Ce gisement appartient à GAZA

Le champ gazier israélien Leviathan a signé un accord de 35 milliards de dollars pour fournir du gaz à l’Égypte jusqu’en 2040, renforçant la coopération. L’accord, en deux phases à partir de 2026, soutient l’Égypte dans sa crise énergétique et son rôle de hub gazier régional. Les exportations s’appuient sur des infrastructures en expansion. Le 7 août 2025, le champ gazier israélien Leviathan, situé au large de Haïfa, a conclu un accord d’exportation record de 35 milliards de dollars avec l’Égypte, le plus important de l’histoire d’Israël. Annoncé par NewMed Energy, partenaire majeur du consortium exploitant le gisement, cet accord prévoit la fourniture de 130 milliards de mètres cubes (mmc) de gaz naturel jusqu’en 2040, ou jusqu’à l’épuisement des quantités prévues. L’Egypte oublie Gaza pour du gaz Cette transaction, signée avec Blue Ocean Energy, renforce les liens énergétiques entre les deux pays et soutient l’Égypte face à sa crise énergétique, marquée par une production domestique insuffisante depuis 2022. L’accord s’inscrit dans une stratégie visant à faire de l’Égypte un hub énergétique régional, avec la possibilité de réexporter du gaz vers l’Europe via ses usines de liquéfaction à Damiette et Edkou. L’accord se déroulera en deux phases : une première livraison de 20 mmc dès le premier semestre 2026, après le raccordement d’un troisième gazoduc reliant Leviathan à sa plateforme de production, augmentant la capacité annuelle à 14 mmc. La seconde phase, impliquant 110 mmc supplémentaires, débutera après l’expansion du gisement et la construction d’un nouveau gazoduc terrestre via Nitzana, prévue pour 2029. Cette expansion portera la production de Leviathan à 21-23 mmc par an, sécurisant l’approvisionnement d’Israël jusqu’en 2064 tout en exportant 35 % du gaz vers l’Égypte et la Jordanie. Le PDG de NewMed, Yossi Abu, a salué une « journée historique », soulignant les économies de plusieurs milliards de dollars pour l’Égypte grâce à l’utilisation de pipelines, moins coûteux que le gaz naturel liquéfié (GNL). Cet accord intervient après des perturbations en juin 2025, lorsque Leviathan et le champ Karish ont été fermés temporairement en raison de tensions israélo-iraniennes, affectant l’industrie égyptienne, notamment les usines d’engrais. L’Égypte, confrontée à des pannes électriques et à un déficit gazier de 3,5 mmc par jour, a sécurisé des importations de GNL, mais le gaz israélien reste crucial pour stabiliser son réseau électrique. Cette coopération renforce la position géopolitique de l’Égypte et d’Israël, malgré la crise humanitaire à Gaza et les bombardements quotidiens de Tsahal, certains dénonçant une dépendance accrue envers Israël.

Introduction

La récente conclusion d’un accord énergétique entre l’Égypte et Israël marque une étape significative dans le paysage géopolitique et économique de la région. En effet, cet accord concerne l’importation de gaz naturel, un sujet de préoccupation majeur dans le contexte de la crise énergétique actuelle qui affecte l’Égypte. Alors que le pays fait face à des défis croissants liés à son approvisionnement énergétique, cet accord pourrait servir de solution avantageuse, reflétant ainsi un changement potentiel dans les dynamiques de coopération entre ces deux nations voisines.

L’accord énergétique souligne non seulement l’importance stratégique du gaz naturel dans les relations bilatérales, mais il témoigne également d’une évolution notable dans les relations entre l’Égypte et Israël. Historiquement, ces deux pays ont été marqués par des tensions politiques, mais ces dernières années, des progrès substantiels ont été réalisés dans divers domaines de la coopération. L’importation de gaz naturel, en particulier, pourrait permettre à l’Égypte d’améliorer sa sécurité énergétique tout en renforçant des liens économiques plus étroits avec Israël.

En outre, cette initiative pourrait contribuer à stabiliser le marché de l’énergie en Méditerranée orientale, offrant une alternative viable aux pays confrontés à des pénuries de gaz. Alors que les pays du Moyen-Orient cherchent à renforcer leur indépendance énergétique, cet accord n’est pas seulement bénéfique pour l’Égypte, mais il pourrait également avoir des implications positives pour la région dans son ensemble. Cet accord pourrait favoriser un climat de confiance et de collaboration qui pourrait inspirer d’autres initiatives similaires entre l’Égypte et ses voisins.

Contexte énergétique en Égypte

Depuis 2022, l’Égypte a été confrontée à divers défis en matière d’énergie, un enjeu crucial pour son développement économique et son bien-être social. Le pays, malgré ses ressources gazières significatives, a vu sa production domestique insuffisante ne pas répondre à la demande croissante. Cette insuffisance a été aggravée par des pannes électriques récurrentes, perturbant non seulement le quotidien des citoyens, mais aussi les activités commerciales. Ces coupures ont mis en évidence l’incapacité du secteur énergétique égyptien à fournir un approvisionnement fiable et constant, ce qui a suscité une inquiétude croissante parmi la population et les décideurs.

Pour remédier à cette situation précaire, l’Égypte a entrepris d’explorer des chemins alternatifs pour sécuriser son approvisionnement en gaz. L’accord énergétique récemment négocié avec Israël marque une étape importante dans cette quête. En tentant de diversifier ses sources d’approvisionnement, l’Égypte espère réduire sa dépendance à des ressources qui semblent de plus en plus insuffisantes, en intégrant des flux d’importation. Ce partenariat vise non seulement à stabiliser le marché intérieur de l’énergie, mais aussi à créer une plateforme pour renforcer la coopération régionale dans le secteur énergétique.

En parallèle, les enjeux géopolitiques dans la région compliquent encore plus le tableau. Les tensions historiques entre l’Égypte et Israël ne facilitent pas la négociation d’accords, mais l’urgence de la situation énergétique pousse à une remise en question de ces relations. Les deux pays semblent reconnaître que l’interdépendance en matière d’énergie pourrait atténuer les conflits existants. En outre, cet accord pourrait offrir une réponse aux préoccupations habituelles concernant la sécurité des infrastructures gazières.

Détails de l’accord avec Leviathan

L’accord conclu entre l’Égypte et le champ gazier israélien de Leviathan représente une étape significative dans les relations énergétiques entre les deux pays. Ce partenariat stratégique vise principalement à combler les besoins énergétiques croissants de l’Égypte tout en renforçant la coopération régionale. Les détails financiers de l’accord sont notables, impliquant des montants stipulés dans des contrats d’approvisionnement à long terme qui s’échelonnent sur plusieurs années. Ces transactions pourraient atteindre plusieurs milliards de dollars, illustrant l’importance de ce partenariat pour les deux nations.

En termes de volumes de gaz, l’accord prévoit des livraisons conséquentes, qui devraient répondre à l’augmentation de la demande d’électricité en Égypte. On prévoit que le pays recevra des milliards de pieds cubes de gaz naturel en provenance de Leviathan, ce qui contribuera à diversifier ses sources d’approvisionnement et à assurer une meilleure sécurité énergétique. Des négociations antérieures avaient établi les bases de cet accord, mais la finalisation des termes a donné lieu à un cadre solide pour les livraisons futures.

La mise en œuvre de l’accord se déroulera en deux phases clés. La première phase concerne la livraison immédiate de volumes de gaz sur une période prédéterminée, permettant à l’Égypte de commencer à intégrer ce gaz dans son réseau énergétique. La deuxième phase se penche sur l’expansion à long terme des capacités de livraison, favorisant ainsi un approvisionnement continu et stable au fil des années. Cette structuration en phases permet d’anticiper et de planifier avec précision les besoins énergétiques croissants du pays, tout en favorisant une collaboration durable entre l’Égypte et Israël.

Les infrastructures de gaz

Les infrastructures gazières de l’Égypte jouent un rôle crucial dans l’importation et la distribution de gaz, notamment dans le contexte de l’accord énergétique récent avec Israël. Le pays dispose d’un réseau de pipelines, dont certains sont déjà opérationnels et connectent les sites de production aux centres de consommation. Parmi les infrastructures les plus significatives figurent les pipelines qui relient l’Égypte à ses partenaires régionaux, facilitant ainsi les échanges en matière de ressources gazières. Cette interconnexion permet à l’Égypte non seulement d’importer du gaz, mais aussi de garantir un approvisionnement fiable à ses industries et à sa population.

De plus, l’Égypte abrite des installations de liquéfaction à Damiette et Edkou. Ces usines sont essentielles pour transformer le gaz naturel en un état liquide, ce qui permet un transport maritime plus efficace. Grâce à ces infrastructures de liquéfaction, l’Égypte peut exporte du gaz vers des marchés internationaux, diversifiant ainsi ses sources de revenus. La capacité de ces usines a été renforcée ces dernières années pour répondre aux besoins croissants du marché mondial du gaz.

En outre, l’Égypte a mis en place des projets ambitieux pour étendre ses infrastructures de gaz existantes. Ces projets visent à répondre à la demande croissante de gaz sur le marché domestique et à accroître les capacités d’exportation. Par exemple, le gouvernement égyptien envisage d’augmenter le nombre de pipelines et d’étendre les installations de liquéfaction afin de soutenir ses objectifs à long terme. L’expansion de ces infrastructures, en parallèle avec l’accord énergétique avec Israël, devrait renforcer la position de l’Égypte sur la carte énergétique régionale et mondiale, rendant le pays encore plus pertinent dans le domaine énergétique en Méditerranée et au-delà.

Impact économique de l’accord

L’accord énergétique entre l’Égypte et Israël revêt une importance significative pour l’économie égyptienne. En premier lieu, cet accord permettra des économies substantielles sur les coûts d’approvisionnement énergétique. Grâce à l’exploitation de pipelines existants, l’Égypte peut recevoir du gaz israélien à un coût réduit, ce qui pourrait se traduire par des économies considérables. Cela est particulièrement pertinent dans un contexte où les ressources financières doivent être gérées de manière judicieuse pour soutenir d’autres projets économiques.

En outre, l’approvisionnement en gaz naturel a des implications profondes pour l’industrie égyptienne, en particulier pour ceux qui dépendent d’une énergie fiable et abordable. Le secteur des engrais, par exemple, pourrait bénéficier directement de cette approche. Le gaz naturel est essentiel à la production d’engrais, et un accès accru à cette ressource permettrait d’augmenter la production locale. Non seulement cela diminuerait la dépendance de l’Égypte aux importations d’engrais, mais cela pourrait également contribuer à une plus grande sécurité alimentaire en réduisant les coûts liés à la production agricole.

Par ailleurs, cette nouvelle relation commerciale pourrait catalyser d’autres investissements dans l’infrastructure énergétique égyptienne. Le développement des infrastructures de pipelines peut encourager des investissements supplémentaires dans le secteur de l’énergie, soutenant ainsi la création d’emplois. L’augmentation de la compétitivité de l’industrie égyptienne pourrait avoir des retombées bénéfiques dans d’autres domaines industriels et favoriser une croissance économique durable à long terme.

Dans l’ensemble, l’accord énergétique avec Israël ouvre la voie à des opportunités économiques considérables pour l’Égypte, stimulant à la fois le secteur énergétique et d’autres secteurs clés de l’économie. Cela pourrait également renforcer la position de l’Égypte en tant qu’acteur régional important dans le domaine de l’énergie.

Conséquences géopolitiques

La coopération énergétique entre l’Égypte et Israël transforme de manière significative le paysage géopolitique du Moyen-Orient. En renforçant leurs liens à travers des accords gaziers, les deux pays s’érigent en acteurs clés dans ce secteur, augmentant ainsi leur influence dans la région. Cette dynamique survient alors que des tensions perdurent notamment à Gaza, mais il semble que l’impératif énergétique prime sur les différends politiques traditionnels. L’Égypte, en particulier, semble bénéficier d’une position plus forte grâce à ce partenariat, se libérant peu à peu de sa dépendance historique envers d’autres fournisseurs, amplifiant son rôle en tant que hub énergétique.

Au niveau régional, cette coopération pourrait potentiellement remodeler les alliances et les oppositions. Par exemple, certains pays voisins pourraient percevoir cette entente comme une menace, ce qui pourrait entraîner des inquiétudes autour d’une collaboration accrue entre l’Égypte et Israël, tout en amenant d’autres États à réévaluer leurs propres stratégies énergétiques et diplomatiques. En effet, la quête de l’autonomie énergétique est un enjeu majeur pour de nombreuses nations de la région, et les développements dans la coopération égypto-israélienne pourraient inciter d’autres à forger des alliances similaires ou à intensifier leurs efforts d’indépendance énergétique.

Dans cette perspective, il est crucial de noter que la redéfinition des relations égypto-israéliennes pourrait également affecter les perspectives de paix dans la région. Alors que les deux pays cherchent à sécuriser leurs approvisionnements énergétiques, la nécessité de maintenir la stabilité pourrait éclipser les tensions historiques. Néanmoins, les implications de ce rapprochement doivent être surveillées attentivement, car une coopération sans précédent dans le domaine énergétique pourrait également exacerber les frictions sous-jacentes, tant au niveau local qu’international.

Réactions à l’accord

Cet accord énergétique entre l’Égypte et Israël a suscité une multitude de réactions parmi les acteurs politiques et économiques. Yossi Abu, le PDG de Newmed Energy, a exprimé un optimisme mesuré à l’égard de cette collaboration. Selon lui, cet accord représente une avancée considérable vers la stabilité énergétique de la région. Il a souligné que les ressources gazières découvertes entre les deux nations pourraient non seulement renforcer l’approvisionnement en énergie, mais aussi favoriser des relations plus étroites entre les pays du Moyen-Orient. Abu a mis en avant l’importance de la diversification des sources d’énergie comme un phénomène essentiel dans un contexte économique en constante évolution.

Cependant, cette nouvelle collaboration n’est pas sans controverse. Divers groupes politiques et organisations de la société civile ont émis des critiques concernant cette dépendance accrue à Israël pour les ressources énergétiques. Ces opposants soulignent que l’Égypte a encore des enjeux non résolus dans sa politique étrangère envers Gaza, et qu’un rapprochement énergétique avec Israël pourrait être perçu comme une trahison des intérêts palestiniens. Des manifestations ont eu lieu pour dénoncer ce qu’ils appellent une « normalisation » des relations Egypto-Israéliennes, arguant que cela pourrait nuire aux droits du peuple palestinien.

En outre, le climat d’opposition s’intensifie parmi les analystes politiques qui craignent que cet accord ne fasse qu’augmenter l’influence d’Israël sur la région. Ils soutiennent que renforcer les liens économiques pourrait limiter la capacité de l’Égypte à plaider en faveur des droits fondamentaux des Palestiniens. Par conséquent, la réaction face à cet accord énergétique oscillera probablement entre l’éloge pour ses avantages économiques et des critiques face aux implications politiques plus larges qu’il pourrait engendrer.

Défis futurs

La mise en œuvre de l’accord énergétique entre l’Égypte et Israël, centré sur l’exploitation des ressources gazières, pourrait être entravée par plusieurs défis. L’un des principaux enjeux concerne la sécurité énergétique. L’Égypte, en tant que pays de transit pour les livraisons de gaz, doit garantir que les infrastructures nécessaires restent intactes et opérationnelles. Les menaces potentielles, qu’elles soient d’origine naturelle ou humaine, imposent un besoin urgent de renforcer la protection des sites de production et de transport. De plus, les attaques terroristes dans la région peuvent également affecter la continuité de l’approvisionnement, ce qui soulève des questions sur la fiabilité de l’accord à long terme.

Un autre défi majeur réside dans la gestion des infrastructures gazières. L’acheminement du gaz depuis les champs israéliens jusqu’aux installations égyptiennes nécessite des infrastructures adéquates, incluant des pipelines, des stations de compression et des installations de traitement. L’intégration de ces systèmes en toute sécurité et de manière efficace est primordiale pour assurer une livraison stable dans un contexte où les capacités techniques et financières peuvent être limitées. Les investissements nécessaires pour moderniser les infrastructures existantes peuvent également poser un problème, en particulier si des ressources sont détournées vers d’autres priorités nationales.

Enfin, les tensions géopolitiques dans la région peuvent avoir des ramifications significatives sur la stabilité de ces accords de fourniture de gaz. Les relations fluctuantes entre les nations voisines, ainsi que les changements possibles dans la politique énergétique mondiale, pourraient impacter la viabilité de l’accord. Cela appelle les parties prenantes à suivre de près la dynamique régionale et à envisager des stratégies d’atténuation des risques qui pourraient entraîner des perturbations dans l’approvisionnement énergétique. En prenant en compte ces défis, l’Égypte pourra mieux préparer ses efforts pour actualiser cet accord énergétique dans un climat mondial en constante évolution.

Conclusion

La société israélienne « New Med Energy » (NewMed Energy) a annoncé qu’elle et le reste des partenaires du champ gazier « Levitan » ont signé un énorme accord avec l’Égypte pour exporter du gaz naturel, qu’ils ont décrit comme « le plus grand contrat d’exportation de l’histoire d’Israël ».
Selon ce qui a été rapporté par le site web “Channel 12”, l’accord prévoit la vente d’environ 130 milliards de mètres cubes de gaz naturel à l’Égypte, et sa valeur est estimée à environ 35 milliards de dollars jusqu’en 2040.

En somme, l’accord énergétique récemment signé entre l’Égypte et Israël marque un tournant significatif dans les relations bilatérales des deux nations, indiquant une priorisation des intérêts économiques sur les tensions politiques existantes. Ce partenariat, qui repose sur l’exploitation des ressources gazières de la Méditerranée orientale, offre à l’Égypte une opportunité d’élargir son rôle en tant que fournisseur d’énergie majeur non seulement pour Israël, mais potentiellement pour d’autres nations de la région. L’engagement de l’Égypte dans ce projet souligne l’importance stratégique du gaz dans le paysage énergétique actuel alors que le pays cherche à diversifier ses sources de revenus et à attirer des investissements étrangers.

Par ailleurs, cet accord a des implications significatives sur le plan géopolitique. En sautant par-dessus les préoccupations humanitaires relatives à Gaza, l’Égypte s’efforce de solidifier son statut sur la scène internationale tout en renforçant ses relations économiques avec Israël. Cela pourrait encourager un climat de coopération plus étroit entre les pays du Moyen-Orient, ouvrant la voie à des dialogues constructifs sur des enjeux régionaux plus larges. De surcroît, un partenariat solide dans le secteur énergétique pourrait aussi inciter d’autres pays du Golfe à explorer des ententes similaires, signifiant ainsi un changement potentiellement durable dans les dynamiques de pouvoir et de dépendance énergétique dans la région.

En s’engageant dans cette nouvelle ère de coopération énergétique, l’Égypte ne fait pas seulement un choix stratégique pour sa propre croissance; elle pourrait également jouer un rôle crucial dans la stabilisation du marché énergétique régional. Un tel mouvement pourrait établir des bases solides pour un avenir énergétique plus intégré et coopératif, mais il devra également jongler avec les réalités politiques pour garantir que le développement économique ne soit pas aux dépens des engagements humanitaires. Ainsi, cet accord constitue une pierre angulaire pour l’avenir énergétique de l’Égypte et de la région dans son ensemble.

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