La colonisation de la Palestine

Il est incroyable que les juifs israéliens soient devenus si paranoïaques et toxiques dans leurs politiques approuvées (ce n’est pas seulement Netanyahou, c’est la grande majorité de la population israélienne qui pense que Tsahal devrait être plus brutal qu’elle ne l’est) qu’ils ne pensent plus devoir trouver une solution à un problème qu’ILS ont créé. Le fait que les juifs aient été persécutés au cours des siècles ne signifie pas que les juifs avaient le droit de s’emparer des terres des populations autochtones et de les occuper/bloquer et de les maltraiter pendant 76 ans. Indépendamment d’une histoire de persécution, cela ne signifie pas non plus que lorsqu’une population maltraitée se défend, les juifs sont autorisés à mettre de côté le droit international et les bases d’une interaction humaine avec les autres. Les juifs sionistes ont vraiment perdu la tête, et pendant que le monde les regarde se comporter comme des nazis, ils proclament qu’ils combattent les nazis. Regardez le nouveau film « Israel’s Reel Extremism ». Nous, les juifs non sionistes, ne pouvons nous empêcher de ressentir une profonde honte et une fureur face à ce que nous regardons.

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Histoire | Des navires de réfugiés arrivent à Haïfa en 1946. Ils arrivent en tant que réfugiés et sont accueillis avec une générosité et une compassion sans limites. Juste avant qu’ils ne volent les terres et fassent des réfugiés des propriétaires fonciers. C’est la pire trahison de l’histoire.

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Une nouvelle étude du Pew Research Center révèle que 20 % des Juifs du monde sont des migrants, ce qui les rend plus susceptibles que les membres de tout autre groupe religieux de vivre en dehors de leur lieu de naissance. Israël est la première destination, mais aussi le premier pays d’origine de la plupart des migrants juifs du monde

Il est incroyable que les juifs israéliens soient devenus si paranoïaques et toxiques dans leurs politiques approuvées (ce n’est pas seulement Netanyahou, c’est la grande majorité de la population israélienne qui pense que Tsahal devrait être plus brutal qu’elle ne l’est) qu’ils ne pensent plus devoir trouver une solution à un problème qu’ILS ont créé. Le fait que les juifs aient été persécutés au cours des siècles ne signifie pas que les juifs avaient le droit de s’emparer des terres des populations autochtones et de les occuper/bloquer et de les maltraiter pendant 76 ans. Indépendamment d’une histoire de persécution, cela ne signifie pas non plus que lorsqu’une population maltraitée se défend, les juifs sont autorisés à mettre de côté le droit international et les bases d’une interaction humaine avec les autres. Les juifs sionistes ont vraiment perdu la tête, et pendant que le monde les regarde se comporter comme des nazis, ils proclament qu’ils combattent les nazis. Regardez le nouveau film « Israel’s Reel Extremism ». Nous, les juifs non sionistes, ne pouvons nous empêcher de ressentir une profonde honte et une fureur face à ce que nous regardons.

Introduction

Frappes israéliennes meurtrières, combats entre soldats israéliens et le Hamas palestinien, désastre humanitaire : la guerre sans répit à Gaza entre ce dimanche dans son 10e mois avec une relance des efforts de médiation en vue d’un cessez-le-feu.

. . . les États-Unis ne seront pas en mesure de résoudre les problèmes épineux du Moyen-Orient s’ils ne peuvent pas avoir une discussion sérieuse et franche sur le rôle du lobby israélien. “. . . the United States will not be able to deal with the vexing problems in the Middle East if it cannot have a serious and candid discussion of the role of the Israel lobby.”
. . . les États-Unis ne seront pas en mesure de résoudre les problèmes épineux du Moyen-Orient s’ils ne peuvent pas avoir une discussion sérieuse et franche sur le rôle du lobby israélien. “. . . the United States will not be able to deal with the vexing problems in the Middle East if it cannot have a serious and candid discussion of the role of the Israel lobby.”

Dans cet article, nous examinerons comment les attitudes et les politiques au sein de la communauté juive israélienne sont devenues de plus en plus extrêmes et brutales. Cette transformation inquiétante n’est pas seulement le fait des dirigeants politiques tels que Benjamin Netanyahou, mais reflète également les opinions de la majorité de la population israélienne. Pour comprendre cette évolution, il est essentiel de se pencher sur les raisons historiques et sociales qui ont contribué à modeler ces perspectives. En outre, nous explorerons l’impact de ces politiques agressives sur les relations avec les populations autochtones.

Les tensions actuelles ne sont pas apparues ex-nihilo. Elles trouvent leurs racines dans un long conflit historique entre Israéliens et Palestiniens. La montée en puissance de mouvements extrémistes au sein des deux camps a contribué à durcir les opinions et à radicaliser les attitudes. Le processus de radicalisation a également été nourri par des incidents violents et des représailles incessantes, exacerbant les méfiances mutuelles.

La scène politique israélienne elle-même a été le théâtre de nombreux changements au cours des dernières décennies. Avec l’arrivée au pouvoir de leaders comme Ariel Sharon et Benjamin Netanyahou, une approche plus nationaliste et sécuritaire a été adoptée. Ce déplacement vers la droite a été perçu comme une nécessité stratégique par beaucoup, mais il a également conduit à une marginalisation des voix modérées et pacifistes. La politique de colonisation des territoires palestiniens, par exemple, est devenue une question centrale, polarisant davantage la société israélienne.

En outre, les pressions sociales internes ne peuvent pas être ignorées. Des facteurs tels que la recrudescence du nationalisme religieux et l’angoisse sécuritaire en raison des menaces perçues ont permis une radicalisation plus facile des jeunes générations. Les médias et l’éducation jouent également un rôle crucial dans cette dynamique en façonnant les perceptions des citoyens vis-à-vis des Palestiniens et du conflit.

Cette évolution des politiques et des attitudes israéliennes a des répercussions profondes et durables sur les populations autochtones. Les fractures sociales s’accentuent, rendant toute forme de dialogue et de réconciliation de plus en plus difficile. Comprendre ces dynamiques et leurs origines est crucial pour envisager des solutions possibles et ramener un semblant de paix dans la région.

Histoire de la persécution juive

Pour comprendre le contexte actuel des politiques israéliennes, il est capital de revenir sur l’histoire de la persécution des Juifs, une histoire marquée par des épisodes de discriminations et de violences répétées. Dès l’Antiquité, les Juifs ont connu des persécutions notables, comme leur expulsion de Jérusalem en 70 après JC par les Romains, marquant le début de la diaspora juive.

Au cours du Moyen Âge, les Juifs ont souvent été accusés de divers maux sociaux, économiques et religieux, exacerbant ainsi l’antisémitisme. Les Croisades, par exemple, ont entraîné des massacres de communautés juives en Europe. De nombreux pays européens, comme l’Espagne avec l’Inquisition, ont forcé les Juifs à se convertir au christianisme ou à quitter leur terre natale sous peine de mort.

Le siècle des Lumières a apporté une amélioration temporaires de la situation juive avec des appels à la tolérance et à l’égalité. Cependant, les préjugés et les discriminations ont persisté. Le 19e siècle a vu la montée de nouveaux stéréotypes antisémites qui aboutiront à un point culminant atroce au 20e siècle avec la Shoah, ou Holocauste.

Durant la Seconde Guerre mondiale, environ six millions de Juifs ont été systématiquement exterminés par le régime nazi, un génocide sans précédent qui a laissé des traces indélébiles sur la mémoire collective juive. Les survivants de l’Holocauste, cherchant un refuge sûr, ont été parmi les fondateurs de l’État d’Israël en 1948, motivés par le désir d’un havre où ils pourraient vivre à l’abri des persécutions.

Ce contexte historique de souffrance et de résilience explique en partie les sensibilités et les politiques contemporaines d’Israël, notamment l’accent mis sur la sécurité et la survie nationale. La mémoire de ces persécutions continue d’influencer les choix politiques et sociaux du pays, façonnant ainsi une partie significative de son identité actuelle.“`html

La création de l’État d’Israël et la question des terres

La fondation de l’État d’Israël en 1948 représente un événement historique aux répercussions profondes, caractérisé par un conflit intensif et le déplacement forcé de nombreuses populations palestiniennes. La déclaration d’indépendance d’Israël a déclenché une guerre, connue sous le nom de guerre israélo-arabe, où des centaines de milliers de Palestiniens ont été contraints de quitter leurs foyers. Selon de nombreux historiens, ce déplacement massif constitue l’une des périodes les plus sombres de l’histoire contemporaine du Moyen-Orient.

URGENT : Le ministre israélien de la Sécurité nationale, Itamar Ben Gvir face caméra déclare « Les prisonniers palestiniens doivent être abattus d’une balle dans la tête, en attendant que cette loi soit adoptée, nous ne leur donnerons pas grand-chose pour vivre. »

Depuis cette fondation initiale, l’existence et la souveraineté de l’État d’Israël ont été maintenues au moyen d’une occupation militaire permanente et de divers blocus imposés aux territoires palestiniens. Cette occupation prolongée a eu des conséquences marquantes tant sur le plan social que politique, exacerbant les tensions régionales et internationales. L’annexion progressive des terres cisjordaniennes par Israël, souvent justifiée par des raisons de sécurité, a engendré une fragmentation significative du territoire palestinien, perturbant gravement la vie quotidienne des habitants.

L’impact social de cette occupation prolongée se manifeste par des restrictions de déplacements, l’instabilité économique, et une détérioration des conditions de vie des Palestiniens. De multiples rapports d’organisations internationales mettent en lumière les effets dévastateurs de ces politiques sur la société palestinienne, allant de l’accès limité aux ressources essentielles comme l’eau et l’électricité, à l’accès restreint aux soins de santé et à l’éducation.

Politiquement, l’occupation et le blocus des territoires palestiniens ont généré un climat de frustration et de méfiance mutuelle, rendant toute perspective de paix durable de plus en plus lointaine. Les efforts de négociations de paix ont été jusqu’à présent infructueux, en partie à cause de la méfiance ancrée et de la persistance des politiques expansionnistes israéliennes. Ces dynamiques ont également alimenté une série de conflits récurrents, faisant de cette région un foyer de tensions internationales persistantes.“`

Le rôle de Tsahal et la radicalisation de l’opinion publique

Le chef du service de renseignement des États-Unis après avoir démissionné dans une déclaration qui renverse toutes les échelles du monde est la deuxième reconnaissance après la confession d’Hillary Clinton. Nous avons commis une erreur au printemps arabe en tentant des coups d’État en Égypte, en Tunisie, en Syrie et en Libye. * La planification a été mal pensée et des milliards de dollars ont été versés inutilement aux organisations de la société civile et aux droits dans les pays présumés. Nous avons aussi mal tourné en Irak et détruit l’armée irakienne. * L’administration Obama a tenté de détruire l’armée égyptienne et de diviser le territoire égyptien. * Cela a donné lieu à une éclosion de terrorisme de l’EIIL en Syrie. * Le gouvernement Obama a formé des juristes et des traîtres qu’on appelait des militants révolutionnaires en les recrutant pour détruire les gouvernements. Mais le peuple égyptien était la ligne la plus épique de l’histoire et s’est tenu derrière l’armée égyptienne et s’est levé, le 30 juin et a sauvé l’Egypte et sa région arabe de la destruction massive.
La connexion sioniste nazie et la création d’Israël. @gregreese Le père d’Adolf Hitler était Alois Schickelgruber, l’enfant bâtard de Maria Schickelgruber, qui a changé son nom en Hitler pour cacher le fait qu’il était un enfant illégitime. De nombreux historiens ont affirmé que Maria avait été mise enceinte par le baron Rothschild lorsqu’elle travaillait pour lui. Mais leur nom n’est pas vraiment Rothschild. 🌼 Tous mes liens Ici👉 https://linkmix.co/18048882

Tsahal, l’armée de défense d’Israël, est une institution centrale dans le paysage sécuritaire du pays. Sa renommée est ancrée dans son histoire d’opérations militaires complexes et souvent controversées. Ce poids dans les décisions militaires et politiques découle de la position stratégique cruciale de Tsahal, mais aussi de l’évolution de l’opinion publique israélienne. La radicalisation croissante de cette opinion public a un impact significatif sur les politiques menées.

Au fil des décennies, une part substantielle de la société israélienne a montré un soutien croissant pour des actions militaires plus intransigeantes, nourrissant ainsi une certaine radicalisation. Plusieurs facteurs expliquent cette évolution, parmi eux : la perpétuation du conflit israélo-palestinien, des menaces régionales constantes, ainsi que les attaques terroristes qui ont marqué la psyché nationale. Ces expériences ont amplifié un sentiment de vulnérabilité et d’urgence, favorisant des réponses militaires musclées.

Les médias israéliens jouent aussi un rôle crucial dans cette radicalisation. En couvrant de manière extensive chaque attaque ou action militaire, ils influencent la perception de la menace et légitiment souvent les mesures de répression par Tsahal. De plus, le discours politique dominant, généralement soutenu par le gouvernement en place, renforce l’idée que des réponses brutales sont nécessaires pour la sécurité nationale.

Cette convergence de facteurs a pour conséquence d’ancrer la légitimité de Tsahal dans l’esprit des citoyens comme la principale institution capable de défendre le pays face aux menaces diverses. Ainsi, les actions militaires rigoureuses sont non seulement tolérées mais activement soutenues par une majorité. Ce soutien populaire devait aussi se traduire en des pressions politiques pour adopter des politiques sécuritaires de plus en plus répressives. Ce phénomène d’approbation de la force brute a des implications profondes tant pour les relations internationales d’Israël que pour les dynamiques internes sécuritaires et sociales.

Le déclin du respect pour le droit international

Jacob Rothschild : “Ma famille a joué un rôle dans la création d’Israël”

Histoire | Des navires de réfugiés arrivent à Haïfa en 1946. Ils arrivent en tant que réfugiés et sont accueillis avec une générosité et une compassion sans limites. Juste avant qu’ils ne volent les terres et fassent des réfugiés des propriétaires fonciers. C’est la pire trahison de l’histoire.

L’inversion des réalités entre Israël et la Palestine, selon l’ancien colonel de l’armée française et ancien conseiller en relations internationales au ministère de l’Intérieur et de la Défense, Alain Corvez, à la télévision algérienne .
Colonel Jacques Baud (ex-renseignement suisse) : « Ce qu’on voit à Gaza, ce n’est plus la guerre. C’est du terrorisme. De la cruauté gratuite. Des soldats israéliens tuent des enfants pour s’amuser. » Il ose la comparaison : « Même dans les camps nazis, on ne tuait pas pour le plaisir. »

Le droit international, conçu pour régir les relations entre les nations et protéger les droits fondamentaux, semble perdre sa robustesse face aux actions de certains États, dont Israël. Ce pays est souvent accusé de violer divers principes du droit international, particulièrement en ce qui concerne l’occupation des territoires palestiniens, les colonies de peuplement et les actions militaires.

Les colonies israéliennes en Cisjordanie sont fréquemment citées comme une contravention directe au droit international, en particulier à la Quatrième Convention de Genève, qui interdit à une puissance occupante de transférer sa propre population dans les territoires qu’elle occupe. Tandis que les Nations Unies et d’autres organisations internationales qualifient ces actions d’illégales, le gouvernement israélien avance l’argument historique et sécuritaire pour justifier ces installations. Israël soutient que la Cisjordanie n’était pas une partie souveraine reconnue avant son occupation en 1967 et qu’il a un droit historique à ces terres.

Les opérations militaires israéliennes dans la bande de Gaza sont une autre pierre d’achoppement. Des rapports récurrents de diverses organisations de défense des droits humains, comme Amnesty International, mentionnent des violations des lois de la guerre, y compris l’usage excessif de la force et le ciblage de civils. Israël, de son côté, soutient que ses actions sont des réponses légitimes et proportionnées aux menaces sécuritaires posées par des groupes armés opérant depuis Gaza.

La communauté internationale, quant à elle, semble divisée sur la manière de répondre aux actions israéliennes. Des résolutions de l’ONU dénonçant les violations ont été fréquemment adoptées, mais leur impact est souvent limité par le fait que certains pays soutiennent fortement Israël, ce qui mène à une impasse diplomatique.

En somme, le déclin du respect pour le droit international est manifeste dans les actions et justifications de l’État israélien concernant les territoires palestiniens. L’absence de consensus sur ces questions continue de défier les structures et les principes sur lesquels le droit international repose.

Comparaison avec l’idéologie nazie : un paradoxe troublant

Dans le débat international sur les politiques d’Israël, certains observateurs font une comparaison troublante en les assimilant aux tactiques utilisées par les nazis pendant la Seconde Guerre mondiale. Cette analogie, bien que choquante pour beaucoup, mérite un examen approfondi pour comprendre les raisons de ces parallèles et l’effet qu’ils ont sur l’image d’Israël à l’échelle mondiale.

Les critiques soulignent que certaines actions entreprises par Israël, notamment les blocus, les contrôles stricts de mobilité, et les attaques militaires dans les territoires occupés, rappellent les méthodes d’oppression et de contrôle pratiquées par le régime nazi. Par exemple, les restrictions imposées aux Palestiniens dans la bande de Gaza et en Cisjordanie sont souvent vues comme des mesures punitives collectives affectant toute une population, une stratégie qui, selon les critiques, rappelle certains aspects des politiques nazies envers les populations juives et autres minorités.

Un des axes principaux de cette comparaison repose sur la question des droits de l’homme et de l’autodétermination. Les accusations selon lesquelles Israël perpétue un système d’apartheid soulèvent des interrogations quant au respect des normes internationales des droits de l’homme. En outre, les démolitions de maisons, les détentions sans procès, et la violence à l’encontre des manifestants sont autant de points sur lesquels les critiques établissent des parallèles avec les pratiques nazies de répression et de terreur.

Cependant, cette comparaison est également vivement contestée. Beaucoup soutiennent que l’analogie est non seulement inexacte mais également offensante, non seulement pour les victimes de l’Holocauste, mais aussi pour la réalité complexe que vit Israël. Ils argumentent que de telles comparaisons simplifient à l’excès une situation profondément nuancée, éclipsant les autres facteurs historiques, géopolitiques, et sécuritaires qui influencent les actions d’Israël. En fin de compte, il est indéniable que cette comparaison polémique forge les perspectives internationales et influence les relations diplomatiques vis-à-vis d’Israël.

La perspective des Juifs non sionistes

Dans le contexte de l’évolution des politiques israéliennes, il est essentiel de reconnaître qu’une portion significative de la communauté juive mondiale ne soutient pas toujours les actions et les positions radicales du gouvernement israélien. Les Juifs non sionistes, notamment, expriment souvent leur désapprobation et leur chagrin face aux décisions politiques perçues comme extrêmes ou injustes menées par l’État d’Israël. Cette opposition trouve ses racines dans des convictions idéologiques, éthiques et même religieuses.

Nombre de Juifs non sionistes ressentent une honte importante, non seulement en tant qu’individus, mais en tant que membres de la diasporas juives qui cherchent à promouvoir des valeurs de justice, de paix et de coexistence. Ils voient certaines politiques israéliennes comme contraires aux principes fondamentaux de leur foi et de leur héritage. Leur voix, bien que parfois noyée dans les débats publics, est vitale pour offrir un panorama complet et diversifié des opinions juives sur les questions géopolitiques actuelles.

Des mouvements de résistance interne se sont formés pour articuler cette opposition. Des organisations telles que Neturei Karta, une faction ultra-orthodoxe anti-sioniste, et d’autres groupes progressistes laïcs, ont pris des mesures concrètes pour dénoncer ce qu’ils perçoivent comme des violations des droits humains et des principes de justice. Ces mouvements travaillent souvent en collaboration avec des groupes de la société civile et des ONG dédiées aux droits des Palestiniens pour promouvoir une vision de la paix basée sur le respect mutuel et la coexistence harmonieuse.

En somme, l’opposition des Juifs non sionistes aux politiques israéliennes actuelles révèle la complexité et la diversité des opinions au sein de la communauté juive mondiale. Leur engagement et leur activisme sont des éléments cruciaux pour quiconque cherche à comprendre pleinement les dynamiques internes du débat sur les politiques israéliennes.

Conclusion et voie à suivre

Les politiques israéliennes ont passé par des changements significatifs au fil des années, souvent marquées par des tensions croissantes et des défis diplomatiques complexes. Dans ce blog, nous avons examiné les diverses dimensions de cette évolution, en portant un regard critique sur les décisions et actions qui ont façonné le paysage politique actuel d’Israël. Les points principaux abordés incluent l’expansion des colonies, l’impact humanitaire sur les populations palestiniennes et l’érosion des perspectives de paix durable.

Face à ces dynamiques préoccupantes, plusieurs pistes de réflexion émergent concernant l’avenir d’Israël et des relations israélo-palestiniennes. L’une des solutions fondamentales pourrait consister à revenir à des politiques plus humaines, en accord avec le droit international et les principes universels des droits de l’homme. La coopération internationale et les efforts diplomatiques renouvelés sont essentiels pour construire un dialogue constructif entre les parties prenantes.

Zéro État pour deux peuples ? Les penseurs juifs envisagent un retour massif à l’exil

Si l’idée d’un retour dans la diaspora gagne du terrain, elle reste pour l’instant un exercice intellectuel. Ironiquement, le sionisme peut être une source d’inspiration dans ce contexte.

L’exil fait à nouveau fureur. Ces derniers mois, de nombreux rapports ont fait état d’une importante vague d’immigration en provenance d’Israël, qui a débuté en octobre 2010. Mais ces chiffres ne sont qu’une facette d’un phénomène plus profond. Une autre facette est l’émergence d’un discours énergique sur le retour à la Galout , dans les cercles intellectuels constitués principalement d’anciens Israéliens. L’année dernière déjà, Ho!, un magazine littéraire édité par la poétesse Dory Manor, consacrait un numéro à la diaspora, déclarant qu’un tournant dans la culture hébraïque avait eu lieu : de nombreux écrivains hébreux ne vivent pas en Israël, et une part importante de la littérature hébraïque est de nouveau écrite et lue hors des frontières du pays.

En outre, la participation active de la société civile, tant israélienne que palestinienne, pourrait jouer un rôle critique dans la promotion de la paix et de la justice. Mobiliser les communautés locales et internationales pour soutenir des initiatives de coexistence pacifique, ainsi que renforcer les cadres juridiques pour protéger les droits individuels, sont des étapes cruciales vers un avenir plus prometteur.

Le défi demeure énorme, mais il n’est pas insurmontable. La volonté politique combinée à un engagement authentique pour le dialogue et la réconciliation peut progressivement ouvrir des voies vers une coexistence harmonieuse. Seule une approche axée sur le respect mutuel et la reconnaissance des droits fondamentaux peut offrir une chance réelle de paix durable entre Israël et la Palestine.

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