La seule vérité que nous connaissons est que la Palestine sera libérée, et quiconque est d’accord avec mes paroles, mettez un cœur et suivez-nous ❤️🇵🇸

« Israël a annoncé » Son dernier souffle ………………………… Sous ce titre Le journal hébreu « Haaretz » est publié. Un article du célèbre écrivain sioniste Ari Shavit dans lequel il dit : Il semble que nous soyons confrontés aux peuples les plus difficiles de l’histoire et que leur seule solution est de reconnaître leurs droits et de mettre fin à l’occupation. Il commençait son article en disant : Il semble que nous ayons dépassé le point de non-retour, et il est possible qu’« Israël » ne soit plus en mesure de mettre fin à l’occupation, d’arrêter le colonialisme et de parvenir à la paix. Il semble qu’il ne soit plus possible de réformer le sionisme, de sauver la démocratie et de diviser le peuple de ce pays. Il a ajouté : Si la situation est comme ceci : – Il n’y a aucun goût à vivre dans ce pays. – Il n’y a aucun goût pour écrire dans Haaretz. – Il n’y a aucun goût à lire « Haaretz »* et nous devons faire ce que Rogel Alpher a suggéré il y a deux ans, c’est-à-dire quitter le pays… Si « l’israélisme » et la judéité ne sont pas un facteur vital d’identité, et si chaque « citoyen israélien » possède un passeport étranger, alors non seulement au sens technique, mais aussi au sens psychologique, alors c’est fini. Vous devez dire au revoir à vos amis et déménager à San Francisco, Berlin ou Paris. De là, depuis les terres du nouveau nationalisme extrémiste allemand, ou depuis les terres du nouveau nationalisme extrémiste américain, il faut regarder calmement et observer « l’État d’Israël » alors qu’il rend son dernier soupir. Nous devons prendre trois pas en arrière et assister à la chute de l’État démocratique juif. Le problème n’est peut-être pas encore résolu. Peut-être n’avons-nous pas encore dépassé le point de non-retour Il est possible qu’il soit encore possible de mettre fin à l’occupation, de mettre fin au colonialisme, de réformer le sionisme, de sauver la démocratie et de diviser le pays. L’écrivain poursuit : J’ai mis le doigt dans l’œil de Netanyahu, de Lieberman et des néo-nazis, pour les réveiller de leur délire sioniste. Trump, Kushner, Biden, Barack Obama et Hillary Clinton ne sont pas ceux qui mettront fin à l’occupation. Ce ne sont pas les Nations Unies et l’Union européenne qui arrêteront les colonies. La seule force au monde capable de sauver Israël de lui-même, ce sont les Israéliens eux-mêmes, en créant un nouveau langage politique qui reconnaît la réalité et le fait que les Palestiniens sont enracinés dans cette terre. Je vous exhorte à chercher la troisième voie pour vivre ici et ne pas mourir. L’auteur de Haaretz confirme : Depuis l’arrivée des « Israéliens » en Palestine, ils ont réalisé qu’ils étaient le résultat d’un mensonge créé par le mouvement sioniste, au cours duquel il a utilisé toutes les tromperies sur le caractère juif à travers l’histoire. En exploitant et en amplifiant ce qu’Hitler appelait l’Holocauste, le mouvement a réussi à convaincre le monde que la Palestine est la « terre promise » et que le soi-disant Temple est situé sous la mosquée Al-Aqsa. Le loup s’est transformé en mouton, qui s’est transformé en mouton. Il se nourrit de l’argent des contribuables américains et européens, jusqu’à devenir un monstre nucléaire. L’écrivain a sollicité l’aide d’archéologues occidentaux et juifs, dont le plus célèbre est « Israel Flintstein » de l’Université de Tel Aviv, qui ont confirmé que « le temple est aussi un mensonge et une légende qui n’existe pas, et toutes les fouilles ont été prouvées ». .» Il a été prouvé qu’il a complètement disparu il y a des milliers d’années, ce qui a été explicitement affirmé dans de nombreuses références juives et confirmé par de nombreux archéologues occidentaux. La dernière a été réalisée en 1968 par l’archéologue britannique Dr. Caitlin Kabinos, alors qu’elle était directrice des fouilles à la British School of Archaeology de Jérusalem. Elle a effectué des fouilles à Jérusalem et a été expulsée de Palestine parce qu’elle avait révélé « des mythes israéliens sur la présence de traces du temple de Salomon sous la mosquée Al-Aqsa ». J’ai décidé qu’il n’y avait aucune trace du Temple de Salomon et j’ai découvert que ce que les Israéliens appellent « le bâtiment des écuries de Salomon » n’a rien à voir avec Salomon ou les écuries, mais plutôt un modèle architectural de palais. Il est courant dans plusieurs régions de Palestine, bien que Kathleen Kenyon soit venue de la Palestine Exploration Fund Society, afin de clarifier ce qui a été mentionné dans les récits bibliques, car il a montré une grande activité en Grande-Bretagne au milieu du XIXe siècle. Concernant l’histoire du « Proche-Orient ». L’écrivain juif a noté que : La malédiction du mensonge est ce qui trouble les « Israéliens », et jour après jour elle les frappe au visage sous la forme d’un couteau dans la main d’un Jérusalémien, Khalili ou Nabulsi, ou d’une pierre ou d’un chauffeur de bus de Jaffa, Haïfa et Acre. Les « Israéliens » se rendent compte qu’ils n’ont pas d’avenir en Palestine, car ce n’est pas une terre sans peuple comme ils l’ont menti. Et voici un autre écrivain qui reconnaît, non pas l’existence du peuple palestinien, mais plutôt sa supériorité sur les « Israéliens ». C’est Gideon Levy, le sioniste de gauche, lorsqu’il dit : Il semble que les Palestiniens aient une nature différente du reste de l’humanité… Nous avons occupé leur terre et traité leurs jeunes de putes, de putes et de toxicomanes, et nous leur avons dit que quelques années passeraient et qu’ils oublieraient leur patrie et leur terre, puis leur jeune génération allait exploser avec l’Intifada de 1987. Nous les mettons en prison Nous avons dit : nous les élèverons en prison. « Des années plus tard, après avoir cru avoir appris la leçon, ils sont revenus vers nous avec un soulèvement armé en 2000 qui a dévoré tout ce qui était vert et sec. Nous avons dit de démolir leurs maisons Nous les avons assiégés pendant de nombreuses années, puis ils ont extrait des missiles impossibles à utiliser pour nous attaquer, malgré le siège et les destructions. Nous avons donc commencé à les planifier avec le mur de séparation Et des barbelés… et les voici qui viennent vers nous depuis le sous-sol et à travers des tunnels et nous infligent de lourdes pertes. Durant la dernière guerre Nous les avons combattus avec notre esprit, puis ils se sont emparés du satellite israélien (Amos) ? Ils sèment la terreur dans chaque foyer « israélien » en diffusant des menaces et des intimidations, comme cela s’est produit lorsque leurs jeunes ont pu contrôler la Deuxième chaîne « israélienne ». Au final, comme le dit l’auteur : Il semble que nous soyons confrontés aux peuples les plus difficiles de l’histoire et que leur seule solution est de reconnaître leurs droits et de mettre fin à l’occupation. Titre de l’article : « Israël rend son dernier souffle » auteur: Ari Shibet source: Journal hébreu Haaretz …………………………….. Veuillez diffuser cet article aussi largement que possible car il est plein de faits historiques et écrit par un écrivain de l’État occupant. Faites savoir aux dirigeants de l’occupation et aux politiciens que la normalisation ne crée pas la paix, mais que c’est plutôt le rétablissement des droits de leurs propriétaires qui crée la paix.

Introduction

La question de l’existence d’Israël et de la Palestine représente l’un des enjeux les plus difficiles et polarisants du monde contemporain. La distinction entre ces deux entités politiques, qui se disputent un territoire d’une signification historique et culturelle immense, remonte à des siècles de conflits. Les racines de cette controverse s’enracinent dans l’histoire, la religion et les aspirations nationales des peuples qui habitent cette région du Moyen-Orient. Au fur et à mesure que le monde évolue, la perception de ces territoires et de leurs habitants continue d’évoluer également.

Israël, établi en 1948, est reconnu par de nombreux pays comme un État souverain, tandis que la Palestine, qui aspire également à l’autonomie et à la reconnaissance internationale, reste un sujet de débat intense et d’ambiguïté. Cette dualité met en lumière des questions cruciales concernant l’identité nationale, les droits de l’homme et les défis à la paix. Les implications de la reconnaissance d’un État palestinien, par rapport à la légitimité d’Israël, suscitent des sentiments forts à l’échelle mondiale et sont souvent influencées par des intérêts géopolitiques.

De plus, le média joue un rôle significatif dans la façon dont ces nations et leurs histoires respectives sont perçues. Les discours peuvent à la fois renforcer des stéréotypes et créer des malentendus. Ainsi, la manière dont les conflits sont rapportés par les médias peut affecter les opinions publiques et influencer les décisions politiques. À travers cette réflexion, nous examinerons les enjeux qui entourent cette situation complexe et tenterons de comprendre les implications profondes de l’illusion d’Israël en relation avec la Palestine et l’Amérique.

Les racines historiques du conflit

Le conflit israélo-palestinien trouve ses racines dans une combinaison complexe d’événements historiques, politiques et sociaux qui remontent à plusieurs siècles. Au cœur de cette histoire se trouve la région de la Palestine, un lieu sacré pour les trois grandes religions monothéistes : le judaïsme, le christianisme et l’islam. À partir de la fin du XIXe siècle, le mouvement sioniste a émergé, prônant l’établissement d’un État juif en Palestine, ce qui a entraîné des tensions avec la population arabe palestinienne.

En 1917, la Déclaration Balfour, émise par le gouvernement britannique, a promis un “foyer national pour le peuple juif” en Palestine, sans tenir compte des revendications des populations arabes. Cette promesse a intensifié les aspirations nationalistes des Juifs, mais également la résistance des Arabes palestiniens, qui craignaient pour leur terre et leur identité culturelle. Au cours des décennies suivantes, les tensions ont continué d’escalader, exacerbées par l’immigration juive accrue en réponse à l’antisémitisme en Europe.

La fin de la Seconde Guerre mondiale et la découverte de l’horreur de l’Holocauste ont suscité une sympathie croissante pour la cause sioniste à l’échelle mondiale. En 1947, l’Assemblée générale des Nations Unies a proposé un plan de partage de la Palestine, créant des États juif et arabe. Ce plan a été accepté par les dirigeants juifs, mais rejeté par les dirigeants arabes, entraînant la première guerre israélo-arabe en 1948. Ce conflit a conduit à l’établissement de l’État d’Israël, mais a également provoqué le déplacement massif de Palestiniens, un événement qui est au cœur du conflit actuel.

Les décennies qui ont suivi ont vu une série de guerres, d’occupations et d’accords qui ont profondément marqué le paysage politique et social de la région. Les promesses non tenues et les ressentiments persistants continuent de nourrir ce conflit, rendant toute résolution difficile. Ainsi, pour appréhender la situation contemporaine, il est essentiel de revenir sur ces racines historiques, qui témoignent des aspirations, des peurs et des échecs des deux parties dans leur quête de paix et de justice.

Le rôle des États-Unis dans le conflit

Les États-Unis ont joué un rôle central dans le conflit israélo-palestinien, avec un soutien militaire, politique et financier significatif envers Israël. Ce soutien est enraciné dans une relation bilatérale qui s’est développée au fil des décennies, influençant non seulement la dynamique régionale mais également la perception mondiale de la Palestine. Le soutien militaire américain à Israël est particulièrement frappant, se traduisant par des aides financières à hauteur de milliards de dollars chaque année, contribuant à la supériorité militaire d’Israël dans la région. En retour, cette assistance renforcée a des répercussions sur la manière dont les États-Unis sont perçus dans les nations arabes, les qualifiant souvent de complices dans les tensions persistantes.

Au niveau politique, les États-Unis ont régulièrement utilisé leur influence au sein des Nations Unies pour empêcher des résolutions jugées défavorables à Israël. Ce soutien tend à alimenter des sentiments négatifs envers la position des États-Unis, que beaucoup considèrent comme biaisée. Ajouté à cela, le biais perçu des médias américains dans leur couverture du conflit contribue à renforcer l’idée que la voix palestinienne est expressément marginalisée. Par conséquent, les Palestiniens, dans le contexte des relations internationales, se heurtent à des obstacles significatifs pour obtenir une reconnaissance et une légitimité.

En outre, le soutien des États-Unis à des accords de paix comme les Accords d’Oslo a été salué comme un effort pour résoudre le conflit; cependant, il a également été critiqué pour son échec à créer un processus véritablement équitable ou inclusif. Les États-Unis ont réussi à façonner le cadre du discours public autour du conflit, souvent en dépeignant Israël comme un champion de la démocratie, tout en négligeant les souffrances et les aspirations des Palestiniens. Ce décalage dans la perception contribue à renforcer des divisions plus profondes, tant sur le plan régional qu’international.

L’identité palestinienne et son importance

L’identité palestinienne revêt une signification profonde pour le peuple palestinien, enracinée dans une histoire riche et complexe. Elle est le reflet d’une culture, d’une langue, et d’une histoire partagée qui ont traversé des générations, notamment face à l’occupation et à l’exil. Cette identité a évolué au fil des ans, façonnée par des événements historiques majeurs et les luttes constantes pour la reconnaissance et la dignité. La terre, les coutumes, et les récits historiques constituent le socle de cette identité qui unit les Palestiniens, qu’ils vivent en Palestine ou à l’étranger.

Au XXIe siècle, la lutte des Palestiniens pour la souveraineté et les droits humains a renforcé le sens de leur identité. Le nationalisme palestinien s’est intensifié, mettant en avant des éléments tels que la résistance, la mémoire collective et la quête d’un État. Les Palestiniens se sont mobilisés autour d’une narration commune, se basant sur leur histoire et les injustices subies, unissant ainsi leur peuple sur des valeurs fondamentales. Cet élan est particulièrement crucial dans le contexte de la diaspora, où beaucoup continuent à revendiquer leurs racines et leur identité malgré la séparation géographique.

De plus, l’identité palestinienne s’est vue enrichie par le dialogue intergénérationnel, où les anciens partagent leur sagesse et leurs expériences avec les plus jeunes. Ce partage assure la préservation de la mémoire collective, tout en adaptant les discours identitaires aux réalités contemporaines. Ainsi, l’identité est non seulement un symbole de résistance mais aussi un outil de revendication des droits et de la justice. En somme, la conscience de l’identité palestinienne est une pierre angulaire dans la lutte en cours pour la libération de la Palestine et la reconnaissance internationale de leurs droits légitimes. La continuité de cette identité, malgré les défis, demeure essentielle pour l’avenir du peuple palestinien.

Les symboles de résistance palestiniens

Les symboles de résistance palestiniens revêtent une importance cruciale dans la lutte pour l’autodétermination et l’identité nationale. Au fil des années, plusieurs figures emblématiques et symboles ont émergé, suscitant une connexion émotionnelle profonde non seulement parmi les Palestiniens mais également à l’échelle mondiale. Le keffieh, par exemple, est plus qu’un simple accessoire vestimentaire ; il est devenu un symbole fort de la résistance palestinienne. Arboré par de nombreux militants, le keffieh représente non seulement la lutte contre l’occupation, mais également une déclaration d’identité culturelle et d’unité face à l’adversité.

Les martyrs, tels que Yasser Arafat et d’autres héros de la résistance, jouent également un rôle symbolique significatif. Leur héritage et leurs mémoires sont entretenus à travers des portraits, des chants et des récits qui continuent d’inspirer les générations actuelles. Chaque année, le 15 mai est commémoré comme le Jour de la Nakba, un moment clé pour rappeler les pertes humaines et territoriales subies par le peuple palestinien. Ces événements annuels renforcent le sentiment de solidarité parmi les Palestiniens et attirent l’attention internationale sur leur cause.

Les manifestations artistiques, telles que les graffitis et les œuvres de rue, figurent également parmi les symboles essentiels de la résistance. Ces œuvres, souvent réalisées dans les territoires occupés, véhiculent des messages puissants sur la lutte et l’identité palestinienne. En outre, la musique et la poésie palestiniennes, qui intègrent des histoires de souffrance et d’espoir, agissent comme des outils de mobilisation et de sensibilisation à l’échelle internationale. Ces éléments culturels, associés à des figures emblématiques, créent ainsi un réseau de solidarité qui transcende les frontières, attirant des soutiens divers à la cause palestinienne.

Perspectives contemporaines sur la paix

Une manifestation devant le commissariat de police de Bethnal Green, à l’est de Londres, pour protester contre les violences des policiers contre une personne portant un drapeau palestinien

La recherche d’une paix durable au Moyen-Orient est un défi complexe, marqué par des nuances culturelles, historiques et politiques. Les perspectives contemporaines sur la paix mettent en lumière diverses solutions proposées visant à résoudre le conflit israélo-palestinien. Parmi celles-ci, la solution des deux États demeure une option fréquemment évoquée, proposant un partage territorial qui permettrait à Israël et à un État palestinien souverain de coexister pacifiquement. Cette approche, bien que soutenue par de nombreux acteurs internationaux, fait face à des obstacles significatifs, notamment les préoccupations sécuritaires d’Israël et le rejet de toute forme de compromis par certains groupes palestiniens.

L’inversion des réalités entre Israël et la Palestine, selon l’ancien colonel de l’armée française et ancien conseiller en relations internationales au ministère de l’Intérieur et de la Défense, Alain Corvez, à la télévision algérienne .
La France a apporté son soutien “inconditionnel” à Israël dans cette histoire, donc la France est complice à 100% de ce qui se passe à Gaza et l’histoire s’en souviendra!
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Une autre perspective croissante se concentre sur l’idée d’une coexistence bi-nationale. Ce modèle suggère la création d’un État unique englobant à la fois les Israéliens et les Palestiniens, promouvant l’égalité des droits pour tous les citoyens. Bien que cette approche aspire à éliminer les tensions ethniques en favorisant une identité commune, elle soulève également des questions sur la représentation politique et les droits des minorités. Les critiques de ce modèle soulignent les difficultés que les deux peuples auraient à accepter une telle transformation sociopolitique.

Les initiatives de dialogue et de réconciliation jouent également un rôle crucial dans le cadre des efforts pour instaurer la paix. Des organisations non gouvernementales et des mouvements de la société civile travaillent activement à établir des ponts entre les communautés israéliennes et palestiniennes. Ces initiatives visent à encourager des interactions personnelles qui peuvent contribuer à une compréhension mutuelle et réduire la méfiance. Toutefois, elles doivent surmonter les défis posés par le climat politique tendu et la violence récurrente.

Les perspectives sur la paix au Moyen-Orient révèlent une mosaïque de voix et d’opinions. Malgré les nombreux défis, l’engagement continu envers le dialogue reste une stratégie essentielle pour envisager un avenir pacifique pour la région.

Le pouvoir des réseaux sociaux dans la défense de la Palestine

Les réseaux sociaux ont émergé comme un outil puissant pour la sensibilisation et la mobilisation autour de la cause palestinienne. Grâce à des plateformes comme Facebook, Twitter et Instagram, les utilisateurs peuvent partager rapidement des informations, des vidéos et des directrices d’événements, permettant ainsi une diffusion presque instantanée des récits sur la Palestine. Ce changement dans la dynamique de communication a donné voix à ceux qui pouvaient auparavant rester dans l’ombre, favorisant une solidarité mondiale sans précédent.

Un élément central du succès des réseaux sociaux réside dans leur capacité à créer des communautés autour d’idées et de causes partagées. Les hashtags tels que #FreePalestine ou #SaveSheikhJarrah ont permis d’unir des millions de personnes sous une même bannière, facilitant le partage d’expériences et d’informations concernant les défis auxquels les Palestiniens font face. Ce phénomène a prouvé que même en l’absence de ressources médiatiques traditionnelles, les citoyens avaient un moyen efficace de s’exprimer et de mobiliser le soutien international.

De plus, les plateformes numériques ont aussi permis de contourner les filtres médiatiques imposés par certains gouvernements ou institutions. Les utilisateurs peuvent ainsi diffuser des nouvelles en temps réel, notamment des témoignages et des images des événements sur le terrain, qui pourraient ne pas être couverts par les médias traditionnels. Cette fluidité d’information a conduit à une questionnement croissant sur les positions politiques et les réalités vécues par les Palestiniens, rendant plus difficile pour les décideurs politiques de ignorer la situation.

En somme, les réseaux sociaux se révèlent être un vecteur essentiel pour l’information et l’activisme en faveur de la Palestine. Grâce à leur portée mondiale et leur capacité à favoriser des conversations essentielles, ils représentent non seulement un outil de sensibilisation, mais aussi un moyen de renforcer la solidarité internationale en faveur des droits des Palestiniens.

L’importance de la solidarité internationale

La solidarité internationale envers la Palestine revêt une importance cruciale, car elle contribue à façonner la dynamique du conflit israélo-palestinien. Les mouvements de soutien à la Palestine se manifestent à travers le monde dans diverses formes, allant de manifestations sur les places publiques à des campagnes de sensibilisation. Ces actions collectives visent à attirer l’attention sur les injustices vécues par le peuple palestinien et à promouvoir des changements significatifs au niveau politique et social.

Les exemples de soutien se retrouvent dans des pays divers, illustrant l’universalité de la cause palestinienne. Par exemple, des manifestations de grande envergure ont eu lieu dans des pays européens, comme la France et le Royaume-Uni, où des millions de personnes se sont réunies pour revendiquer les droits des Palestiniens. Ces mouvements sont souvent soutenus par des organisations non gouvernementales qui œuvrent pour la justice sociale, et elles cherchent à sensibiliser les communautés locales sur la situation en Palestine. Au travers de pétitions, d’appels à l’action et d’initiatives de boycott, ces groupes mettent la pression sur les gouvernements et les entreprises pour qu’ils examinent leurs relations avec Israël.

Le soutien international ne se limite pas seulement aux manifestations physiques. Les médias sociaux jouent également un rôle essentiel en permettant à un réseau mondial de militants, d’artistes et d’intellectuels de faire entendre leur voix. L’usage des plateformes numériques pour diffuser des informations, partager des témoignages et mobiliser des ressources a considérablement amplifié la portée de la solidarité internationale. Les campagnes de hashtags et les mouvements viraux servent à inspirer des actions tout en créant une communauté de soutien autour de cette cause.

En somme, la solidarité internationale envers la Palestine est un levier puissant qui peut influencer les décisions politiques et créer une prise de conscience mondiale. C’est en unissant nos forces que nous pouvons espérer apporter un changement durable dans ce conflit complexe.

Conclusion : Vers une libération de la Palestine

La situation en Palestine demeure un sujet délicat, mêlant des questions historiques, politiques et sociales. Tout au long de ce blog, nous avons exploré les divers aspects de ce conflit, en mettant en lumière les défis auxquels les Palestiniens font face. L’illusion d’Israël, un concept qui remet en question la narrative dominante, souligne les injustices persistantes et l’importance de reconnaître les droits du peuple palestinien.

En première instance, il est essentiel de comprendre que la lutte pour la libération de la Palestine est ancrée dans le respect des droits humains fondamentaux. Chaque jour, des personnes innocentes subissent les conséquences d’un conflit qui semble sans fin, et il est impératif de ne pas rester indifférent face à cette réalité. L’engagement à soutenir la Palestine peut prendre de nombreuses formes, que ce soit par l’éducation, la sensibilisation ou le soutien à des initiatives locales et internationales.

De plus, la solidarité internationale joue un rôle crucial dans la promotion de la justice et de la paix. Les voix des militants, des journalistes et des citoyens engagés sont indispensables pour faire entendre le cri de ceux qui sont souvent réduits au silence. En ce sens, il est vital d’encourager un dialogue inclusif, qui valorise les perspectives diverses des acteurs régionaux et globaux.

Enfin, en reconnaissant l’importance de cette lutte, nous sommes appelés à prendre part au changement. La lutte pour la libération de la Palestine n’est pas seulement un enjeu géopolitique ; c’est une question de dignité humaine, de justice et de paix. En unissant nos efforts et en partageant nos connaissances, nous pouvons espérer contribuer à un avenir où la justice prévaudra, et où les droits de tous seront respectés.

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