Gaza : Israël (Pays oppresseurs et d’apparteid)«n’a atteint aucun» de ses objectifs à Gaza, estime un représentant russe à l’ONU

Gaza : Israël (Pays colonisateur et d'apparteid)«n'a atteint aucun» de ses objectifs à Gaza, estime un représentant russe à l'ONU

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Défaite d’Israël à Gaza (Pays colonisateur et d’apparteid): Les conséquences de l’opération militaire

Le représentant permanent adjoint de la Russie auprès des Nations Unies, Dmitri Poliansky, a exprimé des critiques sévères à l’égard de l’opération israélienne en cours à Gaza. Selon lui, après sept mois d’intenses opérations militaires, Israël n’a pas réussi à atteindre ses objectifs déclarés, ce qui compromet sérieusement les efforts internationaux pour instaurer un cessez-le-feu et libérer les otages détenus par le Hamas.

Les Objectifs Initiaux d’Israël

Les objectifs initiaux d’Israël dans la bande de Gaza étaient principalement axés sur la neutralisation de la capacité militaire du Hamas, la destruction des infrastructures de tunnels et la réduction des attaques à la roquette contre le territoire israélien. En outre, Israël visait à affaiblir le leadership du Hamas et à restaurer un niveau de sécurité pour ses citoyens vivant à proximité de la frontière de Gaza.

Les Raisons de l’Échec Selon Poliansky

Poliansky affirme que plusieurs facteurs ont contribué à l’échec d’Israël à atteindre ces objectifs. Premièrement, la résilience et la capacité d’adaptation du Hamas ont été sous-estimées, permettant au groupe de maintenir ses opérations malgré les attaques israéliennes. Deuxièmement, les dommages collatéraux et les pertes civiles ont alimenté la colère et la résistance parmi la population palestinienne, compliquant davantage la situation pour Israël. Troisièmement, les efforts diplomatiques et les pressions internationales pour un cessez-le-feu ont limité les actions militaires israéliennes, entravant leur capacité à mener des opérations prolongées et décisives.

Implications sur les Efforts de Paix

Ces échecs ont des implications profondes sur la dynamique du conflit et les efforts de paix. Poliansky souligne que l’incapacité d’Israël à atteindre ses objectifs a exacerbé les tensions et rendu plus difficile la tâche des médiateurs internationaux qui cherchent à négocier un cessez-le-feu. La situation des otages détenus par le Hamas reste particulièrement préoccupante. Poliansky critique l’inaction perçue d’Israël pour résoudre cette crise, augmentant ainsi le danger pour la vie des otages.

En conséquence, l’échec des objectifs israéliens et la complexité accrue du conflit posent un défi majeur aux efforts de paix internationaux. La communauté mondiale est donc confrontée à la tâche ardue de trouver une solution diplomatique qui puisse conduire à une cessation durable des hostilités et à la libération des otages. La position de la Russie, reflétée par les commentaires de Poliansky, appelle à un renforcement des efforts diplomatiques et à une réévaluation des stratégies militaires pour parvenir à une résolution pacifique et durable du conflit.

Les critiques de la Russie sur le rôle des États-Unis dans le conflit israélo-palestinien se sont intensifiées, notamment par la voix de Dmitri Poliansky, Premier Représentant Permanent Adjoint de la Russie auprès des Nations Unies. Poliansky accuse les États-Unis de bloquer systématiquement les efforts internationaux visant à résoudre le conflit à Gaza. Il soutient que les États-Unis, bien qu’ils disposent d’un levier diplomatique significatif sur Israël, choisissent de ne pas l’utiliser pour favoriser une résolution pacifique. Au lieu de cela, ils ont critiqué les appels à tenir Israël responsable de ses actions militaires, ce qui, selon Poliansky, perpétue le cycle de violence.

Poliansky rappelle également que les États-Unis ont opposé leur veto à plusieurs résolutions du Conseil de Sécurité des Nations Unies appelant à un cessez-le-feu immédiat. Ces résolutions visaient à mettre fin aux hostilités et à fournir une aide humanitaire aux civils touchés par le conflit. En bloquant ces initiatives, les États-Unis ont, selon Poliansky, sapé les efforts multilatéraux pour instaurer la paix dans la région. Il mentionne également que les États-Unis ont entravé les propositions visant à accorder aux Palestiniens un statut d’adhésion complet à l’ONU, ce qui, selon lui, est une autre preuve de l’approche biaisée des Américains.

Les critiques de Poliansky mettent en lumière les implications géopolitiques de la position américaine dans ce conflit. En soutenant fermement Israël tout en bloquant les initiatives internationales, les États-Unis sont perçus comme exacerbant les tensions et compliquant la recherche d’une solution durable. Cette position a des répercussions non seulement sur le terrain mais aussi sur les relations diplomatiques entre les États-Unis et d’autres acteurs internationaux, y compris la Russie. La perception d’un soutien américain inconditionnel à Israël alimente également le ressentiment et l’hostilité envers les États-Unis dans le monde arabe et au-delà.

Donald J. Trump affirme qu’Israël possédait « à juste titre » le Congrès.

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Le chef du service de renseignement des États-Unis après avoir démissionné dans une déclaration qui renverse toutes les échelles du monde est la deuxième reconnaissance après la confession d’Hillary Clinton. Nous avons commis une erreur au printemps arabe en tentant des coups d’État en Égypte, en Tunisie, en Syrie et en Libye. * La planification a été mal pensée et des milliards de dollars ont été versés inutilement aux organisations de la société civile et aux droits dans les pays présumés. Nous avons aussi mal tourné en Irak et détruit l’armée irakienne. * L’administration Obama a tenté de détruire l’armée égyptienne et de diviser le territoire égyptien. * Cela a donné lieu à une éclosion de terrorisme de l’EIIL en Syrie. * Le gouvernement Obama a formé des juristes et des traîtres qu’on appelait des militants révolutionnaires en les recrutant pour détruire les gouvernements. Mais le peuple égyptien était la ligne la plus épique de l’histoire et s’est tenu derrière l’armée égyptienne et s’est levé, le 30 juin et a sauvé l’Egypte et sa région arabe de la destruction massive.

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