
C’est un travail interne, Thomas Crooks n’est qu’un leader
Le toit où un homme armé a tiré sur l’ancien président Donald Trump lors d’un rassemblement électoral a été identifié par les services secrets américains comme une vulnérabilité potentielle dans les jours précédant l’événement.
Reportage NBC News Tom W
Des preuves balistiques indiquent
l’emplacement approximatif d’un 2ème tireur.

Tôt dimanche, le FBI a officiellement confirmé les informations du Post, qualifiant Crooks de « sujet impliqué » dans l’attaque contre Trump.
Les rues autour de la maison de Crooks ont été bloquées par la police.
Un voisin a déclaré au Post qu’il avait vu une équipe anti-bombes du comté d’Allegheny se préparer à entrer dans la maison peu après 1 heure du matin.
‘J’ai vu un message portant son nom et indiquant qu’il vivait à Bethel Park, alors je l’ai recherché et il habite à 0,3 miles de là’, a déclaré Dan Maloney, 30 ans, à propos du tireur Thomas Crooks.
«Je suis allé là-bas et j’ai parlé à l’équipe anti-bombes du comté à 1 h 06 du matin. Il a dit qu’il était sur le point d’entrer dans la maison.
Je ne connaissais pas le gars. Personne dans ce quartier ne se parle vraiment.
« C’est une tragédie. Une personne est décédée, une autre est hospitalisée. Il s’en est pris à un ancien président et probablement au prochain président.
Domicilié à 1 heure de voiture
Thomas Matthew Crooks est âgé 20 ans, détaille le communiqué du FBI. Il est blanc et de nationalité américaine. Le garçon est originaire de “Bethel Park”, un quartier situé dans le Comté d’Allegheny en Pennsylvanie, situé à une soixantaine de kilomètres du lieu du meeting.
Membre du parti Républicain
Selon le NY Post, l’individu est inscrit sur les listes du parti Républicain. Étant donné son âge, il n’a encore jamais voté et les élections de novembre représentaient les premières auxquelles Thomas Matthew Crooks auraient ou s’exprimer.
En revanche, rapporte l’Intercept, il a fait un don de 15 dollars au comité d’action politique libéral ActBlue (démocrate) le 20 janvier 2021, le jour de l’investiture de Joe Biden.
Armé d’un fusil semi-automatique
Le jeune homme aurait tiré depuis “une position élevée”, r, des témoins auraient aperçu Crooks s’installer sur le toit d’une usine de fabrication, à plus de 130 mètres de lieu de rassemblement pour le meeting présidentiel. Un témoin interrogé par la BBC a expliqué avoir indiqué l’individu à la police, pendant que Trump continuait son discours : “Nous le pointons du doigt à la police, nous lui disons ‘Hé ! Il y a un type sur le toit avec un fusil… Et la police ne savait pas ce qui se passait.'” Des faits qui se sont produits quelques instants avant le début de la fusillade.
Une vidéo partagée sur TikTok montre le candidat à la présidentiel tomber alors qu’on entend des coups de feu. Depuis le toit d’un bâtiment, il est parvenu à blesser l’ancien président américain à l’oreille droite, et tué une personne dans le public.
Le tireur a été abattu immédiatement après avoir fait feu sur l’ex-président. Le FBI a découvert à ses côtés un fusil semi-automatique de type AR-15. Hormis son identité, aucune information n’a pour l’instant filtré au sujet de l’assaillant : “Il s’agit d’une enquête active et en cours”, a déclaré samedi dans un communiqué, le Secret Services.


Introduction


La tentative d’assassinat contre l’ancien président par Thomas Matthew Crooks a secoué la nation et a soulevé de nombreuses questions sur la sécurité des personnalités politiques. Cet incident dramatique met en lumière les vulnérabilités potentielles dans les protocoles de sécurité entourant les candidats à la présidentielle. Comprendre comment un tireur d’élite, équipé d’un fusil, a pu ramper sur le toit le plus proche d’un candidat est crucial pour renforcer les mesures de protection et prévenir de futures tentatives.
L’objectif de cette analyse est d’examiner en détail les circonstances qui ont permis à Thomas Matthew Crooks de se positionner à une telle proximité d’une cible de haute valeur. En explorant les failles potentielles dans la sécurité, les méthodes employées par le tireur d’élite et les réponses des forces de l’ordre, nous pouvons tirer des leçons essentielles pour l’amélioration des stratégies de sécurité présidentielle. La compréhension de ces éléments est non seulement essentielle pour la protection des figures importantes, mais aussi pour la tranquillité d’esprit du public.
Ce cas particulier de tentative d’assassinat est un exemple frappant de la complexité et des défis auxquels sont confrontés les services de sécurité. Il montre également la détermination et l’ingéniosité des individus malintentionnés. En décryptant les événements qui ont conduit à cette situation, nous espérons offrir une vision approfondie des mesures nécessaires pour empêcher de telles menaces à l’avenir.
Au-delà de la simple analyse des faits, cette étude vise à engager une réflexion sur les meilleures pratiques en matière de sécurité présidentielle. La protection des leaders politiques est une priorité nationale, et chaque incident doit être minutieusement examiné pour identifier les points faibles et renforcer les défenses. La tentative d’assassinat de Thomas Matthew Crooks nous rappelle l’importance cruciale de rester vigilant et proactif dans la sécurisation des individus au cœur de notre démocratie.“`html
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A 18h11 heure locale, alors que Donald Trump se trouvait sur le podium de son rassemblement à Butler en Pennyslvanie, un tireur situé sur le toît d’un batiment à 150 mètres sur la droite a ouvert le feu à plusieurs reprises. Eraflé à la joue droite par une balle ou un ricochet Trump, l’oreille ensanglantée, s’est rapidement baissé pour éviter d’autres tirs, tandis qu’une demi-douzaine d’agents des services secrets se précipitaient sur la scène pour l’entourer et le couvrir.
Le tireur, armé d’un fusil semi-automatique AR-15, a aussitôt été éliminé par l’équipe des tireurs d’élites de la police situés au dessus de la scène où se tenait l’ancien président. La question de savoir comment un bâtiment qui surplombait le meeting est resté sans surveillance est ouverte, d’autant que plusieurs spectateurs ont déjà rapporté aux médias qu’ils avaient vu le jeune homme armé monter sur le toit mais que l’équipe de sécurité n’avait pas donné suite.
Après quelques secondes d’hésitation, les agents des services secrets ont commencé à escorter Trump jusqu’à son véhicule blindé garé à quelques mètres de là, tandis que l’ancien président, le poing levé, s’exclamait, défiant « Fight ! », « Fight ! », acclamé en retour par le foule en délire qui entonait « USA ! », « USA ! ».
Dans un communiqué sur Truth Social, Trump a remercié les services de sécurité pour leur intervention et à offert ses condoléances aux famille des victimes collatérales : une personne est décédée, deux autres ont été grièvement blessées.
Le tireur a rapidement été identifié par le FBI, il s’agirait de Thomas Matthew Crooks, habitant de Bethel Park, agé à peine de 20 ans. Aucun motif n’a été communiqué à la presse pour l’instant. Comme il est décédé, il ne parlera plus…
La presse américaine a d’abord minimisé l’affaire en parlant de « chute » de Trump sur le podium qui aurait été effrayé par des « bruits sourds » ou des « craquements » avant d’être évacué. Le terme « tentative d’assassinat » est encore largement évité et la presse s’empêtre dans ses explications car la survie de Trump ouvre tout grand la porte à sa réélection, aux grand damn de tous les journalistes du système.
De nombreux commentateurs politiques n’ont pas oublié comment ce lundi Joe Biden, avait déclaré à des donneurs « ne parlons plus du débat, il est temps de mettre Trump dans le collimateur ». D’après le Sénateur républicain J.D. Vance, cette réthorique de campagne est directement liée à la tentative d’assassinat du Présent Trump.
L’ancien médecin de Donald Trump à la Maison Blanche, Ronny Jackson, a publié un bulletin de santé de l’ex-président après les tirs qu’il l’ont blessé à l’oreille en plein meeting de campagne.
Les tirs qui ont blessé à l’oreille Donald Trump en plein meeting de campagne il y a une semaine ont causé une plaie de deux centimètres de profondeur, qui est en train de se résorber, a affirmé son ancien médecin à la Maison Blanche, Ronny Jackson, dans un rare bulletin de santé depuis l’événement.
“La balle est passée à moins d’un centimètre de la tête et a touché le haut de l’oreille droite”, a écrit Ronny Jackson dans une note d’une page diffusée sur son compte officiel sur X ce samedi 20 juillet.
Le passage de la balle “a produit une blessure de 2 cm de large qui s’étendait jusqu’à la surface cartilagineuse de l’oreille. Il y a eu d’abord un saignement important, suivi d’un gonflement marqué de toute la partie supérieure de l’oreille”, ajoute l’ancien médecin, devenu élu de la droite dure à la Chambre des représentants. Selon lui, le gonflement a depuis diminué et la plaie commence “à cicatriser correctement”, écrit-il.