Nul besoin d’être un fanatique des squatters ashkénazes qui ont été débarqués en 1947 de l’Exodus pour voler la Palestine aux sémites arabes qui en étaient les légitimes propriétaires ( ainsi que quelques juifs séfarades qui s’entendaient très bien avec les musulmans, avant l’invasion ), pour comprendre ce qu’est devenu Israêl.
Ce n’est qu’une vulgaire dictature, comme il en existe tant de par le monde.
Et le retour en « Terre promise » ne peut être possible que si le Messie y est arrivé avant d’après la Torah, et aux dernières nouvelles on l’attend toujours.
Benyamin Netanyahou ne peut prétendre être juif, puisque ses parents étaient de Lituanie, du temps de l’U.R.S.S.
On ne peut être juif que par la mère, obligatoirement palestinienne séfarade.
Netanyahou s’appelle en réalité comme son père : Mlleïkowsky, et sa mère était lituanienne, donc Netanhyaou.un vrai juif ? Mon cul Ï
Le rêve de ce caîd, et de son gang d’ultra-orthodoxes russes : éliminer physiquement tous les sémites musulmans de Palestine ou les obliger à fuir leur pays, de façon à créer une sorte de califat réservé aux squatters juifs d’Europe.
Mais mes chéris ça existe déjè, et depuis longtemps
C’est le Birobidjan, un oblast situé en Sibérie Orientale sur le fleuve Amour, à 9.254 km de Moscou ( on n’est jamais trop prudent, a estimé Staline ).
Sa capitale c’est Birobidjan, et elle plutôt prospère, avec même deux synagogues.
Et il y a de la place pour le retour en « Terre Promise ».
Bien sûr, la température……
Introduction à l’État d’Israël
L’État d’Israël, fondé en 1948, est le résultat d’une série d’événements historiques complexes et souvent conflictuels. L’histoire moderne de cette région est marquée par des vagues d’immigration juive, notamment après la Seconde Guerre mondiale. L’arrivée du navire Exodus en 1947, transportant des survivants de l’Holocauste, symbolise l’urgence et le désespoir de nombreux Juifs cherchant à échapper à la persécution et à établir un foyer national en Palestine.
Avant la création de l’État d’Israël, la région était habitée par une population diverse, comprenant des Juifs sépharades, des musulmans arabes et d’autres groupes ethniques. Pendant la période du mandat britannique, de 1920 à 1948, les tensions entre ces communautés se sont intensifiées, alimentées par des revendications territoriales et des aspirations nationales contradictoires.
La question de la légitimité historique et culturelle des populations présentes avant la création de l’État d’Israël demeure un sujet de débat intense. Les Juifs sépharades, ayant une présence séculaire en Palestine, et les musulmans arabes, établis depuis des siècles, revendiquent tous deux des liens profonds et historiques avec la terre. La déclaration d’indépendance de l’État d’Israël en mai 1948 a déclenché une guerre immédiate avec les pays arabes voisins, exacerbant les divisions et les déplacements de populations.
Ainsi, l’histoire de la création de l’État d’Israël est imbriquée dans un contexte de migrations, de conflits et de revendications identitaires. Comprendre ces dynamiques est essentiel pour appréhender les défis politiques et sociaux auxquels Israël et la région environnante continuent de faire face.
Le Conflit Israélo-Palestinien : Origines et Développement
Le conflit israélo-palestinien trouve ses racines dans les tensions historiques entre les différentes communautés de la région. Dès le début du XXe siècle, l’arrivée des Juifs ashkénazes en Palestine, motivée par le mouvement sioniste, a créé des frictions avec les populations arabes sémitiques locales. Les Juifs ashkénazes, principalement originaires d’Europe de l’Est, cherchaient à établir un foyer national juif en réponse aux persécutions antisémites qu’ils subissaient. Cette migration massive a été perçue par les Arabes comme une menace à leur domination démographique et culturelle.
Cette période a vu une montée des tensions entre les nouveaux arrivants et les populations arabes, exacerbées par les différences culturelles et religieuses. Les Juifs sépharades, qui vivaient en harmonie relative avec les musulmans depuis des siècles, se sont également retrouvés au cœur de ces nouvelles dynamiques conflictuelles. Les relations historiques entre Juifs sépharades et musulmans avaient été marquées par des périodes de coexistence pacifique et de coopération, contrastant avec la confrontation grandissante entre les Juifs ashkénazes et les Arabes.
Les années suivantes ont été marquées par une série d’événements décisifs qui ont approfondi le fossé entre les deux communautés. La Déclaration Balfour de 1917, par laquelle le gouvernement britannique exprimait son soutien à l’établissement d’un « foyer national pour le peuple juif » en Palestine, a été un tournant majeur. Cette promesse a été perçue par les Arabes comme une trahison de leurs aspirations nationales. L’augmentation des violences intercommunautaires dans les années 1920 et 1930 a été le prélude à la partition de 1947, proposée par les Nations Unies, qui a conduit à la création de l’État d’Israël en 1948 et à la première guerre israélo-arabe.
La guerre de 1948 a entraîné des déplacements massifs de populations, créant un problème de réfugiés palestiniens qui demeure non résolu à ce jour. Les événements subséquents, y compris la guerre des Six Jours en 1967 et l’occupation de la Cisjordanie et de Gaza, ont exacerbé le conflit, rendant une résolution pacifique de plus en plus complexe. Ce contexte historique est essentiel pour comprendre les dynamiques actuelles et les défis persistants du conflit israélo-palestinien.
Israël : Une Dictature Moderne ?
L’État d’Israël, souvent perçu comme une démocratie robuste au Moyen-Orient, est néanmoins sujet à des accusations récurrentes de dérive autoritaire. Cette critique se concentre principalement sur les mandats de Benyamin Netanyahou, un leader dont les politiques et méthodes de gouvernance ont été particulièrement controversées. La question se pose alors : Israël peut-il être considéré comme une dictature moderne ?
Pour comprendre cette problématique, il est essentiel d’examiner les éléments structurels de la gouvernance israélienne. Israël est une démocratie parlementaire avec un système judiciaire indépendant, une presse libre et des élections régulières. Cependant, certains analystes soulignent que des décisions politiques récentes pourraient indiquer une érosion des principes démocratiques. Par exemple, les tentatives de réforme judiciaire sous Netanyahou ont suscité des inquiétudes quant à l’indépendance des tribunaux. De même, les restrictions imposées à certains médias et ONG ont alimenté les débats sur la liberté d’expression.
En comparaison avec d’autres régimes autocratiques, Israël présente des différences notables. Contrairement à des pays comme la Russie ou la Turquie, où les opposants politiques sont souvent emprisonnés ou exilés, Israël maintient un système où l’opposition peut s’exprimer et participer activement à la vie politique. Néanmoins, les politiques de sécurité et les mesures anti-terroristes, souvent vues comme nécessaires dans le contexte régional, sont perçues par certains comme des outils de contrôle social.
Sur le plan international, les actions d’Israël, notamment en Palestine, sont fréquemment critiquées. Les interventions militaires et les colonies en Cisjordanie sont considérées par beaucoup comme des violations du droit international. Ces actions alimentent l’image d’un État autoritaire, bien que les défenseurs d’Israël arguent qu’il s’agit de mesures de sécurité légitimes.
Ainsi, bien que certaines pratiques gouvernementales en Israël puissent rappeler celles de régimes autocratiques, il demeure des distinctions cruciales. Les caractéristiques fondamentales de la démocratie israélienne, malgré les défis et les controverses, continuent de différencier l’État hébreu des véritables dictatures modernes.
Le Concept de la Terre Promise et la Torah
L’idée de la Terre Promise est profondément enracinée dans la tradition juive et trouve ses origines dans la Torah. Selon les textes sacrés, Dieu a promis la terre de Canaan aux descendants d’Abraham, d’Isaac et de Jacob. Cette promesse divine est un élément central de la foi juive et a influencé de nombreuses générations de croyants. La Terre Promise est perçue non seulement comme un lieu géographique, mais aussi comme un symbole de l’alliance entre Dieu et le peuple juif.
L’arrivée du Messie occupe une place prépondérante dans la tradition juive. Selon certaines interprétations de la Torah, le retour à la Terre Promise est censé être précédé par la venue du Messie, un événement eschatologique qui apportera la paix et la restauration spirituelle. Cette croyance a suscité des débats intenses, notamment autour de la légitimité de l’établissement de l’État d’Israël en 1948. Certains courants religieux estiment que la création de l’État sans la venue préalable du Messie est en contradiction avec les enseignements de la Torah.
Cependant, d’autres interprétations soutiennent que le retour à la Terre Promise peut être vu comme une étape vers la réalisation de la prophétie messianique. Ces divergences de vues ont conduit à des tensions au sein de la communauté juive, certains voyant l’État d’Israël comme une manifestation de la promesse divine, tandis que d’autres le considèrent comme une usurpation prématurée du rôle du Messie. L’importance de la Torah dans ce débat est indéniable, car elle sert de fondement théologique pour les différentes positions concernant la Terre Promise et le rôle du Messie.
Les Origines de Benyamin Netanyahou
Benyamin Netanyahou, figure marquante de la politique israélienne, est issu d’une famille aux racines lituaniennes. Né à Tel-Aviv en 1949, Netanyahou a grandi dans une famille fervente du sionisme, avec un père, Benzion Netanyahou, historien renommé et militant sioniste révisionniste. Cette ascendance lituanienne, bien que significative, pose des questions sur sa légitimité en tant que Juif selon certaines interprétations religieuses.
La judaïté, traditionnellement définie par la lignée maternelle, est un concept fondamental dans le judaïsme. En effet, selon la Halakha (loi juive), une personne est juive si elle est née d’une mère juive ou si elle s’est convertie au judaïsme. Cette règle matrilinéaire a des implications profondes pour les dirigeants israéliens et leur acceptation au sein de la communauté juive mondiale. Dans le cas de Benyamin Netanyahou, bien que sa mère, Tzila Segal, soit également juive, les débats sur la stricte observance de ces règles persistent dans certains cercles.
Les implications de ces règles de judaïté pour des figures politiques comme Netanyahou sont multiples. Elles touchent non seulement à la légitimité religieuse mais aussi à l’identité nationale et aux perceptions internationales. En tant que Premier ministre, Netanyahou a souvent été confronté à des questions sur son héritage familial et ses implications pour ses politiques et ses relations internationales. Ces débats ne sont pas simplement théoriques; ils influencent la manière dont les citoyens israéliens et la diaspora juive perçoivent leurs dirigeants et leur propre identité.
En examinant les origines de Benyamin Netanyahou, nous voyons comment l’héritage familial et les règles religieuses peuvent se chevaucher et parfois entrer en conflit, impactant ainsi la carrière et la perception des dirigeants politiques. Cette exploration offre un aperçu essentiel des dynamiques complexes qui façonnent la politique contemporaine en Israël.
Le Rôle des Ultra-Orthodoxes Russes en Israël
L’intégration des ultra-orthodoxes russes dans le paysage politique israélien est un phénomène qui a pris de l’ampleur ces dernières décennies. Représentant une communauté à la fois religieuse et ethnique, ces individus ont su se faire une place notable dans les débats politiques et sociaux du pays. Leur influence est particulièrement visible dans les discussions concernant la population musulmane sémitique en Palestine.
Les ultra-orthodoxes russes, souvent appelés Haredim russophones, apportent avec eux une perspective unique. Leur expérience historique de la vie en Union soviétique et leur émigration vers Israël les ont dotés d’une vision singulière sur les questions de sécurité nationale et d’identité culturelle. Leur politique est souvent marquée par un conservatisme religieux strict, qui se traduit par des positions fermes sur la préservation de l’identité juive d’Israël.
En ce qui concerne la population musulmane sémitique, les ultra-orthodoxes russes prônent généralement des politiques de sécurité rigoureuses et une approche prudente des négociations de paix. Ils soutiennent la colonisation des territoires disputés, considérant cela comme une extension naturelle de l’État juif. Leur influence se fait sentir dans les partis politiques qui plaident pour une ligne dure sur les questions de sécurité et de territoire.
Leurs méthodes pour atteindre leurs objectifs sont variées. Ils participent activement aux élections, soutenant des candidats et des partis qui partagent leur vision. De plus, ils ont su utiliser les médias et les réseaux sociaux pour diffuser leurs idées et mobiliser leur base de soutien. Par ailleurs, leur présence dans les institutions religieuses et éducatives leur permet de façonner l’opinion publique et d’influencer les politiques à long terme.
En somme, les ultra-orthodoxes russes jouent un rôle crucial dans la politique israélienne contemporaine. Ils représentent une voix puissante et souvent conservatrice, particulièrement sur les questions de la population musulmane sémitique en Palestine. Leur capacité à mobiliser et à influencer les décisions politiques en fait un acteur incontournable du paysage israélien actuel.
Le Projet Birobidjan : Une Alternative à Israël ?
Le Birobidjan, également connu sous le nom de Région autonome juive, est une région située en Sibérie orientale, près de la frontière avec la Chine. Créée en 1934 par le gouvernement soviétique, cette région devait servir de foyer national pour les Juifs soviétiques, offrant ainsi une alternative à l’établissement d’un État juif en Palestine. Le projet visait à encourager la création d’une culture juive autonome dans un cadre socialiste, loin des tensions du Moyen-Orient.
L’histoire du Birobidjan est marquée par des périodes de croissance et de déclin. Initialement, le projet attirait de nombreux Juifs soviétiques et étrangers, séduits par la promesse d’une vie meilleure et d’une culture juive florissante. Cependant, les conditions de vie austères, le climat rigoureux et la faible infrastructure ont rapidement freiné l’enthousiasme initial. De plus, les purges staliniennes et la Seconde Guerre mondiale ont considérablement réduit la population juive de la région.
Aujourd’hui, le Birobidjan compte une population juive relativement petite, mais des efforts sont faits pour revitaliser la culture et les traditions juives. La langue yiddish est enseignée dans certaines écoles, et des festivals culturels sont organisés pour maintenir le lien avec le patrimoine juif. Cependant, comparer le Birobidjan à Israël en termes de viabilité et de qualité de vie révèle des disparités significatives.
Israël, en tant qu’État souverain, bénéficie d’une économie diversifiée et robuste, de systèmes éducatifs et de santé avancés, et d’une infrastructure bien développée. En revanche, le Birobidjan reste largement rural et sous-développé, avec des ressources limitées et des opportunités économiques restreintes. La sécurité, un facteur crucial pour les Juifs européens, diffère également : Israël, malgré les conflits régionaux, offre un niveau de sécurité et de protection que le Birobidjan ne peut égaler.
En conclusion, bien que le Birobidjan représente une part fascinante de l’histoire juive soviétique et continue d’abriter une petite communauté juive, il est difficile de le considérer comme une alternative viable à Israël. Les différences en termes de développement économique, de qualité de vie et de sécurité sont trop marquées pour que le Birobidjan puisse réellement rivaliser avec l’État d’Israël en tant que foyer national pour les Juifs.
Conclusion : Réflexions sur l’Avenir d’Israël et de la Palestine
En récapitulant les points abordés, il est clair que l’histoire d’Israël et de la Palestine est marquée par des complexités profondes et des tensions persistantes. Les politiques actuelles, qu’elles soient d’ordre diplomatique, militaire ou économique, ont des répercussions significatives sur les populations des deux régions. L’analyse des événements historiques montre que chaque tentative de résolution du conflit a été entravée par des divergences idéologiques et territoriales, souvent exacerbées par des interventions externes.
Les perspectives pour un avenir pacifique et équitable entre Israël et la Palestine nécessitent une réévaluation des approches traditionnelles. La reconnaissance mutuelle des droits et des aspirations nationales est un pas essentiel vers la construction d’une coexistence harmonieuse. De plus, l’engagement pour des négociations directes, soutenues par une médiation internationale impartiale, pourrait offrir un terrain fertile pour des accords durables.
L’importance de l’intégration sociale et économique ne peut être sous-estimée. Les initiatives visant à promouvoir la coopération transfrontalière, le développement économique partagé et la tolérance culturelle peuvent jouer un rôle crucial dans la réduction des hostilités. Par ailleurs, la communauté internationale a le devoir d’encourager des politiques qui favorisent le respect des droits humains et l’égalité de traitement pour tous les citoyens, indépendamment de leur origine ethnique ou religieuse.
Enfin, l’éducation pour la paix et la compréhension mutuelle doit être au cœur des efforts de réconciliation. En investissant dans les jeunes générations, il est possible de cultiver un esprit de dialogue et de respect mutuel qui transcende les conflits actuels. L’avenir d’Israël et de la Palestine repose sur la capacité de leurs peuples à imaginer et à construire une réalité où la paix et la prospérité sont accessibles à tous.