Guerre à Gaza :«la France viole les règles internationales relatives notamment au Traité sur le commerce des armes», risquant ainsi de devenir complice «de violations du droit international – y compris de crimes de guerre – et d’un possible génocide».

corruption de la Véme République

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Guerre à Gaza : un groupe français équipe des drones israéliens

He should be known as the Speaker for Israel in the US Congress—every time He should be known as the Speaker for Israel in the US Congress—every time he speaks on their behalf, his account gets topped up with a deposit for his efforts Il devrait être connu comme le président d’Israël au Congrès américain : chaque fois qu’il parle en leur nom, son compte est alimenté par un dépôt pour ses efforts. وينبغي أن يُعرف بأنه رئيس إسرائيل في الكونجرس الأميركي: ففي كل مرة يتحدث نيابة عنهم، يتم تجديد حسابه بديعة مقابل جهوده. https://x.com/idocare74/status/1793732395348201517
1⃣À ceux qui accusent le tweet : ➖Qui crient à l’antisémitisme ; ➖Qui inventent un lien avec la shoah ; ➖Qui affirment que l’auteur serait un homme, qui s’appellerait “Mouloud” et qu’il serait islamiste ; ➖Et qui se vantent d’avoir signalé la publication sur PHAROS, et d’avoir porté plainte contre son auteur ; 2⃣Voici ma réponse : Les seuls racistes ici, c’est vous, les auteurs de ces accusations ; ➖Parce que vous avez considéré que les personnes sur les photos serait d’une même religion ; ➖Et que le rédacteur serait forcément un méchant antisémite arabe-musulman ; 3⃣Or : ➖La publication n’accorde aucune importance et ne fait aucune supposition sur la “croyance/religiosité” ou non des personnes sur les photos ; Leur présence dans un même tweet se justifie par leurs seules actions (1). En effet, il sont tous très présents dans les médias, et diffusent le message similaire suivant : ➖Le soutien inconditionnel à Israël ; ➖L’utilisation des termes propagandistes de Tsahal ; ➖L’accusation des soutiens des Palestiniens de terrorisme et d’antisémitisme “couscous “; ➖Le refus de condamner, ni même de reconnaître, que les actes israéliens sur GAZA a déjà causé la mort de dizaines de milliers de civils. Pour rappel : A ce jour, 23 843 Palestiniens ont perdu la vie, dont au moins 5 350 enfants et 3 250 femmes. Ramené à la France, cela donnerait (772.059 français tués dont 173 238 enfants) (2 & 3) ; 4⃣Par ailleurs : ➖Ces personnes sont financées, directement ou indirectement, par le lobby sioniste, pour influencer la politique et l’opinion publique Française ; ➖Elles ont importé le conflit du Moyen-Orient en France ; ➖Elles ont contribué à la division de la France et à la montée de l’extra et ultra droite ; ➖Elles font du mal à notre république et sont, des fois, auteurs d’incitation à la violence envers une partie de la population française. 🟢Alors : Non seulement je maintien le tweet, mais en plus, je demande à mes abonnés de le retweeter au maximum ; ❗️❗️❗️Le temps de l’interdiction de la liberté d’expression, par le chantage à l’antisémitisme, est révolu. ❗️❗️❗️ sources: (2):https://ochaopt.org (3):https://unicef.fr/article/israel-palestine-les-enfants-paient-le-prix-de-la-guerre/ (1):La vidéo présente les propos de 3 personnes sur les photos. Il est difficile de tout mettre dans une seule publication en raison du nombre de propos choquants de ces “personnalités publiques”. La suite sera donc accessible sur la chaîne YouTube, à laquelle vous pouvez vous abonner ici : https://youtu.be/V3W1auMkwz0

Une enquête du site d’investigation Disclose publiée le 17 juin a révélé que le groupe Thales avait vendu à Israël des composants électroniques pour ses drones Hermes 900. Des appareils employés par l’État hébreu dans sa guerre contre le Hamas à Gaza. Lire aussi La France a armé en catimini Tsahal avec la livraison de 100 000 cartouches Selon une enquête publiée le 17 juin par Disclose, l’entreprise française Thales «a récemment livré» à l’État hébreu «des équipements électroniques pour l’assemblage» de drones Hermes 900. Ces drones MALE (moyenne altitude, longue endurance) de reconnaissance seraient employés par Tsahal «dans les bombardements en cours à Gaza», affirme le site d’investigation. Celui-ci déclare avoir recensé «au moins huit frappes meurtrières perpétrées par des drones israéliens contre la population ou des infrastructures civiles à Gaza» depuis le déclenchement du conflit en octobre 2023. Décompte effectué en «compilant plusieurs rapports d’ONG et des déclarations» de Tsahal, a précisé le média français. «Malgré l’usage des Hermes 900 dans les bombardements en cours à Gaza, le groupe Thales, détenu à 26% par l’État français, a récemment livré des équipements électroniques pour l’assemblage de ces drones armés, comme le révèlent une dizaine de documents confidentiels obtenus par Disclose», est-il stipulé. Une livraison estimée à plus de 400 000 euros D’après ces sources, ces équipements vendus à l’État hébreu seraient des transpondeurs, d’une valeur «de 55 000 euros l’unité». Un matériel classé par le ministère français des Armées dans la catégorie des «systèmes de surveillance, de poursuite de cible et de reconnaissance», permettant notamment aux drones israéliens d’éviter toute collision ou des tirs «amis» entre aéronefs, développe le média. «Au moins huit de ces transpondeurs devaient être expédiés en Israël entre décembre 2023 et fin mai 2024, soit plusieurs mois après les premiers bombardements aériens de Tsahal», stipule Disclose, qui ajoute : «deux d’entre eux ont été livrés au début de l’année 2024. Les six autres unités seraient bloquées par les douanes françaises». Une expédition qui, souligne le média, était prévue fin mai 2024, mais «selon nos informations, les colis sont actuellement bloqués à l’aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle, faute d’autorisation des douanes». Ce n’est pas la première fois que le média d’investigation s’intéresse aux livraisons d’armes françaises à Israël. En mars dernier, Disclose révélait que la France avait livré, en catimini, plus de 100 000 pièces de cartouches à l’armée israélienne, et ce, en pleine offensive de Tsahal à Gaza. La France complice potentiel «de violations du droit international», estiment des ONG Concernant la vente d’armes françaises à Israël, le ministre des Armées, Sébastien Lecornu, avait déclaré dans un article de Mediapart le 24 janvier que Paris exportait «des équipements militaires à Israël afin de lui permettre d’assurer sa défense, comme l’article 51 de la Charte des Nations unies lui en donne le droit», sans plus de précisions. Selon le dernier rapport sur les exportations d’armement de la France, Paris a vendu pour 208 millions d’euros de matériel militaire à Israël sur dix ans, dont 25,6 millions en 2022. Le 20 mars, la porte-parole du gouvernement Prisca Thévenot affirmait : «Nous ne livrons des armes que dans le cadre de composants défensifs pour le Dôme de fer.» Mi-avril, huit ONG ont déposé des référés devant le tribunal administratif de Paris afin de s’opposer aux ventes d’armes françaises à Israël. Parmi elles, on retrouve Amnesty International, Action sécurité éthique républicaines (ASER), Attac, la Fédération des Tunisiens pour une citoyenneté des deux rives (FTCR), l’Association France Palestine solidarité (AFPS), l’Association des Marocains de France (AMF), le Comité pour le respect des libertés et des droits de l’homme en Tunisie (CRLDHT) et l’Union syndicale solidaires. Ces organisations soutiennent que «les armes et les équipements militaires que la France exporte vers Israël sont utilisés pour commettre de graves crimes contre des populations civiles dans la bande de Gaza occupée». Elles estiment que «la France viole les règles internationales relatives notamment au Traité sur le commerce des armes», risquant ainsi de devenir complice «de violations du droit international – y compris de crimes de guerre – et d’un possible génocide».

Introduction

Le conflit à Gaza continue de susciter de vives réactions et des débats internationaux. La région est depuis longtemps un point de tension majeur au Moyen-Orient, avec des affrontements récurrents entre Israéliens et Palestiniens. Dans ce contexte complexe, les avancées technologiques jouent un rôle crucial, notamment en ce qui concerne l’utilisation des drones. Ces appareils, devenus indispensables dans les opérations militaires modernes, offrent des capacités de surveillance et d’attaque sans précédent.

Récemment, l’implication d’un groupe français dans l’équipement des drones israéliens a attiré l’attention. Ce partenariat soulève des questions non seulement sur le plan éthique et politique, mais aussi sur les implications stratégiques de cette coopération. En fournissant des technologies avancées à Israël, ce groupe français contribue directement à l’efficacité des opérations militaires menées dans la région. Cette collaboration met en lumière l’interdépendance croissante entre les industries de défense des différents pays et l’importance des alliances technologiques dans les conflits contemporains.

Comprendre l’ampleur et l’impact de cette coopération nécessite une analyse approfondie du rôle des drones dans le conflit de Gaza et des motivations derrière ce partenariat franco-israélien. Cet article se propose de décortiquer ces éléments pour offrir une perspective nuancée sur la situation actuelle. En examinant les différentes facettes de cette collaboration, il devient possible de mieux appréhender les dynamiques à l’œuvre dans cette guerre complexe et les enjeux qui en découlent pour la communauté internationale.“`html

Contexte Historique du Conflit à Gaza

Le conflit israélo-palestinien trouve ses racines dans le début du XXe siècle, avec la montée du sionisme et la résistance arabe à l’immigration juive en Palestine, alors sous domination ottomane et plus tard britannique. La déclaration Balfour de 1917, par laquelle le Royaume-Uni exprima son soutien à la création d’un foyer national juif en Palestine, intensifia les tensions entre les communautés juive et arabe.

Après la Seconde Guerre mondiale, la pression internationale pour la création d’un État juif culmina en 1947 avec le plan de partage de l’ONU, qui proposait la division de la Palestine en deux États indépendants, un juif et un arabe. Les dirigeants arabes rejetèrent le plan, et la proclamation de l’État d’Israël en 1948 déclencha la première guerre israélo-arabe, conduisant au déplacement massif de Palestiniens et à la création de ce que l’on appelle aujourd’hui la bande de Gaza.

La bande de Gaza fut administrée par l’Égypte jusqu’à la guerre des Six Jours en 1967, au cours de laquelle Israël occupa le territoire, ainsi que la Cisjordanie et Jérusalem-Est. Depuis, Gaza est devenue un foyer de résistance palestinienne, notamment avec la création du Hamas en 1987, un mouvement islamiste qui rejette l’existence d’Israël et prône la lutte armée. Les Accords d’Oslo de 1993, qui prévoyaient une autonomie palestinienne limitée, n’ont pas réussi à apporter une paix durable.

L’année 2005 marqua un tournant lorsque Israël se retira unilatéralement de Gaza, démantelant les colonies israéliennes et transférant le contrôle du territoire à l’Autorité palestinienne. Cependant, en 2007, le Hamas prit le contrôle de Gaza par la force, conduisant à un blocus israélo-égyptien et à plusieurs conflits armés entre Israël et les groupes militants de Gaza, exacerbant encore les souffrances de la population civile.

Ces décennies de conflits, d’occupations et de révoltes ont façonné la situation actuelle à Gaza, où les tensions restent vives et les perspectives de paix semblent éloignées. La compréhension de ce contexte historique est essentielle pour appréhender les dynamiques actuelles et les défis persistants dans cette région tourmentée.“`html

Rôle des Drones dans le Conflit

Dans le contexte du conflit à Gaza, les drones jouent un rôle crucial et multifonctionnel. Les forces israéliennes se reposent de plus en plus sur cette technologie avancée pour mener diverses opérations militaires. Les drones, aussi connus sous le nom de véhicules aériens sans pilote (UAV), sont utilisés principalement pour trois missions : la surveillance, le renseignement et les attaques ciblées.

En matière de surveillance, les drones offrent une capacité sans précédent de recueillir des informations en temps réel. Grâce à leurs caméras haute résolution et à leurs capteurs sophistiqués, ils peuvent survoler des zones spécifiques et fournir des images détaillées. Cela permet aux forces israéliennes de surveiller les mouvements et les activités dans des secteurs difficiles d’accès, tout en minimisant les risques pour le personnel militaire. La surveillance constante permet une meilleure compréhension du terrain et des stratégies de l’adversaire.

Concernant le renseignement, les drones sont équipés de technologies avancées de collecte de données, telles que les systèmes d’interception des communications et les capteurs infrarouges. Ces capacités permettent de recueillir des informations critiques sur les positions ennemies, les infrastructures et les mouvements. En analysant les données recueillies par les drones, les forces israéliennes peuvent planifier leurs opérations avec une précision accrue, réduisant ainsi les erreurs et augmentant l’efficacité des missions.

Enfin, les drones sont également utilisés pour des attaques ciblées. Grâce à leur capacité à transporter des armements légers, ils peuvent mener des frappes précises contre des cibles spécifiques. Cette utilisation des drones pour des attaques ciblées permet de réduire les dommages collatéraux et de neutraliser des menaces avec une grande précision. Cela représente une avancée significative par rapport aux méthodes de combat traditionnelles, offrant une alternative plus sûre et plus efficace pour les opérations militaires.

En somme, les drones jouent un rôle indispensable dans le conflit à Gaza, offrant des avantages stratégiques majeurs en termes de surveillance, de renseignement et d’attaques ciblées. Leur utilisation par les forces israéliennes a transformé la manière dont les opérations militaires sont conduites, permettant une approche plus sophistiquée et technologique du combat.

Présentation du Groupe Français

Le groupe français impliqué dans l’équipement des drones israéliens est une entité bien établie dans l’industrie de la défense. Fondée il y a plusieurs décennies, cette entreprise a su évoluer et s’adapter aux besoins changeants du marché mondial de la défense. Son siège social est situé en France et elle dispose de plusieurs filiales et bureaux à travers le monde, reflétant son influence et son envergure internationale.

À ses débuts, le groupe s’est concentré sur la fabrication de composants électroniques pour divers secteurs, avant de se spécialiser dans les technologies de défense au cours des années 1980. Cette transition stratégique a permis à l’entreprise de développer une expertise solide dans les systèmes de communication, de navigation et de surveillance, des compétences essentielles pour l’équipement de drones militaires.

Le portefeuille de produits du groupe est vaste et diversifié. Il comprend des systèmes de radar avancés, des dispositifs de guerre électronique, ainsi que des solutions de cybersécurité. Toutefois, c’est dans le domaine des systèmes de drones et des technologies associées que le groupe a récemment gagné en notoriété. Ses innovations en matière d’intelligence artificielle et de traitement de données en temps réel ont été particulièrement saluées par les experts du secteur.

En termes de relations avec l’industrie de la défense, le groupe français a établi des partenariats stratégiques avec plusieurs gouvernements et organisations militaires à travers le monde. Ces collaborations lui ont permis de participer à des projets de recherche et développement de pointe, renforçant ainsi sa position en tant que leader technologique. Ces alliances ont également facilité l’accès à des marchés internationaux, augmentant considérablement la portée de ses produits et services.

La participation du groupe dans l’équipement des drones israéliens est une extension logique de ses capacités et de son expertise dans le domaine de la défense. En fournissant des technologies de pointe, l’entreprise contribue à la modernisation et à l’efficacité des opérations militaires, tout en poursuivant ses propres objectifs de croissance et d’innovation.

Nature de la Collaboration Franco-Israélienne

La collaboration entre le groupe français et les forces israéliennes repose sur des accords stratégiques et commerciaux visant à fournir des technologies avancées pour les drones militaires. Cette coopération inclut la fourniture de composants critiques et de systèmes de navigation sophistiqués, qui améliorent l’efficacité opérationnelle des drones israéliens. Les technologies fournies par le groupe français se concentrent principalement sur l’optique de haute précision, les systèmes de communication sécurisés, et les logiciels de traitement de données en temps réel.

Les accords commerciaux entre les deux parties sont souvent le résultat de négociations complexes, impliquant non seulement des aspects financiers, mais aussi des considérations géopolitiques. Le groupe français bénéficie de contrats lucratifs, tandis que les forces israéliennes accèdent à une technologie de pointe qui renforce leurs capacités de surveillance et de reconnaissance. Ces accords sont régulièrement renouvelés et mis à jour pour refléter les avancées technologiques et les besoins opérationnels changeants.

En plus des transactions commerciales, il existe également une dimension stratégique à cette collaboration. Les gouvernements des deux pays jouent un rôle crucial en facilitant ces partenariats par le biais de politiques favorables et d’accords bilatéraux. Cette synergie permet non seulement de renforcer la coopération militaire, mais aussi de promouvoir l’innovation technologique et la recherche conjointe. Les échanges de savoir-faire et les programmes de formation mutuelle sont également des aspects clés de cette collaboration, permettant aux ingénieurs et techniciens des deux pays de travailler en étroite collaboration pour développer des solutions innovantes.

En résumé, la nature de la collaboration franco-israélienne dans le domaine des drones militaires est multifacette, englobant des accords commerciaux solides et une coopération stratégique bien définie. Cette alliance technologique contribue à renforcer les capacités militaires israéliennes tout en offrant des opportunités économiques significatives pour le groupe français impliqué.

Réactions et Controverses

La collaboration d’une entreprise française dans l’équipement de drones israéliens utilisés dans le conflit à Gaza a suscité une série de réactions internationales et nationales. Les critiques émanent principalement des organisations de défense des droits de l’homme et des groupes pacifistes, qui dénoncent l’implication de la France dans un conflit controversé. Amnesty International, par exemple, a émis un communiqué condamnant cette coopération, arguant qu’elle pourrait exacerber les violations des droits de l’homme dans la région.

Sur le plan national, les débats éthiques sont également intenses. Certains parlementaires et membres de la société civile remettent en question la moralité de cette collaboration. Ils soulignent le risque de voir la France impliquée indirectement dans des actions militaires controversées, ce qui pourrait ternir son image internationale. En réponse, les défenseurs de cette collaboration font valoir que le partenariat technologique avec Israël est essentiel pour renforcer la sécurité et les alliances stratégiques dans un contexte géopolitique complexe.

Les implications politiques de cette collaboration ne sont pas négligeables. La France, qui joue souvent un rôle de médiateur dans les conflits internationaux, pourrait voir son impartialité remise en question. Les relations diplomatiques avec les pays du Moyen-Orient, en particulier ceux qui soutiennent la cause palestinienne, pourraient être affectées. Les analystes politiques estiment que cette situation nécessitera une gestion diplomatique délicate pour éviter une détérioration des relations bilatérales.

Il est important de noter que ce type de collaboration n’est pas sans précédent et reflète des tendances plus larges dans le commerce international des armes et des technologies militaires. Cependant, la spécificité du contexte gazaoui et les sensibilités qu’il suscite rendent cette situation particulièrement complexe, nécessitant une réflexion approfondie sur les responsabilités éthiques et politiques des acteurs impliqués.

Impact sur le Conflit

L’implication d’un groupe français dans l’équipement de drones israéliens a des répercussions significatives sur le conflit à Gaza. Cette coopération technologique pourrait potentiellement modifier la balance des forces et la dynamique militaire dans la région. Les drones équipés de technologies avancées permettent une surveillance accrue, une reconnaissance plus précise et des frappes ciblées, augmentant ainsi l’efficacité des opérations militaires israéliennes.

Les drones équipés par le groupe français offrent des capacités de surveillance étendues qui améliorent la collecte de renseignements. Ces données jouent un rôle crucial dans la planification et l’exécution des opérations militaires. En fournissant une vue d’ensemble détaillée du terrain et des mouvements ennemis, les drones permettent une prise de décision plus rapide et plus informée. Cela peut donner à l’armée israélienne un avantage stratégique important, rendant ses opérations plus précises et potentiellement réduisant les pertes civiles.

En outre, l’amélioration des capacités des drones peut influencer les dynamiques de pouvoir régionales. La supériorité technologique obtenue grâce à cette coopération peut renforcer la position d’Israël dans le conflit, exerçant une pression supplémentaire sur les factions adverses. Cependant, cela pourrait également intensifier les tensions et provoquer une escalade des hostilités, car les parties opposées pourraient chercher à répondre par des moyens similaires ou en développant leurs propres contre-mesures technologiques.

Enfin, le soutien technologique d’un groupe français à l’armée israélienne soulève des questions d’ordre éthique et politique. Cette collaboration pourrait être perçue comme une prise de position dans le conflit, impactant les relations diplomatiques entre les différents acteurs internationaux. Les implications de cette coopération dépassent donc le simple cadre militaire, influençant également les sphères diplomatiques et géopolitiques.

Conclusion et Perspectives Futures

En récapitulant les points principaux abordés dans cet article, il est clair que la collaboration entre le groupe français et les forces israéliennes pour équiper des drones joue un rôle crucial dans l’évolution du conflit à Gaza. Cette alliance technologique souligne l’importance croissante des drones dans les opérations militaires modernes, offrant des capacités de surveillance et de reconnaissance avancées qui peuvent transformer le champ de bataille. Bien que l’utilisation de ces drones soit controversée, il est indéniable qu’ils fournissent des avantages stratégiques significatifs pour ceux qui les déploient.

Les implications futures de cette collaboration technologique sont vastes. D’une part, elle pourrait inciter d’autres nations ou groupes à investir davantage dans les technologies de drones, exacerbant une course à l’armement technologique. D’autre part, l’adoption accrue de ces technologies pourrait également amener à des débats éthiques et légaux plus intenses concernant leur utilisation, en particulier dans des zones de conflit où les victimes civiles sont une préoccupation majeure.

Par ailleurs, les évolutions du conflit à Gaza pourraient être influencées par ces avancées technologiques. Les drones, avec leurs capacités de précision et leur capacité à opérer sans mettre en danger des soldats, pourraient devenir des outils essentiels pour les forces militaires du monde entier. Cela pourrait également changer la dynamique des futurs affrontements, en rendant les guerres de plus en plus dépendantes de la technologie et de moins en moins du nombre de troupes au sol.

En conclusion, la collaboration entre le groupe français et Israël pour équiper des drones ouvre la voie à de nombreuses questions sur l’avenir des conflits armés et le rôle des technologies dans ceux-ci. Les drones, en tant qu’outils de guerre modernes, continueront sans doute à influencer les stratégies militaires et à susciter des débats sur leur utilisation éthique et légale.

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