Introduction au Documentaire
Le nouveau documentaire, intitulé “Démantèlement des Tromperies Médias d’Israël sur Gaza”, se positionne comme une analyse critique des récits médiatiques entourant le conflit israélo-palestinien. À une époque où la compréhension des événements au Moyen-Orient est souvent façonnée par des narrations biaisées, ce documentaire vise à offrir une perspective alternative, en exposant les manipulations et les inexactitudes fréquentes dans la couverture médiatique. Ce travail découle de l’importance croissante de remettre en question les informations présentées au public, qui sont souvent teintées de propagande et de préjugés.
Dans un contexte géopolitique tumultueux, où les tensions entre Israël et la Palestine continuent d’affecter des millions de vies, ce documentaire s’efforce de dévoiler les réalités souvent méconnues de la vie à Gaza. En examinant des témoignages de résidents locaux, des analystes et des experts en médias, le film apporte une lumière nouvelle sur les conditions de vie dans cette région. L’objectif principal est de déconstruire les récits simplistes qui dominent les débats publics et de susciter une réflexion critique parmi les spectateurs.
Les thèmes abordés dans le documentaire incluent une analyse des techniques de désinformation utilisées, l’impact des technologies modernes sur la diffusion des informations, ainsi que les responsabilités éthiques des journalistes. En se concentrant sur les récits souvent omis et sur le vécu des personnes directement affectées par le conflit, le documentaire appelle à une prise de conscience collective concernant l’importance d’une couverture médiatique équilibrée et factuelle. Cela s’inscrit dans une démarche plus large visant à encourager des discussions éclairées et nuancées sur les réalités des conflits au Moyen-Orient.

Le Concept de Fabrication du Consentement
La fabrication du consentement est un concept clé dans l’étude des médias et de la communication, développé initialement par Edward S. Herman et Noam Chomsky. Cette théorie postule que les médias, au lieu de remplir un rôle d’information objective, servent souvent d’outils pour la manipulation de l’opinion publique en diffusant des messages sélectionnés qui favorisent certains agendas. Dans le cadre du conflit à Gaza, ce principe s’applique de manière particulièrement frappante, illustrant comment la désinformation peut façonner la perception des conflits armés.
À travers des déclarations biaisées, des reportages partiels et des omissions stratégiques, les médias peuvent créer une narrative qui orchestre l’opinion publique. Par exemple, les reportages sur les événements à Gaza ont souvent été critiqués pour leur tendance à présenter un récit unidimensionnel, à savoir celui qui privilégie les perspectives israéliennes aux dépens de celles des Palestiniens. Cette approche non seulement déforme les faits, mais contribue aussi à l’établissement d’idées reçues qui ne reflètent pas la complexité de la réalité sur le terrain.
En outre, la fabrication du consentement peut également se manifestée à travers l’usage sélectif de la terminologie. Les choix linguistiques employés par les journalistes affectent profondément la façon dont les événements sont interprétés. Les termes utilisés pour décrire les acteurs et les événements peuvent ainsi influencer les dispositions émotives et intellectuelles des sociétés envers le conflit. Les reportages qui qualifient les actions militaires d’« opérations défensives » plutôt que d’« attaques » participent à cette construction d’un consentement biaisé, où la perception publique est orientée vers une justification des actions menées.
Dans l’analyse de ces dynamiques médiatiques, il devient impératif de rester vigilant et critique envers les messages véhiculés, afin de contrer les effets de la manipulation informationnelle et de promouvoir une représentation plus équilibrée des réalités complexes qui composent le conflit à Gaza.
Analyse des Sources Médiatiques
Dans le cadre de l’analyse des médias concernant le conflit à Gaza, il est impératif de reconnaître les différentes sources d’information qui façonnent la perception du public. Les médias traditionnels, notamment les chaînes de télévision, les journaux imprimés et les plateformes d’information en ligne, jouent un rôle crucial dans la diffusion de l’information. Cependant, des biais et des manipulations peuvent affecter la manière dont ces événements sont rapportés, conduisant à une couverture souvent unidimensionnelle.
Des études ont révélé que les principaux médias occidentaux ont tendance à privilégier certaines narratives qui peuvent ne pas refléter la diversité des opinions existantes sur le terrain. Par exemple, les reportages peuvent mettre davantage l’accent sur les actions militaires d’Israël sans offrir la même ampleur d’analyse sur la situation humanitaire à Gaza. Ce déséquilibre peut créer une perception dans laquelle les souffrances des civils palestiniens sont minimisées ou ignorées.
De plus, des exemples concrets montrent comment certaines sources médiatiques ont été accusées de sélectionner ou d’orienter des faits pour correspondre à une narration préétablie. Par exemple, l’utilisation de certaines images ou des sélections de témoignages peut être effectuée pour susciter une réponse émotionnelle spécifique, influençant ainsi l’opinion publique. Les reportages peuvent également être affectés par des pressions politiques et des intérêts financiers, ce qui pose la question de l’objectivité et de l’intégrité journalistique.
Il est donc crucial pour les consommateurs de médias de développer une approche critique lors de l’interprétation des informations relatives à la situation à Gaza. En examinant différentes sources, les individus peuvent obtenir une compréhension plus complète et nuancée du conflit. L’être conscient de ces biais et méthodes de manipulation permet une analyse plus éclairée, essentielle pour appréhender la complexité d’un conflit aussi dévastateur.
Les Tactiques de Démantèlement des Mensonges
Le documentaire “Démantèlement des Tromperies Médias d’Israël sur Gaza” adopte une approche méthodologique pour exposer les mensonges véhiculés par divers médias concernant le conflit. Pour cela, il s’appuie sur plusieurs tactiques clés qui visent à promouvoir une compréhension plus nuancée et véridique de la situation. L’une des méthodes principales utilisées est la vérification des faits, un processus critiquement important dans le paysage médiatique actuel, où la désinformation prolifère rapidement. Les réalisateurs du documentaire collaborent avec des organisations de vérification des faits pour examiner et contester les affirmations erronées relayées par les médias.
Une autre tactique significative réside dans les interviews menées avec des experts reconnus dans le domaine des relations internationales et du droit humanitaire. Ces spécialistes apportent des analyses contextualisées et fondées sur des données pour contrebalancer les narrations biaisées. Leurs connaissances permettent de démystifier les représentations simplistes du conflit, aidant ainsi le public à comprendre les complexités en jeu. De plus, les témoignages de personnes directement touchées par le conflit sont intégrés dans le documentaire. Ces voix authentiques humanisent les statistiques et les rapports, rendant la réalité plus palpable pour les spectateurs.
En amalgamant vérification des faits, expertise académique et récits personnels, le documentaire vise à déconstruire les narrations erronées sur Gaza. Ces tactiques ne se contentent pas de relayer des informations, elles encouragent également un dialogue plus large autour de la responsabilité médiatique dans la diffusion de contenus. Cela incite également les spectateurs à développer un esprit critique envers les informations reçues, un élément essentiel dans une ère de communication numérique saturée.
Les Conséquences de la Désinformation
La désinformation médiatique, particulièrement en ce qui concerne le conflit israélo-palestinien, a des conséquences profondes et étendues tant sur le plan régional qu’international. Cette forme de manipulation de l’information influe significativement sur l’opinion publique, qui se forme souvent à partir d’un récit biaisé ou d’une représentation inexacte des événements. Les médias jouent un rôle clé dans la façon dont les citoyens perçoivent les crises, et lorsque l’information est déformée, cela peut renforcer les stéréotypes et les préjugés existants. Par conséquent, la désinformation peut exacerber les tensions et créer un climat de méfiance entre différents groupes.
Au niveau politique, la désinformation a aussi des répercussions notables. Les dirigeants peuvent utiliser une interprétation déformée de la réalité pour justifier leurs actions ou politiques, ce qui peut mener à des décisions qui aggravent encore la situation. Les discours politiques souvent alimentés par des informations biaisées peuvent ignorer les vérités humanitaires essentielles, conduisant à des conséquences néfastes pour ceux qui vivent au cœur des conflits, comme les habitants de Gaza. Cela nuit également à la crédibilité des instances de médiation et des organisations internationales, qui se retrouvent souvent divisées dans leurs interventions.
Enfin, d’un point de vue humanitaire, les conséquences de la désinformation peuvent être dévastatrices. Lorsqu’elle obscurcit les réalités sur le terrain, la désinformation peut conduire à une absence de soutien essentiel pour les populations touchées. Les besoins humanitaires, souvent amplifiés par des crises prolongées, deviennent invisibles aux yeux du monde. Cela entraîne des souffrances additionnelles pour les civils à Gaza, qui sont déjà confrontés à des défis sans précédent. En effet, une prise de conscience mal informée des événements peut pervertir les efforts d’aide, nuisant à la vie de milliers de personnes. Les effets de la désinformation sur les perceptions et les actions soulignent l’importance d’une couverture médiatique précise et responsable.
La Réception du Documentaire
Le documentaire sur le démantèlement des tromperies médias d’Israël concernant Gaza a suscité des réactions contrastées dans divers forums de discussion, tant au sein des médias traditionnels que sur les réseaux sociaux. Il est important de noter que les critiques oscillaient entre des éloges fervents pour la représentation audacieuse des événements et des désapprobations fermes concernant la prétendue partialité du film. Les avis partagés reflètent la polarisation qu’entraîne souvent la question israélo-palestinienne, un sujet sensible suscitant des émotions intenses.
Du côté des critiques, certains journalistes et analystes ont argumenté que le documentaire présentait une interprétation unidimensionnelle des événements, omettant des nuances nécessaires pour une compréhension exhaustive de la situation sur le terrain. D’autres ont insinué que le réalisateur avait une intention claire de marginaliser les voix qui soutiennent les perspectives israéliennes, conduisant ainsi à un narratif déséquilibré. Malgré ces objections, de nombreux commentateurs ont salué le film pour sa tentative de remettre en question la rhétorique médiatique dominante autour de Gaza, appelant à une plus grande transparence dans la couverture de ce conflit complexe.
Sur les réseaux sociaux, le documentaire a rapidement généré un vif débat. Les partisans de la cause palestinienne l’ont largement partagé, le considérant comme un outil crucial pour éveiller les consciences sur la réalité à Gaza. De nombreux utilisateurs de plateformes comme Twitter et Facebook ont exprimé leur gratitude pour une œuvre qui, selon eux, défie les narrations classiques souvent défavorables à la Palestine. En revanche, des groupes de soutien à Israël ont réagi en dénonçant le documentaire, le qualifiant de propagande trompeuse et appelant à la vigilance face à la désinformation. Ce choc d’opinions souligne l’impact du documentaire sur le débat public, créant une occasion pour de nouveaux dialogues sur la réalité à Gaza.
Voix des Palestiniens
Dans le contexte actuel des médias et de la guerre en Gaza, les voix des Palestiniens deviennent impératives pour une comprehension holistique de la situation. Le documentaire “Démantèlement des Tromperies Médias d’Israël sur Gaza” met en lumière des témoignages poignants de résidents palestiniens, souvent négligés dans les reportages mainstream. Ces récits personnels offrent une perspective profonde sur la vie quotidienne sous une occupation prolongée et les défis rencontrés par ceux qui vivent dans cette région.
Les témoignages recueillis montrent des histoires de résilience et de souffrance. Un jeune homme raconte comment les bombardements constants ont affecté non seulement sa sécurité physique, mais aussi son éducation et son bien-être mental. Il évoque les nuits sans sommeil, hanté par la peur d’une nouvelle attaque, mais aussi sa détermination à finir ses études et à contribuer positivement à sa communauté. Ce genre d’expérience humaine est essentiel pour comprendre l’impact des événements géopolitiques sur la vie des individus ordinaires.
Une mère, quant à elle, partage la douleur de perdre un enfant lors d’un raid aérien. Son récit est chargé d’émotion et met en lumière l’effet dévastateur des conflits sur les familles. Elle appelle à une écoute plus attentive des souffrances vécues par les civils à Gaza, soulignant que les récits de violence ne doivent pas éclipser les histoires de vie et d’humanité. Au milieu de la tourmente, ces voix offertes au public démontrent la nécessité d’un dialogue équilibré et respectueux, centrant l’attention sur les Palestiniens, leurs vécus, et leurs aspirations.
Il est crucial que ces perspectives soient intégrées dans le discours public afin de créer une compréhension plus nuancée de la situation en Gaza. Ainsi, le documentaire ne se contente pas seulement de dénoncer la désinformation, mais aussi de servir de plateforme pour ceux qui méritent d’être entendus. En rendant visibles ces témoignages, il invite à une empathie et à une action éclairée envers la tragédie humaine qui se déroule sur le terrain.
Réflexion sur la Responsabilité des Médias
La responsabilité des médias dans la couverture des conflits est un sujet d’une importance cruciale, surtout dans des contextes aussi sensibles que celui de Gaza. Les journalistes doivent naviguer entre le devoir d’informer le public et l’obligation éthique d’éviter la propagation de fausses informations ou de biais. Dans ce paysage complexe, il est impératif que les reporters adoptent une approche équilibrée, fondée sur des faits vérifiables et une analyse rigoureuse.
L’un des premiers défis réside dans la sélection des sources. Des reportages basés uniquement sur des déclarations gouvernementales ou des témoignages individuels peuvent mener à une vision déformée de la réalité. Les journalistes devraient donc s’efforcer d’intégrer une diversité de perspectives, y compris celles des populations locales, des experts et d’autres acteurs imparciaux, afin d’offrir une vue d’ensemble complète et nuancée du conflit. De plus, la nécessité de vérifier les faits avant publication n’a jamais été aussi pressante. La diffusion d’informations non corroborées peut alimenter des tensions et aggraver la situation, rendant ainsi la tâche des journalistes éthique encore plus lourde.
En outre, la formation continue et l’éducation des journalistes jouent un rôle fondamental dans l’amélioration de la pratique journalistique. Des séminaires portant sur l’éthique, la sensibilité culturelle et les techniques de reportage peuvent grandement contribuer à renforcer la qualité des informations diffusées. Les médias peuvent également bénéficier d’une collaboration accrue avec des organisations spécialisées dans les droits de l’homme et la justice sociale. Cela leur permettrait de mieux contextualiser les événements et de faire ressortir les multiples dimensions d’un conflit.
Enfin, il est essentiel que les journalistes se rendent compte de l’impact de leur travail sur le public et sur les événements en cours. La sensibilisation à cette responsabilité pourrait inciter à un reporting journalistique plus conscient et éthique, garantissant ainsi que le public reçoit des informations justes et équilibrées, consolidant ainsi la confiance dans les médias.
Conclusion : Vers une Meilleure Compréhension
Le documentaire “Démantèlement des Tromperies Médias d’Israël sur Gaza” aborde des aspects essentiels des représentations médiatiques concernant le conflit israélo-palestinien. Il souligne comment certaines informations peuvent être déformées ou présentées de manière biaisée, affectant ainsi la perception mondiale de la situation à Gaza. Une analyse minutieuse des reportages révèle souvent des lacunes dans l’objectivité, ce qui rend crucial le besoin d’une couverture médiatique éthique et équilibrée.
Les enjeux du conflit sont particulièrement complexes, impliquant des narrations multiples et des opinions divergentes. Ce documentaire invite les spectateurs à s’engager activement dans la recherche d’une compréhension nuancée des dynamiques qui sous-tendent ces tensions. Comprendre ces narrations est vital pour déconstruire les stéréotypes et les préjugés qui peuvent influencer l’opinion publique. Il est impératif que les citoyens soient conscients de la manière dont les informations sont diffusées, et qu’ils recherchent des sources diversifiées afin d’obtenir une vue d’ensemble plus complète et équilibrée.
Dans un monde où les médias jouent un rôle central dans la formation des opinions, la responsabilité incombe à chacun d’entre nous de remettre en question ce que nous voyons et lisons. Cela nécessite un engagement citoyen envers un débat informé, où toutes les voix sont entendues, et toutes les perspectives sont examinées, non seulement en ce qui concerne le conflit israélo-palestinien, mais aussi pour d’autres enjeux géopolitiques. En fin de compte, le but est de favoriser un dialogue constructif, permettant ainsi de mieux comprendre les réalités qui façonnent notre monde contemporain.
Avertissement : ce contenu ne convient pas aux consommateurs de propagande qui vivent confortablement dans leur bulle d’ignorance. L’histoire de la Seconde Guerre mondiale a été écrite par les vainqueurs. Voici une cure de désintoxication historique de 10 heures non autorisée qui modifie la vision du monde et offre un regard dérangeant sur l’avenir :
La guerre Israélo-Hamas de 2023 a commencé de la même manière que la Guerre contre le Terrorisme de 2001. C’était une réponse à une attaque meurtrière contre le pays par un ennemi officiel.
Mais plus que cela, comme l’a déclaré cette semaine l’invité de l’Heure Global Research News, il existe de nombreux parallèles entre “9/11” et “10/7.” Les deux attaques semblaient satisfaire certains objectifs militaires et les ambitions géostratégiques des pays en question satisfaits par “combattants terroristes.” En outre, il semble y avoir des indications claires que les attaques des 9/11 et 10/7 étaient connues à l’avance et autorisées à se produire.
De plus, les deux guerres ont été proclamées le 7 octobre!
Richard Gage, AIA, est un architecte de la région de la baie de San Francisco et membre de l’American Institute of Architects et fondateur et ancien PDG de Architectes et Ingénieurs pour la Vérité 9/11. Il dirige maintenant la charge d’une nouvelle enquête du World Trade Center avec sa courageuse épouse Gail à RichardGage911.org.
Ici, il décompose ses arguments.
Plus de son analyse est disponible à RichardGage911.org
Transcription de Richard Gage, AIA, 2 octobre 2024
Recherche Globale: Richard, tout d’abord, qu’est-ce qui vous a amené à penser à l’attaque du 7 octobre de l’année dernière comme une sorte de rediffusion des attaques du 11 septembre?
Richard Gage: 9-11 et Gaza ont tous deux partagé les caractéristiques des opérations sous fausse bannière. Qu’est-ce que c’est? Eh bien, d’abord, ils créent le problème original.
Quels sont les problèmes liés à ces deux événements? Eh bien, il y a parallèlement numéro un, des objectifs géostratégiques précédemment établis convoquant les ressources naturelles du territoire cible. Et parallèle numéro deux, une riche histoire de provocations historiques et récentes et d’opérations sous fausse bannière par les États-Unis et par Israël pour atteindre leurs objectifs respectifs. Ils déploient des patsies politiquement utiles et contrôlées.
Parallèle numéro trois. En parallèle numéro quatre, ils ont un événement déclencheur comme une attaque innovante aux origines douteuses, une invasion fabriquée par des agents étrangers. Parallèlement numéro cinq, un échec catastrophique du renseignement, qui bien sûr Gaza est particulièrement célèbre pour, avec 9-11 et le retrait, le retrait militaire, qui est parallèle six, un retard inhabituel évident dans la réponse.
Oups, quelque chose s’est passé. Nous avons pu tout à fait maîtriser cette submersion massive de nos ressources. Le numéro sept parallèle, bien sûr, est la connaissance préalable des attaques parce qu’avec des événements machinés comme ceux-ci, les gens les connaissent à l’avance.
Le parallèle numéro huit est intéressant, un délice incontrôlé pendant les attaques. Dans les deux cas, des Israéliens dansent lors de destructions massives ou sont attaqués. Dans le cas de Gaza, les Israéliens dansent réellement lors d’une attaque à la roquette depuis Gaza, ce qui est censé être un problème contre lequel ils sont censés se défendre, mais ils dansent lors de cette attaque.
Que savent-ils, en d’autres termes? Eh bien, c’était tout le problème initial, mais il y a une série de parallèles associés à la gestion de la réaction du public au problème, c’est-à-dire le numéro neuf parallèle, le gouvernement dans la propagande médiatique avec des slogans scandaleux afin de manipuler les émotions publiques et de déployer des acteurs de crise. Parallèlement 10, des atrocités sont alléguées à l’ennemi avec la déshumanisation qui en résulte. C’est bien sûr célèbre.
Ils ont dit, ce sont des animaux à Gaza, et aucun d’entre eux n’était vrai. Aux États-Unis, Guantanamo Bay, ils sont décrits comme le pire des pires. C’est pourquoi ils doivent être mis dans ces prisons et rendus extraordinaires, et cetera, et cetera.
Le parallèle 11 est la négation de ces atrocités par l’ennemi. Oussama ben Laden, dans le cas du 9-11, niant la responsabilité des attaques, et bien sûr, les atrocités niées par le Hamas qui leur ont été reprochées sous la forme d’abus graves, de viols, de décapitation de bébés, etc. Parallèle 12 sont les médias d’opposition et les journalistes qui sont visés.
Al Jazeera a été pris pour cible dans le cas de l’invasion de l’Irak et son attaque. Bien sûr, encore une fois, je pense que 100 journalistes ont été attaqués, tués, en suivant 10-7. Ils ont le problème original qu’ils créent.
Ils gèrent la réaction du public, puis la partie C offre la solution prescrite au problème, qui comprend plusieurs parallèles en soi, comme l’attaque de vengeance militaire. Parallèle 13, préparé à l’avance sans enquête. We’re va à la guerre.
We’s enquêtera plus tard. Nous allons à la guerre maintenant. Il a fallu…
GR: R 9-11 Commission et leur a pris environ 411 jours pour enfin le faire fonctionner.
RG: r Ça l’inscrit. Ça fait ce que je cherchais. Bien sûr, Netanyahu’s disant la même chose.
It’s toujours pas d’enquête, non? Parallèle 14, nous avons l’occupation du territoire du nouvel ennemi. C’est l’accaparement des terres. Bien sûr, nous avons envahi l’Afghanistan et l’Irak dont nous parlerons.
Dans le cas de 9-11, nous verrons les objectifs pour envahir Gaza qui préexistaient 10-7 par décennies, en fait. Le parallèle 15 est l’élargissement du conflit. Nous constatons que maintenant avec la provocation de l’Iran par Israël, avec l’assassinat des principaux membres du Hezbollah et de l’armée iranienne, et la consommation des 180 missiles qui ont plu hier soir sur Israël.
Inévitablement, nous allons voir une escalade encore plus grande par Israël parce que c’est l’objectif initial, que nous allons examiner en détail. Parallèle 16, nous avons l’effet d’un changement de régime de la direction ennemie. That’s un des objectifs.
Le Hamas ne sera plus autorisé à exister. Eh bien, we’ve a constaté que le Hamas était une créature d’Israël et que le Mossad avait été formé et financé par eux dès 2006 comme un foil contre l’Organisation de libération palestinienne à l’époque, qui cherchait une solution à deux États. Parallel 17, ils adoptent une politique de guerre pour toujours, et cela fait référence à ce que nous obtenons maintenant.
Un an plus tard, l’invasion de Gaza ne se termine pas. L’invasion’s small scale at first here with Lebanon, again, for the third time envahing Lebanon, and then now with the widening and forever war policy that was a cold war with Iran that’s now, of course, becoming muet hot. Parallèle 18, we’ve got billions flowing to the where? Les médias, le secteur bancaire, les industries de guerre.
We’ve got 8 billion here, 3 billion there, 3 billion every year to Israel since God knows when, decades, but now 8 billion and part of a 14 billion plan. Cela se passe bien sûr aussi en Ukraine, ce qui n’a pas fait l’objet de notre conversation aujourd’hui, mais cela n’a jamais pris fin. Nous avons Parallel 19, une censure extrême du public par le gouvernement, les médias grand public et même les médias sociaux maintenant, dont l’emprise est devenue assez tenace avec YouTube.
J’ai moi-même perdu cinq chaînes en essayant de parler de la vérité sur les chaînes YouTube 9-11. C’est incroyable en termes de profondeur de la censure que les Israéliens mettent sur leurs médias et leur peuple avec des lois ayant été mises sur les livres que vous pouvez démoraliser les troupes avec des contre-arguments au récit de l’État. Et puis, les politiques draconiennes et la surveillance instituée par le gouvernement.
Parallel 20, cela crée l’état de surveillance, en particulier à la lumière de 9-11, où tous nos e-mails, nos appels téléphoniques, nos textes sont systématiquement balayés, inconstitutionnellement stockés pour être utilisés contre nous à Salt Lake City. Plus tard, nous avons Parallel 21, des racines malveillantes qui remontent à plus de 250 ans, donnant lieu à ces problèmes massifs créés par le leadership qui ont été installés sous de faux prétextes dans chaque cas. The Project for a New American Century dans le cas de récemment, juste avant le 9-11, le think tank néo-con dont nous allons parler.
Donc, nous trouvons que ces faux comptes officiels sont plutôt incroyables, comme de faux comptes officiels. Encore un autre parallèle que nous avons déjà mentionné, mais ce que nous montrons, c’est que les avions et le carburéacteur n’auraient pas pu provoquer l’effondrement des Twin Towers ou du Building 7, qui n’a même pas été heurté par un avion. Nous le montrons encore et encore, comme vous et moi en avons discuté au fil des ans, Michael, dans notre documentaire, 9-11 Explosive Evidence Experts Speak Out.
Nous avons des preuves comme ça. Nous avons des preuves de métal fondu dans la pile sous les trois bâtiments, des preuves de métal fondu, en particulier le fer, le sous-produit de la thermite, le fer élémentaire, dans toute la poussière du World Trade Center. Et cette preuve continue encore et encore dans la commission 9-11 qui dit qu’ils ont été mis en place pour échouer, qu’il y avait une décision de ne pas dire aux gens la vérité sur ce qui s’est vraiment passé à 9-11.
Et maintenant, en sautant vers le parallèle numéro un, nous voyons clairement qu’il y a des objectifs géostratégiques précédemment établis convoquant les ressources naturelles du territoire cible. C’est fascinant. Par exemple, par rapport à 9-11, nous avons le Projet pour un Nouveau Siècle Américain, établissant dans leur document, l’Amérique reconstruit, l’hégémonie régionale au Moyen-Orient, une vaste augmentation du budget du Pentagone.
Mais, ont-ils dit, en l’absence d’un événement catalyseur et catastrophique, comme un nouveau Pearl Harbor, ces objectifs prendront beaucoup de temps à atteindre. Et donc, Bush écrit dans son journal ce soir-là, aujourd’hui, nous avons eu notre nouveau Pearl Harbor. Eh bien, le Projet pour un Nouveau Siècle Américain, PNAC, avait son propre site Web, qu’ils ont établi avant 9-11.
Ce groupe de néoconservateurs de ce groupe de réflexion a appelé à une augmentation de cent milliards de dollars du budget du Pentagone. Et beaucoup d’entre eux, fait intéressant, étaient des citoyens à double nationalité, sinon la plupart des citoyens israéliens et américains. Alors, quelle loyauté apportent-ils quand ils ont été amenés par l’administration Bush et ont créé ce nouveau Pearl Harbor qu’ils appelaient et ont géré le projet, 9-11?
GR: R Eh bien, je veux dire, je pense que nos auditeurs sont déjà familiers, très familiers maintenant avec beaucoup de problèmes autour, vous savez, comment ils ont utilisé, vous savez, que fondamentalement la guerre contre l’Afghanistan et la guerre contre le terrorisme en général, c’était un peu pratique en termes d’obtenir, vous savez, avoir ceci, je suppose, c’était un objectif géostratégique établi.
Je pense que peut-être nous sommes un peu moins conscients du rôle d’Israël, comme, parce qu’ils’re aller à Gaza et peut-être au-delà. Pouvez-vous passer un peu plus de temps à parler de l’angle là-bas en termes d’attaque et de ce qu’ils font?
RG: r Donc, l’un des points intéressants et fascinants est que le général Wesley Clark a admis dans une interview aux médias que leur objectif était de sortir sept pays en cinq ans. Et je le dis en réponse à votre question parce que ces pays qu’ils voulaient éliminer, l’Irak, la Syrie, le Liban, la Libye, la Somalie, le Soudan et l’Iran sont les ennemis d’Israël.
La politique étrangère est donc très interconnectée. Et nous avons le désir d’Israël, en particulier, d’éliminer l’Iran, c’est vrai, ce qui est sur le point de se produire. Et donc, nous avons mis en Afghanistan, nous avons envahi l’Afghanistan au nord-est et l’Irak au sud-ouest dans le cadre de ce plan et occupé l’Afghanistan pendant 20 ans, la plus longue guerre de l’histoire des États-Unis.
Dans le cadre d’un objectif, quelles sont les inceptions de cet objectif? Eh bien, laissez’s juste regarder la Palestine et l’histoire. Nous avons du 14 ème siècle au 20 ème siècle, principalement des Musulmans et des Chrétiens occupant cette région de la Palestine. Eh bien, c’est devenu le mandat de la Palestine lorsque les Britanniques ont pris le relais, mais il n’y avait que deux pour cent de population juive.
Et puis l’Empire ottoman tombe et nous avons, après la Première Guerre mondiale, ce mandat britannique et un désir croissant pour les Juifs d’émigrer dans la région. Et ainsi, le père du sionisme moderne, Theodor Herzl, de 1860 à 1904, est cité comme disant, maintenant c’est le début du sionisme, au moins comme il est devenu plus connu publiquement, dit-il, ce que nous devons exproprier doucement la propriété privée sur l’État qui nous est assigné. He’s anticiping a state being assigned, exact? C’est avant la Déclaration Balfour de 1917.
C’est avant 1904 qu’il dit cela. Cette déclaration et bien d’autres montrent clairement que le transfert de la population de l’ère palestinienne et la politique d’apartheid qui l’accompagne semblent inhérents au sionisme depuis sa création. Il est donc intéressant de noter que les ambitions territoriales des sionistes semblent avoir dépassé celles de la Palestine seule.
Ainsi, la promesse fut faite par Rothschild, Lord Walter Lionel, Second Baron Rothschild, d’amener l’Amérique à sauver l’Angleterre dans leur guerre perdue avec l’Allemagne, si les Britanniques créaient une patrie pour le peuple juif, ce qu’ils ont promis de faire ici en 1917. Et bien sûr, les Américains ont été trompés pour entrer dans la Première Guerre mondiale par une autre opération sous faux drapeau, le naufrage du Lusitania. Donc, nous avons un ensemble de problèmes réels qui ont suivi, comme vous pouvez l’imaginer.
Avi Shlaim de l’Université d’Oxford dit, l’absurdité de la Déclaration Balfour de 1917 en niant les droits nationaux à la majorité de 90 pour cent à l’époque, les Palestiniens, et en l’accordant à la minorité de 10 pour cent, les Juifs. Ainsi, une nation, la Grande-Bretagne, dit Arthur Kessler, a promis le pays d’un autre peuple, les Palestiniens, à un tiers peuple, les Juifs. It’s l’un des documents politiques les plus improbables de tous les temps.
Et en fait, il’s 67 words long, mais il a lancé ce qui est largement considéré aujourd’hui, comme le conflit le plus insoluble du monde. Donc, reconnaissez que 10-7 n’a pas commencé le 7 octobre. Les problèmes associés ont commencé bien avant la création du sionisme lui-même.
Et si nous commençons à regarder ce qui s’est passé avec le plan de l’ONU, qui est arrivé en 1946, et c’était un plan, pas un document juridique. Et pourtant, quand il est sorti, il a en effet donné la moitié, ou la moitié promise, du pays de ce qui est devenu Israël au peuple juif, et l’autre moitié, un autre État, au peuple palestinien. Donc, ils ont perdu presque la moitié de leurs terres dès le départ, non? Mais depuis lors, we’ve a eu la guerre des Six Jours, qu’Israël a confisqué près de 80 pour cent de la terre, et aujourd’hui, 90 à 95 pour cent de la terre en raison de toute l’activité des colons et de la violence qui s’est produite.
Ainsi, les objectifs stratégiques du grand Israël ont, en fait, été atteints pratiquement à l’intérieur d’Israël, mais ils disent, l’auteur Israel Shahak de Global Research souligne, que le grand Israël constitue la pierre angulaire des puissantes factions sionistes au sein du gouvernement actuel de Netanyahu, le parti Likoud, ainsi que dans l’établissement militaire et de renseignement d’Israël. Ainsi, par exemple, le plan Yinon est sorti en 1982, une continuation de la conception coloniale de Britain’s au Moyen-Orient, essentiellement, dit Mahdi Nazemroaya. Et il’s an Israeli strategic plan that it does what? Il assure la supériorité régionale israélienne.
Il insiste et stipule qu’Israël doit reconfigurer son environnement géopolitique par la balkanisation des États arabes environnants en États plus petits et plus faibles. Il s’agit d’un plan qui est devenu le document d’orientation et dont ils s’inspirent ainsi que la politique. We’ve seen these policies carried out with the war, but it did’t with the wars that have happened, particularly the current one.
GR: R Je sais que beaucoup des parallèles que vous avez mentionnés ont essentiellement dit que les Israéliens savaient que cela allait se produire.
Et nous avons vécu cela avec les trucs 9-11. Pourriez-vous peut-être me donner quelques exemples plus révélateurs de la façon dont les Israéliens savaient réellement que les attaques allaient se produire et laisser cela se produire exprès?
RG: r Ils avaient la prescience, non seulement de l’Egypte, mais d’autres pays étrangers, les ministères du renseignement d’une grande attaque, non? Et ça’s à venir. Et donc Netanyahu a été averti personnellement par l’un des principaux dirigeants en Egypte.
Nous avons également le document de 40 pages que le New York Times a révélé qui exposait le plan exact que le Hamas a suivi plus tard. Et Israël avait ceci un an avant le plan. Leurs propres gardes-frontières hurlaient à toute l’activité qu’ils ont vue sur le mur dans les semaines et les mois précédant 9-11, excusez-moi, à 10-7.
Et ces attaques étaient planifiées et des exercices étaient en cours pour attaquer le mur lui-même. Et ainsi, le matin de, il y a des journalistes intégrés, prescience, intégrés avec le Hamas, qui étaient des journalistes qui avaient travaillé avec Reuters, avec CNN et AP. Et ils sont venus avec le Hamas et ont pris toutes ces superbes photos, et pourtant ils n’ont rien rapporté.
C’est, bien sûr, un corps incroyable de prescience. Nous avons donc également connaissance de l’objectif stratégique initial des actifs de gaz naturel juste au large de Gaza qui ont été signalés sur Global Research, où il y a en fait 122 billions de pieds cubes de gaz naturel découverts il y a plus de deux décennies et 71 milliards de dollars en pétrole. Au total, environ 453 milliards de bénéfices, qui selon l’ONU appartiennent au peuple palestinien parce qu’il est directement au large de Gaza.
Mais Israël a revendiqué ces ressources et leur ministre de l’énergie a même déclaré que cela positionnait Israël comme le principal acteur mondial de l’énergie. We’re va exporter du gaz naturel israélien vers l’Europe. Inutile de dire que cela a créé beaucoup d’agitation, mais ne pas atteindre la notoriété ou l’exposition dans les médias grand public.
La source originale de cet article est Global Research
https://www.facebook.com/reel/887713159953629
