Faire taire les critiques envers Israël par des menaces, la censure et le blocage de l’aide n’est pas de la démocratie, c’est du fascisme sous couvert de loyauté envers l’étranger. Les Américains doivent se réveiller et reconquérir leur souveraineté.
La moitié du Congrès américain se trouve désormais en Israël.
Vous souciez-vous de ce qu’elle dit ?
Candace Owens, une commentatrice conservatrice, a exprimé de vives critiques à l’égard du président Trump, affirmant qu’il avait abandonné le programme « America First » et qu’il « divorçait de ses électeurs ».
Sa critique s’articule autour de quelques points clés :
•L’engagement de Trump dans le conflit israélo-iranien : Owens a critiqué la décision de Trump d’autoriser des frappes contre l’Iran, affirmant qu’il n’y avait « aucune menace imminente » pour les États-Unis et qu’Israël dicte la politique étrangère américaine.
•La position de Trump sur la liberté d’expression :Owens a fait valoir que si les tribunaux se rangent du côté de Trump sur les questions liées à l’entrave à la liberté d’expression, cela pourrait avoir de vastes implications pour les citoyens américains.
•Déviation de ‘America First’ : Owens suggère que les récentes alliances et décisions de politique étrangère de Trump s’écartent des principes fondamentaux de ‘America First’ consistant à donner la priorité aux intérêts nationaux et à éviter les enchevêtrements étrangers.
Elle a exprimé ses regrets d’avoir soutenu Trump lors des élections de 2024, déclarant qu’elle se sentait «gênée» après avoir fait campagne pour lui. Elle oppose « l’Amérique d’abord » à « Israël d’abord » et a fait l’éloge du représentant Thomas Massie comme d’un véritable représentant des valeurs MAGA. Les déclarations d’Owens indiquent un fossé croissant au sein du mouvement conservateur concernant l’interprétation et l’application des principes de « l’Amérique d’abord ».
EXCLUSIF : Candace Owens déclare que Benjamin Netanyahu est le véritable président des États-Unis. DE PLUS, Owens répond à l’appel ouvert de l’ADL à l’arrestation des dirigeants des entreprises de médias sociaux pour avoir critiqué Israël sur leurs plateformes. Jones et Owens réagissent également à la découverte selon laquelle Mark Levin, qui siège au comité consultatif du DHS, aurait participé à la planification de la politique de la FEMA visant à retenir l’aide en cas de catastrophe aux États et aux villes qui critiquent même légèrement l’État sioniste d’Israël !
— Kev Tex (@83Tex) August 6, 2025
— mfvnnews (@mfvnnews) August 7, 2025
We are all under fire my friends. pic.twitter.com/bKYXDLBubt
— Patriot Girl (@1776Based) August 7, 2025
REPORTER: 'I've confirmed that a Palestinian who died due to a fire started by Israeli settlers in the West Bank was a US citizen. Is the State Department calling on Israel to investigate?'
— Khalissee (@Kahlissee) August 6, 2025
TAMMY BRUCE: 'It's a violent situation. There have been a few Americans who have passed… pic.twitter.com/McftH1F3V0
EXCLUSIVE: Candace Owens Says Trump Has Abandoned America First & Is Essentially Divorcing His Constitutes
— Alex Jones (@RealAlexJones) August 6, 2025
Alex Jones Holds The Position That We Shouldn't Throw The Baby Out With The Bathwater & Should Fight To Get Trump Back On Course!@RealCandaceO pic.twitter.com/SikKIjL8qm

Introduction
Dans le paysage politique contemporain, les déclarations controversées et provocatrices ne manquent pas. Récemment, Candace Owens a suscité l’attention en affirmant que Benjamin Netanyahu, le Premier ministre israélien, est en réalité le véritable président des États-Unis. Cette assertion audacieuse soulève des questions significatives concernant non seulement la dynamique des relations américano-israéliennes, mais également l’état actuel de la liberté d’expression dans le discours public.
Owens, connue pour ses opinions franches et sa défense sans réserve du conservatisme américain, a toujours été une figure clivante. Sa déclaration sur Netanyahu peut être perçue comme une critique des politiques américaines contemporaines ou comme une tentative d’attirer l’attention sur l’influence perçue d’Israël sur la politique américaine. En formulant cette opinion, Owens remet en question les véritables mécanismes du pouvoir au sein du gouvernement américain, ouvrant ainsi un débat sur les influences externes et leur impact sur les décisions nationales.
Cette idée que Netanyahu puisse être perçu comme le véritable président des États-Unis n’est pas seulement provocante, mais elle ouvre aussi la voie à une discussion plus large sur la liberté d’expression. À une époque où les voix dissidentes peuvent faire face à de vives critiques ou même à des censeurs, il est crucial d’explorer comment les déclarations comme celles d’Owens peuvent façonner le discours public et influencer l’opinion collective. Les propos de Candace Owens apportent ainsi une nouvelle dimension à la discussion politique actuelle, remettant en cause les notions établies du pouvoir et de la représentation.
Qui est Candace Owens ?
Candace Owens est une personnalité politique, commentatrice et auteur américaine, connue pour ses opinions conservatrices et son engagement dans le débat public. Née le 29 avril 1989 à Stamford, Connecticut, elle a grandi dans une famille afro-américaine. Elle a étudié à l’Université de Rhode Island, où elle a acquis une certaine notoriété en raison de ses discours provocateurs. Owens a d’abord gagné en visibilité après avoir critiqué le mouvement Black Lives Matter, un tournant qui a marqué le début de sa carrière médiatique dans les cercles conservateurs.
Au fil des années, Candace Owens a su s’imposer comme une voix influente sur des plateformes telles que Fox News et Parler. Elle est la fondatrice de l’organisation Blexit, qui encourage les Afro-Américains à quitter le Parti démocrate pour rejoindre le Parti républicain. Ses prises de position sur des sujets tels que l’identité raciale, les droits civiques et le capitalisme sont souvent controversées, mais elles lui ont valu une large base de soutien. Elle ne craint pas d’explorer des sujets délicats, notamment son soutien à Israël et sa perception de la politique américaine, où elle décris des figures comme Benjamin Netanyahu comme essentielles à la démocratie et à la liberté d’expression.
Owens défend l’idée que les États-Unis sont à un tournant critique, où la liberté d’expression est menacée par les idéologies progressistes. Elle fait partie des jeunes voix qui tentent de remodeler le récit politique américain, tout en insistant sur l’importance des valeurs conservatrices. Sa popularité découle non seulement de ses opinions audacieuses, mais également de sa capacité à articuler des arguments qui résonnent avec ses adeptes. Candace Owens représente ainsi une tendance croissante dans la société américaine, où les figures médiatiques jouent un rôle prépondérant dans le débat public.
La déclaration sur Netanyahu
Candace Owens, une figure médiatique et commentatrice conservatrice, a récemment exprimé des opinions audacieuses concernant Benjamin Netanyahu, ancien Premier ministre israélien. Lors d’un événement consacré à la liberté d’expression, elle a qualifié Netanyahu de “vrai président des États-Unis”, une affirmation qui a provoqué d’importants débats au sein du public et des médias. Ce type de déclarations n’est pas étranger à Owens, qui est connue pour ses prises de position provocatrices sur de nombreux sujets, mais celle-ci a particulièrement attiré l’attention en raison de la position délicate des relations américano-israéliennes et de la manière dont elles influencent la politique mondiale.
Sa déclaration soulève des questions importantes sur l’influence croissante des leaders étrangers sur la politique intérieure des États-Unis. Owens semble suggérer que les décisions prises par Netanyahu ont des répercussions directes sur la manière dont les États-Unis se positionnent sur la scène internationale. Cela a ravivé le débat sur le degré de solidarité entre les deux nations et le rôle de la politique étrangère dans l’identité nationale américaine. Les partisans de cette vision arguent que les États-Unis devraient soutenir silencieusement les actions de leur allié en Israël, tandis que d’autres soulignent le besoin d’une approche plus critique et indépendante, surtout en matière de droits de l’homme et de conflits territoriaux.
Les réactions à ses déclarations n’ont pas tardé à se manifester. Des commentateurs provenant d’une variété d’opinions politiques ont exprimé leur indignation ou leur soutien, illustrant ainsi la capacité d’Owens à provoquer des réactions polarisantes. Certains l’ont encore accusée de manipuler des sentiments nationalistes à des fins politiques, tandis que d’autres ont applaudi son franc-parler et sa volonté d’aborder des sujets délicats. En substance, la déclaration de Candace Owens sur Benjamin Netanyahu a non seulement mis en lumière l’indissociabilité des relations américano-israéliennes, mais elle a également ouvert un nouveau chapitre dans le débat autour de la liberté d’expression, un sujet central dans ses travaux et ses interventions publiques.
Les réactions à ses propos
Les commentaires de Candace Owens concernant Benjamin Netanyahu ont suscité un large éventail de réactions provenant de divers groupes politiques et sociaux. D’une part, des partisans de Owens ont applaudi ses déclarations comme un reflet de la réalité politique et une mise en lumière de la dynamique entre les États-Unis et Israël. Ces partisans estiment que sa position souligne les intérêts partagés entre les deux nations et renforce l’idée que des alliances stratégiques sont essentielles pour la prospérité et la sécurité globale. Ce point de vue est souvent soutenu par ceux qui considèrent Netanyahu non seulement comme un leader israélien, mais aussi comme une figure clé dans le paysage politique américain.
En revanche, les critiques de Owens ont exprimé leur indignation face à ses commentaires, qualifiant ces derniers de simplistes et de propagande. De nombreux commentateurs politiques ont dénoncé sa tendance à polariser les opinions, arguant que son approche risque de déformer les véritables enjeux de la politique internationale et de diminuer la complexité des relations entre nations. Ces critiques mettent en avant le danger d’un discours qui pourrait affecter négativement la liberté d’expression et encourager l’intolérance envers les points de vue divergents. Les médias ont également souligné que de telles déclarations peuvent exacerber les tensions entre différents groupes d’opinion, nuisant ainsi au dialogue constructif.
Dans son entourage, les réactions ont également été partagées. Certains de ses collègues et amis politiques ont choisi de la soutenir publiquement, affirmant que ses propos ouvrent une discussion nécessaire sur le rôle des États-Unis en tant que défenseurs des valeurs démocratiques. D’autres, cependant, ont exprimé des réserves, craignant que ses commentaires ne nuisent à leur image et à leur propre message. Ainsi, les réactions à ses propos sont révélatrices des divisions existantes dans le paysage politique américain et de la complexité des discussions autour de la liberté d’expression et des opinions individuelles.
L’appel de l’ADL
Le contexte de la liberté d’expression et des discours sur les réseaux sociaux a suscité des préoccupations croissantes, notamment en ce qui concerne les critiques envers des États spécifiques, tel qu’Israël. Dans ce cadre, l’Anti-Defamation League (ADL), une organisation engagée dans la lutte contre l’antisémitisme et le discours de haine, a exprimé son inquiétude par le biais d’un appel ouvert. Cette demande, adressée aux géants des médias sociaux, préconise des sanctions contre les dirigeants qui, selon l’ADL, diffament Israël ou véhiculent des discours perçus comme antisémite.
La position de l’ADL repose sur l’idée que certaines critiques à l’encontre d’Israël peuvent franchir la ligne entre la liberté d’expression et l’incitation à la haine. La frontière entre critique légitime et discours haineux est souvent floue, et l’ADL soutient qu’il est impératif que les réseaux sociaux prennent des mesures pour éviter que ces discours ne se propagent. Dans son appel, l’ADL souligne d’importantes implications sur le discours public, expliquant que la désinformation et les stéréotypes négatifs peuvent exacerber les tensions et contribuer à un climat de haine.
Il est important de noter que cette demande soulève des questions complexes relatives à la liberté d’expression. D’un côté, il est essentiel de protéger le droit d’exprimer des opinions, même si elles sont controversées; de l’autre, il convient de garantir que ces expressions ne se traduisent pas par des atteintes aux droits fondamentaux d’autrui. Par conséquent, l’appel de l’ADL vise non seulement à protéger les intérêts d’Israël, mais aussi à promouvoir un environnement sûr sur les plateformes sociales. Les réponses à cet appel varient, témoignant d’une diversité de perspectives quant à la liberté d’expression et aux responsabilités des médias sociaux dans le cadre de débats aussi sensibles.
La liberté d’expression en question
La question de la liberté d’expression est devenue d’une importance cruciale dans le cadre des débats contemporains sur la politique et la société. Dans le contexte des récentes déclarations de Candace Owens, qui a qualifié Benjamin Netanyahu de “vrai président des États-Unis”, cette question s’est intensifiée. Les critiques formulées par l’Anti-Defamation League (ADL) mettent en lumière les tensions qui existent entre la critique d’un gouvernement et les accusations d’antisémitisme. Cette complexité souligne la nécessité de naviguer avec prudence dans les discussions qui impliquent des sujets aussi sensibles.
La distinction entre la critique des politiques israéliennes et l’hostilité envers les Juifs en tant que groupe ethnique est souvent floue. Les déclarations d’Owens ont suscité un débat animé sur la limite entre l’expression libre et les propos jugés offensants. Les plateformes de médias sociaux ont également un rôle prépondérant à jouer dans ce contexte. Elles doivent établir des normes qui permettent aux utilisateurs de s’exprimer librement tout en prévenant la propagation de discours de haine.
Les implications pour la liberté d’expression dans ce cadre sont multiples. D’une part, il est essentiel de protéger ceux qui critiquent ouvertement des gouvernements, quel qu’ils soient, sans craindre des représailles ou d’être étiquetés comme antisémites. D’autre part, la montée du discours de haine sur les réseaux sociaux pose un défi majeur, rendant la régulation et la modération de contenu nécessaires pour garantir un espace sûr pour le dialogue public.
Enfin, la réponse d’Owens à l’ADL et les répercussions sur sa plateforme soulignent l’importance d’instaurer un équilibre entre la liberté d’expression et la responsabilité sociale, engageant ainsi un débat nécessaire sur les véritables significations de ces concepts dans notre société actuelle.
Le rôle des médias sociaux
Les médias sociaux jouent un rôle crucial dans la diffusion des opinions controversées, façonnant ainsi le débat public sur des sujets aussi complexes que la politique américaine et la situation en Israël. Ces plateformes permettent à un large éventail de voix de se faire entendre, favorisant un espace de discussion où les idées, qu’elles soient soutenues ou contestées, peuvent être partagées instantanément. L’absence de filtre traditionnel dans le journalisme permet à des personnalités comme Candace Owens de parvenir à un public international, propulsant des déclarations qui provoquent des réactions variées.
La capacité des médias sociaux à influencer le discours public réside également dans leur structure algorithmique, qui priorise le contenu engageant. Cela a des répercussions sur la manière dont les informations sont diffusées, souvent en mettant l’accent sur les controverses plutôt que sur les perspectives nuancées. En conséquence, les discussions deviennent parfois polarisées, avec des utilisateurs qui se regroupent autour de points de vue similaires, renforçant ainsi les chambres d’écho. La tendance à partager des opinions fortes et parfois divisives a contribué à un climat où les allégations sur la politique israélienne et l’administration américaine sont souvent présentées comme des vérités indiscutables.
En réponse à ces préoccupations, les dirigeants des médias sociaux sont confrontés à un dilemme croissant. D’une part, ils doivent protéger la liberté d’expression et permettre un débat ouvert ; d’autre part, ils doivent gérer les critiques autour de la désinformation et des discours de haine qui peuvent émerger de ces discussions. Ce défi a conduit à des modifications des politiques de contenu sur certaines plateformes, engendrant des débats sur la censure et la responsabilité. Les actions prises par ces entreprises influencent non seulement le paysage narratif des questions controversées, mais également la manière dont le public perçoit l’autorité et la véracité des informations différées.
L’impact sur la politique américaine
Les commentaires de Candace Owens, notamment concernant la perception qu’elle a de Benjamin Netanyahu, soulèvent des questions significatives sur la dynamique politique américaine contemporaine. Owens, figure influente au sein du parti républicain, a souvent mis en avant des idées qui défient les conventions établies, ce qui influence la façon dont les électeurs appréhendent les relations internationales, en particulier entre les États-Unis et Israël. Sa déclaration sur Netanyahu en tant que “vrai président des États-Unis” soulève rapidement des préoccupations sur l’identité nationale et la souveraineté, tout en renforçant les liens entre la droite américaine et les dirigeants israéliens, ce qui pourrait transformer le paysage politique.
Tout cela coïncide avec une période où l’Anti-Defamation League (ADL) appelle à un discours plus mesuré sur les questions relatives à Israël et aux Juifs. Cette dynamique crée un terrain propice à des débats polarisés sur la liberté d’expression. Les critiques potentiels des politiques israéliennes et l’aptitude à les discuter ouvertement semblent être de plus en plus restreints dans le discours public. Dans ce cadre, la réaction des élus américains face à de telles déclarations pourrait être révélatrice des futures orientations des relations États-Unis-Israël.
Les implications pour la politique intérieure sont également notables. Des partis et des individus militants peuvent considérer ces opinions comme une validation de leur propre rhétorique, ouvrant la voie à une radicalisation des discours. Cela peut également pousser certains leaders politiques à prendre parti, modifiant ainsi les alliances traditionnelles. Dans un contexte où les opinions concernant le soutien à Israël varient fortement entre les générations et les groupes démographiques, les idées avancées par Owens pourraient entraîner des fractures encore plus marquées sur ce sujet dans les décennies à venir.
Conclusion et perspectives
Au terme de notre exploration de la dynamique entre Candace Owens, Benjamin Netanyahu et la liberté d’expression, il est essentiel de revenir sur les points clés abordés. D’une part, Candace Owens a suscité beaucoup de débats sur l’influence perçue de Netanyahu dans la politique américaine, arguant que ce dernier exerce un pouvoir disproportionné sur les discours publics et politiques. Ces déclarations soulèvent la question cruciale du rôle des personnalités publiques dans la formulation de l’opinion, particulièrement en relation avec des sujets aussi sensibles que le soutien à Israël et la critique des institutions traditionnelles.
Les implications pour la liberté d’expression sont également significatives. Alors que certaines voix, comme celles d’Owens, plaident pour une libération des discours, d’autres mettent en garde contre le risque de désinformation ou de radicalisation qui peut découler d’une telle liberté sans garde-fous. Le débat sur la liberté d’expression est d’autant plus d’actualité dans un climat mondial où les discours se polarisent rapidement. La position des figures telles qu’Owens ne fait qu’accentuer ces préoccupations, en montrant comment les messages peuvent influencer les perceptions et engendrer des tensions.
À l’avenir, il sera crucial de suivre comment ces discussions évolueront, notamment à l’heure où le rôle des États-Unis dans le Moyen-Orient est soumis à un examen critique. Les implications politiques et sociales de ces échanges ne peuvent être sous-estimées. La création d’un espace où des idées diverses peuvent être débattues sans crainte de répercussions est primordiale pour maintenir une démocratie saine. En fin de compte, le discours continu sur Israël et le droit à la liberté de parole, porté par des figures publiques comme Candace Owens, sera fondamental pour définir les contours des prochaines années dans le paysage politique américain et international.
Barbara Lerner Spectre est l’une des fondatrices du Centre juif Paideia à Stockholm.
C’est le genre de personnes qui font chanter les politiciens et s’appuient sur les législateurs (comme les politiques d’immigration) pour mener à bien leurs programmes.
Ils disent ces choses comme si elles étaient absolues et n’expliquent pas pourquoi ce sont les pays blancs qui ont besoin du « multiculturalisme ».
Pourquoi pas l’Israël, la Chine, l’Inde ou l’Afrique.
Pourquoi seulement White Countries Barbara ?
La Suède est l’un des pays les plus durement touchés par l’immigration militarisée. Ce n’est pas une coïncidence.
Ils vous disent qu’ils ont des agendas, écrivent de la littérature anti-blanche…
Et nous essayons de vous dire que tout cela est intentionnel.
Les politiciens suédois qui collaborent à ces programmes sont coupables de trahison.
These people trying to get some to eat are they khamas too ? pic.twitter.com/ihAJm1DX4v
— STORM (@mr_karipple) August 7, 2025
Mitch McConnell fige devant les journalistes TVA Nouvelles pic.twitter.com/MqB1Fv8hyr
— mfvnnews (@mfvnnews) August 7, 2025
— computerbiscuit (@computerbiscuit) August 6, 2025
Israelis spend the morning harassing & insulting Christian tourists, verbally abusing them and telling them to leave.
— Antifa_Ultras (@ultras_antifaa) August 5, 2025
pic.twitter.com/w4dgtvDTcv
— Kev Tex (@83Tex) August 6, 2025
Barbara Lerner Spectre is a founder at Paideia Jewish Center in Stockholm.
— JacobHaust (@JacobHaust) August 6, 2025
These are the kinds of people who blackmail politicians and lean on lawmakers (like immigration policies) to carry out theyre agendas.
They speak these things as if they are absolutes and then don't…