Pour la dissolution du Conseil National de l’Ordre des médecins !
Le Conseil National de l’Ordre des médecins vient à nouveau de se faire – défavorablement- remarquer en condamnant en appel le Pr Raoult à 2 ans d’interdiction d’exercer la médecine !

Le motif : avoir soigné les malades. Avoir « douté » de la vaccination covid généralisée et du confinement. Avoir trop usé de sa liberté d’expression.

Cette sanction indigne s’ajoute à de nombreuses autres, qui ont frappé des médecins plus ou moins connus ces dernières années.
Alors qu’au même moment, des médecins covidistes de plateaux TV ayant passé leur temps à désinformer et à insulter leurs collègues, ou tous ceux qui ne pensaient pas comme eux, sont laissés tranquilles…

On ne peut plus tolérer ça, une injustice pareille !
Si le Conseil de l’Ordre n’est plus qu’une courroie de transmission du gouvernement et de Big Pharma, alors il doit disparaître.

Nous demandons par cette pétition nationale que les parlementaires se saisissent au plus vite de sa nécessaire dissolution !

Les champs marqués d’un * sont obligatoires
Pour la dissolution du Conseil National de l’Ordre des médecins ! Le Conseil National de l’Ordre des médecins vient à nouveau de se faire – défavorablement- remarquer en condamnant en appel le Pr Raoult à 2 ans d’interdiction d’exercer la médecine ! Le motif : avoir soigné les malades. Avoir « douté » de la vaccination covid généralisée et du confinement. Avoir trop usé de sa liberté d’expression. Cette sanction indigne s’ajoute à de nombreuses autres, qui ont frappé des médecins plus ou moins connus ces dernières années. Alors qu’au même moment, des médecins covidistes de plateaux TV ayant passé leur temps à désinformer et à insulter leurs collègues, ou tous ceux qui ne pensaient pas comme eux, sont laissés tranquilles… On ne peut plus tolérer ça, une injustice pareille ! Si le Conseil de l’Ordre n’est plus qu’une courroie de transmission du gouvernement et de Big Pharma, alors il doit disparaître. Nous demandons par cette pétition nationale que les parlementaires se saisissent au plus vite de sa nécessaire dissolution ! Les champs marqués d’un * sont obligatoires

Il ne sert qu’a se venger des médecins et des patients

Il ne sert qu’a fournir les plaques

Médecins faite vous votre propre ordre avec des médecins sans conflits d’intérêts et pas corrompus par les politiques vereux

Le Conseil National de l’Ordre des médecins vient à nouveau de se faire – défavorablement- remarquer en condamnant en appel le Pr Raoult à 2 ans d’interdiction d’exercer la médecine !

Le motif : avoir soigné les malades. Avoir « douté » de la vaccination covid généralisée et du confinement. Avoir trop usé de sa liberté d’expression.

Cette sanction indigne s’ajoute à de nombreuses autres, qui ont frappé des médecins plus ou moins connus ces dernières années.
Alors qu’au même moment, des médecins covidistes de plateaux TV ayant passé leur temps à désinformer et à insulter leurs collègues, ou tous ceux qui ne pensaient pas comme eux, sont laissés tranquilles…

On ne peut plus tolérer ça, une injustice pareille !
Si le Conseil de l’Ordre n’est plus qu’une courroie de transmission du gouvernement et de Big Pharma, alors il doit disparaître.

Nous demandons par cette pétition nationale que les parlementaires se saisissent au plus vite de sa nécessaire dissolution !

Introduction au Conseil National de l’Ordre des Médecins

https://twitter.com/RicardoMinute/status/1843676756445725060

Le Conseil National de l’Ordre des Médecins (CNOM) joue un rôle fondamental dans la régulation de la profession médicale en France. Créé en 1940, cet organisme a pour mission principale de protéger la santé publique en garantissant le respect des règles éthiques et déontologiques par les médecins. Le CNOM a également pour vocation de veiller à l’intégrité et à la compétence des praticiens, tout en jouant un rôle de conseil auprès des institutions publiques et des autorités de santé.

Structuré en sections régionales, le CNOM s’assure que les médecins inscrits respectent des obligations légales, notamment en matière d’inscriptions, de formation continue et de déontologie. Chaque section régionale est composée de membres élus qui représentent les médecins de leur zone géographique. Ce système décentralisé permet au CNOM de s’adapter aux spécificités locales tout en maintenant une approche standardisée au niveau national.

Malgré le rôle essentiel qu’il joue, le CNOM fait l’objet de critiques croissantes. Certains observateurs estiment que l’Ordre est devenu une institution obsolète, manquant de transparence et de réactivité face aux évolutions rapides du secteur de la santé. Les praticiens expriment des préoccupations concernant la bureaucratie qui entoure le CNOM, soulignant que celle-ci pourrait nuire à l’agilité nécessaire pour répondre aux défis contemporains auxquels la médecine est confrontée, tels que les avancées technologiques et la crise sanitaire mondiale. Ainsi, le débat autour de la dissolution du CNOM est sur la table, soulevant des enjeux cruciaux pour l’avenir de la profession médicale et la protection des patients.

Les arguments en faveur de la dissolution

https://twitter.com/drsimonegold/status/1843783426312470636
https://twitter.com/JamesOKeefeIII/status/1618419406878433281

Le débat autour de la dissolution du Conseil National de l’Ordre des Médecins (CNOM) suscite des réflexions profondes sur le rôle et l’efficacité de cette institution. L’un des principaux arguments en faveur de la dissolution est le sentiment croissant parmi les médecins que le CNOM ne représente plus adéquatement la diversité de la profession médicale. De nombreux praticiens estiment qu’il existe un fossé entre les décisions du conseil et les réalités vécues par les médecins sur le terrain. Cette déconnexion pourrait remettre en cause la légitimité des actions et des régulations mises en place par le CNOM.

Un autre point soulevé concerne l’obsolescence de certaines règles qui régissent le fonctionnement du conseil. L’évolution rapide des pratiques médicales, des technologies de la santé et des attentes des patients fait que certaines réglementations établies par le CNOM peuvent sembler dépassées. En conséquence, les critiques arguent que le CNOM doit évoluer pour répondre aux nouveaux défis de la santé publique plutôt que de s’accrocher à des normes qui ne reflètent plus la réalité actuelle. Cela soulève la question de la pertinence d’une telle institution face à un paysage médical en constante mutation.

Enfin, l’inefficacité du CNOM dans la gestion des problèmes contemporains de la santé publique représente un argument fort en faveur de sa dissolution. Alors que la profession médicale doit faire face à des enjeux complexes, tels que la crise sanitaire mondiale ou la pénurie de médecins dans certaines régions, certains soutiennent que le CNOM n’a pas su adopter une approche proactive et efficace pour répondre à ces défis. Une dissolution pourrait ouvrir la voie à la création d’entités plus réactives et adaptées aux besoins actuels des médecins et des patients. Les partisans de tels changements plaident pour une réévaluation des structures de régulation médicale afin d’assurer un système de santé plus efficace et représentatif.

Les conséquences d’une telle dissolution

Vaccins contre le Covid : l’affaire des SMS entre von der Leyen et Pfizer au tribunal de l’UE en novembre

En 2021, le New York Times a révélé l’existence de SMS échangés entre le patron de Pfizer et la présidente de la Commission européenne. Ne parvenant pas à en obtenir le contenu malgré la « liberté d’informer », le journal américain avait saisi la justice de l’UE.

https://twitter.com/RicardoMinute/status/1843676756445725060

La dissolution du Conseil National de l’Ordre des Médecins (CNOM) pourrait entraîner des conséquences significatives sur la profession médicale et la santé publique en France. En premier lieu, cette mesure risquerait de fragiliser la déontologie médicale. Le CNOM joue un rôle crucial dans la définition et la protection des principes éthiques qui régissent la pratique de la médecine. Sans cette structure, les médecins pourraient se retrouver privés d’un cadre légal strict appelant à la responsabilité et à l’intégrité de leurs pratiques. Ce vide réglementaire pourrait engendrer des dérives, où certains professionnels pourraient adopter des comportements contraires à l’éthique, altérant ainsi la confiance du public envers le système de santé.

En outre, la régulation des pratiques médicales serait également compromise. Le CNOM supervise les qualifications et les compétences des médecins, garantissant ainsi que seuls des praticiens dûment formés et respectés exercent leur art. En l’absence de cette institution, le risque d’incompétence professionnelle pourrait augmenter, menaçant ainsi la qualité des soins prodigués aux patients. La diversité des approches thérapeutiques pourrait également s’accentuer, ce qui compliquerait la tâche de surveillance et de standardisation des pratiques médicales. Ce manque de régulation pourrait avoir des répercussions graves sur les traitements administrés, suspectés d’être détournés dans le but de gain personnel plutôt que pour le bien du patient.

Enfin, la santé publique pourrait en subir les conséquences à long terme. Le CNOM a un rôle de sentinelle, pouvant signaler les problèmes de santé qui émergent, ainsi que les tendances en matière d’épidémies. Sa disparition entraînerait donc un déficit d’informations cruciales pour les politiques de santé publique. Un cadre décentralisé ou anarchique pourrait aboutir à des décisions non éclairées, nuisant à l’ensemble de la population. Ainsi, ces conséquences révèlent l’importance du CNOM non seulement pour les médecins, mais aussi pour l’ensemble de la société.

Les alternatives à la dissolution

La Cour des comptes épingle l’Ordre des médecins dans un rapport ; “comptabilité insincère”, “rémunérations déguisées”…

Le débat autour de la dissolution du Conseil National de l’Ordre des Médecins (CNOM) soulève des questions cruciales sur la gouvernance de la profession médicale en France. Bien que certaines voix militent pour une telle dissolution, d’autres propositions plus nuancées émergent, suggérant des alternatives viables qui pourraient répondre aux enjeux contemporains de la médecine. Parmi ces alternatives, la réforme en profondeur du CNOM se détache comme une solution potentielle. Plutôt que d’éliminer intégralement l’institution, il est envisageable de la transformer pour mieux répondre aux besoins croissants des médecins et des patients dans un environnement en constante évolution.

Cette réforme pourrait inclure l’amélioration des processus décisionnels du CNOM, en favorisant la transparence et la participation des médecins dans les décisions qui les concernent. Un autre aspect à considérer serait la mise en place d’une nouvelle instance, comme un conseil consultatif incluant des représentants de différentes spécialités médicales ainsi que des patients. Cette approche permettrait de garantir que les décisions prises soient plus représentatives de la diversité des acteurs de la santé, tout en favorisant un dialogue constructif entre les médecins et les patients.

En outre, la création d’une commission indépendante pourrait jouer un rôle clé dans l’élaboration de politiques de santé et de régulations. Cette commission pourrait être chargée de l’évaluation des pratiques professionnelles et de la redevabilité, assurant ainsi une régulation équilibrée et équitable. En consolidant le soutien des médecins tout en respectant les attentes des usagers des services de santé, cette alternative pourrait contribuer à restaurer la confiance entre le CNOM et les professionnels de santé. En somme, plutôt que de procéder à une dissolution, il serait pertinent d’explorer ces différentes avenues pour développer un cadre plus adapté aux réalités actuelles de la médecine.

Le point de vue des médecins

Le débat sur la dissolution du Conseil National de l’Ordre des Médecins (CNOM) suscite des opinions variées chez les professionnels de santé. Pour beaucoup, le CNOM représente une institution essentielle qui protège la profession médicale et assure un niveau élevé de responsabilité au sein de la pratique médicale. Certains médecins affirment que l’organisation actuelle, bien que parfois critiquée pour son manque de transparence, reste un relais crucial pour aborder les questions éthiques et juridiques concernant la médecine.

En revanche, d’autres praticiens expriment une désillusion vis-à-vis de cette institution, jugeant qu’elle n’est plus à l’écoute des réalités contemporaines de la médecine. Les témoignages recueillis révèlent un sentiment que le CNOM pourrait devenir obsolète face aux nouvelles pratiques, notamment celles qui émergent grâce aux avancées technologiques en santé. Des médecins rappellent que la rigidité des règlements actuels limite leur capacité à innover et à répondre efficacement aux besoins des patients, suggérant plutôt une réforme plutôt qu’une dissolution radicale.

Un autre aspect soulevé par les praticiens est le sentiment d’aliénation croissante des jeunes professionnels à l’égard de leurs représentants. Les jeunes médecins souhaitent un CNOM qui reflète davantage leur vision de la médecine, intégrant des valeurs modernes de collaboration interprofessionnelle et de prise en charge intégrée des patients. Certains analystes soulignent que cette dynamique crée un fossé intergénérationnel qui pourrait finalement fragiliser l’autorité de l’ordre.

Alors que les divergences d’opinion persistent, il est indéniable que les voix des médecins sont cruciales pour façonner l’avenir du CNOM. L’intégration de leurs expériences et de leurs préoccupations dans ce débat est nécessaire pour garantir que le modèle de la régulation médicale évolue de manière à répondre aux défis contemporains tout en respectant les valeurs fondamentales de la profession.

La voix des patients

La perception des patients vis-à-vis du Conseil National de l’Ordre des Médecins (CNOM) est cruciale dans le débat autour de sa dissolution. Les patients, en tant qu’acteurs centraux du système de santé, ont des attentes précises concernant la régulation et le contrôle qualité des services médicaux. Leur confiance dans les soins dépend souvent de la transparence et de l’efficacité des instances régulatrices, ce qui souligne l’importance de la position du CNOM. En cas de dissolution, une inquiétude majeure parmi les patients pourrait être l’absence d’une autorité garantissant le respect des standards éthiques et professionnels au sein de la profession médicale.

Les patients craignent que la dissolution du CNOM n’entraîne une perte de focus sur la qualité des soins. Ils redoutent que, sans cet organe régulateur, des médecins puissent exercer sans une supervision adéquate, compromettant ainsi la qualité des services médicaux. Cette perception est renforcée par des cas de pratiques médicales inappropriées, qui pourraient devenir plus fréquents en l’absence d’une instance de régulation. Les patients s’interrogent sur la sécurité qu’ils peuvent attendre des soins, notamment si des mécanismes de protection ne sont plus en place.

En outre, les souhaits des patients vont également vers une amélioration des canaux de communication entre eux et les professionnels de santé. Les attentes incluent non seulement une régulation efficace, mais aussi des voies d’accès à des plaintes et à des retours d’expérience. En conséquence, la dissolution ou la réforme du CNOM pourrait générer des préoccupations quant à la continuité de ces échanges. Ainsi, les patients souhaitent s’assurer que leur voix continue d’être entendue dans le processus décisionnel concernant leur santé, peu importe les changements qui pourraient survenir au sein du CNOM.

Le cadre juridique entourant le Conseil

Le Conseil National de l’Ordre des Médecins (CNOM) est une institution régie par un ensemble de lois et de règlements qui encadrent son fonctionnement. Créé par la loi n° 70-1312 du 31 décembre 1970, le CNOM est chargé de veiller à la qualité de la pratique médicale en France, en offrant une organisation professionnelle et en réglementant l’exercice de la médecine. Son rôle principal est de garantir la déontologie et la compétence des médecins inscrits au tableau de l’Ordre. La législation qui entoure le CNOM repose sur plusieurs textes fondamentaux, notamment le Code de la santé publique, qui affiche clairement le cadre légal dans lequel cette entité opère.

En cas de dissolution du CNOM, plusieurs éléments juridiques seraient affectés. Tout d’abord, il serait essentiel d’évaluer les conséquences sur les lois relatives à l’exercice médical, notamment celles qui encadrent l’inscription des médecins, les sanctions professionnelles et les normes de pratiques médicales. L’absence d’une structure comme le CNOM pourrait engendrer un vide juridique, rendant difficile la régulation des pratiques médicales et augmentant le risque de dérives professionnelles. De plus, les patients pourraient se trouver dans une situation d’incertitude quant à la qualification et au respect des normes déontologiques par les praticiens.

Une dissolution pourrait également soulever des questions relatives aux droits des médecins. En effet, la protection professionnelle et le soutien fournis par le CNOM seraient remis en cause, ce qui pourrait avoir un impact significatif sur la relation entre les médecins et leurs patients ainsi que sur l’intégrité de la profession médicale dans son ensemble. Par conséquent, il est crucial d’examiner les implications juridiques d’une telle décision afin de comprendre les enjeux cruciaux qui en découlent.

Les exemples internationaux

Dans le cadre de la réflexion sur la dissolution du Conseil National de l’Ordre des Médecins en France, il convient de se pencher sur les modèles similaires adoptés dans d’autres pays. Plusieurs nations ont effectivement choisi de dissoudre ou de réformer leurs conseils médicaux, offrant ainsi des enseignements précieux. Par exemple, en Allemagne, le modèle de régulation médicale a été profondément remanié à la suite de controverses sur l’efficacité et la transparence des conseils d’ordre. La réforme a cherché à déléguer certaines fonctions à des organisations indépendantes afin de mieux protéger l’intérêt public et de redonner confiance aux citoyens dans le système de santé.

Au Royaume-Uni, la General Medical Council (GMC) a également connu des réformes significatives. Plutôt que de supprimer le conseil, les autorités britanniques ont opté pour des révisions de ses processus et de ses structures. Cela inclut une meilleure représentation des médecins et des patients, ainsi qu’une approche axée sur la performance et la responsabilité. Ces changements ont permis de rendre la GMC plus réactive face aux défis contemporains, tout en veillant à ce que les médecins soient tenus responsables de leurs actions sans nuire à la qualité des soins.

De l’autre côté de l’Atlantique, le Canada a vu des provinces comme l’Ontario remettre en question le rôle des conseils provinciaux de l’ordre. Certaines localités ont expérimenté des modèles alternatifs, en mettant davantage l’accent sur la coopération interprofessionnelle et sur la nécessité d’une approche centrée sur le patient. Ces exemples aux États-Unis et au Canada illustrent que la dissolution ou la réorganisation des conseils médicaux peut être une décision complexe, nécessitant une évaluation approfondie des impacts sur les soins faciles et l’éthique professionnelle.

Conclusion et perspectives

La dissolution du Conseil National de l’Ordre des Médecins (CNOM) a suscité des débats intenses et variés au sein de la société française. Au fil de cet article, nous avons examiné les rôles que joue cette institution dans la régulation de la profession médicale ainsi que les arguments pour et contre sa pérennité. D’une part, le CNOM est vu comme un rempart contre les pratiques non éthiques qui pourraient nuire à la qualité des soins apportés aux patients. D’autre part, des critiques évoquent un manque de transparence et une rigidité dans sa gouvernance, qui pourraient entraver l’évolution nécessaire de la médecine contemporaine.

Il est essentiel de considérer les implications d’une éventuelle dissolution du CNOM. Quelle serait la structure régulatrice qui pourrait la remplacer ? Des questions se posent quant à la légitimité et à l’efficacité d’autres formes de régulation, qu’elles soient collectives ou internes à la profession. Une réforme plutôt qu’une dissolution pourrait représenter une voie à explorer, permettant au CNOM de s’adapter aux nouvelles exigences et attentes des médecins ainsi que des patients.

De plus, une réflexion approfondie sur les mécanismes de régulation pourrait ouvrir la voie à une plus grande inclure. Il serait bénéfique d’instaurer davantage de dialogue entre les différentes parties prenantes : médecins, patients et autorités sanitaires. Ce dialogue pourrait mener à des solutions innovantes et adaptées aux réalités contemporaines du secteur médical.

En définitive, bien que la dissolution du CNOM soulève des inquiétudes quant à la régulation de la profession médicale, elle pousse également à une réflexion indispensable sur le futur. La clé réside donc dans la capacité à trouver un équilibre entre la protection des patients et la flexibilité nécessaire au bon exercice de la médecine.

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