– Journalist Hussam Al-Masri

– Journalist Mohammed Salama

– Journalist Mariam Abu Daqa

– Journalist Moath Abu Tah

The number of journalists murdered by israel ❌🇮🇱 has risen to 244.

Triple crimes de guerre. Grand classique des partiques IsraĂ«liennes: IsraĂ«l bombarde un hĂ´pital. Puis bombarde de façon ciblĂ©e les secouristes Et tue aussi les journalistes. Le tout dans l’objectif d’accomplir une dĂ©portation de masse. Le nazisme en roue libre totale.

GÉNOCIDE EN DIRECT🚨 Cela vient de se produire Ă  l’instant Ă  Gaza : un journaliste a captĂ© en direct une attaque israĂ©Iienne cibIant des secouristes Ă  l’hĂ´pital Nasser. Ces derniers s’efforçaient d’apporter leur aide aux victimes d’un raid israĂ©Iien qui avait touchĂ© cet hĂ´pital, quelques minutes auparavant.Bilan : 15 personnes tuĂ©es lors de deux frappes israĂ©liennes visant le mĂŞme Ă©tage du complexe mĂ©dical Nasser, parmi elles des secouristes, des patients et 5journalistes. These four journalists were just bombed at Nasser Hospital in Khan Yunis. – Journalist Hussam Al-Masri – Journalist Mohammed Salama – Journalist Mariam Abu Daqa – Journalist Moath Abu Tah The number of journalists murdered by israel ❌🇮🇱 has risen to 244.

l'arme que les isreliens ont plus peur
l’arme que les isreliens ont plus peur
GÉNOCIDE EN DIRECT🚨 Cela vient de se produire à l’instant à Gaza : un journaliste a capté en direct une attaque israéIienne cibIant des secouristes à l’hôpital Nasser. Ces derniers s’efforçaient d’apporter leur aide aux victimes d’un raid israéIien qui avait touché cet hôpital, quelques minutes auparavant.Bilan : 15 personnes tuées lors de deux frappes israéliennes visant le même étage du complexe médical Nasser, parmi elles des secouristes, des patients et 5 journalistes.
L’armée d’occupation criminelle a tué 20 martyrs aujourd’hui dans le bombardement du complexe médical Nasser, dont 5 journalistes sans raison :
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Journaliste martyr Hussam Al-Masri
Journaliste martyr / Mohammed Salameh
Journaliste martyr / Maryam Abu Daqqa
Journaliste martyr / Moaz Abu Taha
Journaliste martyr / Ahmed Abu Aziz
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Nous condamnons dans les termes les plus forts le ciblage systématique, le meurtre et l’assassinat de journalistes palestiniens par l’occupation israélienne, et nous appelons à la condamnation de ces crimes lâches.
Nous tenons l’occupation israélienne et l’administration américaine pleinement responsables de la commission de ces crimes odieux et brutaux.
Nous appelons le monde à poursuivre l’occupation devant les tribunaux internationaux pour ses crimes en cours et à traduire en justice les auteurs de l’occupation.
L’armĂ©e d’occupation criminelle a tuĂ© 20 martyrs aujourd’hui dans le bombardement du complexe mĂ©dical Nasser, dont 5 journalistes sans raison : – Journaliste martyr Hussam Al-Masri Journaliste martyr / Mohammed Salameh Journaliste martyr / Maryam Abu Daqqa Journaliste martyr / Moaz Abu Taha Journaliste martyr / Ahmed Abu Aziz – Nous condamnons dans les termes les plus forts le ciblage systĂ©matique, le meurtre et l’assassinat de journalistes palestiniens par l’occupation israĂ©lienne, et nous appelons Ă  la condamnation de ces crimes lâches. Nous tenons l’occupation israĂ©lienne et l’administration amĂ©ricaine pleinement responsables de la commission de ces crimes odieux et brutaux. Nous appelons le monde Ă  poursuivre l’occupation devant les tribunaux internationaux pour ses crimes en cours et Ă  traduire en justice les auteurs de l’occupation.

Introduction à la Tragédie

Le gĂ©nocide est une des atrocitĂ©s les plus horrifiantes de l’histoire humaine. RĂ©cemment, un Ă©vĂ©nement tragique a Ă©tĂ© diffusĂ© en direct, rĂ©vĂ©lant l’horreur du gĂ©nocide qui se dĂ©roule sous nos yeux. Ces images choquantes mettent en lumière la nĂ©cessitĂ© pressante d’intervenir contre de tels actes inhumains.

Une frappe des forces de dĂ©fense israĂ©liennes sur l’hĂ´pital Nasser Ă  Khan Younis, dans le sud de la bande de Gaza, a coĂ»tĂ© la vie Ă  au moins 20 personnes, dont cinq employĂ©s des mĂ©dias travaillant pour Reuters, NBC, Al Jazeera et Associated Press. Au moins cinq employĂ©s des mĂ©dias ont Ă©tĂ© tuĂ©s lors de frappes des forces de dĂ©fense israĂ©liennes sur l’hĂ´pital Nasser Ă  Khan Younis, dans le sud de la bande de Gaza, a rapportĂ© la chaĂ®ne Telegram de Palestine TV. Au total, l’attaque a fait au moins 20 morts, dont des journalistes et quatre employĂ©s de l’hĂ´pital, a prĂ©cisĂ© Al Jazeera. Parmi les victimes figurent Hossam al-Masri, qui travaillait pour Reuters, Moaz Abu Taha, qui travaillait pour la chaĂ®ne NBC, et Mohammed Salama, photographe pour la chaĂ®ne de tĂ©lĂ©vision Al Jazeera. La journaliste Mariam Abu Daqa, qui travaillait pour un certain nombre de mĂ©dias, dont l’agence amĂ©ricaine Associated Press, a Ă©galement perdu la vie. L’agence Reuters a rapportĂ© que son flux vidĂ©o en direct de l’hĂ´pital, gĂ©rĂ© par le camĂ©raman al-Masri, s’est soudainement interrompu au moment de l’attaque initiale. Le 25 aoĂ»t, le ministère de la SantĂ© de Gaza a fait Ă©tat de deux frappes des forces de dĂ©fense israĂ©liennes sur l’hĂ´pital Nasser. Le premier obus a touchĂ© le quatrième Ă©tage du bâtiment. Le bilan de victimes est passĂ© Ă  16, puis Ă  20 et pourrait encore augmenter. Le 22 aoĂ»t, le Premier ministre israĂ©lien Benjamin Netanyahou a approuvĂ© les plans du commandement militaire visant Ă  prendre le contrĂ´le de la bande de Gaza et Ă  dĂ©manteler la structure du mouvement palestinien Hamas. Le 24 aoĂ»t, le ministre israĂ©lien de la DĂ©fense, Israel Katz, a rĂ©affirmĂ© la dĂ©termination de son pays Ă  poursuivre l’offensive, malgrĂ© les critiques internationales et les inquiĂ©tudes exprimĂ©es en IsraĂ«l. Il a prĂ©venu que Gaza City pourrait ĂŞtre rasĂ©e si le Hamas ne libĂ©rait pas tous les otages et n’acceptait pas de mettre fin au conflit. Plusieurs pays ont condamnĂ© les plans de l’État hĂ©breu. En particulier, l’Égypte et le Qatar, qui ont remis au Hamas une proposition de trĂŞve de 60 jours, qui se traduirait par un arrĂŞt complet du conflit. L’accord prĂ©voyait Ă©galement la libĂ©ration de la moitiĂ© des otages israĂ©liens enlevĂ©s le 7 octobre 2023 en Ă©change de quelques prisonniers palestiniens.

Israël commet un génocide à Gaza. Israël agit systématiquement et délibérément pour détruire la société palestinienne dans la bande de Gaza. Le rapport « Notre génocide » s'appuie sur la documentation et les recherches menées par des Palestiniens et des Juifs israéliens, œuvrant ensemble dans un engagement moral commun en faveur des droits humains. Le génocide est la destruction violente et délibérée d'un groupe distinct, en tout ou en partie, ou une tentative de le détruire, que ce soit physiquement, socialement ou économiquement. Il ne nécessite pas le massacre de tous les membres du groupe, mais désigne plutôt tout acte commis dans le but de détruire la société et de rendre son existence impossible. Israël inflige un système de destruction totale à Gaza : – Massacre de civils – Déplacement forcé de millions de personnes – Destruction de maisons et d'infrastructures – La famine comme arme – Bombardement d'hôpitaux et de cliniques – Suppression d'écoles, d'universités et d'institutions culturelles – Effondrement de tout système civil qui soutient la vie Il ne s'agit pas de « dommages collatéraux ». Il s'agit du démantèlement délibéré d'une société. Le génocide ne concerne pas seulement ce qui est fait, mais aussi les raisons pour lesquelles il est fait. À Gaza, la destruction ne se limite pas aux cibles militaires, elle vise la vie même des Palestiniens. Des civils sont tués parce qu'ils sont Palestiniens. Des enfants meurent de faim parce qu'ils sont Palestiniens. Des maisons sont rasées non pas pour gagner une bataille, mais pour garantir qu'il n'y ait plus de vie possible. Le génocide à Gaza ne peut être compris isolément. Il s'appuie sur des décennies d'occupation, d'apartheid et de déshumanisation systématique des Palestiniens. Le régime israélien de suprématie juive a posé les bases idéologiques et politiques de ce moment, passant de la domination à l'effacement. L'horrible attaque menée par le Hamas le 7 octobre 2023 a accéléré un processus déjà en cours et a servi de catalyseur au régime israélien pour passer d'un système de contrôle violent à un génocide manifeste. Le traumatisme subi par la société israélienne et la peur qu'il a engendrée ont été instrumentalisés par le gouvernement extrémiste d'extrême droite israélien pour promouvoir des politiques que des acteurs clés cherchaient depuis longtemps à mettre en œuvre. Ils ont fourni la justification de chaque action entreprise par Israël à Gaza depuis. Le langage de la vengeance et de l'élimination est devenu courant dans le discours israélien, comme l'ont explicitement déclaré de hauts responsables politiques et militaires. Les actions de l'armée israélienne à Gaza ne constituaient pas une déviation, mais l'exécution directe et quasi mot pour mot de ces menaces. Le même régime, ses commandants et son armée intensifient également la violence en Cisjordanie, à Jérusalem-Est et en Israël. Dans toutes ces régions, les Palestiniens sont confrontés à une violence croissante, à des déplacements forcés et à des punitions collectives. Si le génocide est commis à Gaza, un déclencheur approprié pourrait le propager rapidement à d'autres zones contrôlées par Israël. Aucun mécanisme n'est en place pour empêcher Israël de nuire aux Palestiniens, qui se retrouvent sans protection.Il s'agit d'un génocide, et il se déroule en ce moment même, en temps réel et au vu et au su du monde entier. Il faut dénoncer ce génocide et tout mettre en œuvre pour l'arrêter. Il ne peut y avoir aucune justification ni explication à un génocide. Lire le rapport complet, « Notre génocide » >>
IsraĂ«l commet un gĂ©nocide Ă  Gaza. IsraĂ«l agit systĂ©matiquement et dĂ©libĂ©rĂ©ment pour dĂ©truire la sociĂ©tĂ© palestinienne dans la bande de Gaza. Le rapport « Notre gĂ©nocide » s’appuie sur la documentation et les recherches menĂ©es par des Palestiniens et des Juifs israĂ©liens, Ĺ“uvrant ensemble dans un engagement moral commun en faveur des droits humains. Le gĂ©nocide est la destruction violente et dĂ©libĂ©rĂ©e d’un groupe distinct, en tout ou en partie, ou une tentative de le dĂ©truire, que ce soit physiquement, socialement ou Ă©conomiquement. Il ne nĂ©cessite pas le massacre de tous les membres du groupe, mais dĂ©signe plutĂ´t tout acte commis dans le but de dĂ©truire la sociĂ©tĂ© et de rendre son existence impossible. IsraĂ«l inflige un système de destruction totale Ă  Gaza : – Massacre de civils – DĂ©placement forcĂ© de millions de personnes – Destruction de maisons et d’infrastructures – La famine comme arme – Bombardement d’hĂ´pitaux et de cliniques – Suppression d’Ă©coles, d’universitĂ©s et d’institutions culturelles – Effondrement de tout système civil qui soutient la vie Il ne s’agit pas de « dommages collatĂ©raux ». Il s’agit du dĂ©mantèlement dĂ©libĂ©rĂ© d’une sociĂ©tĂ©. Le gĂ©nocide ne concerne pas seulement ce qui est fait, mais aussi les raisons pour lesquelles il est fait. Ă€ Gaza, la destruction ne se limite pas aux cibles militaires, elle vise la vie mĂŞme des Palestiniens. Des civils sont tuĂ©s parce qu’ils sont Palestiniens. Des enfants meurent de faim parce qu’ils sont Palestiniens. Des maisons sont rasĂ©es non pas pour gagner une bataille, mais pour garantir qu’il n’y ait plus de vie possible. Le gĂ©nocide Ă  Gaza ne peut ĂŞtre compris isolĂ©ment. Il s’appuie sur des dĂ©cennies d’occupation, d’apartheid et de dĂ©shumanisation systĂ©matique des Palestiniens. Le rĂ©gime israĂ©lien de suprĂ©matie juive a posĂ© les bases idĂ©ologiques et politiques de ce moment, passant de la domination Ă  l’effacement. L’horrible attaque menĂ©e par le Hamas le 7 octobre 2023 a accĂ©lĂ©rĂ© un processus dĂ©jĂ  en cours et a servi de catalyseur au rĂ©gime israĂ©lien pour passer d’un système de contrĂ´le violent Ă  un gĂ©nocide manifeste. Le traumatisme subi par la sociĂ©tĂ© israĂ©lienne et la peur qu’il a engendrĂ©e ont Ă©tĂ© instrumentalisĂ©s par le gouvernement extrĂ©miste d’extrĂŞme droite israĂ©lien pour promouvoir des politiques que des acteurs clĂ©s cherchaient depuis longtemps Ă  mettre en Ĺ“uvre. Ils ont fourni la justification de chaque action entreprise par IsraĂ«l Ă  Gaza depuis. Le langage de la vengeance et de l’Ă©limination est devenu courant dans le discours israĂ©lien, comme l’ont explicitement dĂ©clarĂ© de hauts responsables politiques et militaires. Les actions de l’armĂ©e israĂ©lienne Ă  Gaza ne constituaient pas une dĂ©viation, mais l’exĂ©cution directe et quasi mot pour mot de ces menaces. Le mĂŞme rĂ©gime, ses commandants et son armĂ©e intensifient Ă©galement la violence en Cisjordanie, Ă  JĂ©rusalem-Est et en IsraĂ«l. Dans toutes ces rĂ©gions, les Palestiniens sont confrontĂ©s Ă  une violence croissante, Ă  des dĂ©placements forcĂ©s et Ă  des punitions collectives. Si le gĂ©nocide est commis Ă  Gaza, un dĂ©clencheur appropriĂ© pourrait le propager rapidement Ă  d’autres zones contrĂ´lĂ©es par IsraĂ«l. Aucun mĂ©canisme n’est en place pour empĂŞcher IsraĂ«l de nuire aux Palestiniens, qui se retrouvent sans protection.Il s’agit d’un gĂ©nocide, et il se dĂ©roule en ce moment mĂŞme, en temps rĂ©el et au vu et au su du monde entier. Il faut dĂ©noncer ce gĂ©nocide et tout mettre en Ĺ“uvre pour l’arrĂŞter. Il ne peut y avoir aucune justification ni explication Ă  un gĂ©nocide. Lire le rapport complet, « Notre gĂ©nocide » >>


Je suis #Israël.
Je ne rate jamais une occasion de me poser en victime tout en exerçant la violence.
En 1947, les #NationsUnies m’ont donnĂ© plus de la moitiĂ© des terres d’autrui. Un don que je n’avais pas mĂ©ritĂ©, de puissances coloniales qui n’en Ă©taient pas propriĂ©taires. J’ai acceptĂ©. Mes voisins ont protestĂ©. J’ai appelĂ© cela la guerre, et dans le chaos, j’ai commencĂ© mon nettoyage. Plus de 700 000 #Palestiniens ont Ă©tĂ© chassĂ©s de chez eux – certains ont fui, certes – mais beaucoup ont Ă©tĂ© chassĂ©s sous la menace des armes, leurs villages rasĂ©s, leurs noms effacĂ©s.
Puis j’ai plantĂ© des pins sur les ruines, pour cacher le souvenir. Des forĂŞts lĂ  oĂą se trouvaient autrefois des maisons. Des parcs sur des cimetières. J’ai verdi pour que le monde ne voie pas le noir en dessous. J’ai appelĂ© cela « reforestation ». Ils ont appelĂ© cela « effacement ».
Je suis Israël.
Je n’ai jamais choisi la paix, seulement la domination.
En 1967, j’ai lancĂ© une guerre prĂ©ventive et pris Gaza, la Cisjordanie, JĂ©rusalem-Est, le plateau du Golan et le SinaĂŻ. J’ai prĂ©tendu que c’Ă©tait pour la sĂ©curitĂ©. Je m’y suis accrochĂ© pour le pouvoir. J’ai construit des colonies, une par une, Ă©touffant les villes palestiniennes. Le droit international disait que c’Ă©tait illĂ©gal. Je l’ai ignorĂ©. Ma carte s’est Ă©largie. Leur libertĂ© a rĂ©trĂ©ci.
Je suis Israël.
J’aurais pu mettre fin Ă  l’#occupation. Plusieurs fois. Mais j’ai toujours dit non.
En 2000, Ă  #CampDavid, j’ai proposĂ© un patchwork d’enclaves isolĂ©es, entourĂ©es de murs, de points de contrĂ´le et de soldats. J’ai appelĂ© cela la paix. Les #Palestiniens sont partis. Je les ai traitĂ©s d’extrĂ©mistes. Puis j’ai construit un mur, non pas Ă  ma frontière, mais au plus profond de la leur. J’ai appelĂ© cela la sĂ©curitĂ©. Ils ont appelĂ© cela du vol.
Je suis IsraĂ«l. Je glorifie le militarisme. J’Ă©lève mes enfants dans la croyance qu’ils sont Ă©lus.
Mes manuels scolaires effacent la #Palestine. Mes soldats patrouillent dans les rues, fusils pointĂ©s sur les adolescents. Mes mĂ©dias justifient les bombardements. Mes politiciens plaisantent sur la destruction de #Gaza. J’envoie des frappes aĂ©riennes sur des camps de rĂ©fugiĂ©s, des Ă©coles et des hĂ´pitaux. Puis je dis qu’ils Ă©taient des boucliers humains.
Je suis IsraĂ«l. J’ai Ă©lu un #Netanyahou #ZIONIST đź’© d’origine #polonaise, encore et encore.
Pas une seule fois, par erreur. Mais en toute connaissance de cause. J’ai votĂ© pour des dirigeants qui ont jurĂ© d’Ă©craser les Palestiniens, d’Ă©tendre les colonies, de ne jamais autoriser la crĂ©ation d’un État palestinien. Mes ministres parlent des « Arabes » comme d’une menace dĂ©mographique. Mes colons brĂ»lent des oliviers. Mes foules scandent « Mort aux #Arabes ». J’appelle cela du #patriotisme.
Je suis Israël.
Je parle de démocratie, mais je la refuse à des millions de personnes sous mon contrôle.
Je règne sur des millions de personnes qui ne peuvent pas voter dans le pays qui contrĂ´le leur vie. Je construis des routes qu’elles ne peuvent pas emprunter. Je leur dĂ©livre des permis pour respirer, se dĂ©placer, vivre. Je bombarde Gaza, puis je la boucle et je dis que c’est leur faute. Je dis avoir quittĂ© Gaza, mais je contrĂ´le son air, sa mer et ses frontières. Je dis qu’ils sont libres, puis je les affame.
Je suis Israël.
J’exige la #reconnaissance, mais je n’offre rien en retour.
J’exige que les Palestiniens m’acceptent comme État juif, tout en refusant mĂŞme de prononcer le mot « #Nakba ». J’ignore les maisons, les terres et l’histoire de ceux que j’ai dĂ©placĂ©s. Je dĂ©tiens leurs clĂ©s dans des musĂ©es, pas dans leurs mains. Je refuse aux rĂ©fugiĂ©s leur droit au retour. Je fais des lois qui les qualifient d’« absents », mĂŞme lorsqu’ils sont Ă  deux doigts de la mort.
Je suis Israël.
Je crie Ă  l’#antisĂ©mitisme, alors que je crains que des comptes ne soient rendus.
Je traite toute critique de haineux. Je brouille la frontière entre #judaĂŻsme et #sionisme, utilisant l’un pour masquer les crimes de l’autre. J’instrumentalise l’histoire pour excuser l’apartheid. Je manipule le traumatisme pour justifier la conquĂŞte. Je dis « Plus jamais ça », mais que cela arrive Ă  d’autres, de ma propre main.
Je suis Israël.
Je ne serai jamais en sécurité ‼️
—Le monde entier s’accorde Ă  dire qu’IsraĂ«l n’est pas un État, mais une organisation terroriste organisĂ©e soutenue par le gouvernement amĂ©ricain.🤏🙌

GÉNOCIDE EN DIRECT🚨 Cela vient de se produire Ă  l’instant Ă  Gaza : un journaliste a captĂ© en direct une attaque israĂ©Iienne cibIant des secouristes Ă  l’hĂ´pital Nasser. Ces derniers s’efforçaient d’apporter leur aide aux victimes d’un raid israĂ©Iien qui avait touchĂ© cet hĂ´pital, quelques minutes auparavant.Bilan : 15 personnes tuĂ©es lors de deux frappes israĂ©liennes visant le mĂŞme Ă©tage du complexe mĂ©dical Nasser, parmi elles des secouristes, des patients et trois journalistes.

GÉNOCIDE EN DIRECT🚨 Cela vient de se produire Ă  l’instant Ă  Gaza : un journaliste a captĂ© en direct une attaque israĂ©Iienne cibIant des secouristes Ă  l’hĂ´pital Nasser. Ces derniers s’efforçaient d’apporter leur aide aux victimes d’un raid israĂ©Iien qui avait touchĂ© cet hĂ´pital, quelques minutes auparavant.Bilan : 15 personnes tuĂ©es lors de deux frappes israĂ©liennes visant le mĂŞme Ă©tage du complexe mĂ©dical Nasser, parmi elles des secouristes, des patients et trois journalistes.

Les Signaux d’Alerte IgnorĂ©s

Avant qu’un gĂ©nocide ne se produise, plusieurs signes avant-coureurs peuvent ĂŞtre dĂ©tectĂ©s. Les tensions ethniques, les discours de haine et l’incitation Ă  la violence en sont quelques exemples. Malheureusement, ces signaux sont souvent minimisĂ©s, menant Ă  des consĂ©quences tragiques. La diffusion en direct d’un gĂ©nocide en est une manifestation tragique. Ces Ă©vĂ©nements nous rappellent l’importance de prĂŞter attention aux avertissements et d’agir avant qu’il ne soit trop tard.

La NĂ©cessitĂ© d’une Intervention Internationale

La communautĂ© internationale doit prendre des mesures proactives pour prĂ©venir les gĂ©nocides. Les gouvernements, les ONGs et les citoyens ont un rĂ´le crucial Ă  jouer. S’unir contre ces atrocitĂ©s est essentiel pour assurer la justice et la paix pour les victimes. La diffusion en direct d’un gĂ©nocide devrait ĂŞtre un catalyseur pour l’action, renforçant notre dĂ©termination Ă  mettre fin Ă  de tels comportements barbares. Ensemble, nous pouvons garantir que les atrocitĂ©s du passĂ© ne se reproduisent plus.

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