🇺🇸🇮🇱 “I watched Mossad take over the Pentagon in 2002”
— Lord Bebo (@MyLordBebo) July 14, 2025
— Col. Lawrence Wilkerson told journalist Afshin Rattansi in a recent episode of Rattansi’s show Going Underground.
“Donald Rumsfeld, the secretary of defense, said to my boss one time, ‘hell, I don’t run my building. Mossad… pic.twitter.com/rOBUtdU2k9
Introduction au complot
L’affirmation du colonel Lawrence Wilkerson, ancien chef de cabinet du secrétaire d’État Colin Powell, concernant l’influence présumée du Mossad sur le Pentagone a suscité un débat considérable au sein des cercles militaires et politiques. Bien que profondément controversée, cette affirmation a suscité un regain d’intérêt pour les dynamiques de pouvoir complexes qui définissent la relation entre les agences de renseignement étrangères et les politiques militaires américaines. La position du colonel Wilkerson donne du poids à ses allégations, car il offre un point de vue unique sur le fonctionnement interne du gouvernement américain, en particulier lors des moments clés de l’histoire.
Les commentaires de Wilkerson mettent en lumière les inquiétudes croissantes de nombreux commentateurs et analystes quant à l’influence étrangère au sein du Pentagone, suggérant que le Mossad, l’agence nationale de renseignement d’Israël, pourrait exercer une influence susceptible d’influencer les stratégies de défense américaines. Les implications d’un tel récit sont importantes ; s’il s’avère avéré, il soulève des questions quant à l’intégrité et à l’autonomie des processus décisionnels militaires aux États-Unis. Le débat dépasse la simple spéculation et aborde le domaine de la sécurité nationale et de la souveraineté, suscitant d’importantes discussions sur les limites de l’influence étrangère sur les affaires intérieures.
Dans ce contexte, cette allégation émerge dans un contexte de collaboration historique entre Israël et les États-Unis, notamment en matière de partage de ressources militaires et de renseignements. Si beaucoup prônent une alliance forte, d’autres craignent que de tels partenariats n’entraînent une influence indue sur la politique américaine. Ce discours est crucial pour comprendre comment les allégations de contrôle étranger résonnent non seulement au sein du pouvoir, mais aussi au sein de la population, contribuant à un climat de suspicion et d’anxiété quant aux motivations des engagements militaires américains. Ainsi, la déclaration de Wilkerson sert de catalyseur pour une enquête plus approfondie sur la complexité des relations internationales et les implications de l’influence étrangère perçue sur la stratégie militaire américaine.
Parcours du colonel Lawrence Wilkerson
Le colonel Lawrence Wilkerson, figure éminente des affaires militaires et gouvernementales américaines, a mené une carrière remarquable qui confère un poids considérable à ses réflexions sur les questions de sécurité nationale. Chef de cabinet de l’ancien secrétaire d’État Colin Powell sous l’administration George W. Bush, le colonel Wilkerson a acquis une expérience directe des processus décisionnels de haut niveau, notamment lors des moments clés de la politique étrangère américaine. Son expérience dans l’armée et au sein du gouvernement lui a permis d’acquérir une compréhension approfondie des politiques de défense et de leurs implications plus larges pour la sécurité nationale.
La carrière militaire de Wilkerson a débuté lorsqu’il a rejoint l’armée américaine en 1966. Il a occupé divers postes, notamment pendant la guerre du Vietnam, ce qui a contribué à façonner sa vision de l’engagement militaire et de la politique étrangère. Au fil des ans, le colonel Wilkerson a gravi différents grades, pour finalement obtenir le titre de colonel dans l’armée américaine. Son parcours universitaire, notamment un diplôme en sciences politiques de l’Académie militaire de West Point, a consolidé son expertise en planification stratégique et en opérations militaires.
Après sa retraite du service actif, le colonel Wilkerson s’est consacré à ses études et a enseigné à l’Université George Washington. Il a pu partager ici ses expériences et ses points de vue sur la sécurité nationale, les stratégies de défense et les liens complexes entre politiques gouvernementales et actions militaires. Son implication dans les discussions sur les liens présumés entre les institutions de défense et les influences extérieures, notamment les allégations concernant le contrôle présumé du Pentagone par le Mossad, s’appuie sur sa vaste expérience professionnelle et son engagement en faveur de la vérité. Cette vaste expérience lui confère la crédibilité nécessaire pour exprimer ses préoccupations concernant les complexités de la gouvernance militaire et de l’influence étrangère.
Déclaration expliquée
Lors d’un récent discours sur l’influence des entités étrangères sur les institutions américaines, l’ancien colonel de l’armée américaine Lawrence Wilkerson a expliqué l’affirmation de Donald Rumsfeld selon laquelle le Mossad exerce un certain contrôle sur le Pentagone. Cette déclaration, bien que provocatrice, soulève des questions cruciales quant à la dynamique des opérations de renseignement étranger au sein des structures gouvernementales importantes et à leur impact potentiel sur les politiques de défense nationale.
Rumsfeld, qui a été secrétaire à la Défense sous la présidence de George W. Bush, a fait cette affirmation dans le cadre de discussions plus larges sur les protocoles de sécurité et de renseignement après les événements du 11 septembre 2001. Son commentaire implique que l’agence de renseignement israélienne a un degré d’influence unique sur le Pentagone, suggérant un niveau de collaboration opérationnelle ou d’intérêts partagés qui pourraient façonner la politique américaine.