Israël est un État illégal

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« Israël est un État illégal »
Par le Dr Ralph Wilde @ La CIJ

« Le plaidoyer du Dr Wilde – TOUT basé sur des faits juridiques et le droit international – détruit complètement la légalité d’Israël, de l’existence d’Israël. Remontant plus de 100 ans, à la Déclaration Balfour de 1917, jusqu’à la « remise » illégale de la Palestine par le Royaume-Uni en 1947 aux Nations Unies »
Par Peter Koenig

DERNIÈRE HEURE : La Cour internationale a déclaré Israël un État illégal.

On Monday 26, February 2024, The Arab League, Zambia, and Turkey, addressed the World Court in The Hague, the International Court of Justice (ICJ), on consequences of Israel’s occupation of Gaza and the West Bank.

See this video recording of the full Court session (2:42:15 h). Starting with min 00:57 of the Youtube recording, Dr. Ralph Wilde, Sr. Council and Advocate, speaks on behalf of Palestine (26 min):

Dr. Wilde’s plaidoyer – ALL based on legal facts and international law – completely destroys the legality of Israel, of Israel’s existence. Going back by over 100 years to the Balfour Declaration of 1917, all the way to the illegal UK “handing over” of Palestine in 1947 to the United Nations.

Arthur James Balfour was a Conservative British politician, then Foreign Secretary, and formerly UK’s Prime Minister (1902-1905).

The Balfour Declaration was a public statement issued by the British Government in 1917 during WWI, announcing its support for the establishment of a “national home for the Jewish people” in Palestine, then an Ottoman region with a small minority Jewish population about 11%.

The Brits claimed unrightfully – as well-illustrated by Dr. Wilde – having the “Mandate” for Palestine (1918-1948), because of the British occupation of territories previously ruled by the Ottoman Empire.

However, the Peace Treaties that brought the First World War to an end, also established the principle of self-determination that emerged after the war.  Meaning that Palestine already in 1918 had the right of self-determination without any mandate of the UK or anybody else over its newly gained sovereignty.

See also this for history on Balfour Declaration.

En novembre 1947, le Royaume-Uni a cédé aux Nations Unies le mandat qu’il s’était illégalement attribué sur la Palestine. L’ONU, nouvellement créée (le 24 octobre 1945 à San Francisco) et ne comptant que 53 membres en 1947, a adopté une résolution de partage par l’Assemblée générale, laquelle n’a pas le pouvoir de ratifier des résolutions juridiquement contraignantes. Par conséquent, le vote de l’Assemblée générale n’a aucune valeur juridique en droit international.

Gaza : Les atrocités d’Israël sioniste sont sans fin.

Cette résolution de l’Assemblée générale de l’ONU portant création d’Israël a rencontré une forte opposition de la part des États arabes, mais l’influence sioniste sur les autres membres de l’ONU était prépondérante. Pourtant, cette résolution n’avait aucun fondement en droit international.

La décision de l’ONU soutenue par le Royaume-Uni a provoqué la Nakba de 1947-1948 (« catastrophe » en arabe), faisant référence au déplacement massif des Palestiniens par les Juifs, qui revendiquaient une partie (près de 80 %) de la Palestine pour devenir Israël (21 670 km² de la Palestine totale, 28 000 km²).

La Nakba s’est transformée en massacre et en premier nettoyage ethnique perpétré par ce qui allait devenir Israël, les Palestiniens déplacés étant privés de leur droit de retourner sur leur terre natale.

Durant la Nakba, Israël a détruit 531 villes palestiniennes et tué quelque 15 000 Palestiniens.

Avant la Nakba, la Palestine était une société multiethnique et multiculturelle, vivant en paix.

Le 14 mai 1948, Israël déclara officiellement son indépendance, proclamée par David Ben Gourion , chef exécutif de l’Organisation sioniste mondiale, président de l’Agence juive pour la Palestine et futur premier ministre d’Israël (voir ceci ).

Depuis 76 ans, les Palestiniens sont considérés et discriminés comme des citoyens de seconde, voire de troisième classe par Israël, pays raciste, et victimes d’innombrables massacres aveugles. Depuis 2007, la bande de Gaza est occupée militairement par les Forces de défense israéliennes (FDI) et est devenue la plus grande prison à ciel ouvert du monde, avec quelque 2,4 millions de Palestiniens confinés sur une superficie de 365 kilomètres carrés.

Voir ici le plaidoyer extraordinaire du Dr Ralph Wilde, présenté le 26 février 2024 devant la Cour internationale de Justice, siégeant au Palais de la Paix à La  Haye :

L’attaque du Hamas du 7 octobre 2023, qui a déclenché la guerre actuelle, avait été planifiée au moins trois ans auparavant par les États-Unis, le Royaume-Uni et Israël. Au cours des quatre derniers mois et demi, elle a coûté la vie à quelque 35 000 Palestiniens, dont 70 % de femmes et d’enfants.

À l’heure actuelle, environ 1,4 million de Palestiniens sont massés à Rafah et dans ses environs, ville frontalière de la péninsule égyptienne du Sinaï. Ils souffrent de la faim, car Israël empêche l’acheminement international de nourriture et d’eau vers Gaza. Selon certaines informations, jusqu’à 7 kilomètres de camions transportant des vivres et une aide vitale pour Gaza seraient bloqués par Israël à l’entrée de Gaza par le point de passage de Rafah.

Malgré les souffrances extrêmes et les pertes humaines massives des Palestiniens, le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi  maintient sa position et déclare officiellement qu’aucun réfugié palestinien ne sera autorisé à entrer en Égypte. Comparons cela aux observations suivantes.

Des photographies aériennes montrent que d’immenses camps de tentes ont été et sont encore construits dans le désert du Sinaï, ce qui laisse à penser que l’allié arabe et supposément palestinien, Abdel Fattah al-Sissi, a conclu un accord secret avec Netanyahu pour accueillir les Palestiniens restants de Gaza – jusqu’à 1,4 million – sous certaines conditions .

L’expulsion des Palestiniens vers le désert du Sinaï constituerait l’ultime nettoyage ethnique de l’État sioniste raciste d’Israël. Elle entraînerait également un nouveau massacre sans précédent dans l’histoire récente.

Mais en quoi consistent ces circonstances particulières ? Malgré l’endettement colossal de l’Égypte, tel que le FMI a récemment bloqué le versement d’un prêt de 3 milliards de dollars, ce même FMI vient d’accorder à l’Égypte un prêt de 10 milliards de dollars pour atténuer les conséquences socio-économiques de la guerre à Gaza.  En langage courant, on parlerait de chantage, ou tout simplement d’achat d’un pays.  Pour plus de détails, voir ce document .

Même des organisations prétendument internationales comme le Fonds monétaire international (FMI) ne sont pas seulement infiltrées par des sionistes, elles sont dominées par eux. Il en va de même pour la Réserve fédérale et les géants financiers qui exercent un contrôle absolu – voir ici .

La question qui se pose est la suivante : dans un monde en constante évolution, qui l’emportera ?

Sera-ce la toute-puissance du sionisme, ou l’énergie positive des arguments déterminés, pacifiques et juridiquement solides présentés par le Dr Ralph Wilde, avocat et défenseur de la Palestine, devant la CIJ le 26 février 2024 ?

L’espoir ne meurt jamais.

Et le poids spirituel des centaines de millions, voire des milliards de personnes à travers le monde, qui soutiennent le peuple palestinien par la seule force de leurs pensées, est extrêmement puissant.

*

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Peter Koenig  est analyste géopolitique et ancien économiste principal à la Banque mondiale et à l’Organisation mondiale de la santé (OMS), où il a travaillé pendant plus de 30 ans à travers le monde. Il est l’auteur de  *Implosion – An Economic Thriller about War, Environmental Destruction and Corporate Greed* (*Implosion : Un thriller économique sur la guerre, la destruction de l’environnement et la cupidité des entreprises*) et  co-auteur de l’ouvrage de Cynthia McKinney, *When China Sneezes:  From the Coronavirus Lockdown to the Global Politico-Economic Crisis* ( Clarity Press – 1er novembre 2020).

Peter est chercheur associé au Centre de recherche sur la mondialisation (CRG). Il est également chercheur principal non résident à l’Institut Chongyang de l’Université Renmin de Pékin.

L’image principale est une capture d’écran de la première vidéo ci-dessus.

La source originale de cet article est Global Research.

Droits d’auteur © Dr Ralph Wilde et Peter Koenig , Global Research, 2024

L’ancien député israélien Moshe a déclaré : « Comme Hitler l’a dit un jour, “Je ne peux pas vivre s’il reste un seul Juif”, nous non plus ne pouvons pas vivre ici s’il reste un seul Palestinien à Gaza. »

Les sionistes commettent un Holocauste 2.0 contre les Palestiniens qui n’ont rien à voir avec l’Holocauste allemand, tout cela pour s’accaparer des terres.

Le monde entier le sait, sauf les sionistes, juifs et non-juifs, qui sont sans âme et sans conscience.

Les sionistes commettent un Holocauste 2.0 contre les Palestiniens qui n’ont rien à voir avec l’Holocauste allemand, tout cela pour s’accaparer des terres.

Le monde entier le sait, sauf les sionistes, juifs et non-juifs, qui sont sans âme et sans conscience.

Les êtres humains évolués sont dégoûtés par les sionistes.

Les êtres humains évolués sont dégoûtés par les sionistes.

Les Israéliens passent leur matinée à cracher et à harceler les touristes chrétiens en leur disant : Nous n’aimons pas votre dieu .

9 ans avant le 7/10/2023, l’actuel ministre sionsiste de la Sécurité Ben-Gvir a célébré avec des colons l’immolation du bébé palestinien Ali Dawabsha, riant, chantant, poignardant et brûlant sa photo. Cet événement, bien sûr, n’a pas été couvert par les médias.

 

Les Dossiers Epstein récemment publiés, qui doivent être révélés en intégralité par la loi, ont vu 119 pages entièrement noircies (parmi d’autres suppressions importantes ailleurs).

Contrairement à cette affirmation, au lieu de transparence, l’administration assure la défense des pédophiles et des violeurs.

Cet endroit, considéré comme la seule prison pour enfants au monde, est situé en Israël. Cette prison israélienne est un monument aux valeurs sionistes : la peur, le contrôle et la destruction systématique de l’espoir palestinien.

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