🗣️ @J_Bardella refuse de répondre à @AlainMarschall: "Mais vous vous présentez comme Premier ministre ou président ?"
— Les Grandes Gueules (@GG_RMC) October 29, 2025
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Miné par une impopularité record, Emmanuel Macron ferait face à une défiance au sein même de son gouvernement, à en croire des déclarations ébruitées ce 3 novembre par Le Parisien de ministres lassés de ses interventions. Lire aussi «On ne fait pas de réunion avec le RN» : la gauche boycotte la réunion avec le gouvernement sur le budget Emmanuel Macron serait-il isolé au sein même de l’exécutif français ? C’est ce que laisse supposer un article du Parisien, publié ce 3 novembre, qui se demande si Macron ne serait pas un président « devenu totalement hors-jeu ». Le quotidien évoque notamment le « débat » que le président français entendait lancer, sur les dangers des réseaux sociaux sur la démocratie, à l’occasion d’un évènement à l’Élysée « passé sous les radars médiatiques ». Organisé le 28 octobre au palais présidentiel, celui-ci aurait ainsi été éclipsé par « une autre réunion » : celle de la commission d’investiture de Renaissance, qui a sacré Pierre-Yves Bournazel, député Horizons – parti d’Édouard Philippe –, pour briguer la mairie de Paris en 2026. « Le chef de l’État, pro-Rachida Dati, n’a pas réussi à imposer sa candidate… à son propre parti », a souligné le quotidien. Ce dernier revient également sur l’épisode de la « suspension » de la réforme des retraites. Celle-ci a été approuvée en commission à l’Assemblée nationale après la proposition de Sébastien Lecornu afin de tenter de sauver son gouvernement dans un hémicycle où le camp présidentiel n’est plus majoritaire. Le Parisien braque ainsi les projecteurs sur la séquence du 21 octobre où, depuis la Slovénie, Emmanuel Macron contredit Sébastien Lecornu affirmant qu’il n’y avait « ni abrogation, ni suspension » de la réforme des retraites, mais seulement un « décalage » d’une « échéance ». Déclaration qui avait provoqué l’ire de l’opposition. « Quelques heures plus tard, à l’Assemblée, son Premier ministre confirmait la “suspension” », relate Le Parisien concernant ce président doublement « contredit » par son propre camp. Auprès du quotidien, les déclarations (anonymes) de ministres sont sans ménagement à l’égard du chef de l’État français. « Il a fait un choix de recroquevillement qui signe la fin du macronisme », a notamment lancé l’un d’eux. Ce dernier estime toutefois que Macron « n’est pas hors-jeu […]. C’est juste qu’il ne peut plus jouer, car personne ne veut qu’il rentre sur le terrain, au risque de se faire siffler ». La popularité de Macron au fond des sondages « Sur la politique nationale, je lâche le manche», leur aurait d’ailleurs promis Emmanuel Macron. « Enfin, répliquent en chœur ses ministres. “Pour nous, c’est mieux qu’il se taise. Pourquoi est-il venu contredire Lecornu ? Il veut quoi ? Une censure et une dissolution ?” s’emporte l’un d’entre eux », peut-on encore lire. De son côté, le président français serait « conscient que sa parole parasite l’action de son gouvernement », rapporte le quotidien, et « se refuse à intervenir dans les débats parlementaires » à l’exception de « certains aspects budgétaires » qui « entrent dans son pré carré ». En l’occurrence, poursuit le média, la taxation des Gafam, dossier sur lequel il « reste dans les boucles », a confié au quotidien un conseiller de l’exécutif, ainsi que les Armées, rare ministère dont le budget devrait sensiblement progresser en 2026. Ce portrait d’Emmanuel Macron, dressé à grand renfort de déclarations ministérielles, paraît au moment où l’impopularité de l’actuel président français flirte avec celle de son prédécesseur François Hollande. Selon le baromètre Verian pour Le Figaro Magazine, publié le 30 octobre, la « cote de confiance » d’Emmanuel Macron s’est effondrée à 11 %, « soit un niveau qu’il n’avait jamais atteint » avec cinq points de perdu en l’espace d’un mois. « Nicolas Sarkozy n’était jamais tombé sous la barre des 20 % », a souligné à ce sujet Le Parisien. Une impopularité dont, visiblement, se contenterait le président français. « En privé », relate le média, « Emmanuel Macron fait régulièrement remarquer que d’autres dirigeants européens, pourtant installés plus récemment, dévissent aussi dans leurs pays, à l’image
Introduction : La Conjoncture Politique Actuelle
La situation politique en France, en ce début de millénaire, se caractérise par un profond malaise social et une montée de l’impopularité d’Emmanuel Macron. Ce dernier, président de la République depuis 2017, se trouve confronté à un environnement chaotique au sein de son propre gouvernement et à l’extérieur. Les sondages démontrent que sa cote de popularité a atteint des niveaux historiquement bas, soulevant des questions sur la gouvernance et la direction politique à suivre.
Au cours de son mandat, Macron a pris des décisions controversées, telles que la réforme des retraites et les mesures d’austérité, qui ont heurté nombre de citoyens français. Ces réformes, bien qu’ambitieuses d’un point de vue économique, ont provoqué des vagues de mécontentement qui s’expriment par des mouvements sociaux et des manifestations. Ce climat de méfiance n’a fait qu’aggraver la distance entre le chef de l’État et une grande partie de la population, ainsi que certains membres de son gouvernement.
Les tensions internes au gouvernement Macron sont également palpables. Des ministres expriment leurs inquiétudes quant à la direction prise par l’administration et sont de plus en plus nombreux à remettre en question les orientations politiques du président. Cette fragmentation au sein de l’équipe gouvernementale soulève des inquiétudes quant à la cohésion et à l’efficacité de l’exécutif. Les divergences d’opinion sur la gestion des crises, notamment celles liées à la sécurité et à la transition énergétique, mettent en lumière les difficultés rencontrées par Macron pour maintenir l’unité.
Face à ce tableau politique complexe, il est crucial de s’interroger sur la position d’Emmanuel Macron et les répercussions de cette crise de confiance sur l’avenir du gouvernement. La question se pose : comment le président peut-il naviguer dans ces eaux tumultueuses tout en essayant de restaurer sa légitimité et sa crédibilité auprès de la population et de ses collaborateurs ?
L’Implication Des Ministres : Témoignages Édifiants
Dans le contexte actuel du gouvernement français, des déclarations anonymes de ministres, relayées par le Parisien, fournissent un éclairage significatif sur la dynamique interne au sein du cabinet dirigé par Emmanuel Macron. Ces commentaires francs révèlent non seulement des préoccupations concernant le leadership du président, mais ils mettent également en évidence une atmosphère de tension et de distance entre le chef de l’État et ses ministres.
Les ministres interrogés ont exprimé des sentiments de désengagement et d’isolation, soulignant que la prise de décision semblait souvent concentrée entre les mains de quelques-uns, laissant peu de place à la concertation. Cette situation engendre un malaise palpable, les membres du gouvernement se sentant parfois comme des acteurs secondaires dans un théâtre dont ils n’ont pas écrit le scénario. Des termes tels que “éloignement” et “déni” reviennent fréquemment dans leurs témoignages, illustrant un sentiment généralisé que les préoccupations exprimées en conseil de ministres n’atteignent pas les oreilles de ceux qui détiennent le véritable pouvoir.
Les témoignages anonymes mettent également en lumière un manque d’encouragement à l’initiative individuelle, ce qui pourrait avoir un impact sur la capacité des ministres à mener de manière efficace leurs dossiers tout en ayant le soutien et l’approbation du président. Des membres du cabinet se sentent parfois démunis dans leur rôle, éprouvant des difficultés à articuler leurs propositions et à les faire valoir sur l’échiquier politique. La recherche d’un leadership plus inclusif émerge comme une solution potentielle pour remédier à cette situation, permettant à Emmanuel Macron de regagner la confiance et l’implication de ses ministres. Une redéfinition des rôles et un engagement à favoriser un dialogue ouvert pourraient ainsi renforcer le sentiment d’appartenance à une équipe unie.
Le Débat Sur Les Réseaux Sociaux : Une Initiative Éclipsée
Dans un contexte politique en constante évolution, le président Emmanuel Macron a lancé un débat crucial sur l’impact des réseaux sociaux sur la démocratie. Cette initiative visait à engager une réflexion collective sur les implications de ces plateformes numériques dans le paysage politique et social contemporains. L’objectif principal de ce débat était d’encourager une prise de conscience des défis posés par la désinformation, le harcèlement en ligne, et la manipulation des opinions publiques à travers ces outils. Cependant, malgré l’importance de cette discussion, l’initiative semble avoir été éclipsée par des tensions internes au sein de son propre gouvernement.
Les réseaux sociaux, en tant qu’outils de communication modernes, jouent un rôle significatif dans la manière dont les politiques sont perçues et discutées. Macron, en mettant en avant ce sujet, entendait non seulement sensibiliser le public mais également établir une ligne directrice en matière de régulation des contenus en ligne. Pourtant, alors que le débat se mettait en place, des controverses internes au sein de son parti ont pris le dessus, détournant l’attention des enjeux soulevés. Les conflits entre les différentes factions politiques et les critiques concernant la gestion interne du parti ont attiré l’attention des médias et du public, reléguant ainsi le débat sur les réseaux sociaux à l’arrière-plan.
Ce phénomène illustre une perte d’influence de la présidence et une difficulté à maintenir une cohérence dans l’agenda politique. La nécessité de traiter des questions fondamentales pour la démocratie n’a pas pu se concrétiser comme prévu, révélant des fractures au sein du gouvernement puis se heurtant à des préoccupations plus immédiates. En somme, cette situation met en lumière non seulement l’importance de l’impact des réseaux sociaux, mais également les défis que rencontre Emmanuel Macron pour fédérer son équipe autour d’initiatives tournées vers l’avenir.
La Réforme Des Retraites : Un Épisode Marquant De Discorde
La réforme des retraites en France constitue un moment charnière qui a révélé des tensions notables au sein du gouvernement d’Emmanuel Macron. Dans ce contexte, la décision de ‘suspendre’ cette réforme a suscité des réactions variées, mettant en lumière les divergences entre la vision du Président et celle de son Premier ministre, Sébastien Lecornu. Alors que Macron mettait l’accent sur la nécessité d’une réforme structurelle pour pérenniser le système des retraites, Lecornu, d’autre part, a exprimé sa volonté de prendre le temps d’écouter les préoccupations de la population, invoquant un besoin d’apaisement social.
Ce contraste entre leur discours soulève des questions sur la cohérence de l’exécutif. D’un côté, Macron, qui a souvent promu une approche pragmatiste et audacieuse dans l’agenda de la réforme des retraites, se retrouve en désaccord apparent avec un Premier ministre plus enclin à renvoyer la mise en œuvre des changements à plus tard. Cette dissonance a alimenté des rumeurs d’une possible crise de leadership au sein du gouvernement, alors même que la crédibilité de l’exécutif était déjà mise à mal par un climat social tendu.
Par ailleurs, ce phénomène ne se limite pas à un simple décalage d’opinions. Il questionne aussi l’engagement du gouvernement à mettre en œuvre des réformes nécessaires et sa capacité à représenter et à répondre aux attentes d’un électorat de plus en plus méfiant. Les répercussions de cette discordance peuvent potentiellement compromettre la confiance du public envers les institutions, freinant ainsi la mise en œuvre d’autres réformes cruciales nécessaires à la bonne marche du pays. Si cette situation n’est pas résolue rapidement et efficacement, elle pourrait avoir des conséquences durables sur l’image et la légitimité de l’exécutif dans son ensemble.
Les Réactions de l’Opposition : Une Montée en Puissance
Depuis l’élection d’Emmanuel Macron, l’opposition politique en France a évolué de manière significative, particulièrement à la suite de ses annonces parfois contradictoires concernant des enjeux cruciaux tels que la réforme des retraites. Ces tensions, exacerbées par des désaccords sur d’autres politiques publiques, ont conduit à une montée en puissance des voix critiques, qui trouvent en ces contradictions des occasions de contester l’autorité présidentielle.
Les récentes déclarations et changements de cap de Macron ont provoqué un climat d’incertitude au sein de l’électorat. Par exemple, alors que le président avait promis des réformes indispensables pour l’équilibre des finances publiques, ses revirements sur certains aspects de ces réformes ont été perçus par l’opposition comme un manque de cohérence. Les partis d’opposition, qu’ils soient de gauche ou de droite, n’ont pas manqué de souligner ce fossé entre les promesses et les actes. Ces critiques ont entraîné des mobilisations accrues au sein des ligues politiques, où les leaders cherchent à s’affirmer comme les véritables défenseurs des préoccupations des citoyens.
La montée en puissance de l’opposition ne se limite pas à des simples débats parlementaires. Elle se matérialise aussi par des manifestations de rue, où divers groupes expriment leur insatisfaction face à la gestion actuelle des affaires publiques. Les syndicats, par exemple, ont intensifié leurs actions pour dénoncer ce qu’ils considèrent comme des politiques inadaptées aux réalités économiques des Français. En outre, les médias jouent un rôle clé dans cette dynamique, amplifiant les voix discordantes qui mettent en avant les échecs présumés du gouvernement et interpellent le président sur la nécessité d’une gouvernance plus inclusive.
Dans ce contexte, la croissance des tensions politiques renforce l’isolement apparent d’Emmanuel Macron au sein de son propre gouvernement. Sa capacité à rassembler autour de ses projets semble de plus en plus compromise, laissée à l’épreuve par un paysage politique en constante évolution.
La Popularité de Macron : Vers Une Nouvelle Crise de Confiance ?
La popularité d’Emmanuel Macron a connu une chute significative au cours des derniers mois, suscitant des inquiétudes quant à la solidité de son mandat et l’avenir de son gouvernement. Les dernières enquêtes de popularité révèlent un climat de méfiance grandissant parmi les citoyens français, un état de fait qui rappelle les difficultés rencontrées par ses prédécesseurs à des moments similaires de leur présidence. Cette baisse de la confiance ne peut être ignorée, car elle pourrait annoncer une nouvelle crise politique au sein de l’exécutif.
Il est essentiel de comprendre que, selon plusieurs sondages, un nombre croissant de Français exprime des réserves sur la capacité de Macron à mener à bien ses réformes. Par exemple, des thèmes tels que la gestion de la crise sanitaire, la relance économique et les tensions sociales à travers le pays ont été mis en avant comme des points de friction. Autant de facteurs qui contribuent à cette perception négative et mettent en lumière la fragilité de sa popularité. Dans ce contexte, la dynamique politique se transforme, car les électeurs attendent des réponses tangibles face aux défis actuels.
Comparé à ses prédécesseurs, Macron se trouve dans une position délicate. La isole présidence française est généralement soumise à des vagues de popularité fluctuantes, mais la rapidité et l’ampleur actuelle de cette chute pourraient présager des difficultés à long terme. D’une part, la conjoncture internationale, marquée par des crises géopolitiques et économiques, complique encore plus son mandat. D’autre part, les attentes des citoyens, notamment en matière de justice sociale et de réformes structurelles, semblent croître, rendant ainsi la situation plus précaire. La nature même de la démocratie française incite les responsables politiques à rester attentifs à l’évolution de l’opinion publique, car celle-ci peut rapidement influencer les décisions politiques et stratégiques.
La Communication de Macron : Échecs et Dilemmes
La communication est un élément clé dans la gouvernance, et Emmanuel Macron a souvent été confronté à des défis importants dans ce domaine. Sa stratégie de communication, qui se veut moderne et directe, a cependant rencontré plusieurs échecs qui ont conduit à un sentiment d’isolement au sein de son gouvernement. Au départ, Macron a cherché à établir une image d’un président accessible, utilisant les réseaux sociaux pour interagir avec le public. Toutefois, cette approche a parfois été perçue comme inauthentique, entraînant une défiance croissante parmi les citoyens et les membres de son propre cabinet.
Un des principaux dilemmes auxquels il a été confronté est l’équilibre à maintenir entre la communication avec les médias et l’écoute des préoccupations des citoyens. Les réformes controversées, notamment celles relatives aux retraites et à la fiscalité, ont été accompagnées d’annonces précipitées, souvent peu expliquées et mal contextualisées. Les messages mal articulés ont alimenté la confusion et le ressentiment, rendant difficile la mise en place d’un dialogue constructif tant avec le public qu’avec ses collaborateurs. La communication de Macron n’a pas seulement manqué de clarté, elle a également souffert d’un manque de réactivité face aux vives critiques.
De plus, la personnalité du président a pu accentuer cet isolement. Macron, souvent décrit comme un leader technocratique, a parfois donné l’impression de dédaigner les opinions divergentes, ce qui a exacerbé le sentiment d’éloignement entre lui et ses ministres. Cette dynamique a mené à une situation où des voix au sein de son gouvernement se sont fait plus discrètes, faisant naître une adversité silencieuse. En somme, la manière dont Macron gère la communication et les interactions avec son cabinet et le public semble avoir joué un rôle déterminant dans la perception de son leadership et, par conséquent, dans son isolement grandissant.
Les Conséquences Sur La Politique Nationale : Quel Avenir ?
L’isolement d’Emmanuel Macron au sein de son gouvernement soulève des questions importantes sur l’avenir de la politique nationale en France. Il est essentiel d’examiner les implications que cela pourrait avoir sur la capacité de l’exécutif à faire avancer ses agendas législatifs, notamment dans un contexte où la cohésion au sein du gouvernement est cruciale. L’absence de soutien solide pour les initiatives présidentielles pourrait déboucher sur des blocages législatifs significatifs, mettant en péril la mise en œuvre de réformes jugées nécessaires.
La polarisation croissante au sein de l’administration risque d’entraver non seulement la discussion constructive, mais également les compromis indispensables pour le progrès législatif. En effet, la nécessité d’une direction unie est d’une importance capitale, particulièrement dans un paysage politique où les opinions diverges. Si le président ne parvient pas à galvaniser le soutien de ses ministres et à maintenir une vision collective, cela pourrait mener à une paralysie des politiques publiques. Une telle situation nuirait non seulement à la réputation de Macron, mais également à la crédibilité du gouvernement à long terme.
De plus, l’isolement du président pourrait encourager un affaiblissement de la confiance entre les différents acteurs de la politique nationale. Les désaccords internes pourraient créer un environnement où les jeunes parlementaires hésitent à s’engager pleinement dans des initiatives gouvernementales, craignant que leurs efforts ne soient vains. Cela soulève la question de la capacité de l’ancien ministre à rassembler autour de lui une équipe fidèle et déterminée à réaliser le programme électoral. Par conséquent, le devenir de la gouvernance de Macron pourrait dépendre largement de sa capacité à surmonter cet isolement, à renforcer les liens et à établir une direction commune, ou à voir émerger un avenir politique incertain et fragmenté pour la France.
Conclusion : Un Président à la Croisée des Chemins
Emmanuel Macron, dans le contexte de son mandat présidentiel, se trouve à un carrefour délicat. Les différents défis auxquels il est confronté révèlent une dynamique complexe au sein de son gouvernement. Tout au long de cette analyse, nous avons examiné les tensions internes et les frictions qui semblent perturber l’harmonie de son cabinet. Les conflits d’intérêts et les divergences d’opinion sur des questions cruciales mettent en lumière les obstacles à son autorité. Le risque de devenir un président symboliquement isolé se profile, remettant en question sa capacité à mener à bien son agenda politique.
La question de la légitimité de Macron est également centrale. Son ascension au pouvoir a été marquée par une vague d’espoir et de renouveau, mais il doit maintenant naviguer dans un paysage politique de plus en plus fracturé. Les mécontentements populaires et les critiques croissantes provenant de l’opposition soulignent la nécessité d’un réajustement de sa stratégie politique. Une approche moins centralisée pourrait être essentielle pour regagner la confiance de ses pairs et celle des citoyens.
Les résultats des prochaines élections locales et régionales joueront un rôle décisif dans l’évaluation de la position de Macron. Sa capacité à rallyer et à consolider les soutiens au sein de son propre parti, ainsi qu’auprès des alliés, pourrait déterminer s’il parviendra à maintenir son influence sur la scène politique française. À la lumière des défis qui se présentent à lui, un président à la croisée des chemins doit faire des choix cruciaux pour éviter de devenir un acteur marginal dans le paysage politique contemporain.


![De son mandat, il ne fait qu’encaisser son chèque et le reste du temps, il passe de plateaux de TV en plateau TV, de Unes de magazines, à bonnes paroles bien relayées dans la presse torchon et enfin, sur les stations de radio ou sa parole, toujours la même porte. Le parti macroniste du gouvernement pousse à la roue pour que ce foutriquet soit entendu et vu partout ainsi que sa tatie Marine, ce qui permet à force de nombreux bis repetita, célèbre aphorisme inspiré par l'Art poétique d'Horace, dans lequel le poète déclare que telle œuvre ne plaira qu'une fois, tandis que telle autre répétée dix fois plaira toujours ; et nous subissons cet assommoir bouffon, d’extrême droite contre Macron, ce depuis 2017. « Génération Bardella ? » Il a réussi la prouesse d’être adoubé par le clan Le Pen sans en être issu, même si à un moment il a été en couple avec une fille de Marie-Caroline Le Pen, la sœur aînée de Marine. C’est un cadre du Front national de Seine-Saint-Denis qui l’a repéré en 2012, alors qu’il venait d’avoir seize ans. « Jordan se portait volontaire. Il collait les affiches. Il avait le sens de l’organisation. » Son physique avantageux, pour ceux qui aiment ce genre de latin lover de supermarché aux cheveux gominés ; il est télégénique et débite calmement ses punch lines apprises par cœur lors de ses trainings en communication. Il sait montrer sa fiole lors des séances de selfies, qui de nos jours ont remplacé la corvée des serrages de mains. Pour le RN, il fallait un homme jeune qui brille aux côtés de Marine Le Pen sans lui faire trop d’ombre. C’est le casting parfait qui va permettre de vendre des frigos à des esquimaux. Son fonds de commerce, qu’est-ce donc ? Pour les Européennes, sa plateforme est : « Un vote pour l’identité de la France contre la submersion migratoire ! » À l'entendre, ce sont les Arabes qui seraient de retour à Poitiers après le 25 octobre 732, et lui, le Jordan, serait Charles Martel boutant les Sarrasins hors de la France catholique et éternelle. Pourtant, « en même temps », il confit d’un air pénétré que « ce pays que j’aime qui a accueilli ma famille d’Italie dans les années 60… » Comme son modèle Macron, il n’est pas à une contradiction près, ou doit-on comprendre que LUI et les siens étaient de la bonne immigration et que, certaines autres, seraient quelque peu faisandées ? Ne pensez pas une seconde qu’il y ait une forme de racisme dans ces belles paroles ; d’ailleurs le RN s’est amendé depuis, et les foucades de le Pen père sont de vieilles histoires, et puis l’antisémitisme est bien révolu, d’ailleurs, il n'y a pas plus grands supporters que ceux à la tête du parti pour soutenir Israël et Netanyahou. Son électorat : Avec plus d'un million d'adeptes sur TikTok, Jordan Bardella est le troisième politique français le plus suivi sur la plateforme, ce qui souligne sa popularité auprès des jeunes D’ailleurs ces djeunes ne disent-ils pas qu’ils se reconnaissent en lui.[ii] Et le fait qu’ils se reconnaissent en lui, fait que lui doit avoir un peu d’eux… Car vu la dégringolade du niveau culturel, éducationnel et éthique, nous sommes plus dans le choix d’un casting de TV réalité, que dans les pas d’un homme politique à perspectives et projections. Cela nous promet un avenir radieux ! Il y a aussi, les plus âgés et les vieux. Ceux-là votent « Front » depuis plus de 40 ans sans remettre en cause quoi que ce soit : meilleure que la fidélité d’un berger allemand. Bardella ? Ils le trouvent jeune (je ne savais pas que c’était un +), beau comme gendre, charismatique et convaincant. Quant au fond ? Se dire que le clan le Pen est de ce qu’il y a de plus bourgeois et que ces braves supporters trouvent que la clan comprend le peuple, les petites gens, reviendrait à dire que les le Pen, font asseoir la bonne à table avec eux pour diner… Ils/elles voient en lui, un messie, qui ne joue pas au foot, mais plutôt un gymnase au dos souple exécutant des sauts carpés prouvant qu’il sait contrôler et dans les airs et dans les bas. Il a aussi construit l’image du p’tit gars qui s’est fait tout seul malgré une enfance dans un milieu modeste dans le 93 et patati-tata… Zola sort de ce corps ! De son siège au Parlement, en ne venant presque jamais, l’archange promet de tout tournebouler et faire que le peuple de France retrouve son indépendance, sa liberté-fraternité et son steak frite… Sauf que Bardella et Marine, ne votent jamais dans le sens des intérêts de leurs Zélecteurs : contre l’augmentation du SMIC, contre l’indexation des salaires sur l’inflation et contre le gel des loyers. Additionnez des scandales financiers, des pots-de-vin et autres entourloupes, et vous voterez pour… Quelqu’un qui ne vous ressemble en rien, qui pense carrière, qui surfe sur la vague, sachant qu’il est supporté à 100% par les médias en vue de 2027. On peut déjà dire que les carottes sont cuites et les navets au frais. Quant au « débat », Bardella, Attal… Résumons par deux boutades : Que font une carotte et un petit pois qui se battent ? Un bon duel ! Qu'est-ce qu'un débat entre 2 vaut-rien ? Un combat inter-minables.](https://mfvnnews.com/wp-content/uploads/2024/06/445776932_1001435215319977_6458190867652652923_n.jpg)
« Génération Bardella ? » Il a réussi la prouesse d’être adoubé par le clan Le Pen sans en être issu, même si à un moment il a été en couple avec une fille de Marie-Caroline Le Pen, la sœur aînée de Marine. C’est un cadre du Front national de Seine-Saint-Denis qui l’a repéré en 2012, alors qu’il venait d’avoir seize ans. « Jordan se portait volontaire. Il collait les affiches. Il avait le sens de l’organisation. » Son physique avantageux, pour ceux qui aiment ce genre de latin lover de supermarché aux cheveux gominés ; il est télégénique et débite calmement ses punch lines apprises par cœur lors de ses trainings en communication. Il sait montrer sa fiole lors des séances de selfies, qui de nos jours ont remplacé la corvée des serrages de mains. Pour le RN, il fallait un homme jeune qui brille aux côtés de Marine Le Pen sans lui faire trop d’ombre. C’est le casting parfait qui va permettre de vendre des frigos à des esquimaux.
Son fonds de commerce, qu’est-ce donc ? Pour les Européennes, sa plateforme est : « Un vote pour l’identité de la France contre la submersion migratoire ! » À l’entendre, ce sont les Arabes qui seraient de retour à Poitiers après le 25 octobre 732, et lui, le Jordan, serait Charles Martel boutant les Sarrasins hors de la France catholique et éternelle. Pourtant, « en même temps », il confit d’un air pénétré que « ce pays que j’aime qui a accueilli ma famille d’Italie dans les années 60… » Comme son modèle Macron, il n’est pas à une contradiction près, ou doit-on comprendre que LUI et les siens étaient de la bonne immigration et que, certaines autres, seraient quelque peu faisandées ? Ne pensez pas une seconde qu’il y ait une forme de racisme dans ces belles paroles ; d’ailleurs le RN s’est amendé depuis, et les foucades de le Pen père sont de vieilles histoires, et puis l’antisémitisme est bien révolu, d’ailleurs, il n’y a pas plus grands supporters que ceux à la tête du parti pour soutenir Israël et Netanyahou.
Son électorat : Avec plus d’un million d’adeptes sur TikTok, Jordan Bardella est le troisième politique français le plus suivi sur la plateforme, ce qui souligne sa popularité auprès des jeunes D’ailleurs ces djeunes ne disent-ils pas qu’ils se reconnaissent en lui.[ii] Et le fait qu’ils se reconnaissent en lui, fait que lui doit avoir un peu d’eux… Car vu la dégringolade du niveau culturel, éducationnel et éthique, nous sommes plus dans le choix d’un casting de TV réalité, que dans les pas d’un homme politique à perspectives et projections. Cela nous promet un avenir radieux ! Il y a aussi, les plus âgés et les vieux. Ceux-là votent « Front » depuis plus de 40 ans sans remettre en cause quoi que ce soit : meilleure que la fidélité d’un berger allemand. Bardella ? Ils le trouvent jeune (je ne savais pas que c’était un +), beau comme gendre, charismatique et convaincant. Quant au fond ? Se dire que le clan le Pen est de ce qu’il y a de plus bourgeois et que ces braves supporters trouvent que la clan comprend le peuple, les petites gens, reviendrait à dire que les le Pen, font asseoir la bonne à table avec eux pour diner… Ils/elles voient en lui, un messie, qui ne joue pas au foot, mais plutôt un gymnase au dos souple exécutant des sauts carpés prouvant qu’il sait contrôler et dans les airs et dans les bas. Il a aussi construit l’image du p’tit gars qui s’est fait tout seul malgré une enfance dans un milieu modeste dans le 93 et patati-tata… Zola sort de ce corps ! De son siège au Parlement, en ne venant presque jamais, l’archange promet de tout tournebouler et faire que le peuple de France retrouve son indépendance, sa liberté-fraternité et son steak frite… Sauf que Bardella et Marine, ne votent jamais dans le sens des intérêts de leurs Zélecteurs : contre l’augmentation du SMIC, contre l’indexation des salaires sur l’inflation et contre le gel des loyers. Additionnez des scandales financiers, des pots-de-vin et autres entourloupes, et vous voterez pour… Quelqu’un qui ne vous ressemble en rien, qui pense carrière, qui surfe sur la vague, sachant qu’il est supporté à 100% par les médias en vue de 2027. On peut déjà dire que les carottes sont cuites et les navets au frais.
Quant au « débat », Bardella, Attal… Résumons par deux boutades :
Que font une carotte et un petit pois qui se battent ? Un bon duel !
Qu’est-ce qu’un débat entre 2 vaut-rien ? Un combat inter-minables.



Après un baccalauréat économique et social (ES) obtenu avec la mention très bien14, il étudie en licence de géographie à l’université Paris-Sorbonne17. Il milite à l’Union nationale inter-universitaire (UNI), dont il dit être parti au bout de quelques mois18.
Il arrête ses études sans obtenir de diplôme, indiquant préférer se consacrer à la politique1








