16 sept. 2025
Le Israeli_Army a annoncé aujourd’hui (mardi) que ses forces ont commencé à étendre la manœuvre terrestre vers la ville de #Gaza au cours des dernières vingt-quatre heures, selon le porte-parole de l’armée pour les médias arabes, Avichay Adraee. Adraee a déclaré, dans une déclaration sur la plateforme ((X)), que les forces de l’armée israélienne dans le commandement de la région sud ont commencé à étendre la manœuvre terrestre vers la ville de Gaza au cours des dernières vingt-quatre heures. Il a ajouté que les forces de l’armée régulière et de réserve des 98e, 162e et 36e divisions ont commencé une opération terrestre à grande échelle dans toute la ville de Gaza dans le cadre de l’opération ((#Gideon_Chariots 2)). Adraee a expliqué qu’au même moment, les forces de la 143e division opèrent dans la zone d’Al-Tamin en face des villes du Néguev occidental et mènent des opérations offensives dans les zones de Rafah et de Khan Yunis, alors que les forces de la 99ème division se déplacent dans le nord de la bande de Gaza. Il a souligné que les activités offensives dans le cadre de l’opération sont à grande échelle et intensives et constituent une extension directe des réalisations de l’opération ((Chariots de Gideon)), dans le but d’atteindre les objectifs de la guerre dans la bande de Gaza et d’approfondir les réalisations dans le contexte des combats. Dans une déclaration séparée, Adraee a dit aux habitants de Gaza que l’armée israélienne avait commencé à détruire les infrastructures du Hamas dans la ville de Gaza. Il a ajouté que la ville de Gaza est considérée comme une zone de combat dangereuse, car rester dans la région vous met en danger. Déplacez-vous aussi rapidement que possible par la rue Rashid vers les zones qui étaient exposées au sud de Wadi Gaza en véhicule ou à pied. Rejoignez plus de 40% de la population de la ville qui a déménagé pour préserver leur sécurité et celle de leurs proches. Le site américain ((Axios)) a cité des responsables israéliens disant que l’armée israélienne avait lancé une attaque terrestre lundi dans le but d’occuper la ville de Gaza. Le journal israélien ((Jerusalem Post)) a également rapporté que les forces ont commencé leur invasion de la ville lundi soir tard. Plus de détails dans un nouvel épisode de #Madar_Al-Ghad, présenté par #Hazem_Al-Zamili.
Urgent | Ministère de la Santé de Gaza : Le bilan de l’agression israélienne s’élève à 64 964 martyrs et 165 312 blessés depuis le 7 octobre.
L’armée israélienne a annoncé le lancement, mardi avant l’aube, de son offensive terrestre majeure dans la ville de Gaza, juste après le départ d’Israël du secrétaire d’Etat américain, Marco Rubio, qui a exprimé le soutien « indéfectible » des Etats-Unis à l’Etat hébreu.
The Church of the Holy Sepulchre is 50 yards away. It's where Christians believe the body of Jesus was laid.
— Sulaiman Ahmed (@ShaykhSulaiman) September 16, 2025
Why dont we see footage of American political leaders there? pic.twitter.com/u0T1e2MnEl
Choquant ! Les dirigeants américains se disent chrétiens, mais à Jérusalem, ils ne sont filmés qu’en train de prier au Mur occidental, et non à l’église du Saint-Sépulcre où, selon les chrétiens, Jésus (PSL) a été enterré. Sont-ils vraiment chrétiens, ou la politique est-elle plus forte que leur foi ?

Introduction à l’opération terrestre
Le 16/09/2025, l’armée israélienne a lancé une opération terrestre à Gaza, marquant une escalade significative du conflit déjà tendu dans cette région. Cette opération a été précédée d’une série d’échanges de frappes aériennes et d’affrontements, instaurant un climat de crise humanitaire pour la population gazaouie. Le contexte politique qui entoure cette offensive est particulièrement important, notamment avec la visite du secrétaire d’État américain, Marco Rubio, signalant un fort intérêt des États-Unis pour la situation au Moyen-Orient. Les États-Unis sont souvent perçus comme un allié stratégique d’Israël, et leur soutien dans ce genre de situations est crucial pour le gouvernement israélien.
Les motivations derrière cette opération sont multiples et complexes. D’une part, l’armée israélienne affirme vouloir répondre à des menaces perçues venant de groupes militants basés à Gaza, qui continuent de mener des attaques contre le territoire israélien. D’autre part, cette offensive pourrait également être interprétée comme une tentative d’Israël de renforcer sa position militaire et politique dans la région après des années de tensions et de conflits intermittents. Dans ce cadre, le gouvernement israélien justifie son action par la nécessité de garantir la sécurité de ses citoyens et de mettre fin à ce qu’il décrit comme une menace persistante pour son territoire.
En somme, l’opération terrestre à Gaza est une réponse à une série d’événements qui ont exacerbé les tensions régionales, soulignant des enjeux humanitaires et politiques qui continuent de préoccuper la communauté internationale. L’impact de cette opération sur la population civile gazaouie reste à mesurer, alors que les discussions autour des droits humains et du droit international s’intensifient dans ce contexte conflictuel.
La situation humanitaire à Gaza
La situation humanitaire à Gaza demeure des plus préoccupantes, exacerbée par des conflits récurrents et un blocus prolongé qui entravent l’accès aux ressources essentielles. Les habitants de Gaza, parmi lesquels de nombreux enfants, vivent dans des conditions extrêmement précaires. Selon les rapports d’organisations non gouvernementales (ONG) et d’agences humanitaires, la population fait face à un manque critique de nourriture, d’eau potable et de soins médicaux.
Les habitants de Gaza subissent une insécurité alimentaire massive, avec un pourcentage alarmant de la population déclarant avoir des difficultés à se procurer des repas suffisants. Les restrictions économiques et les pénuries de produits de première nécessité aggravent cette crise, rendant difficile pour les familles de satisfaire leurs besoins quotidiens. Les marchés sont souvent mal approvisionnés, et les prix des denrées alimentaires continuent de grimper, rendant l’accès à la nutrition de base de plus en plus inaccessible.
En ce qui concerne l’accès à l’eau potable, la situation est tout aussi désastreuse. Les infrastructures d’eau à Gaza ont été gravement endommagées, et beaucoup de résidents dépendent de sources d’eau non fiables et potentiellement contaminées, ce qui soulève de graves préoccupations de santé publique. Les maladies d’origine hydrique sont courantes, et les établissements de santé sont souvent submergés par la demande face à des ressources médicales limitées.
Les soins de santé sont entravés non seulement par le manque d’infrastructures, mais aussi par un besoin urgent d’équipements médicaux et de médicaments. Les hôpitaux, déjà sous pression, peinent à traiter les patients en raison de la pénurie de personnel médical et de matériel. Cette situation laisse de nombreux Gazaouis dans une détresse inimaginable, exposés à des conditions de vie inhumaines contribuant à une crise humanitaire de grande envergure.
Les réactions internationales
Le paradoxe de la « honte sélective »
Les politiciens occidentaux semblent ne montrer d’émotion que pour Israël, tout en ignorant les victimes civiles à Gaza, au Liban, en Syrie et en Iran.
Le discours dominant criminalise toute dissidence, qualifiant d’« antisémites » même ceux qui invoquent le droit international.
Pendant ce temps, le citoyen moyen voit les images, lit les données, écoute les voix du terrain – et se fait une opinion différente.
Est-ce de l’hystérie ou du conditionnement ?
Lorsque tous les politiciens répètent le même schéma, en ignorant les preuves et les proportions, ce n’est plus de l’analyse – c’est un réflexe conditionné. Et lorsque l’émotion est sélective, elle devient un outil de pouvoir, et non un geste de justice.
Conclusion
La honte est un sentiment noble. Mais si elle n’est pas accompagnée d’équité et de vérité, elle devient une larme de l’État. Et si les gens voient ce que les dirigeants refusent de voir, ce n’est pas de l’hystérie, c’est un réveil.
🇩🇪 Merz almost broke down in tears, talking about the shame he feels because of the resurgence of anti-Semitism in Germany:
— Lord Bebo (@MyLordBebo) September 16, 2025
“As Chancellor, as a German, as a person raised with the promise of ‘never again,’ I feel deep shame” pic.twitter.com/REfHyiSMMt
— Marco Analyste indépendant | Commentateur géopolitique | Communicateur stratégique | Voix en dehors du chœur
Depuis le début de l’opération terrestre de l’armée israélienne à Gaza, les réactions internationales ont été immédiates et variées, reflétant des préoccupations croissantes concernant l’escalade du conflit. Les dirigeants européens, à l’unanimité, ont exprimé leur inquiétude face à l’aggravation de la situation humanitaire dans la région. Des pays comme la France et l’Allemagne ont appelé Israël à respecter le droit international humanitaire, indiquant que les frappes aériennes et les opérations terrestres devraient être proportionnelles et viser à protéger les civils, en particulier avec les effets dévastateurs sur les infrastructures de santé et d’éducation à Gaza.
Les États-Unis, traditionnellement considérés comme un allié proche d’Israël, ont également fait part de leurs préoccupations, même si leur position est souvent nuancée par des décennies de soutien militaire et diplomatique. Les déclarations officielles des dirigeants américains ont souligné l’importance de la protection des civils, tout en affirmant le droit d’Israël à se défendre. Cependant, cette position a suscité des critiques tant sur le plan national qu’international, des voix s’élevant pour demander des actions plus fermes afin de modérer la violence.
Par ailleurs, des organisations internationales telles que les Nations Unies ont exprimé une forte réprobation face aux violences subies par la population civile, alertant sur une possible catastrophe humanitaire. Le Haut-Commissariat des Nations Unies pour les droits de l’homme a appelé à une enquête sur les violations des droits humains dans le cadre de l’opération militante, insistant sur le droit des citoyens palestiniens à la protection et à l’assistance. Les appels à un cessez-le-feu ont été multipliés, mais jusqu’à présent, les efforts diplomatiques pour créer un espace de dialogue et de négociation semblent avoir produit peu de résultats.
Les conséquences sur les civils
L’opération terrestre de l’armée israélienne à Gaza engendre des conséquences dévastatrices sur la population civile. Depuis le début des hostilités, les témoignages de familles touchées par le conflit révèlent une situation tragique et alarmante. Les civils, pris au piège dans ce cycle de violence, vivent dans une angoisse constante. Les inquiétudes quant à la sécurité personnelle et celle des proches sont omniprésentes, avec de nombreux habitants redoutant d’être contraints d’évacuer de nouveau leurs foyers.
Les infrastructures essentielles telles que les hôpitaux, les écoles et les services d’eau et d’électricité sont souvent endommagées, rendant la vie quotidienne de plus en plus insoutenable. Les familles se retrouvent dans des conditions précaires, manquant de nourriture, d’eau potable et de soins médicaux. Les témoignages de ces civils font état de blessures, de souffrances psychologiques et d’un sentiment d’abandon. Les enfants, en particulier, sont les plus affectés, avec des séquelles émotionnelles durables engendrées par la violence omniprésente et l’incertitude de l’avenir.
De plus, les difficultés d’évacuation face à l’intensité des combats exacerbent la crise humanitaire. Les routes sont souvent blocus et les passages pour fuir les zones de conflit sont devenus impraticables, laissant les civils dans une situation désespérée. Pendant ce temps, les organisations humanitaires peinent à accéder aux victimes de ces affrontements en raison des conditions de sécurité instables. Les témoignages et les récits recueillis sur le terrain illustrent l’ampleur de la crise, mettant en lumière la nécessité d’une intervention urgente pour protéger les civils et atténuer la souffrance causée par cette opération militaire.
Les positions divergentes
Le contexte de l’opération terrestre de l’armée israélienne à Gaza soulève une myriade de réactions internationales, illustrant les tensions géopolitiques considérables qui existent aujourd’hui. D’un côté, les États-Unis, en tant qu’allié traditionnel d’Israël, expriment un soutien indéfectible envers l’État hébreu, affirmant que ces actions sont nécessaires pour garantir la sécurité d’Israël face aux menaces perçues du Hamas. Ce soutien américain se manifeste à travers des déclarations politiques et des aides militaires continues, renforçant ainsi la position d’Israël dans la région. Les États-Unis argumentent que la lutte contre le terrorisme justifie une réponse militaire robuste et que la défense nationale d’Israël est essentielle pour la stabilité du Moyen-Orient. Cette approche soulève toutefois des questions sur les préoccupations humanitaires, alors que des rapports alarmants font état de pertes civiles croissantes et de détériorations des conditions de vie à Gaza.
En revanche, des pays comme le Royaume-Uni, souvent perçus comme un allié historique, adoptent une position plus critique vis-à-vis des actions israéliennes. Les dirigeants britanniques mettent en avant le besoin urgent de protéger les civils et de promouvoir un arrêt immédiat des hostilités afin de faire place à des pourparlers de paix. Cette divergence met en lumière une fracture au sein des alliances occidentales, où le soutien inconditionnel à Israël est de plus en plus contesté au nom des droits de l’homme et de la diplomatie internationale. Les critiques britanniques soulignent que la réponse militaire d’Israël pourrait nuire à sa réputation sur la scène mondiale et compliquer davantage les efforts de paix dans la région.
Les implications de ces positions sont notables. Elles pourraient non seulement influencer la dynamique des relations diplomatiques entre les pays occidentaux, mais également créer des répercussions sur la perception d’Israël dans le monde arabe et parmi les nations alliées. Les tensions qui en découlent pourraient déterminer la manière dont les futurs dialogues de paix sont menés, affectant ainsi des décennies de relations internationales dans la région.
Les appels à un cessez-le-feu
Au cours des derniers mois, la situation à Gaza a suscité des appels à un cessez-le-feu immédiat émanant de divers pays et organisations internationales. Parmi ces acteurs, les Nations Unies, l’Union européenne, et des gouvernements de différents continents ont exprimé leur profonde préoccupation face à l’escalade des hostilités et aux conséquences humanitaires catastrophiques qui en découlent. Ces appels visent avant tout à protéger la population civile, qui subit de plein fouet les effets des conflits armés.
Les raisons derrière cette demande de cessation des hostilités sont multiples. D’une part, il y a le besoin urgent de fournir une assistance humanitaire à un nombre croissant de personnes déplacées et blessées, sur un territoire où les infrastructures médicales et de subsistance sont gravement touchées. D’autre part, la communauté internationale agit pour éviter que la situation n’atteigne un seuil critique, exacerbé par des pertes humaines considérables et des violations des droits de l’homme. Un cessez-le-feu permettrait également de créer un espace de dialogue pour envisager des solutions durables, omettant temporairement les conflits militaires.
Cependant, plusieurs obstacles freinent l’instauration d’un cessez-le-feu. Les divergences politiques entre les parties impliquées rendent difficile toute négociation. De plus, des groupes armés au sein de Gaza, ainsi que des factions politiques opposées, compliquent encore davantage la situation. Le manque de confiance entre ces factions, souvent alimenté par des conflits passés, constitue un frein majeur à l’atteinte d’un accord. En outre, certaines puissances régionales continuent d’influencer la dynamique du conflit, maintenant ainsi une certaine instabilité et alimentant le cycle de violence.
Alors que les appels à un cessez-le-feu se multiplient, la nécessité d’un dialogue ouvert et d’un engagement international fort se fait de plus en plus pressante pour mettre fin à cette crise humanitaire croissante.
Les perspectives d’avenir
Les opérations terrestres menées par l’armée israélienne à Gaza suscitent des inquiétudes considérables quant aux implications futures pour la région. Au premier plan, les conséquences humanitaires de ces actions soulèvent des interrogations sur la viabilité à long terme des communautés palestiniennes touchées. Les infrastructures essentielles, déjà affaiblies par des années de conflit, subissent des dommages colossaux, aggravant la situation des civils. Ce cycle de destruction pourrait entraîner une dépendance accrue avec des répercussions sur les efforts de reconstruction, rendant le retour à la normale presque impossible.
En ce qui concerne les relations israélo-palestiniennes, l’escalade des tensions pourrait affecter les initiatives de paix futures. Chaque opération militaire est souvent perçue comme un recul pour l’objectif d’une résolution pacifique du conflit. Les sentiments d’animosité peuvent se cristalliser parmi les populations civiles, rendant toute forme de coopération plus difficile. Il est également probable que la communauté internationale prenne des positions plus ardentes, ce qui pourrait affecter les relations diplomatiques, tant au niveau régional qu’international. Les alliés habituels d’Israël pourraient exprimer des réserves à l’égard des méthodes employées, demandant des mesures plus humanitaires dans le cadre de ces opérations.
Aussi, sur le plan sécuritaire, les réponses de l’armée israélienne à Gaza pourraient engendrer des répercussions sur la stabilité à long terme. Des groupes militants pourraient voir un regain d’activité, alimentant un cycle de violence sans fin. La défiance croissante entre les gouvernements et les habitats affectés pourrait réduire les opportunités de réconciliation. Les perspectives d’une paix durable semblent alors de plus en plus incertaines, ce qui pose des questions fondamentales pour l’avenir de la région et la coexistence des deux peuples. En conclusion, une approche réfléchie et humaine sera cruciale pour naviguer dans cette complexité et instiller un changement positif dans la situation actuelle.
La réponse de la communauté mondiale
Face à la situation alarmante à Gaza, la communauté mondiale a mobilisé divers efforts pour apporter un soutien humanitaire et promouvoir des actions diplomatiques. De nombreux pays et organisations non gouvernementales (ONG) ont intensifié leurs initiatives pour répondre aux besoins urgents de la population gazaouie. Les demandes de fournitures médicales, de nourriture, et d’eau potable augmentent quotidiennement alors que la situation sur le terrain se dégrade rapidement. En particulier, des organisations comme le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) et Médecins Sans Frontières (MSF) jouent un rôle crucial en fournissant une assistance essentielle aux personnes touchées par le conflit.
Parallèlement, la communauté internationale, y compris les Nations Unies, appelle à un cessez-le-feu humanitaire. Ce dernier vise non seulement à protéger les civils, mais aussi à permettre l’accès à l’aide humanitaire. Les discussions diplomatiques se sont intensifiées, avec des pays influents comme les États-Unis, l’Union Européenne et des acteurs régionaux cherchant à jouer un rôle médiateur. Les pourparlers incluent des propositions pour des négociations de paix visant à établir des solutions durables au conflit israélo-palestinien.
Malgré ces efforts, les défis sont considérables. Les tensions politiques et les problèmes logistiques compliquent la mise en œuvre de l’aide humanitaire. De plus, la situation sur le terrain reste volatile, entravant souvent les initiatives des organisations. Cependant, le consensus grandissant autour de la nécessité d’une intervention humanitaire souligne la prise de conscience croissante des souffrances des Gazaouis. Ce moment met en lumière l’importance cruciale d’une coopération internationale renforcée pour garantir la sécurité et le bien-être des populations touchées par ce conflit dévastateur.
Conclusion
La situation à Gaza, exacerbée par l’opération terrestre de l’armée israélienne, soulève des préoccupations humanitaires majeures. Les pertes civiles, la destruction d’infrastructures critiques, et le déplacement massif de populations témoignent d’une crise humanitaire sans précédent. Face à ces événements, il est impératif de reconnaître l’urgence d’une réponse internationale coordonnée pour atténuer les souffrances des civils touchés. La communauté internationale a la responsabilité de mener des démarches diplomatiques et de proposer des solutions durables qui prennent en compte les besoins fondamentaux de la population gazouie.
En examinant les répercussions de l’opération militaire, il est essentiel d’intégrer diverse perspectives afin d’atteindre une vision holistique de la situation. Les acteurs humanitaires sur le terrain alertent sur l’absence d’accès à des ressources essentielles, telles que l’eau potable, les soins de santé, et la nourriture, exacerbé par un blocus prolongé. Ces défis nécessitent une coopération internationale renforcée pour établir des corridors humanitaires, veiller à la protection des civils, et permettre un accès humanitaire inconditionné.
Par ailleurs, il est crucial que les dirigeants politiques de toutes les parties impliquées s’engagent dans un dialogue constructif pour trouver une solution pacifique et durable au conflit israélo-palestinien. La communauté internationale doit non seulement condamner les violations des droits humains, mais également encourager des initiatives qui visent à prévenir de futurs désastres humanitaires. La justice et la paix ne pourront être atteintes que par des efforts concertés visant à répondre aux besoins urgents de la population et à promouvoir un cadre de coexistence pacifique.
L’officier de renseignement israélien juif Ari Ben Menashe confirme que Netanyahu fait chanter le président Trump
« Le gouvernement américain est pris au piège par les Israéliens. Jeffrey Epstein était l’un de leurs outils pour les piéger. Ils ont piégé plusieurs présidents américains en utilisant Jeffrey Epstein, il ne s’agissait pas seulement de sexe, mais aussi d’argent : d’où venait cet argent ?
Trump peut mettre fin au génocide à Gaza dès maintenant s’il cesse d’avoir peur des Israéliens.
Que vont-ils dire à son sujet ? Combien de filles a-t-il abusées ? Combien de milliards de dollars a-t-il pris ? Qu’ils disent ce qu’ils veulent, il doit mettre fin au génocide, laisser Israël faire ce qu’il veut, la moralité doit prendre le dessus. Trump doit mettre fin au génocide à tout prix et faire ce qui est moralement juste pour l’Amérique, Gaza et le Moyen-Orient.
Avec le génocide à Gaza et le chantage d’Epstein, Israël est en train de se faire « harakiri », c’est-à-dire de se suicider rituellement, car il finira par être arrêté.
Jewish Israeli Intelligence Officer Ari Ben Menashe confirms Netanyahu is blackmailing President Trump
— sLOVen (@occultni) September 15, 2025
"American Government is trapped by the Israelis. Jeffrey Epstein was one of their tools to trap them. They trapped a number of U.S. Presidents by using Jeffrey Epstein, it… pic.twitter.com/j8g7r5Uo3j
Marc Rubio, I support this boycott from Qatar, are you going to arrest me and take away my citizenship, my passport? @realDonaldTrump
— Gary Cardone (@GaryCardone) September 14, 2025
Seriously guys, are you all bought and paid for, or just totally compromised? https://t.co/dM0q9ULUQq
US Secretary of State Marc Rubio: Houthis have attacked 174 US warships in the past 18 months. pic.twitter.com/KfqEMcMflS
— Sprinter Express (@SprinterExpres0) March 16, 2025
Jeffrey Sachs "FIRED WARMONGERS" Starmer, Merz, Macron
— Ignorance, the root and stem of all evil (@ivan_8848) September 15, 2025
This war was provoked by the United States' desire to weaken Russia and to surround Russia, and Germany has played along at every step.
NATO cheated. Germany cheated. The United States cheated because they wanted domination… pic.twitter.com/7CZmW3Iobx