« Israël a annoncé »
Son dernier souffle
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Sous ce titre
Le journal hébreu « Haaretz » est publié.
Un article du célèbre écrivain sioniste Ari Shavit dans lequel il dit :
Il semble que nous soyons confrontés aux peuples les plus difficiles de l’histoire et que leur seule solution est de reconnaître leurs droits et de mettre fin à l’occupation.
Il commençait son article en disant :
Il semble que nous ayons dépassé le point de non-retour, et il est possible qu’« Israël » ne soit plus en mesure de mettre fin à l’occupation, d’arrêter le colonialisme et de parvenir à la paix. Il semble qu’il ne soit plus possible de réformer le sionisme, de sauver la démocratie et de diviser le peuple de ce pays.
Il a ajouté :
Si la situation est comme ceci :
- Il n’y a aucun goût à vivre dans ce pays.
- Il n’y a aucun goût pour écrire dans Haaretz.
- Il n’y a aucun goût à lire « Haaretz »* et nous devons faire ce que Rogel Alpher a suggéré il y a deux ans, c’est-à-dire quitter le pays…
Si « l’israélisme » et la judéité ne sont pas un facteur vital d’identité, et si chaque « citoyen israélien » possède un passeport étranger, alors non seulement au sens technique, mais aussi au sens psychologique, alors c’est fini. Vous devez dire au revoir à vos amis et déménager à San Francisco, Berlin ou Paris. De là, depuis les terres du nouveau nationalisme extrémiste allemand, ou depuis les terres du nouveau nationalisme extrémiste américain, il faut regarder calmement et observer « l’État d’Israël » alors qu’il rend son dernier soupir. Nous devons prendre trois pas en arrière et assister à la chute de l’État démocratique juif. Le problème n’est peut-être pas encore résolu. Peut-être n’avons-nous pas encore dépassé le point de non-retour
Il est possible qu’il soit encore possible de mettre fin à l’occupation, de mettre fin au colonialisme, de réformer le sionisme, de sauver la démocratie et de diviser le pays. L’écrivain poursuit : J’ai mis le doigt dans l’œil de Netanyahu, de Lieberman et des néo-nazis, pour les réveiller de leur délire sioniste.
Trump, Kushner, Biden, Barack Obama et Hillary Clinton ne sont pas ceux qui mettront fin à l’occupation. Ce ne sont pas les Nations Unies et l’Union européenne qui arrêteront les colonies. La seule force au monde capable de sauver Israël de lui-même, ce sont les Israéliens eux-mêmes, en créant un nouveau langage politique qui reconnaît la réalité et le fait que les Palestiniens sont enracinés dans cette terre. Je vous exhorte à chercher la troisième voie pour vivre ici et ne pas mourir. L’auteur de Haaretz confirme : Depuis l’arrivée des « Israéliens » en Palestine, ils ont réalisé qu’ils étaient le résultat d’un mensonge créé par le mouvement sioniste, au cours duquel il a utilisé toutes les tromperies sur le caractère juif à travers l’histoire. En exploitant et en amplifiant ce qu’Hitler appelait l’Holocauste, le mouvement a réussi à convaincre le monde que la Palestine est la « terre promise » et que le soi-disant Temple est situé sous la mosquée Al-Aqsa. Le loup s’est transformé en mouton, qui s’est transformé en mouton. Il se nourrit de l’argent des contribuables américains et européens, jusqu’à devenir un monstre nucléaire. L’écrivain a sollicité l’aide d’archéologues occidentaux et juifs, dont le plus célèbre est « Israel Flintstein » de l’Université de Tel Aviv, qui ont confirmé que « le temple est aussi un mensonge et une légende qui n’existe pas, et toutes les fouilles ont été prouvées ». .» Il a été prouvé qu’il a complètement disparu il y a des milliers d’années, ce qui a été explicitement affirmé dans de nombreuses références juives et confirmé par de nombreux archéologues occidentaux. La dernière a été réalisée en 1968 par l’archéologue britannique Dr. Caitlin Kabinos, alors qu’elle était directrice des fouilles à la British School of Archaeology de Jérusalem. Elle a effectué des fouilles à Jérusalem et a été expulsée de Palestine parce qu’elle avait révélé « des mythes israéliens sur la présence de traces du temple de Salomon sous la mosquée Al-Aqsa ». J’ai décidé qu’il n’y avait aucune trace du Temple de Salomon et j’ai découvert que ce que les Israéliens appellent « le bâtiment des écuries de Salomon » n’a rien à voir avec Salomon ou les écuries, mais plutôt un modèle architectural de palais. Il est courant dans plusieurs régions de Palestine, bien que Kathleen Kenyon soit venue de la Palestine Exploration Fund Society, afin de clarifier ce qui a été mentionné dans les récits bibliques, car il a montré une grande activité en Grande-Bretagne au milieu du XIXe siècle. Concernant l’histoire du « Proche-Orient ». L’écrivain juif a noté que :
La malédiction du mensonge est ce qui trouble les « Israéliens », et jour après jour elle les frappe au visage sous la forme d’un couteau dans la main d’un Jérusalémien, Khalili ou Nabulsi, ou d’une pierre ou d’un chauffeur de bus de Jaffa, Haïfa et Acre. Les « Israéliens » se rendent compte qu’ils n’ont pas d’avenir en Palestine, car ce n’est pas une terre sans peuple comme ils l’ont menti. Et voici un autre écrivain qui reconnaît, non pas l’existence du peuple palestinien, mais plutôt sa supériorité sur les « Israéliens ». C’est Gideon Levy, le sioniste de gauche, lorsqu’il dit : Il semble que les Palestiniens aient une nature différente du reste de l’humanité… Nous avons occupé leur terre et traité leurs jeunes de putes, de putes et de toxicomanes, et nous leur avons dit que quelques années passeraient et qu’ils oublieraient leur patrie et leur terre, puis leur jeune génération allait exploser avec l’Intifada de 1987. Nous les mettons en prison
Nous avons dit : nous les élèverons en prison. « Des années plus tard, après avoir cru avoir appris la leçon, ils sont revenus vers nous avec un soulèvement armé en 2000 qui a dévoré tout ce qui était vert et sec. Nous avons dit de démolir leurs maisons
Nous les avons assiégés pendant de nombreuses années, puis ils ont extrait des missiles impossibles à utiliser pour nous attaquer, malgré le siège et les destructions.
Nous avons donc commencé à les planifier avec le mur de séparation
Et des barbelés… et les voici qui viennent vers nous depuis le sous-sol et à travers des tunnels et nous infligent de lourdes pertes. Durant la dernière guerre
Nous les avons combattus avec notre esprit, puis ils se sont emparés du satellite israélien (Amos) ? Ils sèment la terreur dans chaque foyer « israélien » en diffusant des menaces et des intimidations, comme cela s’est produit lorsque leurs jeunes ont pu contrôler la Deuxième chaîne « israélienne ». Au final, comme le dit l’auteur :
Il semble que nous soyons confrontés aux peuples les plus difficiles de l’histoire et que leur seule solution est de reconnaître leurs droits et de mettre fin à l’occupation. Titre de l’article :
« Israël rend son dernier souffle »
auteur:
Ari Shibet
source:
Journal hébreu Haaretz
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Veuillez diffuser cet article aussi largement que possible car il est plein de faits historiques et écrit par un écrivain de l’État occupant.
Faites savoir aux dirigeants de l’occupation et aux politiciens que la normalisation ne crée pas la paix, mais que c’est plutôt le rétablissement des droits de leurs propriétaires qui crée la paix.
Alors que la guerre génocidaire menée par Israël contre Gaza se poursuit sans relâche, l’économie israélienne est confrontée à une catastrophe. «Les destructions physiques causées par la guerre en Israël ont été minimes, mais une chose a été détruite: son avenir», stipule Shir Hever, chercheuse en économie sur les aspects économiques de l’occupation israélienne des territoires palestiniens et qui a publié de nombreux rapports et études sur le sujet, notamment pour le Centre d’information alternative, une organisation israélo-palestinienne active à Jérusalem et à Beit-Sahour. Elle a rédigé sa thèse de doctorat sur la privatisation de la sécurité en Israël. Son premier livre est L’économie politique de l’occupation israélienne: la répression au-delà de l’exploitation.
«C’est du jamais vu lorsque les gros titres des grands journaux israéliens et les slogans du mouvement du Boycott, Désinvestissement et Sanctions (BDS) qui a eu pour objectifs de mettre fin à l’occupation et à la colonisation par Israël des territoires palestiniens pris en 1967, sont presque identiques», rapporte Shir Hever. «Aucun État sur Terre n’a été capable d’infliger autant de dégâts à l’économie israélienne que l’État d’Israël lui-même, et le résultat est de plus en plus d’indications selon lesquelles l’économie israélienne est dans une impasse, sans issue tant que l’État reste un apartheid», constate-t-elle signalant que c’est un «État sioniste rejeté par le monde entier, à l’exception des États-Unis et de l’Allemagne», la France les suivant.
«Lorsque les manifestants israéliens contre le gouvernement portaient une immense pancarte avec le slogan BDS «De la nation en démarrage à la nation en arrêt», ce n’était rien de moins qu’une violation du droit d’auteur», rajoute l’experte, précisant: «Mais c’était en février 2023. Après le 7 octobre, tout a changé».
L’attaque génocidaire d’Israël contre la bande de Gaza a tué plus de 40.000 Palestiniens, plus de 15.000 enfants, et pourrait bien avoir condamné plus de 146.000 Palestiniens supplémentaires de Gaza à mourir dans les mois à venir de complications de santé dues à des blessures, à la famine ou à la maladie. La guerre a détruit la vie de 2,3 millions de personnes dans la bande de Gaza et de milliers de personnes en Cisjordanie occupée. Selon les estimations de l’ONU, 70% des maisons ont été détruites et il faudra 15 ans pour déblayer les décombres. Néanmoins, il ne fait guère de doute que les survivants palestiniens du génocide, bien que traumatisés, appauvris et pleurant les membres de leur famille et leurs amis perdus, finiront par se reconstruire et se rétablir, quel que soit le temps que cela prendra.
«Les destructions physiques infligées à Israël par la guerre sont minimes en comparaison, et pourtant une chose a été détruite: l’avenir du pays», martèle Shir Hever car les indicateurs économiques parlent de rien de moins qu’une catastrophe économique. Plus de 46.000 entreprises ont fait faillite, le tourisme s’est arrêté, la cote de crédit d’Israël a été abaissée, les obligations israéliennes sont vendues à des prix proches des «obligations de pacotille» et les investissements étrangers ont déjà chuté de 60% au premier trimestre 2023 (suite à la politique du gouvernement d’extrême droite israélien avant le 7 octobre) et elles montrent aucune perspective de reprise.
La majorité de l’argent investi dans les fonds d’investissement israéliens a été détourné vers des investissements à l’étranger parce que les Israéliens ne veulent pas que leurs propres fonds de pension et d’assurance ou leurs propres économies soient liés au sort de l’État d’Israël. «Cela a provoqué une stabilité surprenante sur le marché boursier israélien, car les fonds investis dans des actions et des obligations étrangères ont généré des bénéfices en devises étrangères, qui ont été multipliés par la hausse du taux de change entre les devises étrangères et le shekel israélien», note Shir Hever, signalant aussi qu’ «Intel a ensuite fait échouer un plan d’investissement de 25 milliards de dollars en Israël, la plus grande victoire du BDS jamais réalisée».
Ce sont tous des indicateurs financiers, mais la crise frappe plus profondément les moyens de production de l’économie israélienne. Shir Hever rappelle: «Le plus grand fournisseur de charbon d’Israël est la Colombie, qui a annoncé qu’elle suspendrait ses expéditions de charbon vers Israël tant que le génocide se poursuivrait». Après la Colombie, les deux plus grands fournisseurs sont l’Afrique du Sud et la Russie. «Sans électricité fiable et continue, Israël ne pourra plus prétendre être une économie développée», avertit l’experte, faisant remarquer: «Les fermes de serveurs ne fonctionnent pas sans alimentation 24 heures sur 24, et personne ne sait à combien de coupures de courant le secteur israélien de la haute technologie pourrait potentiellement survivre». Les entreprises technologiques internationales ont https://www.newarab.com/news/samsung-next-leaves-israel-economy-suffers-gaza-war déjà commencé à fermer leurs succursales en Israël.
La réputation d’Israël en tant que «start-up nation» dépend de son secteur technologique, qui à son tour dépend d’employés hautement qualifiés. Les universitaires israéliens rapportent que la recherche conjointe avec des universités étrangères a fortement diminué grâce aux efforts des campements d’étudiants. Les journaux israéliens regorgent d’articles sur l’exode des Israéliens instruits. Le professeur Dan Ben David, un économiste célèbre, a affirmé que l’économie israélienne repose sur 300.000 personnes (les cadres supérieurs des universités, des entreprises technologiques et des hôpitaux). Une fois qu’une partie importante de ces personnes partira, dit-il, «nous ne deviendrons pas un pays du tiers monde, nous ne le serons tout simplement plus».
Les Israéliens étudient diverses possibilités pour quitter le pays.
Shir Hever, économiste politique israélien
Source
Introduction
Les dégâts économiques infligés par Israël à son propre pays posent une question délicate et complexe. En effet, l’État d’Israël, avec ses politiques internes et ses décisions structurelles, a fréquemment été critiqué pour les conséquences négatives qu’elles entraînent sur son économie nationale. Cette analyse se penche sur la manière dont des choix inappropriés, des priorités mal établies et des conflits prolongés ont contribué à complexifier la situation économique israélienne.
Il est pertinent de se demander quelles sont les implications de ces décisions sur divers aspects économiques, notamment la croissance, l’emploi et le développement régional. Certains experts soutiennent que les politiques gouvernementales, centrées sur des enjeux de sécurité plutôt que sur des investissements dans le bien-être économique, ont créé un environnement où l’innovation et la prospérité sont entravées. Une telle orientation peut causer une stagnation dans des secteurs essentiels, affectant finalement les capacités compétitives du pays sur le marché global.
De plus, la relation entre les investissements publics et le développement privatif mérite d’être examinée de près. Les inégalités granissantes entre différentes régions et communautés à l’intérieur même d’Israël soulèvent des doutes quant à l’efficacité des politiques adoptées. Alors qu’une partie de la population semble prospérer, d’autres luttent avec des taux de chômage élevés et un manque d’accès aux ressources.
Cette étude vise à explorer les impacts de ces politiques sur l’économie israélienne et leur provenance. En analysant les choix stratégiques et les conséquences qui en découlent, cet article cherche également à envisager des voies alternatives qui pourraient conduire à une résolution de ces problématiques économiques internes. Ainsi, nous examinons les dynamiques complexes qui se cachent derrière les chiffres économiques en Israël.
Contexte Historique
Depuis sa création en 1948, l’État d’Israël a traversé une série d’événements historiques qui ont eu un impact significatif sur son économie. Les premières années de l’État israélien furent marquées par des défis économiques considérables, exacerbés par des conflits militaires dans la région. La guerre d’indépendance de 1948-1949 a entraîné une inflation élevée, des pénuries de biens essentiels et un afflux massif de réfugiés, ce qui a nécessité une réorganisation rapide des ressources économiques.
Les décennies suivantes ont vu l’Israël faire face à de nombreux conflits, notamment la guerre de Suez en 1956, la guerre des Six Jours en 1967 et la guerre du Kippour en 1973. Chacune de ces guerres a engendré des dépenses militaires énormes, impactant le budget national et limitant les investissements dans d’autres secteurs économiques. En outre, les chocs pétroliers de 1973 ont provoqué une crise économique mondiale qui a également touché Israël, entraînant une stagnation économique et une augmentation des inégalités sociales.
Au cours des années 1980, le pays a été contraint d’adopter des politiques d’austérité en réponse à une hyperinflation galopante. La privatisation et les réformes économiques étaient devenues essentielles pour stabiliser l’économie. Ces changements ont permis à Israël de se tourner vers une économie plus dynamique, axée sur la technologie et l’innovation, attirant ainsi des investissements étrangers. Cependant, cette croissance n’a pas été sans défis, notamment en raison de tensions géopolitiques persistantes et des conflits avec les voisins.
Ce panorama historique souligne comment les guerres et les crises économiques ont façonné l’environnement économique d’Israël. Les décisions politiques qui en ont découlé ont joué un rôle crucial dans le développement des secteurs économiques, mais elles ont également contribué à la création de disparités socio-économiques au sein de la population, un phénomène qui persiste encore aujourd’hui.
Politiques Économiques Contestées
Les politiques économiques mises en œuvre par le gouvernement israélien ont suscité de vives critiques ces dernières années, notamment en raison de leurs effets néfastes sur l’économie locale. Les changements de fiscalité, les réglementations financières restrictives et les décisions concernant les subventions sont souvent cités comme des éléments ayant contribué à fragiliser davantage la situation économique du pays. Lorsqu’on examine ces politiques, il est essentiel de prendre en compte leur impact sur différents secteurs et populations.
Tout d’abord, la fiscalité en Israël a été modifiée de manière à favoriser certains secteurs au détriment d’autres. Par exemple, les baisses d’impôts pour les entreprises ont permis d’attirer des investissements étrangers, mais cette approche a également conduit à une augmentation des inégalités. Les petites et moyennes entreprises se sont souvent retrouvées désavantagées, ce qui a pu entraîner la fermeture de nombreux commerces et une diminution de l’emploi. Parallèlement, la pression fiscale croissante sur les classes moyennes et inférieures a exacerbé les tensions socio-économiques, laissant de nombreux citoyens en difficulté financière.
En ce qui concerne la réglementation financière, certaines mesures ont été jugées trop strictes, limitant l’accès des petites entreprises aux crédits, ce qui entrave leur capacité à se développer et à innover. De plus, les subventions accordées à certains secteurs, comme l’agriculture et l’industrie de la haute technologie, ont parfois reposé sur des critères peu transparents. Cela a non seulement provoqué un déséquilibre économique, mais également suscité des préoccupations quant à la mauvaise allocation des ressources. Ces interventions gouvernementales, bien qu’intentionnelles, ont ainsi pu conduire à des conséquences imprévues, nuisant à la performance économique du pays.
Impact des Conflits Internes sur l’Économie
Les conflits internes en Israël, notamment les tensions sociales et politiques, ont eu des répercussions significatives sur l’économie du pays. Ces tensions, souvent exacerbées par des événements politiques et des mouvements sociaux, ont conduit à un climat d’incertitude qui dissuade les investissements. En effet, les investisseurs recherchent généralement des environnements stables pour engager leurs capitaux. Lorsqu’un pays est en proie à des troubles internes, ces investisseurs peuvent rediriger leurs ressources vers des marchés jugés plus sûrs, entraînant un manque à gagner pour l’économie israélienne.
Le marché du travail est également touché par ces conflits. Les tensions entre différents groupes sociaux peuvent mener à des grèves, des manifestations et un manque de productivité. Les entreprises, confrontées à une main-d’œuvre divisée et parfois en désaccord, peuvent hésiter à embaucher ou à investir dans le développement de nouveaux projets. La polarisation des relations sociales entraîne une fragmentation du marché du travail, ce qui rend encore plus difficile la création d’emplois, aggravant ainsi les situations économiques de certaines populations.
La croissance économique est souvent mise à mal dans ce contexte. Un climat d’instabilité retarde les plans d’expansion des entreprises et peut conduire à une économie stagnante. Les ressources qui pourraient être allouées à l’innovation et à l’amélioration des infrastructures sont souvent réorientées vers la gestion des crises, ce qui empêche des progrès durables. Par conséquent, la combinaison de tensions internes et de conflits sociaux a un effet d’entraînement sur toute l’économie israélienne, contribuant à des difficultés financières au niveau national.
Dans l’ensemble, les conflits internes en Israël nuisent non seulement à l’investissement et à l’emploi, mais également à un développement économique qui pourrait potentiellement bénéficier à toute la société.
Conséquences sur le Marché du Travail
Les politiques économiques et les conflits internes ont eu des répercussions significatives sur le marché du travail en Israël. L’impact du chômage est particulièrement préoccupant, car il a atteint des niveaux alarmants durant certaines périodes de tensions. Le taux de chômage ne reflète pas seulement le manque d’opportunités d’emploi, mais également les inégalités structurelles présentes sur le marché. Les secteurs les plus touchés sont souvent ceux qui sont déjà vulnérables, exacerbant ainsi la fragilité de la main-d’œuvre non qualifiée.
La main-d’œuvre non qualifiée représente un défi majeur pour le développement économique d’Israël. De nombreux travailleurs peinent à trouver des emplois adaptés à leurs compétences, ce qui limite leur potentiel de contribution à l’économie. L’absence de programmes de formation adaptés aggrave ce problème, car elle ne permet pas aux individus de s’adapter aux exigences d’un marché du travail en constante évolution. En conséquence, ce manque de formation et de développement de compétences augmente la pauvreté et l’exclusion sociale.
Les inégalités salariales sont également un phénomène persistant sur le marché israélien. Certains secteurs, tels que la technologie et les services, offrent des salaires compétitifs, tandis que d’autres, comme l’agriculture et le travail à bas salaire, continuent de stagner, créant ainsi un écart considérable. Cette disparité salariale alimentée par des politiques économiques inéquitables et des conflits internes freine le développement économique du pays, car elle limite le pouvoir d’achat de la population en général.
Les conséquences cumulatives de ces facteurs non seulement affaiblissent l’économie d’Israël, mais aggravent également les tensions sociales, rendant impératif d’aborder ces défis pour un avenir économique plus robuste et inclusif.
Réactions de la Communauté Internationale
La communauté internationale a constamment surveillé les choix économiques d’Israël, en particulier face à ses politiques en matière de conflits et de droits de l’homme. Ces choix ont suscité diverses réactions qui ont eu un impact significatif sur l’économie israélienne. De nombreux pays et organisations internationales ont exprimé leur désapprobation, se manifestant par des sanctions économiques, des boycotts, et des critiques ouvertes. Ces mesures visent à faire pression sur Israël pour qu’il modifie ses politiques économiques et sociales.
Les sanctions, adoptées par certains États, ciblent principalement des secteurs tels que les exportations et le commerce. Par exemple, les restrictions imposées par des pays ont eu des répercussions sur les échanges commerciaux d’Israël, affectant ainsi ses exportations et sa balance commerciale. De même, les boycotts, qu’ils soient institutionnels, académiques ou culturels, ont été encouragés par des mouvements tels que le Boycott, Désinvestment, Sanctions (BDS), qui visent à isoler Israël sur divers fronts. Ces initiatives ont eu pour but de soulever des préoccupations concernant l’impact des choix économiques d’Israël sur les droits des Palestiniens et la situation géopolitique de la région.
Les organisations internationales, telles que les Nations Unies, ont également manifesté leur inquiétude quant aux politiques économiques d’Israël. Des résolutions ont été adoptées, critiquant les effets néfastes de ses choix sur le développement économique des territoires palestiniens. Ces critiques, tout en se basant sur des préoccupations humanitaires, touchent également des questions de développement durable et de coopération économique dans la région.
Il est nécessaire de prendre en compte que ces réactions variées de la communauté internationale ont des répercussions économico-politiques significatives sur Israël. Les choix économiques d’Israël sont désormais analysés non seulement dans un contexte interne, mais aussi dans un cadre international qui tente de promouvoir des droits égaux et un développement durable au sein de la région. Cela souligne l’importance d’une approche plus équilibrée et respectueuse, au risque de voir l’isolement économique d’Israël se renforcer.
Données Économiques Récentes
Les récentes données économiques d’Israël fournissent un aperçu essentiel des effets des politiques nationales sur l’économie. En examinant le Produit Intérieur Brut (PIB), les taux d’inflation, et les niveaux de vie, on peut constater que l’économie israélienne a traversé des défis significatifs. En 2023, le PIB d’Israël a enregistré une croissance modeste de seulement 1,5 %, indiquant un ralentissement par rapport aux années précédentes. Cette croissance insuffisante soulève des préoccupations quant à la durabilité économique à long terme, surtout face à des investissements internes stagnants.
L’inflation a également impacté les ménages israéliens de manière significative. En 2023, le taux d’inflation a atteint 5,2 %, entraînant une augmentation des prix des produits de consommation. Cette inflation se traduisait par une pression accrue sur les budgets familiaux, rendant plus difficile la satisfaction des besoins quotidiens. Les coûts liés au logement, à l’alimentation, et aux services essentiels ont grimpé, exacerbant les inégalités entre différentes classes sociales. Les ménages à faibles revenus ont ressenti ce choc de manière plus prononcée, entraînant une détérioration de leur niveau de vie.
Les niveaux de vie dans le pays sont également préoccupants. La récente stagnation des salaires réels, combinée à une inflation élevée, a contribué à une baisse du pouvoir d’achat. Selon les dernières statistiques, près de 25 % de la population israélienne vit en dessous du seuil de pauvreté. Ce phénomène témoigne des défis économiques persistants et des conséquences des politiques nationales. Les données indiquent clairement que l’économie israélienne fait face à des obstacles qui entravent son développement et nuisent à la prospérité des citoyens.
Voies de Réforme et Perspectives d’Avenir
Pour remédier aux dégâts économiques infligés par Israël à son propre pays, il est essentiel d’envisager une série de réformes ciblées. Ces réformes devraient s’articuler autour de deux axes principaux : l’ajustement des politiques économiques et une meilleure intégration sociale. En premier lieu, une révision des politiques fiscales pourrait stimuler l’économie. Cela impliquerait la réduction des impôts sur les petites et moyennes entreprises (PME), créant ainsi un environnement propice à la croissance. De plus, une telle mesure inciterait à l’innovation et à l’entrepreneuriat, éléments cruciaux pour la prospérité économique.
Un autre aspect fondamental pour la réforme réside dans l’amélioration des infrastructures. Investir dans les infrastructures publiques non seulement dynamiserait l’économie mais favoriserait également l’accès aux services essentiels. Ceci pourrait aller de la modernisation des réseaux de transport à l’amélioration des systèmes énergétiques. Ces investissements, à long terme, réduiraient les coûts opérationnels et augmenteraient la compétitivité d’Israël sur la scène mondiale.
De plus, il est primordial d’instaurer des politiques sociales inclusives. La fracture économique entre différents groupes socio-économiques peut être atténuée par des programmes d’éducation et de formation professionnelle, permettant à un plus grand nombre d’individus d’accéder aux opportunités économiques. Cela renforcerait le capital humain du pays, essentiel pour toute stratégie de croissance durable.
Enfin, il serait bénéfique d’encourager des initiatives de développement durable. Les investissements dans les énergies renouvelables et les technologies vertes non seulement répondent aux défis environnementaux, mais peuvent également créer des emplois et stimuler le secteur économique. En intégrant ces divers éléments dans une stratégie cohérente, Israël pourrait non seulement remédier aux défis économiques actuels, mais également jeter les bases d’une croissance future durable et inclusive.
Conclusion
Les dégâts économiques infligés par Israël à son propre pays revêtent une complexité qui mérite une attention approfondie. Tout au long de cet article, nous avons exploré divers aspects de cette problématique, notamment les impacts des politiques internes, les effets des conflits prolongés, et les implications des tensions géopolitiques sur l’économie nationale. Ces éléments combinés ont engendré des conséquences néfastes qui affectent non seulement la croissance économique mais aussi la cohésion sociale de l’État.
Il est crucial de reconnaître que les coûts engendrés par ces décisions ne se limitent pas à des chiffres sur un tableau économique. Les retombées de l’instabilité, l’exode des talents et des investissements, ainsi que l’augmentation des dépenses militaires, ont tous contribué à miner la prospérité économique potentielle d’Israël. Par conséquent, cet enjeu de santé économique doit être une priorité hautement considérée par les décideurs politiques israéliens.
Un changement fondamental est impératif pour rectifier cette situation. La mise en œuvre de politiques qui favorisent la paix, la coopération régionale, et le développement économique inclusif pourrait non seulement atténuer les dégâts économiques infligés par l’État à lui-même, mais aussi ouvrir de nouvelles perspectives de croissance et de bien-être pour ses citoyens. Il est temps de reconsidérer les stratégies actuelles et d’explorer des voies alternatives qui engendrent une stabilité durable. En cultivant un climat d’investissement sain et en favorisant des relations diplomatiques constructives, Israël pourrait transformer ses défis économiques en opportunités. Ce chemin vers une prospérité renouvelée est non seulement souhaitable, mais essentiel pour l’avenir du pays.
“Israel Takes Its Last Breath”
Under this headline, the Hebrew newspaper “Haaretz” was published with an article by the famous Zionist writer Ari Shavit, in which he states:
It seems that we are facing the most difficult people in history, and there is no other solution but to recognize their rights and end the occupation.
Shavit begins his article by saying:
It appears we have passed the point of no return, and it may be that “Israel” can no longer end the occupation, stop colonization, or achieve peace. It seems impossible to reform Zionism, save democracy, and divide the people of this land.
He added:
If the situation is as it is, then:
• There is no reason to live in this country.
• There is no reason to write in “Haaretz.”
• There is no reason to read “Haaretz.”
We must follow what Rogel Alpher suggested two years ago—leave the country… If “Israelism” and Jewishness are no longer a vital part of one’s identity, and if every Israeli citizen holds a foreign passport, not only technically but psychologically, then it’s over. We should say goodbye to our friends and move to San Francisco, Berlin, or Paris.
From there, from the land of new German nationalism or new American nationalism, we should calmly watch as the “State of Israel” takes its last breath.
We must take three steps back and watch the Jewish democratic state sink.
Perhaps the issue is not yet resolved.
Perhaps we have not yet passed the point of no return.
Perhaps it is still possible to end the occupation, stop colonization, reform Zionism, save democracy, and divide the land.
The writer continues:
I have pointed the finger at Netanyahu, Lieberman, and the neo-Nazis to wake them up from their Zionist delusion.
Trump, Kushner, Biden, Barack Obama, and Hillary Clinton are not the ones who will end the occupation.
The United Nations and the European Union will not stop the settlements.
The only force in the world capable of saving Israel from itself is the Israelis themselves, by creating a new political language that recognizes reality and the fact that Palestinians are rooted in this land.
I urge you to seek a third way to survive here and not perish.
The writer from Haaretz confirms:
Since the Israelis arrived in Palestine, they have realized that they are the result of a lie created by the Zionist movement, which used all sorts of deception regarding Jewish identity throughout history.
By exploiting and exaggerating what Hitler called the Holocaust, the movement succeeded in convincing the world that Palestine is the “Promised Land” and that the so-called Temple lies beneath the Al-Aqsa Mosque. Thus, the wolf was turned into a lamb, which was nurtured by American and European taxpayer money until it grew into a nuclear monster.
The writer sought help from Western and Jewish archaeologists, the most famous being Israel Finkelstein from Tel Aviv University, who confirmed that “the Temple is a lie and a fairy tale that does not exist,” and all excavations have proven that it disappeared thousands of years ago. This has been explicitly confirmed in many Jewish references, and numerous Western archaeologists have corroborated this.
The last of these was in 1968 AD, when the British archaeologist Dr. Kathleen Kenyon, while she was the director of excavations at the British School of Archaeology in Jerusalem, carried out excavations in Jerusalem and was expelled from Palestine due to her revelation of “Israeli myths about the existence of traces of Solomon’s Temple beneath the Al-Aqsa Mosque.”
She concluded that there is no trace of Solomon’s Temple and discovered that what the Israelis call “Solomon’s Stables” has nothing to do with Solomon or stables but is an architectural model of palaces commonly built in various parts of Palestine. This is despite the fact that Kathleen Kenyon came from the Palestine Exploration Fund Society, with the purpose of clarifying the narratives in the Bible, as she showed great activity in Britain in the mid-19th century concerning the history of the “Near East.”
The Jewish writer emphasized that:
The curse of lies is what haunts the Israelis, and day after day it strikes them in the face in the form of a knife in the hand of a Jerusalemite, Hebronite, or Nabulsi, or with a stone or from a bus driver from Jaffa, Haifa, or Acre.
The Israelis realize they have no future in Palestine; this is not a land without a people as they falsely claimed. Another writer acknowledges not just the existence of the Palestinian people but rather their superiority over the Israelis. This is Gideon Levy, the leftist Zionist, who says:
It seems that the Palestinians are of a different nature from the rest of humanity… We occupied their land and treated their youth with drugs, prostitution, and depravity. We said that after a few years, they would forget their homeland and land, and then the younger generation would erupt in the 1987 Intifada.
We imprisoned them.
We said, “We will raise them in prison.” Years later, after thinking they had learned their lesson, they returned to us with the armed uprising in 2000, which consumed everything green and dry.
We said we would demolish their houses.
We besieged them for many years, and then they extracted missiles and managed to attack us despite the siege and destruction.
We started planning the separation wall and barbed wire… yet they came to us from underground and through tunnels, inflicting heavy losses on us.
During the last war, we fought them with all our might, yet they took control of the Israeli satellite (Amos)? They spread terror in every Israeli home by broadcasting threats and warnings, as happened when their youth managed to seize control of Israel’s Channel 2.
Ultimately, as the author says:
It seems that we are dealing with the most difficult people in history, and there is no other solution for them but to recognize their rights and end the occupation.
The title of the article:
“Israel Takes Its Last Breath”
Writer:
Ari Shavit
Source:
Hebrew newspaper Haaretz
Please spread this article as widely as possible, as it is full of historical facts and written by a writer from the occupying state. Let the leaders of the occupation and politicians know that normalization does not create peace; restoring rights to their rightful owners is what creates peace.
« Israël rend son dernier souffle »
Sous ce titre, le journal hébreu « Haaretz » a publié un article du célèbre écrivain sioniste Ari Shavit, dans lequel il déclare :
Il semble que nous soyons confrontés aux peuples les plus difficiles de l’histoire et qu’il n’y a pas d’autre solution que de reconnaître leurs droits et de mettre fin à l’occupation.
Shavit commence son article en disant :
Il semble que nous ayons dépassé le point de non-retour, et il se pourrait qu’« Israël » ne puisse plus mettre fin à l’occupation, arrêter la colonisation ou parvenir à la paix. Il semble impossible de réformer le sionisme, de sauver la démocratie et de diviser la population de ce pays.
Il a ajouté :
Si la situation est telle qu’elle est, alors :
- Il n’y a aucune raison de vivre dans ce pays.
- Il n’y a aucune raison d’écrire dans « Haaretz ».
- Il n’y a aucune raison de lire « Haaretz ».
Nous devons suivre ce que Rogel Alpher a suggéré il y a deux ans : quitter le pays… Si « l’israélisme » et la judéité ne sont plus une partie vitale de l’identité de chacun, et si chaque citoyen israélien détient un passeport étranger, non seulement techniquement mais psychologiquement, alors c’est fini. . Nous devrions dire au revoir à nos amis et déménager à San Francisco, Berlin ou Paris.
De là, depuis le pays du nouveau nationalisme allemand ou du nouveau nationalisme américain, nous devrions observer sereinement « l’État d’Israël » rendre son dernier souffle.
Nous devons prendre trois pas en arrière et regarder l’État démocratique juif sombrer.
Peut-être que le problème n’est pas encore résolu.
Peut-être n’avons-nous pas encore dépassé le point de non-retour.
Peut-être est-il encore possible de mettre fin à l’occupation, d’arrêter la colonisation, de réformer le sionisme, de sauver la démocratie et de diviser la terre.
L’écrivain poursuit :
J’ai pointé du doigt Netanyahu, Lieberman et les néo-nazis pour les réveiller de leur illusion sioniste.
Trump, Kushner, Biden, Barack Obama et Hillary Clinton ne sont pas ceux qui mettront fin à l’occupation.
Les Nations Unies et l’Union européenne n’arrêteront pas les colonies.
La seule force au monde capable de sauver Israël de lui-même, ce sont les Israéliens eux-mêmes, en créant un nouveau langage politique qui reconnaît la réalité et le fait que les Palestiniens sont enracinés dans cette terre.
Je vous exhorte à chercher une troisième voie pour survivre ici et ne pas périr.
L’écrivain de Haaretz confirme :
Depuis que les Israéliens sont arrivés en Palestine, ils ont réalisé qu’ils étaient le résultat d’un mensonge créé par le mouvement sioniste, qui a utilisé toutes sortes de tromperies concernant l’identité juive tout au long de l’histoire.
En exploitant et en exagérant ce qu’Hitler appelait l’Holocauste, le mouvement a réussi à convaincre le monde que la Palestine est la « Terre promise » et que le soi-disant Temple se trouve sous la mosquée Al-Aqsa. Ainsi, le loup a été transformé en agneau, qui a été nourri par l’argent des contribuables américains et européens jusqu’à devenir un monstre nucléaire.
L’écrivain a demandé l’aide d’archéologues occidentaux et juifs, le plus célèbre étant Israel Finkelstein de l’Université de Tel Aviv, qui a confirmé que « le Temple est un mensonge et un conte de fées qui n’existe pas », et toutes les fouilles ont prouvé qu’il a disparu des milliers de fois. il y a des années. Cela a été explicitement confirmé dans de nombreuses références juives, et de nombreux archéologues occidentaux l’ont corroboré.
La dernière d’entre elles a eu lieu en 1968 après JC, lorsque l’archéologue britannique Kathleen Kenyon, alors qu’elle était directrice des fouilles à la British School of Archaeology de Jérusalem, a effectué des fouilles à Jérusalem et a été expulsée de Palestine en raison de sa révélation de « Mythes israéliens sur l’existence de traces du Temple de Salomon sous la mosquée Al-Aqsa.»
Elle a conclu qu’il n’y avait aucune trace du Temple de Salomon et a découvert que ce que les Israéliens appellent « les écuries de Salomon » n’a rien à voir avec Salomon ou les écuries mais est un modèle architectural de palais couramment construits dans diverses régions de Palestine. Ceci malgré le fait que Kathleen Kenyon est venue de la Palestine Exploration Fund Society, dans le but de clarifier les récits de la Bible, car elle a montré une grande activité en Grande-Bretagne au milieu du XIXe siècle concernant l’histoire du « Proche-Orient ».
L’écrivain juif a souligné que :
La malédiction du mensonge hante les Israéliens et, jour après jour, elle les frappe au visage sous la forme d’un couteau dans la main d’un Jérusalemite, d’un Hébronite ou d’un Nabulsi, ou d’une pierre ou d’un chauffeur de bus de Jaffa, Haïfa ou Acre.
Les Israéliens réalisent qu’ils n’ont pas d’avenir en Palestine ; ce n’est pas une terre sans peuple comme ils le prétendaient faussement. Un autre auteur reconnaît non seulement l’existence du peuple palestinien mais plutôt sa supériorité sur les Israéliens. C’est Gideon Levy, le sioniste de gauche, qui dit :
Il semble que les Palestiniens soient d’une nature différente du reste de l’humanité… Nous avons occupé leur terre et traité leur jeunesse avec la drogue, la prostitution et la dépravation. Nous avons dit qu’après quelques années, ils oublieraient leur patrie et leurs terres, et qu’ensuite la jeune génération éclaterait dans l’Intifada de 1987.
Nous les avons emprisonnés.
Nous avons dit : « Nous les élèverons en prison. » Des années plus tard, après avoir pensé qu’ils