
Abu Obeida du Hamas vient de prononcer un DISCOURS HISTORIQUE : « 133 jours depuis le début de la bataille contre les inondations d’Al-Aqsa, qui a changé et changera la face du monde et marquera la fin de l’occupation. La bataille d’Al-Aqsa représente le début de la fin de la plus ancienne occupation de l’histoire moderne et constituera un tournant dans l’histoire de notre nation. Nos moudjahidines infligent aux rangs ennemis de lourdes pertes sans précédent dans l’histoire de notre peuple. Nos moudjahidines infligent de lourdes pertes à notre ennemi et placent ses membres dans des embuscades précises. Les publicités et scènes que nous diffusons font partie de ce que nos moudjahidines mettent en œuvre sur le terrain, et nous préférons reporter la diffusion de certaines scènes pour des raisons de sécurité. Nos moudjahidines mènent des opérations meurtrières spécifiques en parallèle du travail des forces de la nation. dans la résistance. Nos moudjahidin dans toutes les zones d’incursion au nord, au centre et au sud de Gaza mènent des combats en utilisant diverses tactiques et des armes appropriées. Notre résistance à l’agression et à l’invasion sionistes se poursuivra jusqu’à ce que le dernier soldat sioniste quitte la bande de Gaza. Des milliers de nos moudjahidin dans diverses zones de combat sont en alerte constante. Il ne s’agit pas pour nous d’une réfutation détaillée des affirmations et des mensonges de l’ennemi sur le terrain. L’avenir proche et lointain confirmera les illusions et les mensonges de l’ennemi. Les pertes parmi les prisonniers ennemis sont devenues très importantes. Nous avons essayé de protéger et de prendre soin des prisonniers pendant des mois pour défendre les intérêts de notre peuple, et nous nous efforçons toujours d’y parvenir. Nous avons mis en garde des dizaines de fois contre les dangers auxquels étaient exposés les prisonniers ennemis détenus par la résistance, mais les dirigeants ennemis n’en ont pas tenu compte. Les prisonniers ennemis vivent dans des conditions difficiles et luttent pour leur survie, et nous essayons de protéger leur vie. L’armée ennemie a délibérément tué et blessé ses prisonniers. Le temps presse très vite pour les prisonniers ennemis. Une grande partie de ce que l’ennemi annonce et diffuse est fabriquée et fabriquée à des fins internes et morales. Nous, en tant que peuple et résistance, sommes stationnés sur cette terre jusqu’à ce que les secours et la victoire soient proches. Une grande partie de ce que l’ennemi annonce et diffuse est fabriquée et fabriquée à des fins internes et morales. Nous, en tant que peuple et résistance, sommes stationnés sur cette terre jusqu’à ce que les secours et la victoire soient proches. Les objectifs politiques que les dirigeants ennemis tentent d’atteindre à travers leurs massacres et leurs crimes les mèneront à une chute retentissante, à la disgrâce et à la disgrâce. Nous essayons depuis des mois de protéger et de soigner les prisonniers ennemis pour atteindre un objectif humanitaire sublime et noble, qui est de libérer nos prisonniers opprimés.»
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« 134 jours de guerre et 134 jours de fermeté »… un résumé des événements du début de la dix-neuvième semaine de la guerre israélienne dans la bande de #Gaza
Guerre_de_Gaza #Vidéo
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Le Hezbollah fera payer à Israël “par le sang” le prix des civils tués au Liban
Le chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, a juré vendredi qu’il ferait payer à Israël “par le sang” le prix des civils tués au Liban cette semaine, assurant que les missiles de précision de son parti pouvaient atteindre l’extrémité sud du pays ennemi.
Hassan Nasrallah a averti les Israéliens que s’ils voulaient étendre le conflit, le Hezbollah était prêt. Le leader du parti chiite a également rejeté catégoriquement les pressions occidentales et la proposition française sur le retrait des forces de la milice à plusieurs kilomètres de la frontière avec Israël. Pour la sixième fois depuis le 7 octobre, le leader du Hezbollah a pris la parole le 13 février pour passer en revue les défis de son parti et revenir sur les accrochages frontaliers avec l’armée israélienne. Un discours attendu pour connaître les objectifs du parti libanais. «À ceux qui nous menacent d’élargir la guerre, nous disons : si tu élargis, nous élargirons», a prévenu Hassan Nasrallah en interpellant le ministre israélien de la Défense : «Gallant a dit qu’il n’arrêtera pas, alors n’arrête pas ! Nous non plus nous n’arrêterons pas !» Il a martelé qu’en cas d’escalade du conflit «si Israël choisit la guerre, il lui faudra ajouter deux millions de personnes à la liste des déplacés du nord». Nasrallah exhorte ses partisans à jeter leur téléphone Le dignitaire chiite a raillé la demande israélienne sur le recul des forces du Hezbollah à plus de dix kilomètres de la frontière. «Un responsable politique que je ne citerai pas a dit qu’il serait plus facile pour les Israéliens de déplacer le fleuve vers le sud», a-t-il déclaré, sous-entendant que l’unité d’élite du parti (el-Radwane) et son arsenal le plus lourd ne seraient pas relocalisés. Lire aussi Proche-Orient : malgré le message de Séjourné, les combats continuent entre Tsahal et le Hezbollah Concernant les pressions occidentales, Hassan Nasrallah a rétorqué : «Ils prennent la feuille de route israélienne, texto, et la transmettent au Liban», en référence au message porté par le nouveau ministre français des Affaires étrangères Stéphane Séjourné lors de son déplacement à Beyrouth le 6 février dernier. Le chef de la diplomatie française avait transmis aux autorités libanaises les menaces israéliennes en cas de continuation des combats avec le Hezbollah à la frontière. Pour le leader de l’organisation pro-iranienne, l’État libanais peut «demander plus que l’application [par Israël] de la 1701». Cette résolution de l’ONU datant de 2006 après le conflit entre le Hezbollah et l’armée israélienne exigeait le retrait du Hezbollah au nord du fleuve Litani, à 30 kilomètres de la frontière, et le respect par Israël de la souveraineté libanaise. Hassan Nasrallah ferait donc monter les enchères pour les futures négociations. D’ailleurs, il a rappelé dans son discours que les pourparlers débuteraient uniquement si la guerre à Gaza prenait fin. Le chef de la milice chiite a également eu un mot pour ses propres partisans, leur demandant de faire attention à l’utilisation de leur smartphone. «Le smartphone est un appareil d’espionnage ! Il entend tout ce que vous faites, dites, envoyez et prenez en photo. Votre localisation, votre maison… Israël n’a pas besoin de plus que cela», a-t-il prévenu, tout en demandant de les jeter, de les enterrer ou de les mettre dans une boîte en métal. Depuis le début du conflit à Gaza, le Hezbollah et l’armée israélienne se rendent coup pour coup. Frappes aériennes, tirs de missiles, drones explosifs, les deux ennemis s’affrontent quotidiennement depuis le 8 octobre. Le parti chiite libanais a perdu plus de 190 hommes en plus de quatre mois.
Le chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, a juré vendredi 16 février qu’il ferait payer à Israël « par le sang » le prix des civils tués au Liban cette semaine, assurant que les missiles de précision de son parti pouvaient atteindre l’extrémité sud du pays ennemi.
« Nos femmes et nos enfants qui ont été tués (…), l’ennemi paiera le prix de leur sang versé », a déclaré le chef du mouvement islamiste libanais dans une allocution télévisée. Il a prévenu que sa formation « disposait d’une énorme capacité de missiles de précision » qui peuvent couvrir le territoire israélien « de Kiryat Shmona (Nord) à Eilat (Sud) ».
Au cours de la nuit de jeudi à vendredi, cinq combattants du Hezbollah et du mouvement allié Amal ont été tués lors de raids israéliens dans le sud du Liban, ont annoncé les deux formations.
Violences meurtrières
Ces frappes surviennent à la suite de violences meurtrières dans la région frontalière, où les échanges de tirs entre Israël et le Hezbollah se sont intensifiés, faisant craindre une escalade. Selon l’Agence nationale d’information (ANI, officielle), l’aviation israélienne a mené des frappes pendant la nuit sur cinq villages du sud du pays.
Le mouvement chiite Amal, dirigé par le président du Parlement, Nabih Berri, a déploré la mort de trois de ses membres, tués par une frappe sur une maison du village d’Al-Qantara. Le Hezbollah a, pour sa part, annoncé la mort de deux de ses combattants. Cela porte à douze le nombre de membres du puissant mouvement tués depuis mercredi.
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Echanges de tirs à la frontière
Dix civils et cinq membres du Hezbollah, dont un responsable militaire, avaient été tués. Du côté israélien, une soldate est morte dans un tir de roquette depuis le Liban,µ qui n’a pas été revendiqué. Mercredi avait été la journée la plus sanglante depuis le début des échanges de tirs à la frontière entre le Hezbollah et l’armée israélienne, il y a plus de quatre mois.
Le Hezbollah a ouvert le front du sud du Liban pour soutenir son allié, le Hamas palestinien, en guerre contre Israël dans la bande de Gaza depuis l’attaque sans précédent du mouvement islamiste dans le sud d’Israël le 7 octobre. En plus de quatre mois, au moins 268 personnes, en majorité des combattants du Hezbollah et d’autres formations qui lui sont alliées, mais également 40 civils, ont été tuées dans le sud du Liban, selon un décompte de l’Agence France-Presse (AFP). Du côté israélien, dix soldats et six civils ont été tués, selon l’armée.
