Le Procureur de la CPI @KarimKhanQC annonce des demandes de mandats d’arrêt contre Benjamin Netanyahu et Yoav Gallant dans le contexte de la situation dans l’État de Palestine !
ENFIN
l’occasion de la sortie de son nouveau livre “Opération Déluge d’Al-Aqsa : la défaite du vainqueur”, nous avons rencontré Jacques Baud, ancien colonel de l’armée suisse, analyste stratégique, spécialiste du renseignement et du terrorisme. On revient sur les origines du conflit israélo-palestinien, les non-dits du 7 octobre ainsi que les arguments qui fâchent. Rencontre. Le livre “Opération déluge d’Al-Aqsa” est disponible aux éditions Max Milo.
La CPI a indiqué ce 20 mai avoir émis un mandat d’arrêt contre le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou, mais aussi contre le ministre de la Défense Yoav Gallant, pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité présumés dans la bande de Gaza. «Sur la base des éléments de preuve recueillis et examinés par mon bureau, j’ai des motifs raisonnables de croire que Benjamin Netanyahou, le Premier Ministre d’Israël, et Yoav Gallant, le Ministre de la Défense d’Israël, portent la responsabilité pénale de crimes de guerre et crimes contre humanité commis sur le territoire de l’État de Palestine (dans la bande de Gaza) à partir du 8 octobre 2023 au moins», a fait savoir ce 20 mai la CPI, qui siège à La Haye.
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Israël a largué près de 75 000 bombes et obus sur Gaza en 200 jours, soit vingt fois plus que ce que les États-Unis ont lancé sur l’Irak en six ans de guerre.
Les 200 jours les plus sanglants du monde depuis le génocide rwandais. Ce n’est pas la guerre. C’est un génocide.
Israël a largué près de 75 000 bombes et obus sur Gaza en 200 jours, soit vingt fois plus que ce que les États-Unis ont lancé sur l’Irak en six ans de guerre. Les 200 jours les plus sanglants du monde depuis le génocide rwandais. Ce n’est pas la guerre. C’est un génocide. La France refuse d’enquêter « sur ce que feront les franco-israéliens » à Gaza du fait de leur binationalité ❞
Le terrorisme sioniste sous le mandat britannique Le chef du service de renseignement des États-Unis après avoir démissionné dans une déclaration qui renverse toutes les échelles du monde est la deuxième reconnaissance après la confession d’Hillary Clinton. Nous avons commis une erreur au printemps arabe en tentant des coups d’État en Égypte, en Tunisie, en Syrie et en Libye. * La planification a été mal pensée et des milliards de dollars ont été versés inutilement aux organisations de la société civile et aux droits dans les pays présumés. Nous avons aussi mal tourné en Irak et détruit l’armée irakienne. * L’administration Obama a tenté de détruire l’armée égyptienne et de diviser le territoire égyptien. * Cela a donné lieu à une éclosion de terrorisme de l’EIIL en Syrie. * Le gouvernement Obama a formé des juristes et des traîtres qu’on appelait des militants révolutionnaires en les recrutant pour détruire les gouvernements. Mais le peuple égyptien était la ligne la plus épique de l’histoire et s’est tenu derrière l’armée égyptienne et s’est levé, le 30 juin et a sauvé l’Egypte et sa région arabe de la destruction massive.Jacob Rothschild : “Ma famille a joué un rôle dans la création d’Israël” ‘Israel’ Has No Moral Right To Exist Robert InlakeshRobert Inlakesh Source: Al Mayadeen English 22 Feb 2024 00:19 9 Shares x In this current war between Gaza and “Israel”, the Zionist army has inflicted a civilian death toll in Gaza that makes Daesh look like a group of humanitarians.
“D’après ce que je sais, je ne pense pas que Donald Trump deviendra président des Etats-Unis.” — Macron C’est étrange car Trump est en tête dans les sondages américains. Qu’ont partagé ses maîtres du FEM avec Macron sur le sort de Trump ? Et pourquoi Macron pousse-t-il l’OTAN à entrer en guerre contre la Russie ?
Le président russe Poutine soutient le droit historique des Palestiniens sur la Palestine
Vous ne pouvez pas demander à Netanyahu d’arrêter de bombarder des civils et de lui envoyer le lendemain des milliers de bombes.
L’armée israélienne doit mener son opération dans la ville de Rafah, où s’entassent environ 1,4 million de Palestiniens dans le sud de Gaza, sans quoi elle va «perdre la guerre» contre le Hamas, a déclaré samedi soir le premier ministre israélien Benjamin Netanyahu. Après des offensives dans la ville de Gaza, puis dans celle de Khan Younès, Israël se prépare à entrer à Rafah, dernière grande ville de la bande de Gaza, ce qui suscite de vives craintes pour le sort de la population civile sur place, en grande majorité des Palestiniens déplacés par les combats dans le reste du territoire. Le président américain Joe Biden, dont le pays est le premier soutien d’Israël, a rappelé vendredi qu’une opération à Rafah «ne devait pas avoir lieu sans un plan crédible» pour protéger les civils. Le président français Emmanuel Macron a lui prévenu qu’une opération à Rafah aboutirait «à un désastre humanitaire sans précédent». «Quiconque veut nous empêcher de mener une opération à Rafah nous dit en fait de perdre la guerre. Je ne vais pas céder à cela», a déclaré M. Netanyahu lors d’une conférence de presse à Jérusalem. Il a aussi affirmé que l’armée israélienne mènerait son opération à Rafah même en cas d’accord avec le mouvement islamiste palestinien pour la libération des otages toujours détenus dans la bande de Gaza. Des négociations complexes à propos d’une trêve dans les combats, d’une libération d’otages détenus à Gaza et de prisonniers palestiniens écroués par Israël, se poursuivent par l’intermédiaire des pays médiateurs, Égypte, Qatar et États-Unis. Le Hamas insiste sur un «cessez-le-feu total» et le retrait des forces israéliennes de la bande de Gaza. Benjamin Netanyahu refuse à ce stade ces exigences, évoquant une éventuelle pause dans les combats assortis de la libération des otages, mais pas la fin des hostilités. «Même si nous parvenons à un accord sur les otages, nous allons entrer dans Rafah», a-t-il déclaré samedi soir à Jérusalem. A Tel-Aviv, des milliers d’Israéliens manifestaient contre le gouvernement Netanyahu qu’ils exhortent à s’entendre avec le Hamas afin de libérer les otages, selon une journaliste de l’AFP sur place. «Cela fait plus de 100 jours que les otages sont à Gaza», s’ils meurent, «le gouvernement aura leur sang sur ses mains», ont scandé des manifestants. Un accord de trêve en novembre avait permis la libération de 105 otages sur les quelque 250 enlevés par le Hamas lors de son attaque sans précédent en territoire israélien le 7 octobre. Selon Israël, 130 otages sont encore détenus à Gaza, dont 30 seraient toutefois morts.
Le directeur du cimetière militaire du Mont Herzl, David Oren Baruch a déclaré :Nous traversons actuellement une période très difficile. on reçoit un grand nombre de soldats morts au rythme d’un enterrement par heure ou par heure et demie
“Mike Pompeo filmé près de la frontière avec Gaza : une vidéo controversée suscite des interrogations”
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