalités économiques croissantes. Ces manifestations ont duré plusieurs mois et ont profondément marqué l’opinion publique.

En outre, la gestion de la crise sanitaire liée à la COVID-19 a également joué un rôle clé dans la détérioration de l’image de Macron. Les critiques ont fusé concernant la lenteur de la campagne de vaccination initiale et les mesures restrictives imposées, telles que les confinements successifs et l’instauration du pass sanitaire. Ces décisions ont été perçues par une partie de la population comme autoritaires et déconnectées des réalités quotidiennes des citoyens.

Enfin, le style personnel de Macron a également alimenté le ressentiment. Souvent perçu comme arrogant et éloigné des préoccupations des Français moyens, ses déclarations publiques et son attitude lors de certaines crises ont renforcé l’image d’un président “jupiterien”, distant et insensible. Ces éléments conjugués ont conduit à une montée en flèche de la détestation à son égard, faisant de lui une figure particulièrement polarisante sur la scène politique française.

Historique de la popularité de Macron

Depuis son élection en mai 2017, la popularité d’Emmanuel Macron a connu des fluctuations notables, reflétant les diverses réactions de la population face à ses politiques et décisions. Initialement, Macron a bénéficié d’une vague de soutien, en grande partie grâce à sa promesse de renouveler la politique française et de stimuler l’économie. La victoire de Macron sur Marine Le Pen au second tour des élections présidentielles a également engrangé un sentiment de soulagement et d’optimisme parmi une large partie de l’électorat.

Cependant, les premiers signes de déclin de sa popularité sont apparus fin 2017 et début 2018, notamment avec les manifestations contre les réformes du Code du travail. Ces réformes, perçues par beaucoup comme favorisant les entreprises au détriment des travailleurs, ont suscité des grèves et des protestations massives, marquant une première baisse significative dans les sondages. La gestion de la crise des Gilets Jaunes en 2018-2019 a été un autre tournant majeur. Les manifestations, déclenchées par la hausse des taxes sur le carburant, ont rapidement évolué en un mouvement plus large de contestation sociale contre les inégalités économiques et les réformes perçues comme injustes.

La popularité de Macron a également été affectée par sa gestion de la pandémie de COVID-19. Bien que les mesures strictes de confinement aient initialement rallié un certain soutien, les critiques sur la lenteur de la campagne de vaccination et la gestion des vagues successives du virus ont érodé la confiance du public. Enfin, les réformes controversées des retraites en 2020 ont une nouvelle fois cristallisé l’opposition, déclenchant des grèves et des manifestations d’envergure nationale.

En somme, l’évolution de la popularité de Macron reflète une alternance de périodes de soutien et de mécontentement, largement influencées par les politiques économiques et sociales mises en place par son administration. Les moments clés de son mandat ont souvent été des catalyseurs de fluctuations significatives dans l’opinion publique, soulignant les défis constants auxquels il est confronté pour maintenir la confiance et le soutien des citoyens.

Les politiques économiques controversées

Les politiques économiques mises en œuvre sous la présidence d’Emmanuel Macron ont suscité de nombreuses controverses et un mécontentement notable parmi une partie de la population française. Un point central de ce mécontentement réside dans les réformes du marché du travail. Macron a promu la flexibilité et la dérégulation du marché du travail, notamment par la loi Travail de 2017, qui visait à simplifier les procédures de licenciement et à encourager les négociations internes aux entreprises. Bien que ces mesures aient été saluées par certains comme nécessaires pour dynamiser l’économie et réduire le chômage, elles ont également été perçues comme une attaque contre les droits des travailleurs, menant à des manifestations massives et une grogne sociale persistante.

En outre, les changements dans les politiques fiscales ont également provoqué des réactions vives. L’une des mesures les plus critiquées fut la suppression de l’impôt sur la fortune (ISF), remplacé par l’impôt sur la fortune immobilière (IFI). Cette réforme a été perçue par beaucoup comme un cadeau aux plus riches, exacerbant les inégalités économiques et sociales. Les gilets jaunes, un mouvement de protestation qui a émergé en 2018, ont notamment dénoncé cette mesure comme emblématique du déséquilibre fiscal et de l’injustice sociale.

Par ailleurs, d’autres mesures économiques, telles que la réforme des retraites, ont intensifié le mécontentement. Le projet de simplification et d’unification des régimes de retraite, malgré des intentions affichées de justice et d’équité, a été perçu par nombre de travailleurs comme une menace pour leurs acquis sociaux. Les grèves et les manifestations massives qui ont suivi témoignent de la profondeur de l’opposition à ces changements.

En somme, les politiques économiques de Macron, bien qu’ayant des objectifs de modernisation et de compétitivité, ont souvent été mal reçues par une partie du public, contribuant à une perception de plus en plus négative de son action et de son leadership économique.“`html

Les mouvements sociaux et les protestations

Depuis l’élection d’Emmanuel Macron en tant que président de la République française, divers mouvements sociaux et protestations ont émergé en réponse à ses politiques. L’un des mouvements les plus emblématiques est celui des Gilets jaunes, qui a débuté en novembre 2018. Ce mouvement a été déclenché par une hausse des taxes sur le carburant, mais il a rapidement évolué pour englober une multitude de revendications, allant de la justice fiscale à la critique des inégalités économiques croissantes.

Les manifestants des Gilets jaunes ont exprimé un profond sentiment de mécontentement envers Macron, perçu comme un président éloigné des préoccupations des citoyens ordinaires. Les manifestations ont souvent été marquées par des affrontements violents avec les forces de l’ordre, et les images de ces confrontations ont largement été diffusées dans les médias, contribuant à l’image d’un président impopulaire et contesté.

Outre les Gilets jaunes, d’autres mouvements sociaux ont également pris forme sous le mandat de Macron. Les réformes du système de retraite, par exemple, ont suscité de vives protestations de la part des syndicats et des travailleurs. Les grèves massives qui en ont découlé ont paralysé une grande partie du pays, illustrant le profond désaccord entre le gouvernement et une partie significative de la population.

Ces mouvements sociaux ne se contentent pas de critiquer les politiques spécifiques de Macron; ils reflètent aussi une défiance plus générale envers un président perçu comme favorisant les élites au détriment des classes populaires. Les protestations ont ainsi joué un rôle crucial dans la formation de l’image négative de Macron, soulignant un fossé croissant entre le président et une partie de la population française.

La gestion de la crise sanitaire

La gestion de la crise sanitaire par le gouvernement d’Emmanuel Macron a été au centre de nombreuses controverses. Dès le début de la pandémie de COVID-19, les mesures de confinement imposées par l’État ont suscité des réactions mitigées. Bien que certaines parties de la population aient salué ces mesures comme nécessaires pour contenir la propagation du virus, d’autres ont critiqué leur impact sur l’économie et les libertés individuelles. Les confinements successifs ont accentué la fatigue et la frustration, conduisant à une perception publique de plus en plus négative envers Macron.

Le programme de vaccination, quant à lui, a également été une source de discorde. Initialement critiqué pour sa lenteur, le déploiement des vaccins a été jugé insuffisant et mal organisé. Les problèmes logistiques, la pénurie de doses et la communication parfois contradictoire ont alimenté le mécontentement. Bien que la situation se soit améliorée avec le temps, les premières erreurs ont laissé une empreinte durable sur l’opinion publique.

En matière de communication, le gouvernement de Macron a souvent été accusé de manque de transparence et de cohérence. Les messages changeants et parfois confus ont contribué à une perte de confiance parmi les citoyens. Les annonces abruptes et les volte-face sur certaines décisions ont renforcé l’impression d’une gestion hésitante et mal préparée. Cette perception a été exacerbée par une série de scandales et de polémiques, y compris les conditions de travail des soignants et la gestion des stocks de matériel médical.

En somme, la gestion de la crise sanitaire par Emmanuel Macron a été un facteur clé dans l’évolution de sa perception publique. Les critiques concernent non seulement les mesures spécifiques mises en place, mais aussi la manière dont elles ont été communiquées et exécutées. Cette gestion, jugée par beaucoup comme défaillante, a contribué à renforcer le sentiment de défiance envers le président et son gouvernement.

Les scandales et controverses

La présidence d’Emmanuel Macron a été marquée par une série de scandales et controverses qui ont significativement terni sa réputation et alimenté une perception publique de plus en plus négative. Parmi les affaires les plus notoires, l’affaire Benalla occupe une place centrale. En juillet 2018, Alexandre Benalla, un collaborateur proche de Macron, a été filmé en train de frapper des manifestants lors des célébrations du 1er mai. Cette affaire a non seulement soulevé des questions sur la gestion de l’Élysée, mais elle a également mis en lumière des pratiques discutables au sein de l’entourage présidentiel.

Un autre scandale significatif est celui des gilets jaunes, un mouvement de protestation qui a débuté en novembre 2018 en réponse à la hausse des taxes sur les carburants. Ce mouvement a rapidement évolué pour inclure des revendications plus larges contre les politiques économiques et sociales de Macron. La réponse perçue comme brutale et disproportionnée des forces de l’ordre a exacerbé la colère publique, et les images de violences policières ont circulé largement, contribuant à la dégradation de l’image du président.

De plus, les révélations concernant les liens étroits entre Macron et certaines grandes entreprises ont alimenté les accusations de favoritisme et de collusion. Par exemple, la nomination de plusieurs hauts dirigeants d’entreprises au sein de son gouvernement a renforcé l’idée d’un “gouvernement des riches”, éloignant davantage le président des préoccupations des citoyens ordinaires.

Enfin, les mesures de confinement et de gestion de la pandémie de COVID-19 ont été une source constante de controverse. Les décisions gouvernementales souvent perçues comme incohérentes ou tardives ont suscité des critiques virulentes de la part de l’opposition politique et de la société civile, accentuant le sentiment de méfiance envers la présidence.

Ces divers scandales et controverses ont eu un impact durable sur la perception publique d’Emmanuel Macron, contribuant à une image de plus en plus détestable aux yeux de nombreux citoyens.

Les relations internationales et l’image de la France

1⃣À ceux qui accusent le tweet : ➖Qui crient à l’antisémitisme ; ➖Qui inventent un lien avec la shoah ; ➖Qui affirment que l’auteur serait un homme, qui s’appellerait “Mouloud” et qu’il serait islamiste ; ➖Et qui se vantent d’avoir signalé la publication sur PHAROS, et d’avoir porté plainte contre son auteur ; 2⃣Voici ma réponse : Les seuls racistes ici, c’est vous, les auteurs de ces accusations ; ➖Parce que vous avez considéré que les personnes sur les photos serait d’une même religion ; ➖Et que le rédacteur serait forcément un méchant antisémite arabe-musulman ; 3⃣Or : ➖La publication n’accorde aucune importance et ne fait aucune supposition sur la “croyance/religiosité” ou non des personnes sur les photos ; Leur présence dans un même tweet se justifie par leurs seules actions (1). En effet, il sont tous très présents dans les médias, et diffusent le message similaire suivant : ➖Le soutien inconditionnel à Israël ; ➖L’utilisation des termes propagandistes de Tsahal ; ➖L’accusation des soutiens des Palestiniens de terrorisme et d’antisémitisme “couscous “; ➖Le refus de condamner, ni même de reconnaître, que les actes israéliens sur GAZA a déjà causé la mort de dizaines de milliers de civils. Pour rappel : A ce jour, 23 843 Palestiniens ont perdu la vie, dont au moins 5 350 enfants et 3 250 femmes. Ramené à la France, cela donnerait (772.059 français tués dont 173 238 enfants) (2 & 3) ; 4⃣Par ailleurs : ➖Ces personnes sont financées, directement ou indirectement, par le lobby sioniste, pour influencer la politique et l’opinion publique Française ; ➖Elles ont importé le conflit du Moyen-Orient en France ; ➖Elles ont contribué à la division de la France et à la montée de l’extra et ultra droite ; ➖Elles font du mal à notre république et sont, des fois, auteurs d’incitation à la violence envers une partie de la population française. 🟢Alors : Non seulement je maintien le tweet, mais en plus, je demande à mes abonnés de le retweeter au maximum ; ❗️❗️❗️Le temps de l’interdiction de la liberté d’expression, par le chantage à l’antisémitisme, est révolu. ❗️❗️❗️ sources: (2):https://ochaopt.org (3):https://unicef.fr/article/israel-palestine-les-enfants-paient-le-prix-de-la-guerre/ (1):La vidéo présente les propos de 3 personnes sur les photos. Il est difficile de tout mettre dans une seule publication en raison du nombre de propos choquants de ces “personnalités publiques”. La suite sera donc accessible sur la chaîne YouTube, à laquelle vous pouvez vous abonner ici : https://youtu.be/V3W1auMkwz0

Ne-diffusez-surtout-pas-cette-video-qui-porte-atteinte-a-la-credibilite-du-gouvernement-.-Merci.-
Au festival de Cannes, Justine Triet lors de la remise de la Palme dor prononce un discours contre Macron et son pouvoir. – Elle est applaudie par

Emmanuel Macron, depuis son investiture en tant que président de la République française, a entrepris de nombreux efforts pour positionner la France comme un acteur de premier plan sur la scène internationale. Cependant, ces actions ont suscité des critiques variées et parfois virulentes, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur des frontières françaises.

Sur le plan international, Macron a cherché à renforcer les alliances traditionnelles tout en promouvant une Europe plus intégrée et souveraine. Sa volonté de réformer l’Union européenne a été perçue par certains comme une tentative d’imposer une vision française sur le continent, ce qui a suscité des réticences parmi ses homologues européens. Par ailleurs, ses interactions avec des leaders mondiaux comme Donald Trump et Vladimir Poutine ont souvent été scrutées et critiquées. Sa relation quelque peu ambivalente avec les États-Unis sous la présidence de Trump, oscillant entre coopération et opposition, a parfois brouillé la position de la France sur la scène mondiale.

En Afrique, les interventions de Macron ont également été controversées. Son engagement au Sahel, visant à combattre le terrorisme, a été critiqué pour son approche militaire perçue comme néocoloniale par certains observateurs. De plus, son discours sur la restitution des œuvres d’art aux pays africains a été accueilli avec scepticisme, certains y voyant une tentative de réparer les erreurs du passé, tandis que d’autres y décelèrent une démarche paternaliste.

La gestion des relations avec la Russie et la Chine a aussi mis à l’épreuve la diplomatie de Macron. Sa politique de dialogue avec la Russie, dans le contexte de la crise en Ukraine, a été jugée trop conciliante par certains alliés européens et américains. De même, sa position vis-à-vis de la Chine, cherchant un équilibre entre coopération économique et critique des droits de l’homme, a parfois semblé hésitante et a attiré des critiques sur son manque de fermeté.

En conclusion, l’image de la France à l’étranger sous la présidence de Macron est complexe et nuancée. Bien qu’il ait cherché à renforcer le rôle de la France sur la scène internationale, ses décisions et actions ont souvent été perçues de manière ambivalente, ce qui a inévitablement affecté la perception publique de son mandat.

Conclusion et perspectives d’avenir

En récapitulant les différents aspects abordés dans ce blog, il est clair que la perception publique d’Emmanuel Macron est marquée par une complexité et une polarisation croissantes. La détérioration de son image publique peut être attribuée à une série de décisions politiques controversées, des réformes structurelles et une communication parfois perçue comme déconnectée des préoccupations quotidiennes des citoyens. Les manifestations et les mouvements sociaux, tels que les Gilets Jaunes, ont notamment mis en lumière le fossé entre le président et une partie significative de la population.

Néanmoins, il serait prématuré de conclure que l’avenir de Macron est irrévocablement condamné. L’histoire politique regorge d’exemples de dirigeants ayant réussi à redresser leur image publique grâce à des changements stratégiques et à une adaptation aux attentes sociales. Pour Macron, les défis sont multiples : reconquérir la confiance des électeurs, répondre avec sensibilité aux crises sociales et économiques, et démontrer une capacité à gouverner de manière inclusive.

Les perspectives d’avenir pour Macron dépendront en grande partie de sa capacité à écouter et à intégrer les besoins et les aspirations du peuple français. Une approche plus empathique et participative pourrait potentiellement inverser la tendance actuelle de désaffection. De plus, la gestion efficace des crises, qu’elles soient sanitaires, économiques ou environnementales, sera cruciale pour regagner en crédibilité et en popularité.

En conclusion, bien que la perception de Macron soit actuellement négative pour une partie de la population, des opportunités existent pour une réévaluation positive de son leadership. Les mois et les années à venir seront déterminants pour observer si Macron parviendra à répondre aux attentes et à transformer les critiques en soutien, ouvrant ainsi une nouvelle page de son mandat présidentiel.

Une tri-polarisation qui écrase le centre

La stratégie qui sous-tendait la dissolution était sans doute d’attirer une nouvelle vague de soutiens venus du PS et de LR pour renforcer le pôle central, en comptant sur le report des voix de droite face à la gauche et inversement, comme en 2022. Mais ce calcul bute sur plusieurs limites. D’abord, ce calcul valait quand les trois blocs avaient un poids proche, assurant suffisamment de places au second tour pour le camp présidentiel. Là, la macronie n’est plus que la troisième force politique, et pourrait donc être éliminée d’une très grande partie des seconds tours dès le 30 juin, la réduisant au rôle de spectateur du duel RN-NFP. Il faut dire que les partis de gauche ont vite compris qu’ils avaient plus qu’intérêt à reformer la NUPES s’ils ne voulaient pas être réduits à quantité négligeable lors des législatives. Il n’aura pas fallu plus de 24 heures pour annoncer un premier accord, suivi d’un programme quelques jours après. L’unité de la gauche lui assure une bonne élection, même si Mélenchon, qui veut purger ses troupes, la freine.

Pourtant, la ligne Glucksman était proche de la ligne de l’exécutif, mais le PS a pensé à ses propres intérêts. Olivier Faure ne craint pas de soutenir une ligne très éloignée de la politique menée sous Hollande et même d’accepter la possibilité que Mélenchon s’installe à Matignon. Macron ne peut plus compter que sur le ralliement d’une partie des cadres de LR, comme dans les Hauts de Seine, mais l’apport risque d’être marginalisé par les dizaines de candidats de l’accord avec le RN, passé par Eric Ciotti. LR est en voie d’implosion avec pas moins de 4 lignes différentes, entre pro-Macron, indépendants, pro-Lisnard (combien de divisions ?) et pro-RN. La centrifugeuse politique à l’œuvre pourrait bien venir à bout de ce parti. Un des aspects positifs de cette séquence qui pourrait participer à clarifier le paysage politique. Les dits républicains sont trop proches de la macronie sur le fond, en dehors de postures électoralistes qui ne trouvent pas d’actions concrètes quans ce parti est en charge des affaires.

La macronie mène une campagne ubuesque, allant jusqu’à appeler à prendre en compte les JO pour le vote. Elle caricature outrageusement l’élection à venir pour tenter d’apparaître comme le seul choix raisonnable, et éviter d’avoir à parler de son bilan calamiteux dans tous les domaines (insécurité, immigration, déficit commercial, déficit budgétaire, faillites d’entreprises, chômage de masse, effacement diplomatique, services publics à l’abandon, entre une école qui apprend de plus en plus mal, et un système de santé qui a de moins en moins les moyens de soigner). La conférence de presse de Macron ne lui fera pas gagner une voix tant le président était arrogant et condescendant, réduisant le vote des Français à un acte colérique. En nous parlant comme si nous étions des enfants qui avions fait une crise, et qu’il fallait remettre sur le droit chemin, il oublie que ce langage moralisateur et infantilisant ne prend plus, et, au contraire, pourrait bien mobiliser plus encore les Français contre son camp lors des élections législatives.

Et que dire du délai ahurissant entre la dissolution et l’élection, à peine trois semaines, contesté par plusieurs recours déposés au conseil constitutionnel ? Le caractère cavalier de ce choix rajoute une ligne au lourd passif du président, même si le conseil ne remet pas en cause le calendrier. Encore une fois, comme en 2022, Macron esquive le débat en le réduisant à trois petites semaines, comptant sur le choc et la sidération pour gagner. Mais ce raisonnement est absurde quand on réunit moins de 15% des voix aux élections européennes. Il est devenu le maillon faible de la tri-polarisation de la vie poliltique française. Certains macronistes venus de la gauche pourraient être tentés de voter pour le Nouveau Front Populaire pour éviter le RN. Et d’autres, venus de la droite, ou allergiques à Mélenchon, pourraient juger le vote RN plus efficace pour éviter LFI. Sept ans de Macron ont accéléré la chute du bloc central, qui pourrait bien avoir perdu la taille critique pour subsister. Et si la macronie s’effondrait littérallement après ces législatives  ?

Mais ce faisant, Macron pourrait aussi passer la patate chaude de la gestion du pays à d’autres, alors que l’impasse économique dans laquelle il a placé notre pays devient bien plus complexe à gérer. Ainsi, il n’aurait pas à assumer l’équation budgétaire inextricable qu’il a mis en place, échappant pour partie aux conséquences de ses actes, tout en lui permettant d’essayer de redorer son image. Mais au final, sa défaite serait aussi une mise à la retraite anticipée, ce qui serait extrêmement réjouissant.

Latest

Nixon a dû démissionner pour bien moins que ça

Cela ne disparaîtra jamais. C'est le pire cauchemar de...

Newsletter

Don't miss

J’ai vu le Mossad prendre le contrôle du Pentagone en 2002 », a déclaré le colonel Lawrence Wilkerson au journaliste Afshin Rattansi dans un...

🇺🇸🇮🇱 “I watched Mossad take over the Pentagon in 2002”— Col. Lawrence Wilkerson told journalist Afshin Rattansi in a recent episode of Rattansi’s show...

Nixon a dû démissionner pour bien moins que ça

Cela ne disparaîtra jamais. C'est le pire cauchemar de Trump, et il le paiera. Tucker Carlson prévient qu'ignorer la liste des clients d'Epstein pourrait déclencher...

Le Congrès américain applaudit son roi. Un démon recherché par la Cour pénale internationale pour crimes de guerre et génocide.

L'ovation debout du Congrès américain à un homme recherché par la CPI pour crimes de guerre est un moment glaçant. Cela soulève de sérieuses...

LEAVE A REPLY

Please enter your comment!
Please enter your name here