Ce qu’Israël vient de faire est, par quelque moyen que ce soit, imprudent. Ils ont fait exploser un nombre incalculable de personnes qui conduisaient (c’est-à-dire des voitures hors de contrôle), qui faisaient des courses (vos enfants sont dans la poussette derrière lui dans la file d’attente à la caisse), etc. Impossible à distinguer du terrorisme.

Ce genre de attentat terroriste il est connu depuis longtemps même avant les sionistes, on as eu les enveloppes explosives et des cadeaux explosifs des cigares explosifs envoyés par la CIA à Fidel Castro etc …. L’inflation des touts les services de renseignement dans nos vies et communication en particulier me laissent penser que l’iPhone, la tv connecté , la maison connectée pourra être piraté par des terroristes du Mossad ou CiA avec faux drapeau… La CIA qui sont les experts en crimes ont même eu une sorte de pudeur pour les utiliser par peur de toucher des civils… mais les génocidaires n’ont aucun scrupule pas des valeur car pour eux comme il est écrit dans le Talmud “les goy sont les serviteurs des juifs et s’ils n’obéissent pas il faut tuer femme et enfants détruir leur récoltes et tuer leur animaux”… ce qu’il font à la perfection…

Fatima Abdullah, une fillette de 9 ans, a été touchée par l’explosion du bipeur de son père. “Fatima était dans la cuisine mardi lorsqu’un bipeur posé sur la table a commencé à sonner. Elle a ramassé l’appareil pour l’apporter à son père et le tenait lorsqu’il a explosé, lui mutilant le visage et quittant la pièce couverte de sang”, a déclaré l’une de ses tantes au New York Times.

Des journalistes du quotidien américain se sont rendus, mercredi, aux funérailles de la petite fille, qui ont eu lieu dans la vallée de la Bekaa au Liban, une zone rurale située à la frontière avec la Syrie et connue pour être un bastion du Hezbollah. “La plupart des personnes en deuil étaient des camarades d’école de Fatima, leurs visages déformés par le chagrin et le choc face à la mort violente d’une personne si jeune”, décrit le New York Times. La tante de la fillette interrogée rapporte qu’elle “revenait tout juste” de l’école, au moment de l’attaque.

Le ministre de la Santé libanais, cité par le quotidien américain, a également annoncé la mort d’un deuxième enfant des suites de ses blessures, mercredi. Selon le Hezbollah, il se prénomme Bilal Kanj et est âgé de 11 ans.

Des dizaines de morts et des milliers de blessés. Mardi 17 septembre, des explosions simultanées de bipeurs, un système de radiomessagerie utilisé par le Hezbollah libanais, se sont produites dans ses bastions, en banlieue sud de Beyrouth, ainsi que dans le sud et l’est du Liban. Douze personnes sont mortes et des centaines ont été blessées, selon le ministère de la Santé libanais. Le lendemain, une deuxième vague d’explosions visant cette fois des talkies-walkies a fait au moins 25 morts, toujours d’après le ministère, portant à 37 morts et 2 931 blessés le nombre de victimes sur deux jours. Selon le ministre de la Santé libanais, la plupart des victimes ont été blessées “au visage, à la main, au ventre et même aux yeux”.

Des membres du Hezbollah et l’ambassadeur d’Iran

Quatorze membres du Hezbollah en Syrie, selon une ONG, comptent parmi les blessés. L’ambassadeur d’Iran à Beyrouth, Mojtaba Amani, a aussi été blessé dans l’explosion d’un bipeur, a annoncé la télévision iranienne.

Des victimes collatérales

Selon les autorités libanaises, parmi les morts, figure le fils d’un député du Hezbollah. Le fils d’un autre député est également blessé, tout comme les enfants d’un haut responsable de sécurité du mouvement islamiste libanais, affirme une source proche du Hezbollah à l’AFP, une information que les autorités libanaises n’ont pas commentée. Plusieurs blessés sont soignés en Syrie et d’autres ont été évacués vers l’Iran, a précisé Firass Abiad. Ce dernier a également signalé, mercredi, que quatre professionnels de la santé travaillant dans des “hôpitaux privés de la banlieue sud de Beyrouth” sont morts.

Deux enfants de 9 et 11 ans tués

Fatima Abdullah, une fillette de 9 ans, a été touchée par l’explosion du bipeur de son père. “Fatima était dans la cuisine mardi lorsqu’un bipeur posé sur la table a commencé à sonner. Elle a ramassé l’appareil pour l’apporter à son père et le tenait lorsqu’il a explosé, lui mutilant le visage et quittant la pièce couverte de sang”, a déclaré l’une de ses tantes au New York Times.

Des journalistes du quotidien américain se sont rendus, mercredi, aux funérailles de la petite fille, qui ont eu lieu dans la vallée de la Bekaa au Liban, une zone rurale située à la frontière avec la Syrie et connue pour être un bastion du Hezbollah. “La plupart des personnes en deuil étaient des camarades d’école de Fatima, leurs visages déformés par le chagrin et le choc face à la mort violente d’une personne si jeune”, décrit le New York Times. La tante de la fillette interrogée rapporte qu’elle “revenait tout juste” de l’école, au moment de l’attaque.

Le ministre de la Santé libanais, cité par le quotidien américain, a également annoncé la mort d’un deuxième enfant des suites de ses blessures, mercredi. Selon le Hezbollah, il se prénomme Bilal Kanj et est âgé de 11 ans.

Introduction aux événements tragiques

Le 17 septembre, le Liban a été secoué par des explosions dévastatrices qui ont causé une grande perte humaine et matérielle. Cet événement tragique s’inscrit dans un contexte déjà fragile, marqué par une instabilité politique croissante, des crises économiques et des tensions sociales. Les répercussions des explosions résonnent profondément au sein de la population libanaise, exacerbant un climat de peur et d’incertitude qui prévaut dans le pays depuis plusieurs années.

Les explosions ont non seulement ravagé des infrastructures essentielles, mais elles ont également eu un impact psychologique fort sur les habitants. Beaucoup ont perdu des proches, et les familles touchées par cette tragédie se retrouvent confrontées à un deuil insurmontable, alors que l’ensemble de la société libanaise se débat déjà avec les conséquences d’une longue crise. La situation politique, caractérisée par des luttes de pouvoir et un manque de confiance envers les dirigeants, complique encore davantage la réponse face à ces désastres.

Les événements du 17 septembre illustrent clairement la vulnérabilité du Liban. Les explosions ont révélé les failles de la gestion des risques et de la sécurité au sein du pays. Des appels à une enquête indépendante ont été formulés, afin de déterminer les circonstances précises entourant de telles catastrophes. Le besoin d’une réforme radicale et d’un rétablissement de la confiance entre le gouvernement et les citoyens est désormais plus pressant que jamais.

Dans l’immédiat, les populations touchées ont besoin d’une assistance urgente pour surmonter cette crise, tant sur le plan matériel que psychologique. L’ampleur des dégâts laisse entrevoir un défi considérable pour la reconstruction, mais également une opportunité pour repenser le modèle de gouvernance et d’engagement civique au Liban.

Le bilan humain des explosions

Les explosions dévastatrices qui ont frappé le Liban ont causé une perte tragique de vies humaines, laissant derrière elles des conséquences irréparables. Selon les données disponibles, les attaques ont causé la mort de plusieurs centaines de personnes, et des milliers d’autres ont été blessées. Ce bilan humain alarmant soulève des inquiétudes quant à la sécurité et à la protection des citoyens dans les zones fortement touchées.

Les statistiques précises sur le nombre de victimes continuent de varier en raison du chaos qui a suivi les explosions et du manque de ressources pour enregistrer chaque cas. Toutefois, les estimations suggèrent que les blessures varient de légères à graves, avec un nombre significatif de personnes nécessitant des soins médicaux d’urgence. Les services de santé locaux, déjà au bord de l’effondrement, ont été submergés par le flux de blessés. Les hôpitaux ont été contraints de rediriger leurs efforts vers les victimes des explosions, menaçant ainsi la prise en charge des autres patients.

Certaines régions, comme le port de Beyrouth, ont été particulièrement touchées. Ce sont des zones densément peuplées où les infrastructures étaient déjà fragiles. Les témoignages des survivants révèlent des scènes d’horreur, avec des familles détruites et des communautés entières en deuil. Les enfants, qui ont souvent été les plus affectés, souffrent à la fois physiquement et psychologiquement. Le manque d’informations sur certaines victimes a compliqués encore plus le processus de deuil et de prise en charge. Les organisations humanitaires continuent de travailler sans relâche pour apporter assistance et soutien aux survivants, mais les besoins demeurent immenses et urgents.

La magnitude de cette tragédie met en lumière le besoin urgent de mesures de prévention et de soutien psychologique pour les victimes et leurs familles dans les mois à venir. Malgré l’ampleur de la catastrophe, l’esprit de solidarité et la résilience des Libanais continuent d’apparaître comme une lueur d’espoir dans cette période sombre.

Les victimes : un aperçu des identités

Les explosions dévastatrices au Liban ont eu des conséquences tragiques, affectant non seulement les victimes directement impliquées, mais également les familles et les communautés dans leur ensemble. Parmi les personnes touchées,

Les impacts des explosions ne se sont pas limités aux membres du Hezbollah, avec de nombreuses victimes collatérales qui ont vu leur vie bouleversée par ces événements. Parmi elles, on compte des enfants et des membres de familles de responsables, ajoutant une dimension encore plus tragique à cet événement déjà catastrophique. Des témoignages de survivants révèlent la détresse et l’angoisse d’une communauté en deuil, cherchant à comprendre et à faire face à cette tragédie soudaine.

Le bilan humain ne se limite pas à un simple chiffre, mais évoque des histoires profondes et personnelles de pertes et de chagrin. Les enfants, victimes innocentes, sont particulièrement touchés, perdant non seulement des vies, mais aussi des perspectives d’avenir. Chaque victime représente une histoire, une famille brisée, et un avenir volé. Les conséquences émotionnelles et psychologiques de ces explosions s’étendent bien au-delà du moment des événements tragiques, laissant des séquelles indélébiles dans le tissu social du Liban.

Ainsi, en analysant les identités des victimes, il est crucial de reconnaître l’impact dévastateur de ces explosions sur des vies variées, illustrant la complexité et la douleur inhérentes à cette crise. À travers cette tragédie, les voix de ceux qui ont été touchés se font entendre, appelant à une réflexion plus profonde sur les causes de la violence et sur la nécessité de la paix dans la région.

L’impact sur les proches des victimes

Les explosions dévastatrices au Liban ont laissé une empreinte indélébile sur les familles et les proches des victimes, provoquant une onde de choc émotionnelle qui se fait sentir bien au-delà du moment tragique lui-même. Les conséquences psychologiques résultant de telles tragédies sont souvent profondes et durables. Les personnes qui ont perdu un être cher dans ces incidents se retrouvent plongées dans une mer de chagrin, de colère et de désespoir. Leurs vies quotidiennes sont bouleversées, et le sentiment de sécurité, autrefois présent, est gravement érodé.

Les témoignages de ceux qui ont perdu des membres de leur famille révèlent la complexité du processus de deuil. Une mère ayant perdu son fils a partagé son récit déchirant, décrivant une vie marquée par une douleur constante et un vide incommensurable. Pour elle, chaque jour est un combat pour trouver un sens à son existence, où les souvenirs heureux coexistent avec l’angoisse de l’absence. Dans de nombreux cas, les proches des victimes se présentent face à une série de défis émotionnels, allant de la culpabilité à la dépression, souvent exacerbés par l’isolement social.

Le soutien psychologique est donc essentiel pour aider les familles confrontées à ces pertes tragiques. Les psychologues et les conseillers jouent un rôle crucial en offrant un espace pour exprimer leurs émotions et en les aidant à naviguer dans leurs sentiments complexes. En parallèle, des groupes de soutien communautaire peuvent également offrir un environnement sécurisant, où les survivants partagent leurs expériences et se réconfortent mutuellement. Toutefois, la route vers la guérison est longue et ardue, marquée par des hauts et des bas. Il est fondamental de reconnaître que chaque individu réagit différemment à la perte, et le chemin du rétablissement nécessite une attention délicate et compatissante.

Réactions internationales et locales

Les explosions dévastatrices au Liban ont provoqué un choc émotionnel à l’échelle mondiale, entraînant des réactions immédiates de divers pays et organisations. Les dirigeants du monde entier ont exprimé leurs condoléances aux victimes et aux familles touchées par cette tragédie. Par exemple, les États-Unis ont affiché une solidarité claire avec le peuple libanais, promettant une aide humanitaire pour soutenir les efforts de secours. Des pays comme la France ont également proposé assistance et expertise pour aider à la reconstruction du pays après cette catastrophe. La communauté internationale a régulièrement souligné l’importance d’une réponse rapide et efficace pour faire face aux conséquences des explosions.

Au niveau local, les réactions ont été tout aussi poignantes. La population libanaise a exprimé sa douleur à travers des manifestations et des veillées funèbres, appelant à la justice et à la responsabilité de ceux qui sont responsables de cette tragédie. Les médias locaux ont largement couvert l’ampleur des destructions et l’impact sur la vie quotidienne des citoyens, mettant en lumière les polémiques entourant la corruption et la négligence systémique au sein des institutions gouvernementales.

Contexte historique et politique

Le Liban, un pays à la croisée des chemins entre l’Est et l’Ouest, a connu une histoire tumultueuse marquée par des conflits internes et des tensions régionales. Depuis l’indépendance en 1943, le Liban a été le théâtre de nombreux bouleversements, notamment la guerre civile de 1975 à 1990. Cette période de violence a exacerbé les divisions communautaires, renforçant la présence d’entités armées telles que le Hezbollah, qui a été fondé en 1982, en réponse à l’invasion israélienne. Le Hezbollah s’est rapidement affirmé comme une force politique et militaire majeure, tout en étant soutenu par l’Iran et la Syrie. Cette dynamique géopolitique complexe a contribué à la persistance des tensions au Liban et dans la région.

Au fil des décennies, le Liban a dû naviguer entre des influences extérieures variées, des interventions militaires et des alliances fluctuantes. Le Hezbollah, bien que considéré comme une organisation terroriste par certains pays, se positionne également comme un acteur clé de la résistance face à l’occupation israélienne et a acquis une légitimité auprès de nombreux Libanais. La résilience de ce mouvement est symptomatique des fractures politiques au sein du pays, exacerbées par des crises économiques, politiques et sociales. En outre, la manifestation des tensions entre le Hezbollah et Israël a souvent eu des répercussions désastreuses sur la population civile libanaise.

Les relations entre le Liban et ses voisins, en particulier Israël et la Syrie, continuent d’être marquées par des conflits historiques qui influencent l’évolution politique du pays. La lutte pour le pouvoir à l’intérieur même du Liban, entre diverses factions et groupes armés, crée un climat d’incertitude et de préoccupation. Cette dynamique conflictuelle s’inscrit dans un cadre plus large de rivalités régionales, où le Liban devient un terrain d’affrontement pour des intérêts plus vastes. Ainsi, la compréhension de ce contexte historique et politique est fondamentale pour appréhender les récentes explosions dévastatrices qui ont frappé le pays, révélant des couches de complexité dans des événements tragiques.

Réponses et mesures de sécurité post-explosions

Suite aux explosions dévastatrices qui ont frappé le Liban, les autorités et les organisations locales ont pris des mesures significatives pour renforcer la sécurité et gérer les menaces potentielles. La gestion des situations d’urgence a constitué une priorité essentielle afin de prévenir d’autres tragédies et de rassurer la population sur leur sécurité. Parmi les réponses immédiates, on a assisté à l’intensification des contrôles de sécurité dans les lieux publics, ainsi qu’à l’augmentation de la présence des forces de police et de l’armée dans des zones sensibles.

Une des leçons majeures tirées des explosions a été la nécessité d’améliorer la sécurité des communications. Il est devenu urgent d’établir des protocoles de communication clairs et efficaces pour coordonner les actions lors d’une crise. Cela inclut un meilleur partage d’information entre les différentes agences gouvernementales, ainsi qu’avec les organismes non gouvernementaux et les services de secours. Des campagnes de sensibilisation ont également été lancées, encourageant les citoyens à signaler toute activité suspecte et à devenir des acteurs de la sécurité collective.

En outre, le gouvernement libanais a envisagé des partenariats avec des experts internationaux en matière de sécurité pour évaluer les infrastructures existantes et proposer des améliorations. Les investissements dans la technologie de surveillance, tels que les systèmes de caméra de sécurité avancés, ont été intensifiés, visant à créer un environnement plus sûr pour tous. La mise en œuvre de ces mesures de sécurité constitue une réponse directe aux menaces posées par des actes de violence. À travers une approche systématique et proactive, les autorités s’efforcent de rétablir la confiance du public et de garantir la sécurité des citoyens face à des événements tragiques.

L’avenir incertain du Liban

Les récentes explosions dévastatrices au Liban ont suscité des préoccupations quant à l’avenir du pays, déjà marqué par des crises politiques et économiques persistantes. La fragilité de la situation politique libanaise se voit exacerbée par des événements tragiques qui peuvent entraîner une instabilité accrue. En effet, les répercussions de ces explosions ne se limitent pas à des pertes humaines et matérielles; elles soulèvent des questions cruciales sur la capacité des institutions libanaises à gérer une telle catastrophe.

Dans le court terme, les explosions pourraient engendrer une désorganisation des services publics et une détérioration de la confiance des citoyens envers leur gouvernement. La gestion d’une crise humanitaire pourrait également devenir un défi majeur pour les autorités libanaises, qui peinent déjà à répondre aux besoins fondamentaux de la population. La solidarité entre les différentes communautés risque d’être mise à l’épreuve, exacerbant les tensions sectaires qui ont historiquement caractérisé le Liban.

À long terme, les conséquences des explosions pourraient influencer les dynamiques politiques internes. Les partis politiques pourraient se retrouver dans une lutte pour le pouvoir et le contrôle des ressources, ce qui pourrait mener à un renforcement des divisions existantes. Par ailleurs, l’instabilité pourrait retarder les réformes économiques nécessaires à la relance du pays, même dans un contexte international où l’aide humanitaire et financière est incertaine.

Le secrétaire général du Hezbollah, Sayed Hassan Nasrallah, a affirmé ce jeudi dans un discours télévisé « qu’il ne fait aucun doute que l’agression israélienne qui a eu lieu mardi et mercredi en faisant sauter les bipeurs et les talkies walkies est une agression majeure et sans précédent ».

Et d’ajouter: « L’ennemi israélien sera confronté à un châtiment dur et juste. Je ne parlerai pas d’un temps et de la forme du châtiment, mais laissez plutôt cette question à ce que vous entendrez et ce que vous verrez. Le châtiment viendra, mais comment et où cela se fera, nous le garderons pour nous, dans le cercle le plus étroit ».

Voici les principaux points de son discours:

Ce qui m’a poussé à parler aujourd’hui, ce sont les événements qui se sont produits au cours des deux derniers jours. Cela nécessite une évaluation et une prise de position de notre part.

Remerciements

Je voudrais présenter mes remerciements au gouvernement libanais, au ministère de la Santé, aux hôpitaux, aux centres de santé, aux établissements de santé, aux médecins et infirmiers.

Nous présentons également aux familles des martyrs nos plus sincères condoléances pour la perte de leurs proches et nos plus sincères félicitations pour leur obtention la médaille du martyre. Je prie Dieu un prompt rétablissement aux blessés, et de leur accorder la patience et l’endurance.

Je remercie les pays qui ont pris l’initiative d’envoyer de l’aide médicale et de transporter les blessés en Irak et en Iran, ainsi qu’au gouvernement syrien qui a ouvert les portes de ses hôpitaux.

L’ennemi a voulu tuer 5000 personnes en 2 minutes

Ce qui s’est passé mardi, c’est que des milliers des bipeurs ont été pris pour cible et ont explosé simultanément sans que l’ennemi ne s’en soucie.

L’ennemi a utilisé un dispositif civil répandu dans différentes couches de la société. Il ne s’est pas soucié de la présence de bipeurs dans les lieux civils, les maisons, les hôpitaux, les pharmacies, les marchés…

À la suite de cette agression, des dizaines de personnes, dont des enfants et des femmes, sont tombés en martyre et des milliers ont été blessés.

L’ennemi sait que le nombre de bipeurs était de 4 000 et qu’ils sont répartis entre les membres du Hezbollah, ce qui signifie qu’il a délibérément voulu tuer 4 000 personnes en une minute.

L’intention de l’ennemi le lendemain était de tuer des milliers de porteurs des talkies-walkies.

Pendant ces deux jours, l’ennemi a voulu tuer 5 000 personnes en deux minutes sans se soucier de rien.

Cet acte criminel est une opération terroriste majeure, un acte de génocide et un massacre, équivalant à une déclaration de guerre.

Nous adopterons les appellations massacre du mardi et massacre du mercredi. Beaucoup de désastres ont été évités, car de nombreuses blessures étaient légères, et un certain nombre de ces bipeurs étaient hors service, loin ou n’étaient pas encore distribués.

De plus, les efforts humains et l’empressement apparu par la population ont contribué à réduire les blessures graves. Cet empressement, ces efforts humains et cette haute détermination ont avorté une grande partie de l’objectif de l’ennemi de tuer 5 000 personnes.

Nous avons formé plusieurs commissions d’enquête internes et étudié tous les scénarios, hypothèses et possibilités, et nous sommes parvenus à un résultat presque définitif.

L’intégralité de ce dossier, du producteur au consommateur jusqu’au moment de l’explosion, fait l’objet d’une enquête, des mesures appropriées seront prises en conséquence.

Nous allons surmonter cette épreuve avec dignité

Il ne fait aucun doute que nous avons subi un coup dur en matière de sécurité et humanitaire, sans précédent dans l’histoire de notre résistance et peut-être dans l’histoire du conflit avec l’ennemi.

Nous avons reçu un coup dur, mais nous sommes dans un état de guerre et nous réalisons que l’ennemi a une supériorité technologique, d’autant plus qu’il est soutenu par les USA, l’Occident et l’OTAN.

Lorsque nous entrons dans ce conflit, nous misons sur l’effort, le jihad et l’usure, et nous avons été victorieux à plusieurs reprises jusqu’à présent.

Les deux derniers jours ont été difficiles et constituent une grande épreuve que nous allons surmonter avec dignité.

L’important est que cette frappe majeure ne nous fera pas tomber et elle n’aboutira point. Nous serons plus forts, plus déterminés, plus engagés et plus capables de surmonter tous les risques.

L’efficacité du front libanais

Notre front a été très efficace et a fait pression sur l’ennemi, et la preuve est ce que l’ennemi fait et dit, en dehors de ce qui est dit ici et là.

Quand l’ennemi dit que ce qui se passe dans le nord est la première défaite historique d’Israël, c’est une preuve supplémentaire de l’efficacité de notre front.

Toutes les forces que l’ennemi a dépêchées vers le nord confirment qu’il fait face à une réelle menace sur ce front

L’ennemi a reconnu la perte du nord, obligeant Netanyahu et Gallant à trouver une solution pour ce front, considéré comme l’un des fronts d’usure les plus importants.

Notre front est l’une des cartes de négociation les plus importantes dont dispose la résistance palestinienne pour mettre fin à l’agression contre Gaza.

Menaces et pressions pour stopper le front du sud

De nombreuses pressions, menaces et agressions ont été exercées pour arrêter le front de soutien du sud-Liban, et c’est dans ce contexte qu’a eu lieu la dernière frappe.

Mardi, nous avons reçu des messages via les canaux officiels et non officiels recommandant l’arrêt du soutien à Gaza et des tirs depuis le sud-Liban.

Nous avons été informés par les voies officielles et non officielles de menaces de nouvelles frappes si nous n’arrêterons pas nos opérations dans le sud-Liban.

Impossible de stopper notre soutien à Gaza

Il est impossible que nous nous plions à ces menaces ou de stopper notre soutien à Gaza.

Notre réponse est, au nom des martyrs et des blessés, que le front libanais ne s’arrêtera pas tant que l’agression contre Gaza ne cessera, quels que soient les sacrifices, les conséquences, les circonstances et les horizons.

La résistance au Liban ne cessera pas de soutenir Gaza, la Cisjordanie et le peuple palestinien opprimé. Cela fait bientôt 12 mois qu’on le dit. L’ennemi n’a donc pas atteint son objectif.

Les objectifs de la dernière agression n’ont pas abouti

L’ennemi a voulu via la dernière frappe d’asséner un coup à l’environnement de la résistance, à l’épuiser, et à le faire plier pour qu’il crie et dit à la résistance: Ça suffit! Cet objectif non plus n’a pas été atteint.

Les déclarations des blessés eux-mêmes reflètent leur moral, leur grande patience et leur détermination à retourner sur le terrain, et c’est une autre réponse à l’ennemi.

Nous avons honte des familles des martyrs et des blessés et de leur détermination, de leur patience. Telle est la réponse de notre environnement et de notre pays dans son ensemble par la solidarité.

L’ennemi avait également pour objectif de détruire la structure de la résistance, de frapper les systèmes de commandement et de contrôle, de frapper le plus grand nombre de dirigeants et de créer le chaos et d’affaiblir notre structure, et cela n’est jamais arrivé.

Il n’y a eu aucune faiblesse dans la structure de la résistance, même pour un seul instant, et nous étions prêts sur le front à n’importe quel scénario, et cela ne nous a pas fait trembler.

Notre structure au niveau de la force, la solidité, des équipements, de personnel et de cohésion ne peut pas être ébranlée par un crime majeur de cette ampleur.

L’ennemi doit comprendre qu’il est impossible de nuire à notre structure, à notre détermination et à notre volonté. Il est insensé et stupide et ne comprend pas la profondeur morale de notre environnement.

Le Hezbollah accepte le défi face à Netanyahu: Pas du retour des colons

Les propos de l’ennemi sur un déplacement du poids vers le nord après l’élargissement des objectifs de la guerre pour renvoyer ses colons au nord de la Palestine occupée.

Je dis à Netanyahu : Vous ne réussirez pas à ramener les déplacés du nord chez eux. Nous acceptons ce défi. Faites ce que vous voulez, vous n’y parviendrez pas.

La seule façon de faire retourner les déplacés vers le nord est de mettre fin à l’agression contre la bande de Gaza et la Cisjordanie. Ni l’escalade militaire, ni les meurtres, ni même la guerre totale ne ramèneront vos colons dans les colonies du Nord ! Vous le savez.

Ce que vous ferez augmentera le déplacement des déplacés du Nord et éliminera la possibilité de les renvoyer.

La proposition insensée du commandant de la région du Nord d’établir une zone de sécurité dans le sud du Liban. Nous espérons qu’ils la mettront en œuvre et nous considérons qu’il s’agira d’une opportunité historique qui aura des effets majeurs sur la bataille.

Quand leurs chars viendront chez nous, ils seront les bienvenus, et nous considérerons cette menace comme une opportunité historique à laquelle nous aspirons.

La résistance en 1978, puis la résistance avec toutes ses factions en 1982, étaient axées sur la libération de la bande frontalière dans le sud-Liban.

Si vous croyez par l’établissement de cette zone limiter les tirs contre le Nord, vos centres militaires seront visés dans le nord de la Palestine occupée. Et même plus loin ! Ça sera pour vous un piège, un bourbier et un enfer et vous serez confrontés à une punition sévère.

Un châtiment dur et juste

Quant au châtiment dur et juste que l’ennemi recevra pour sa dernière agression, je ne parlerai pas d’un temps et de la forme du châtiment, mais laissez plutôt cette question à ce que vous entendrez et ce que vous verrez. Le châtiment viendra, mais comment et où cela se fera? Nous le garderons pour nous, dans le cercle le plus étroit.

Enfin, nous espérons préserver cette positivité qu’on a vu parmi le peuple libanais, loin des personnes insignifiantes qui veulent déformer cette image humanitaire.

Nous espérons que Dieu aidera notre peuple à Gaza et en Cisjordanie, qui est exterminé sous les yeux du monde.
Le secrétaire général du Hezbollah, Sayed Hassan Nasrallah, a affirmé ce jeudi dans un discours télévisé « qu’il ne fait aucun doute que l’agression israélienne qui a eu lieu mardi et mercredi en faisant sauter les bipeurs et les talkies walkies est une agression majeure et sans précédent ». Et d’ajouter: « L’ennemi israélien sera confronté à un châtiment dur et juste. Je ne parlerai pas d’un temps et de la forme du châtiment, mais laissez plutôt cette question à ce que vous entendrez et ce que vous verrez. Le châtiment viendra, mais comment et où cela se fera, nous le garderons pour nous, dans le cercle le plus étroit ». Voici les principaux points de son discours: Ce qui m’a poussé à parler aujourd’hui, ce sont les événements qui se sont produits au cours des deux derniers jours. Cela nécessite une évaluation et une prise de position de notre part. Remerciements Je voudrais présenter mes remerciements au gouvernement libanais, au ministère de la Santé, aux hôpitaux, aux centres de santé, aux établissements de santé, aux médecins et infirmiers. Nous présentons également aux familles des martyrs nos plus sincères condoléances pour la perte de leurs proches et nos plus sincères félicitations pour leur obtention la médaille du martyre. Je prie Dieu un prompt rétablissement aux blessés, et de leur accorder la patience et l’endurance. Je remercie les pays qui ont pris l’initiative d’envoyer de l’aide médicale et de transporter les blessés en Irak et en Iran, ainsi qu’au gouvernement syrien qui a ouvert les portes de ses hôpitaux. L’ennemi a voulu tuer 5000 personnes en 2 minutes Ce qui s’est passé mardi, c’est que des milliers des bipeurs ont été pris pour cible et ont explosé simultanément sans que l’ennemi ne s’en soucie. L’ennemi a utilisé un dispositif civil répandu dans différentes couches de la société. Il ne s’est pas soucié de la présence de bipeurs dans les lieux civils, les maisons, les hôpitaux, les pharmacies, les marchés… À la suite de cette agression, des dizaines de personnes, dont des enfants et des femmes, sont tombés en martyre et des milliers ont été blessés. L’ennemi sait que le nombre de bipeurs était de 4 000 et qu’ils sont répartis entre les membres du Hezbollah, ce qui signifie qu’il a délibérément voulu tuer 4 000 personnes en une minute. L’intention de l’ennemi le lendemain était de tuer des milliers de porteurs des talkies-walkies. Pendant ces deux jours, l’ennemi a voulu tuer 5 000 personnes en deux minutes sans se soucier de rien. Cet acte criminel est une opération terroriste majeure, un acte de génocide et un massacre, équivalant à une déclaration de guerre. Nous adopterons les appellations massacre du mardi et massacre du mercredi. Beaucoup de désastres ont été évités, car de nombreuses blessures étaient légères, et un certain nombre de ces bipeurs étaient hors service, loin ou n’étaient pas encore distribués. De plus, les efforts humains et l’empressement apparu par la population ont contribué à réduire les blessures graves. Cet empressement, ces efforts humains et cette haute détermination ont avorté une grande partie de l’objectif de l’ennemi de tuer 5 000 personnes. Nous avons formé plusieurs commissions d’enquête internes et étudié tous les scénarios, hypothèses et possibilités, et nous sommes parvenus à un résultat presque définitif. L’intégralité de ce dossier, du producteur au consommateur jusqu’au moment de l’explosion, fait l’objet d’une enquête, des mesures appropriées seront prises en conséquence. Nous allons surmonter cette épreuve avec dignité Il ne fait aucun doute que nous avons subi un coup dur en matière de sécurité et humanitaire, sans précédent dans l’histoire de notre résistance et peut-être dans l’histoire du conflit avec l’ennemi. Nous avons reçu un coup dur, mais nous sommes dans un état de guerre et nous réalisons que l’ennemi a une supériorité technologique, d’autant plus qu’il est soutenu par les USA, l’Occident et l’OTAN. Lorsque nous entrons dans ce conflit, nous misons sur l’effort, le jihad et l’usure, et nous avons été victorieux à plusieurs reprises jusqu’à présent. Les deux derniers jours ont été difficiles et constituent une grande épreuve que nous allons surmonter avec dignité. L’important est que cette frappe majeure ne nous fera pas tomber et elle n’aboutira point. Nous serons plus forts, plus déterminés, plus engagés et plus capables de surmonter tous les risques. L’efficacité du front libanais Notre front a été très efficace et a fait pression sur l’ennemi, et la preuve est ce que l’ennemi fait et dit, en dehors de ce qui est dit ici et là. Quand l’ennemi dit que ce qui se passe dans le nord est la première défaite historique d’Israël, c’est une preuve supplémentaire de l’efficacité de notre front. Toutes les forces que l’ennemi a dépêchées vers le nord confirment qu’il fait face à une réelle menace sur ce front L’ennemi a reconnu la perte du nord, obligeant Netanyahu et Gallant à trouver une solution pour ce front, considéré comme l’un des fronts d’usure les plus importants. Notre front est l’une des cartes de négociation les plus importantes dont dispose la résistance palestinienne pour mettre fin à l’agression contre Gaza. Menaces et pressions pour stopper le front du sud De nombreuses pressions, menaces et agressions ont été exercées pour arrêter le front de soutien du sud-Liban, et c’est dans ce contexte qu’a eu lieu la dernière frappe. Mardi, nous avons reçu des messages via les canaux officiels et non officiels recommandant l’arrêt du soutien à Gaza et des tirs depuis le sud-Liban. Nous avons été informés par les voies officielles et non officielles de menaces de nouvelles frappes si nous n’arrêterons pas nos opérations dans le sud-Liban. Impossible de stopper notre soutien à Gaza Il est impossible que nous nous plions à ces menaces ou de stopper notre soutien à Gaza. Notre réponse est, au nom des martyrs et des blessés, que le front libanais ne s’arrêtera pas tant que l’agression contre Gaza ne cessera, quels que soient les sacrifices, les conséquences, les circonstances et les horizons. La résistance au Liban ne cessera pas de soutenir Gaza, la Cisjordanie et le peuple palestinien opprimé. Cela fait bientôt 12 mois qu’on le dit. L’ennemi n’a donc pas atteint son objectif. Les objectifs de la dernière agression n’ont pas abouti L’ennemi a voulu via la dernière frappe d’asséner un coup à l’environnement de la résistance, à l’épuiser, et à le faire plier pour qu’il crie et dit à la résistance: Ça suffit! Cet objectif non plus n’a pas été atteint. Les déclarations des blessés eux-mêmes reflètent leur moral, leur grande patience et leur détermination à retourner sur le terrain, et c’est une autre réponse à l’ennemi. Nous avons honte des familles des martyrs et des blessés et de leur détermination, de leur patience. Telle est la réponse de notre environnement et de notre pays dans son ensemble par la solidarité. L’ennemi avait également pour objectif de détruire la structure de la résistance, de frapper les systèmes de commandement et de contrôle, de frapper le plus grand nombre de dirigeants et de créer le chaos et d’affaiblir notre structure, et cela n’est jamais arrivé. Il n’y a eu aucune faiblesse dans la structure de la résistance, même pour un seul instant, et nous étions prêts sur le front à n’importe quel scénario, et cela ne nous a pas fait trembler. Notre structure au niveau de la force, la solidité, des équipements, de personnel et de cohésion ne peut pas être ébranlée par un crime majeur de cette ampleur. L’ennemi doit comprendre qu’il est impossible de nuire à notre structure, à notre détermination et à notre volonté. Il est insensé et stupide et ne comprend pas la profondeur morale de notre environnement. Le Hezbollah accepte le défi face à Netanyahu: Pas du retour des colons Les propos de l’ennemi sur un déplacement du poids vers le nord après l’élargissement des objectifs de la guerre pour renvoyer ses colons au nord de la Palestine occupée. Je dis à Netanyahu : Vous ne réussirez pas à ramener les déplacés du nord chez eux. Nous acceptons ce défi. Faites ce que vous voulez, vous n’y parviendrez pas. La seule façon de faire retourner les déplacés vers le nord est de mettre fin à l’agression contre la bande de Gaza et la Cisjordanie. Ni l’escalade militaire, ni les meurtres, ni même la guerre totale ne ramèneront vos colons dans les colonies du Nord ! Vous le savez. Ce que vous ferez augmentera le déplacement des déplacés du Nord et éliminera la possibilité de les renvoyer. La proposition insensée du commandant de la région du Nord d’établir une zone de sécurité dans le sud du Liban. Nous espérons qu’ils la mettront en œuvre et nous considérons qu’il s’agira d’une opportunité historique qui aura des effets majeurs sur la bataille. Quand leurs chars viendront chez nous, ils seront les bienvenus, et nous considérerons cette menace comme une opportunité historique à laquelle nous aspirons. La résistance en 1978, puis la résistance avec toutes ses factions en 1982, étaient axées sur la libération de la bande frontalière dans le sud-Liban. Si vous croyez par l’établissement de cette zone limiter les tirs contre le Nord, vos centres militaires seront visés dans le nord de la Palestine occupée. Et même plus loin ! Ça sera pour vous un piège, un bourbier et un enfer et vous serez confrontés à une punition sévère. Un châtiment dur et juste Quant au châtiment dur et juste que l’ennemi recevra pour sa dernière agression, je ne parlerai pas d’un temps et de la forme du châtiment, mais laissez plutôt cette question à ce que vous entendrez et ce que vous verrez. Le châtiment viendra, mais comment et où cela se fera? Nous le garderons pour nous, dans le cercle le plus étroit. Enfin, nous espérons préserver cette positivité qu’on a vu parmi le peuple libanais, loin des personnes insignifiantes qui veulent déformer cette image humanitaire. Nous espérons que Dieu aidera notre peuple à Gaza et en Cisjordanie, qui est exterminé sous les yeux du monde.

Ce qui s’est passé mardi, c’est que des milliers des bipeurs ont été pris pour cible et ont explosé simultanément sans que l’ennemi ne s’en soucie.L’ennemi a utilisé un dispositif civil répandu dans différentes couches de la société. Il ne s’est pas soucié de la présence de bipeurs dans les lieux civils, les maisons, les hôpitaux, les pharmacies, les marchés…À la suite de cette agression, des dizaines de personnes, dont des enfants et des femmes, sont tombés en martyre et des milliers ont été blessés.

L’ennemi sait que le nombre de bipeurs était de 4 000 et qu’ils sont répartis entre les membres du Hezbollah, ce qui signifie qu’il a délibérément voulu tuer 4 000 personnes en une minute.L’intention de l’ennemi le lendemain était de tuer des milliers de porteurs des talkies-walkies.Pendant ces deux jours, l’ennemi a voulu tuer 5 000 personnes en deux minutes sans se soucier de rien.Cet acte criminel est une opération terroriste majeure, un acte de génocide et un massacre, équivalant à une déclaration de guerre.

Le gouvernement des États-Unis est ‘profondément perturbé’ par la vidéo Israélien des soldats poussant trois corps apparemment sans vie sur les toits lors d’un raid dans la partie nord de la Cisjordanie occupée.

Des images obtenues par l’Associated Press hier à Qabatiya ont montré trois membres des Forces de Défense israéliennes ramassant un corps raide, puis le traînant vers le bord d’un toit.

Les soldats ont regardé par-dessus le bord avant de hisser le corps vers le précipice et de le frapper à plusieurs reprises jusqu’à ce que le cadavre tombe dans l’abîme.

Pendant ce temps, sur un toit adjacent, les soldats ont tenu un autre corps apparemment mort par ses membres et l’ont balancé sur le bord.

Un bulldozer de l’armée israélienne a ensuite été vu se dirigeant vers l’endroit où les corps ont été déposés, selon les journalistes.

Maison Blanche le porte-parole de la sécurité nationale, John Kirby, a déclaré que les États-Unis attendaient les résultats d’une enquête des FDI sur l’incident.

‘Il s’agit d’un incident grave qui ne coïncide pas avec les valeurs des FDI et les attentes des soldats des FDI’, a déclaré l’armée israélienne dans un communiqué.

Les responsables ont déclaré qu’ils examineraient l’incident mais n’ont pas immédiatement ouvert d’enquête officielle.

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