
JFK a été assassiné 5 mois après avoir prononcé ce discours…
La députée américaine Greene affirme que le président américain JFK a été assassiné en 1963 pour s’être opposé au programme nucléaire d’Israël.
LA VÉRITÉ à PROPOS de JFK ET RFK: La CIA, le Mossad et Lyndon B. Johnson, Président assassiné John F. Kennedy et Robert F. Kennedy. JFK a ordonné AZC pour vous inscrire en tant qu’agents étrangers et empêché Israël de posséder des Armes Nucléaires. JFK était la fin de la CIA et de l’exposition de la Réserve Fédérale.

Johnson voulait être le Président des États-unis et il a pris en charge les Rothschild Etat d’Israël. Après leur assassinat, l’Américain Sioniste Conseil a changé son nom à l’AIPAC et n’ont jamais enregistré en tant qu’Agents Étrangers. Dans le même temps, l’État d’Israël, sous la présidence de Lyndon B. Johnson acquis illégalement des Armes Nucléaires.
Au cours de Lyndon B. Johnson à la Présidence de l’Etat d’Israël est allé à la guerre avec l’Égypte dans les 6 Jours de la Guerre et délibérément attaqué le USS Liberty comme une Opération sous Fausse bannière en essayant de s’enfoncer et de tuer tous les Soldats des etats-UNIS afin de les blâmer l’Egypte pour étendre les 6 Jours de Guerre et de rendre les États-unis impliqués dans le conflit du Moyen-Orient.
Lyndon B. Johnson couvert cette trahison attaque qui a tué 34 Soldats AMÉRICAINS et en a blessé plus de 170 soldats du feu d’une mitrailleuse, de napalm et de bombes larguées sur eux. Il a été confirmé que les services de Renseignement Israéliens ont reçu l’information que c’était un Navire AMÉRICAIN avant l’attaque et le navire a été clairement identifié comme Américain. Cette corruption et l’infiltration n’a jamais cessé, depuis le Kennedy ont été assassinés.
Le fils du Président Kennedy, John F. Kennedy Jr qui allait courir pour le Sénat de New York Siège et, plus tard, devenu Président des États-unis a été assassiné par ces mêmes entités, le Mossad et la CIA, avec l’aide de Bill Clinton pour installer Hillary Clinton.
Le président Atout est au courant de tous ces faits et travaille dur pour exposer tout cela pour le peuple Américain et pour récupérer les Etats-unis d’Amérique à partir d’un contrôle étranger. John F. Kennedy Jr, était un ami personnel du Président de la Trompette et personnellement lui a dit qu’il allait courir pour le Sénat Siège à New York et, plus tard, de devenir le Président des États-unis.
Partager cette vérité avec le monde.
@POTUS
Israel killed JFK and here is the proof.https://t.co/67gkbqPLXc
— Truth Justice ™ (@SpartaJustice) June 24, 2025
Contexte historique
THE TRUTH ABOUT JFK AND RFK: The CIA, Mossad and Lyndon B. Johnson murdered President John F. Kennedy and Robert F. Kennedy. JFK ordered AZC to register as foreign agents and prevented Israel from having Nuclear Weapons. JFK was ending the CIA and exposing the Federal Reserve.… pic.twitter.com/L1h2lOhphp
— Truth Justice ™ (@SpartaJustice) May 19, 2025
Les années 1960 représentent une période tumultueuse pour les États-Unis, marquée par des bouleversements sociaux, des tensions politiques et des défis stratégiques. À cette époque, la guerre froide entre les États-Unis et l’Union soviétique constitue le principal cadre géopolitique. Les États-Unis s’efforcent de contenir l’expansion du communisme, et cette lutte influe sur leur politique étrangère et intérieure. Les événements marquants tels que la crise des missiles de Cuba en 1962 illustrent l’intensité de cette rivalité, plongeant le pays dans un climat de méfiance et de peur.
Sur le plan intérieur, les mouvements pour les droits civiques gagnent en ampleur, revendiquant l’égalité raciale et mettant en lumière les injustices systématiques. La brutale répression de ces mouvements et le contraste entre les idéaux démocratiques évoluant sous Kennedy et la réalité de la discrimination mettent les États-Unis à l’épreuve sur la scène mondiale. Le président Kennedy, dont le mandat débute en 1961, cherche à naviguer dans ces turbulences tout en avançant des initiatives progressistes telles que le Nouveau Front d’action qui vise à moderniser le pays.
Les relations internationales des États-Unis, notamment avec le Moyen-Orient, soulèvent également des préoccupations majeures. Les tensions autour de la création de l’État d’Israël en 1948 et les conflits qui s’ensuivent influent sur la politique américaine dans la région. Le soutien paradoxal aux alliés de l’époque, tout en faisant face à la montée des mouvements nationalistes arabes, souligne les dilemmes que doit affronter l’administration Kennedy. Ce contexte politique et social, marqué par des tensions internes et externes, est essentiel pour appréhender les motivations potentielles derrière l’assassinat de John F. Kennedy, un événement qui a bouleversé la nation et le monde entier.
Le programme nucléaire israélien
Le développement du programme nucléaire d’Israël, qui a débuté dans les années 1950, a suscité de vives préoccupations au sein de la communauté internationale. Ce programme, qui vise à établir une dissuasion face aux menaces potentielles dans une région marquée par des conflits, s’est également heurté aux intérêts stratégiques des États-Unis, en particulier sous l’administration du président John F. Kennedy. Kennedy, tout en soutenant l’État d’Israël, était conscient des implications géopolitiques du projet nucléaire israélien.
Dans les années 1960, alors que les tensions entre Israël et ses voisins arabes s’intensifiaient, la question du programme nucléaire est devenue un point de friction. Kennedy a exprimé des préoccupations quant à la prolifération nucléaire au Moyen-Orient et a cherché à établir un équilibre entre son soutien à Israël et la nécessité d’une stabilité régionale. Il redoutait que le développement d’armes nucléaires par Israël n’entraîne une course à l’armement dans la région et n’affaiblisse la position américaine qui prônait un Moyen-Orient sans armes nucléaires.
Les réunions entre Kennedy et les dirigeants israéliens révélaient souvent une lutte de pouvoir subtile, où Kennedy tentait de persuader Israël d’accepter des restrictions sur son programme nucléaire en échange du soutien américain. Cependant, ces efforts devaient faire face à un Israël déterminé à maintenir une autonomie totale sur ses décisions de défense, ce qui compliquait les relations. Le programme nucléaire israélien, dans ce contexte, illustre les défis d’un partenariat stratégique reliant le soutien américain à la sécurité israélienne tout en cherchant à prévenir la prolifération nucléaire.
Dans cette optique, les tensions entre Kennedy et les dirigeants israéliens se sont intensifiées en raison de cette dynamique complexe, chaque partie poursuivant ses propres intérêts nationaux tout en étant soumise à un environnement international instable.
L’assassinat : Les événements du 22 novembre 1963
Le 22 novembre 1963 marquera à jamais l’histoire des États-Unis, étant le jour où le président John F. Kennedy fut assassiné à Dallas, au Texas. Cet événement tragique s’est produit alors que Kennedy circulait en voiture décapotable dans une procession à travers la ville. La voiture présidentielle, un modèle Lincoln Continental, transportait également le gouverneur du Texas, John Connally, ainsi que les épouses des deux hommes. La cavalcade a débuté par une atmosphère festive, mais elle s’est rapidement transformée en un moment de choc national et international.
Vers 12h30, alors que la voiture présidentielle traversait Dealey Plaza, des coups de feu ont retenti. Selon les témoignages oculaires des personnes présentes à cet instant précis, plusieurs ont entendu au moins trois détonations distinctes. Ces témoins, en état de choc, ont décrit une scène chaotique où la voiture a immédiatement accéléré après les tirs, se dirigeant vers l’hôpital Parkland, tandis que des agents des autorités locales et des services secrets tentaient de comprendre ce qui venait de se passer. Les premières analyses indiquèrent rapidement que les coups avaient été tirés depuis le sixième étage du bâtiment du Texas School Book Depository.
La vidéo de l’assassinat, filmée par Abraham Zapruder, est l’un des éléments les plus significatifs de cet incident. Ce film amateur de 26 secondes est devenu un document historique, fournissant une vision troublante des événements. Il a révélé des détails cruciaux qui ont alimenté les enquêtes ultérieures concernant les circonstances exactes de l’assassinat et le profil des tireurs. Les images, scrutées de près par les experts et les enquêteurs, ont suscité de nombreuses théories et spéculations sur la nature de l’attaque et les motivations derrière cet acte dévastateur.
Lee Harvey Oswald : Le tireur accusé
Lee Harvey Oswald est devenu une figure centrale dans l’univers complexe de l’assassinat de John F. Kennedy, survenu le 22 novembre 1963. Né en 1939 à La Nouvelle-Orléans, Oswald a vécu une enfance difficile, marquée par des déménagements fréquents et un environnement familial instable. En 1956, il s’engage dans le corps des Marines des États-Unis, où il développe un intérêt pour les armes à feu, une compétence qui sera cruciale pour les événements futurs.
Après avoir quitté les Marines, Oswald vit en Union soviétique pendant près de trois ans, où il se marie et acquiert une importante connaissance de la culture communiste. À son retour aux États-Unis en 1962, il continue d’exprimer des opinions politiques radicales, suscitant des préoccupations quant à ses motivations. Ce passé tumultueux incarne un mélange de nationalisme américain et de sympathie pour le communisme, des sentiments qui alimentent les théories du complot autour de son rôle dans l’assassinat de Kennedy.
Oswald a été rapidement désigné comme le principal suspect après le meurtre du président. Il a été arrêté dans un cinéma peu de temps après les événements tragiques, et confronté aux forces de l’ordre, il a nié son implication et a soutenu qu’il était un bouc émissaire. Le procès d’Oswald ne s’est jamais matérialisé, car il a été abattu deux jours après son arrestation par Jack Ruby, ce qui a alimenté la spéculation sur les véritables circonstances de l’assassinat. Cette intervention brutale a empêché toute révélation potentielle de ses motivations réelles et a controversé la manière dont l’enquête a été menée. Ainsi, Oswald demeure une figure ambivalente, oscillant entre suspect, martyr et symbole d’un chapitre sombre de l’histoire américaine.
Les théories du complot
L’assassinat de John F. Kennedy, survenu le 22 novembre 1963, a donné naissance à de nombreuses théories du complot, alimentées par la perplexité et l’émotion suscitées par cet événement tragique. Parmi les multiples spéculations, plusieurs acteurs ont été accusés de participation au meurtre, notamment la CIA, la mafia et des agents étrangers. Chacune de ces théories mérite une analyse approfondie pour évaluer leur plausibilité.
Une des théories les plus répandues implique la CIA, suggérant que l’agence aurait orchestré l’assassinat en raison des politiques de JFK qui, selon certains analystes, étaient contraires aux intérêts stratégiques américains, notamment en ce qui concerne Cuba. Cette hypothèse repose sur le climat de méfiance qui existait entre Kennedy et certains éléments de la communauté du renseignement. De nombreux chercheurs soulignent des incohérences dans les enquêtes officielles, laissant entendre qu’une conspiration pourrait avoir eu lieu.
La mafia est également souvent pointée du doigt, avec l’idée que son implication serait une réponse à la répression des activités criminelles orchestrée par le gouvernement Kennedy. Les liens historiques entre des personnages influents du crime organisé et certains membres de l’administration fédérale pourraient donner du poids à cette théorie. Cependant, le manque de preuves tangibles rend cette théorie difficile à établir comme un fait concret.
Enfin, certains avancent l’idée d’une implication étrangère, suggérant que des États comme l’Union soviétique ou Cuba pourraient avoir eu un motif suffisant pour éliminer JFK. Bien que des tensions existaient durant la guerre froide, le lien direct entre ces acteurs et le meurtre de Kennedy reste terre à terre et souvent considéré comme peu probable par les experts.
En dépit de leur attrait, ces théories du complot doivent être traitées avec prudence. Leur analyse est essentielle pour distinguer les faits avérés des conjectures infondées. La quête de vérité autour de l’assassinat de JFK continue d’interpeller, renforçant les interrogations sur les événements de ce jour fatidique. Les historiens et les chercheurs s’efforcent de démêler le véritable récit de fiction dans cette tragédie politique complexe.
Les conséquences politiques de l’assassinat
L’assassinat de John F. Kennedy, survenu le 22 novembre 1963, a marqué un tournant dans l’histoire politique des États-Unis. Cet événement tragique a provoqué des répercussions immédiates et durables, tant sur le plan national qu’international. Dans l’immédiat, la vice-présidence de Lyndon B. Johnson a pris fin, le propulsant à la présidence dans un contexte de chagrin national et d’incertitude. Johnson a rapidement signé le Civil Rights Act de 1964, démontrant ainsi sa détermination à poursuivre les initiatives progressistes entamées par Kennedy. Ce passage de flambeau a permis de maintenir une certaine continuité dans les objectifs des droits civiques.
D’un point de vue international, l’assassinat a également influencé la politique étrangère des États-Unis. Kennedy avait récemment pris des mesures pour désamorcer les tensions de la guerre froide, notamment par la création d’une ligne directe avec l’Union soviétique. L’arrivée de Johnson a marqué un retour à une approche plus interventionniste, en particulier concernant la guerre du Vietnam. Son objectif de contenir le communisme a entraîné une escalade militaire qui a divisé l’opinion publique américaine et entraîné des protestations massives dans les années suivantes.
À long terme, l’assassinat de JFK a déclenché une méfiance envers les institutions politiques et a eu pour effet d’affaiblir la confiance dans le gouvernement. Les théories du complot entourant cet événement ont persisté, alimentant une culture de scepticisme concernant les décisions et actions des dirigeants. De plus, cet assassinat a contribué à façonner le paysage politique américain en facilitant l’avènement de nouvelles dynamiques et mouvements politiques, dont certains s’opposaient directement à l’établissement traditionnel et à ses politiques. Ainsi, les répercussions de l’assassinat de John F. Kennedy continuent d’influencer la politique américaine, tant sur le court que sur le long terme.
Les enquêtes officielles
L’assassinat de John F. Kennedy, survenu le 22 novembre 1963, a suscité une multitude d’enquêtes officielles visant à établir les circonstances de sa mort. La plus connue d’entre elles est la Commission Warren, instaurée peu après l’événement. Cette commission, dirigée par le juge Earl Warren, avait pour mission d’examiner les faits et de déterminer si le tireur, Lee Harvey Oswald, avait agi seul ou s’il existait d’autres conspirateurs. Le rapport final, publié en septembre 1964, conclut qu’Oswald avait agi seul et qu’il n’y avait aucune preuve d’une conspiration, qu’elle soit nationale ou internationale.
Le rapport de la Commission Warren a été critiqué pour plusieurs raisons. Tout d’abord, beaucoup ont souligné un manque de transparence dans ses méthodes de recherche. Des informations cruciales ont été omises, et les évaluations des témoins ont souvent été remises en question. De plus, certaines preuves physiques, comme les balles et les douilles retrouvées, n’ont pas été analysées de manière approfondie. Les critiques affirment qu’une grande partie du travail de la Commission Warren reposait sur des témoignages controversés et des hypothèses qui n’ont jamais été vérifiées de manière indépendante.
Les critiques à l’encontre de la Commission Warren ont ouvert la voie à d’autres enquêtes, notamment le rapport du House Select Committee on Assassinations dans les années 1970. Ce dernier a conclu qu’il existait des “preuves acoustiques” suggérant qu’il pourrait y avoir eu plusieurs tireurs. Néanmoins, ce rapport a également été entaché de controverses, avec des débats sur la fiabilité de ces preuves acoustiques. Ces enquêtes ont façonné la perception publique de l’assassinat, alimentant des théories du complot et une méfiance persistante à l’égard des conclusions officielles. Ainsi, malgré les efforts déployés pour faire la lumière sur cet événement tragique, le mystère entourant l’assassinat de Kennedy perdure, laissant aux historiens et au grand public de nombreuses questions sans réponses.
Les témoignages des contemporains
Les événements tragiques entourant l’assassinat de John F. Kennedy le 22 novembre 1963 ont laissé une empreinte indélébile dans l’histoire américaine. Les témoignages des contemporains, tant des témoins oculaires que des agents de la loi impliqués dans l’enquête, apportent un éclairage précieux sur les circonstances de cette journée fatidique. Ces récits offrent un aperçu non seulement des événements tels qu’ils se sont déroulés, mais aussi des émotions et des craintes qui ont marqué cette période tumultueuse.
De nombreux témoins oculaires, présents dans Dealey Plaza lors de l’attentat, expriment une grande confusion et un choc immédiat face aux événements. Par exemple, plusieurs d’entre eux décrivent avoir entendu des coups de feu, suivis par des scènes de panique alors que la limousine présidentielle s’éloignait rapidement. Chaque témoignage apporte une perspective unique, mettant en lumière les détails d’une scène chaotique. Certains se souviennent avoir vu des coups de feu provenant de la direction du Texas School Book Depository, tandis que d’autres ressentent encore l’horreur de ces instants, marqués par des cris et une agitation générale.
Les récits des agents des forces de l’ordre, qui ont rapidement pris en charge la scène, sont tout aussi cruciaux. Ils témoignent de la rapidité avec laquelle l’enquête a été engagée et des défis rencontrés dans la collecte de preuves. Les efforts obstinés des enquêteurs ont permis de réunir des éléments qui allaient alimenter des théories sur l’assassinat, tandis que des témoignages contradictoires ont souvent semé le doute sur les événements exacts. Ces perspectives sont essentielles pour comprendre non seulement la tragédie de l’assassinat de John F. Kennedy, mais également la manière dont la société américaine a réagi face à cette crise sans précédent.
L’héritage de John F. Kennedy
John F. Kennedy, le 35e président des États-Unis, a laissé un héritage qui continue d’influencer la culture populaire, la politique et l’historiographie même des décennies après son assassinant en 1963. Sa présidence est souvent associée à des idéaux d’espoir, de changement et d’engagement civique, des thèmes qui résonnent encore profondément dans la société américaine. La manière dont Kennedy a été perçu au cours de sa vie et après sa mort a également façonné la mémoire collective autour de sa figure.
La culture populaire a largement intégré des références à Kennedy, tant dans la littérature que dans les films, les émissions de télévision et les œuvres d’art. Les représentations de JFK sont variées, oscillant entre des portraits idéalisés d’un leader charismatique et des critiques de ses politiques. Films comme “JFK” d’Oliver Stone ont ravivé l’intérêt pour les circonstances mystérieuses entourant son assassinat, ajoutant une couche de complexité à son héritage. Ses discours, en particulier celui portant sur la paix, continuent de résonner et d’inspirer des mouvements de justice sociale dans le monde entier.
En matière de politique, l’héritage de Kennedy se manifeste dans les luttes pour les droits civiques et la lutte contre la pauvreté, des initiatives qu’il a vigoureusement soutenues. Ses idées sur l’engagement international, telles que le programme de la paix du Corps de la paix et son approche de la guerre froide, ont également façonné les perspectives géopolitiques qui persistent. Même aujourd’hui, les discussions sur son impact influencent les politiques contemporaines et encouragent des débats sur l’implication des États-Unis dans le monde.
En somme, l’héritage de John F. Kennedy est complexe et multidimensionnel, renforçant son rôle en tant que figure emblématique de l’histoire américaine. Son assassinat tragique a catalysé un changement durable, laissant une empreinte indélébile qui transcende les frontières nationales et continue d’alimenter la mémoire collective.
En comptant le nombre de personnes tuées, disparues ensevelies sous les décombres, ou encore blessées c’est UN QUART de la population de Gaza qui est directement victime du génocide commis par Israël . Tous les politiques, les médias, les pseudo intellectuels qui ont cautionné,… https://t.co/M4o4iAkAYB
— Rima Hassan (@RimaHas) June 24, 2025
As a mother, you don’t have the courage to condemn the israeli murder of 18,000 Palestinian children, says Italian politician @AngeloBonelli1 pic.twitter.com/bD2FzSMiPq
— Sarah Wilkinson (@swilkinsonbc) June 24, 2025
C’est pourquoi JFK a ordonné par la loi que le Conseil sioniste américain d’Israël, l’AIPAC, s’enregistre en tant qu’agents étrangers en raison de leur influence illégale et de leur contrôle sur la politique étrangère de l’Amérique. Une réunion de l’AIPAC qui a fait l’objet d’une fuite montre que Marco Rubio, John Ratcliffe et Mike Waltz ont tous été illégalement influencés et soumis à des pressions de la part de l’AIPAC, qui est une nation étrangère.
Après que le Mossad, la CIA et Johnson aient assassiné le président Kennedy, l’AZC, maintenant l’AIPAC ne s’est jamais enregistré en tant qu’agent étranger. Les Américains doivent exiger que l’AIPAC s’enregistre en tant qu’agents étrangers afin de mettre fin à l’influence et au contrôle de l’État profond sur l’Amérique. Nous devons terminer ce que JFK et RFK ont commencé.
@POTUS
Voir la vidéo ci-dessus dans ce fil pour des preuves plus détaillées de qui a assassiné notre bien-aimé président John F. Kennedy et son frère Robert F. Kennedy. Soyez courageux et battez-vous pour l’Amérique.
THE TRUTH ABOUT AIPAC: This is why JFK ordered by law that Israel’s American Zionist Council, AIPAC register as Foreign Agents because of their unlawful influence and control over America’s foreign policy. Leaked AIPAC meeting shows Marco Rubio, John Ratcliffe and Mike Waltz all… pic.twitter.com/9rZlWes2YE
— Truth Justice ™ (@SpartaJustice) May 31, 2025
It Was The KM MOS Correct https://t.co/1k0iLa9PpO
— Not Op Cue (@NotOpCue) May 30, 2025
Quote Dr Syed
— Jytte (@HarkjJytte) May 28, 2025
It must not be forgotten for one moment that Israel was created as a result of the machinations of the Rothschilds, and one may refer to it as a Rothschild state or the Rothschild outpost in the Middle East. The JFK clash with Israel was also a clash with the…
Quelle était la motivation et l’intérêt d’Israël pour l’élimination du président John F. Kennedy (JFK) ? Le conflit entre JFK et Israël était simple, même si la correspondance entre JFK et Ben Gourion, qui contenait des preuves de ce conflit, n’a été déclassifiée qu’au moins trois décennies après l’assassinat de JFK. Certaines parties sont restées confidentielles même après plus de quatre décennies. Rien dans cette correspondance n’aurait dû être gardé secret aussi longtemps. Elle révèle très clairement que JFK souhaitait en savoir plus sur les activités du réacteur nucléaire construit secrètement à Dimona. JFK voulait s’assurer qu’Israël ne devienne pas une puissance nucléaire. La véritable raison de la dissimulation de cette correspondance était peut-être d’empêcher le peuple américain d’avoir connaissance du programme nucléaire secret d’Israël. Une telle prise de conscience de la part du peuple américain aurait certainement conduit, à l’époque, à la suspension de l’aide américaine indispensable à Israël. Le véritable bénéficiaire de cette déclassification tardive était Israël seul. Une raison plus profonde pourrait être que si le public avait eu connaissance de cette correspondance, le Mossad aurait été, avec la CIA, un véritable suspect dans l’assassinat de JFK.
Il ne faut pas oublier un seul instant qu’Israël est né des machinations des Rothschild, et on peut le qualifier d’État Rothschild ou d’avant-poste Rothschild au Moyen-Orient. L’affrontement entre JFK et Israël était aussi un affrontement avec les banquiers internationaux qui contrôlent Israël. La CIA et Israël ont les mêmes maîtres, et ces derniers s’étaient retournés contre JFK. Puisque le Mossad et la CIA travaillent tous deux pour les banquiers internationaux, leur implication dans l’assassinat de JFK ne devrait pas surprendre ceux qui étudient ces questions.
Ben Gourion fut Premier ministre d’Israël de 1948 à 1963 (il démissionna le 16 juin 1963). L’écrivain israélien Avner Cohen écrit dans son livre « Israël et la bombe » (Columbia University Press) :
« Imprégné des leçons de l’Holocauste, Ben Gourion était consumé par des craintes pour sa sécurité… L’anxiété liée à l’Holocauste a dépassé Ben Gourion pour imprégner la pensée militaire d’Israël… Ben Gourion n’avait aucun scrupule quant au besoin d’Israël d’armes de destruction massive… La vision du monde de Ben Gourion et son style de gouvernement décisif ont façonné son rôle crucial dans l’incitation au progrès nucléaire d’Israël. »
Kennedy était très ferme sur le fait qu’Israël ne devait pas devenir une puissance nucléaire. Lorsque les États-Unis découvrirent qu’Israël avait secrètement construit un réacteur nucléaire à Dimona, JFK écrivit à Ben Gourion pour exiger que les États-Unis soient autorisés à envoyer leurs inspecteurs vérifier si le réacteur était utilisé à des fins pacifiques. Ben Gourion désapprouva vivement cette décision et hésita à autoriser les inspecteurs américains à inspecter Dimona. Cette réticence donna lieu à un échange de lettres si intense qu’il resta confidentiel pendant des décennies après l’assassinat de JFK.
Le 16 mai 2016, Avner Cohen et William Burr ont publié un article important, basé sur des documents des Archives de sécurité nationale de l’Université George Washington, sur le thème « Kennedy, Dimona et le problème de la prolifération nucléaire 1961-1962 » . Ils écrivent :
Le président John F. Kennedy craignait que le programme nucléaire israélien ne représente un risque de prolifération potentiellement grave et a insisté pour qu’Israël autorise des inspections périodiques afin d’atténuer ce danger, selon des documents déclassifiés publiés aujourd’hui par les Archives de la sécurité nationale, le Projet international d’histoire de la prolifération nucléaire et le Centre James Martin pour les études sur la non-prolifération. Kennedy a fait pression sur le gouvernement du Premier ministre David Ben Gourion pour qu’il empêche un programme nucléaire militaire, notamment après que des visites orchestrées des installations de Dimona pour des scientifiques du gouvernement américain en 1961 et 1962 ont éveillé les soupçons des services de renseignement américains quant à la dissimulation par Israël de ses visées nucléaires. L’objectif à long terme de Kennedy, comme le montrent les documents, était d’élargir et d’institutionnaliser les inspections de Dimona par l’Agence internationale de l’énergie atomique.
Ben Gourion rencontra JFK à Washington le 30 mai 1961. Le tout premier point à l’ordre du jour fut le programme nucléaire israélien. Le secrétaire d’État adjoint Phillips Talbot prit des notes de la réunion, soulignant que Ben Gourion parlait très vite et à voix basse, de sorte que certaines phrases ou certains mots étaient omis. Talbot se souvient que Ben Gourion avait évoqué une usine pilote de traitement du plutonium, mais avait souligné que, malgré son potentiel militaire, le programme nucléaire israélien avait une finalité économique et pacifique. Le memcon officiel du gouvernement américain « conserva la phrase concernant le plutonium, mais omit les termes « usine pilote » et « capacité d’armement ». » Il est désormais bien connu que JFK n’a jamais admis que le programme nucléaire israélien était pacifique et que la prolifération nucléaire était son cauchemar. Par conséquent, sa tentative d’empêcher Israël de se doter de l’arme nucléaire était imprégnée d’un sentiment d’urgence et d’émotion. Les services de renseignement américains soupçonnaient fortement Israël de se doter d’un programme d’armement nucléaire. Un rapport du National Intelligence Estimate (NIE) établi quelques mois après la rencontre entre JFK et Ben Gourion suggère qu’Israël aurait peut-être déjà entamé un programme d’armement nucléaire ou mis en place un programme lui permettant de devenir une puissance nucléaire lorsqu’il le souhaiterait. Dans une lettre échangée avec JFK, Ben Gourion déclarait : « Monsieur le Président, mon peuple a le droit d’exister, et cette existence est en danger. » Ben Gourion avait décidé de ne pas dire la vérité sur le programme nucléaire israélien, même en privé. Cependant, JFK déclara à son ami le journaliste Charles Bartlett : « Ces fils de pute me mentent constamment sur leur capacité nucléaire. » L’affaire était donc, sans aucun doute, très controversée et JFK en vint à être considéré comme un ennemi d’Israël. On a dit que la résistance opposée par Ben Gourion à JFK avait contribué à sa démission.
Les divergences entre JFK et Ben Gourion devinrent très nettes en 1963. JFK écrivit à Levi Eshkol peu après avoir succédé à Ben Gourion au poste de Premier ministre israélien. Il écrivit :
Je regrette de devoir alourdir votre charge de travail si tôt après votre prise de fonctions, mais j’estime que l’importance cruciale de ce problème nécessite que j’aborde avec vous dès maintenant certaines considérations supplémentaires, découlant de la lettre de M. Ben Gourion du 27 mai, concernant la nature et le calendrier de ces visites.
Je suis sûr que vous conviendrez que ces visites devraient être aussi conformes que possible aux normes internationales, dissipant ainsi tous les doutes quant à l’objectif pacifique du projet de Dimona. Comme je l’ai écrit à M. Ben Gourion, l’engagement et le soutien de ce gouvernement envers Israël pourraient être sérieusement compromis si l’on pensait que nous ne parvenions pas à obtenir des informations fiables sur un sujet aussi crucial pour la paix que la question des efforts d’Israël dans le domaine nucléaire.
Le 27 mai, JFK avait écrit à Ben Gourion que le soutien américain à Israël était conditionné à la transparence sur son programme nucléaire. Il s’agissait d’une sorte d’ultimatum, répété à Levi Eshkol. L’historien israélien Evner Cohen mentionne que cet ultimatum « a précipité une situation de quasi-crise dans le bureau d’Eshkol ». Comment les Rothschild et leurs frères banquiers francs-maçons sionistes pouvaient-ils laisser l’existence d’Israël être mise en péril ? Ils avaient mené deux guerres mondiales sanglantes, la création d’Israël étant l’un de leurs principaux objectifs. Chaque pas de JFK en faveur d’un monde pacifique faisait de lui un homme à abattre aux yeux des banquiers internationaux et de leurs alliés serviles.
Dans son remarquable livre Final Judgement: The Missing Link in the JFK Assassination Conspiracy , publié pour la première fois en 1995, Michael Collins Piper écrit dans la préface :
La relation étroite et de longue date entre Israël et les ennemis de JFK au sein de la CIA est de plus en plus connue du grand public. La guerre de JFK contre la CIA est de notoriété publique. Cependant, au moment de l’assassinat du président, l’ampleur et la profondeur des relations de la CIA avec le Mossad israélien étaient moins connues. De plus, comme j’ai commencé à le découvrir, les alliés d’Israël au sein du Syndicat Lansky entretenaient des relations bien plus profondes avec la CIA que la plupart des chercheurs ne l’imaginaient.
Par exemple, James Jesus Angleton, chef du bureau de contre-espionnage de la CIA, était, selon Michael Collins Piper, « le principal conspirateur de haut niveau de la CIA dans l’assassinat du président Kennedy et la dissimulation qui a suivi. Angleton, qui avait été coopté par le Mossad israélien et lui était totalement fidèle, a joué un rôle majeur dans le piégé de Lee Harvey Oswald. » Oswald, rappelons-le, était présenté comme l’homme qui a tiré sur JFK depuis le Book Depository et a été abattu deux jours après son arrestation par Jack Rubinstein (Ruby).
Le procureur Jim Garrison avait ciblé Clay Shaw, se faisant passer pour un homme d’affaires de La Nouvelle-Orléans, comme participant au complot visant à assassiner JFK. Cet événement était d’une importance capitale. Bien que le célèbre film d’Oliver Stone, JFK, montre que Clay Shaw était un agent de la CIA, il omet de mentionner ses liens étroits avec le Mossad. La raison de cet échec réside très probablement dans le fait que le film a été produit par un espion israélien nommé Arnon Milchan. Milchan, impliqué dans la vente de déclencheurs nucléaires à Israël, a financé le film. Par conséquent, l’un des objectifs de la production de Milchan était très probablement de détourner l’attention du rôle du Mossad dans l’assassinat de JFK et de se concentrer uniquement sur la CIA.
En 1963, Clay Shaw siégeait au conseil d’administration de Permindex, une société basée à Rome. Des enquêtes ont révélé que Permindex était une société écran du Mossad. Des recherches ont révélé que l’un des propriétaires de Permindex était la Banque de Crédit de Genève. Cette dernière est connue pour avoir blanchi de l’argent pour le chef mafieux juif Meyer Lansky, dont le nom a également été mentionné dans le complot lors des enquêtes sur l’assassinat de JFK. La Further Banque de Crédit a été fondée par Tibor Rosenbaum, connu pour son implication dans le financement du Mossad et l’approvisionnement en armes des services de renseignement israéliens. Rosenbaum a d’ailleurs été mentionné comme ancien directeur des finances et de l’approvisionnement du Mossad. La Banque de Crédit était donc en pratique une institution travaillant pour Israël et ses services de renseignement. Son lien avec Permindex est donc très significatif. Permindex appartenait à la CMC de Rome, elle-même fondée par un Juif hongrois très influent, George Mandel, intimement lié au Mossad et, bien sûr, à Israël. Selon certains auteurs, il fut « le premier à lancer des rumeurs selon lesquelles Auschwitz était un camp de la mort ». (Voir https://vidrebel.wordpress.com/2014/11/22/israel-killed-jfk-and-has-ruled-america-ever-since/ , 22 novembre 2014). En fait, dans les années 1970, Jim Garrison possédait le manuscrit d’un roman sur l’assassinat de JFK, dans lequel la responsabilité était imputée au Mossad. Cette révélation a été faite par l’écrivain AJ Weberman, un citoyen israélo-américain, qui affirme que Jim Garrison lui avait demandé de l’aider à trouver un éditeur pour ce roman.
Mais la découverte la plus étonnante a été faite par un Canadien, Maurice Phillipps. Il a pu étudier les documents de Louis Bloomfeld, PDG et principal actionnaire de Permindex. L’auteur Michael Collins Piper a décrit cette découverte dans un article publié sur le site web de l’American Free Press le 21 novembre 2013. https://americanfreepress.net/rothschild-link-to-jfk/#more-13765
Il écrit :
« Les documents découverts par l’auteur canadien Maurice Phillipps démontrent sans l’ombre d’un doute que l’associé de Shaw au conseil d’administration de Permindex (son directeur général et principal actionnaire), Louis Bloomfield de Montréal, était un avocat de longue date de la dynastie Rothschild, en particulier du baron Edmund de Rothschild de Londres, depuis la Seconde Guerre mondiale. »
En s’appuyant sur les travaux de Phillipps, Piper a également souligné que :
« Des documents indiquent que Bloomfield était si proche de Rothschild qu’il (Bloomfield) a constitué (au Canada) et était actionnaire de Tri Continental Pipe Line Ltd. (décrite par Phillipps comme « une importante société Rothschild ») à laquelle Israël a accordé un droit exclusif de 49 ans sur l’utilisation d’un pipeline de 16 pouces entre la mer Rouge et Haïfa en Israël. »
Piper ajoute :
Le lien avec Israël n’est pas surprenant. Les Rothschild ont été les principaux mécènes d’Israël. De plus, Bloomfield et le baron montréalais de l’alcool Sam Bronfman – président du Congrès juif mondial, avec lequel Bloomfield était également étroitement lié – faisaient partie d’une clique de barons de l’argent qui, dans les années 1950, financèrent le programme secret d’armement nucléaire d’Israël. Selon l’auteur israélien Michael Karpin, le Premier ministre israélien David Ben Gourion qualifiait ces donateurs de « consécrateurs », suggérant, comme l’a souligné Karpin, qu’« aux yeux de Ben Gourion, le projet nucléaire était sacré ».
Il est intéressant de noter que feu Sir Edgar Bronfman recevait 240 millions de dollars américains par an de la pègre pour avoir autorisé l’exportation d’héroïne du Canada vers les États-Unis (voir https://vidrebel.wordpress.com/2014/11/22/israel-killed-jfk-and-has-ruled-america-ever-since/ ). À la lumière des documents légués par Bloomfield aux Archives nationales canadiennes, il est très clair que le PDG de Permindex, auquel Clay Shaw était associé, était intimement lié aux dirigeants sionistes, en particulier aux Rothschild et aux Bronfman. Ainsi, le lien entre Permindex et l’assassinat de JFK mène directement aux Rothschild et à leurs frères sionistes. Bien sûr, l’auteur Michael Collins Piper avait, dès 1995, désigné le Mossad comme le véritable coupable de l’assassinat de JFK dans son livre « Jugement final : le chaînon manquant de la conspiration pour l’assassinat de JFK » . Piper a d’ailleurs été retrouvé mort dans une chambre de motel en 2015, à l’âge de 54 ans. Aucune autopsie n’a été pratiquée ! Il est probable qu’il ait été assassiné pour avoir révélé le rôle du Mossad dans l’assassinat de JFK et d’autres enquêtes qu’il menait probablement. L’histoire de la mort de Piper est disponible à l’adresse suivante : http://www.cdapress.com/news/local_news/article_924e812e-1518-5dfb-b89a-09210fcf5ef9.html .
L’enquête du procureur Jim Garrison a également permis d’identifier Meyer Lansky comme une figure impliquée dans le complot visant à assassiner JFK. Tous les membres de la mafia impliqués dans ce complot étaient liés à Lansky. Par exemple, Jack Rubinstein, dit Jack Ruby, était un homme de Lansky ; il a tué Lee Harvey Oswald. Et qui était Lansky ? Meyer Lansky était un Juif qui avait pris la tête de la mafia à son ami Lucky Luciano. Luciano, rappelons-le, purgeait une peine à la prison de Clinton lorsqu’il fut arrêté par l’ONI, qui parvint à le faire libérer afin de pouvoir l’utiliser pour le trafic de drogue en Sicile afin de financer l’opération Gladio. Lansky avait joué un rôle clé dans la création de Las Vegas et d’Israël. Les casinos qu’il avait créés blanchissaient à la fois l’argent des opérations secrètes de la CIA et celui de la mafia juive. Comme le déclare Peter Dale Scott ( Deep Politics and the Death of JFK, p. 98) :
Lansky a mis sur pied une chambre de compensation nationale pour le blanchiment d’argent du milieu clandestin. Lansky a marqué l’histoire financière en ouvrant des comptes en Suisse pour Huey Long et d’autres dirigeants, créant ainsi un canal pour le flux de capitaux de la mafia d’après-guerre vers des paradis fiscaux, des Bahamas au Vanuatu.
Piper mentionne que Menachim Begin, devenu Premier ministre israélien, a été « surpris en train de conspirer avec Mickey Cohen, l’homme de main californien de Meyer Lansky, lors d’une conversation suggérant des intentions hostiles d’Israël contre le président américain ». Pipe souligne également qu’Yitzhak Shamir « dirigeait l’escadron d’assassinats du Mossad au moment de l’assassinat de JFK. Un ancien officier des renseignements français a accusé Shamir lui-même d’avoir organisé le recrutement des véritables assassins de JFK par l’intermédiaire d’un proche allié des services de renseignements français ». L’agent de la CIA E. Howard Hunt a avoué à son fils, peu avant sa mort, qu’il y avait un assassin français parmi les assassins de JFK.
La dissimulation de la correspondance JFK-Ben Gourion et l’absence totale de mention, dans le film « JFK », des liens de Clay Shaw avec le Mossad sont les deux faces d’une même médaille. L’objectif est de maintenir l’opinion publique américaine dans l’ignorance des liens entre Israël et l’assassinat de JFK. Israël, la CIA, Wall Street et le complexe militaro-industriel sont tous soumis à la volonté des grandes familles de banquiers internationaux, les Rothschild en tête. À la lumière des travaux de feu Michael Collins Piper, la révélation de 1986 du lanceur d’alerte israélien Mordecai Vanunu prend encore plus d’importance. Comme le dit un auteur ( https://vidrebel.wordpress.com/2014/11/22/israel-killed-jfk-and-has-ruled-america-ever-since/ ) :
Mordecai Vanunu fut le premier lanceur d’alerte. En 1986, il révéla au monde qu’Israël possédait l’arme nucléaire et publia des photos des installations secrètes de Dimona dans la presse britannique. Il affirma que le Premier ministre Ben Gourion avait ordonné l’assassinat de JFK parce que le président s’opposait à l’acquisition d’armes nucléaires par Israël. Ben Gourion démissionna pour protester contre la politique israélienne de JFK. Vanunu écrivit également une lettre en 1997 affirmant qu’il existait même un lien entre l’assassinat de Kennedy et le déclenchement de la guerre de 1967 par Israël.
Les recherches de Piper se sont également concentrées sur l’évolution de la politique américaine à l’égard d’Israël après l’assassinat de JFK. Un article publié sur www.john-f-kennedy.net résume le changement de politique américaine consécutif à l’assassinat de JFK. Intitulé « Le Mossad et l’assassinat de JFK » , cet article souligne :
Si vous n’êtes toujours pas convaincu, quelques chiffres ? Lors du dernier budget de Kennedy, en 1964, l’aide israélienne s’élevait à 40 millions de dollars. Lors du premier budget de LBJ, en 1965, elle a atteint 71 millions de dollars, et en 1966, elle a plus que triplé par rapport à deux ans plus tôt, pour atteindre 130 millions de dollars ! De plus, sous l’administration Kennedy, presque aucune de nos aides à Israël n’était de nature militaire. Elle était répartie à parts égales entre des prêts au développement et une aide alimentaire dans le cadre du programme PL 480. Pourtant, en 1965, sous l’administration Johnson, 20 % de notre aide à Israël était militaire, tandis qu’en 1966, 71 % étaient consacrés à l’achat de matériel de guerre.
Vous voyez ce qui se passe ? Deux ans après l’assassinat de JFK, Israël est passé du statut de membre faible et dépassé d’une communauté moyen-orientale instable, empêchée de développer des armes nucléaires, à celui d’un État en passe de devenir une force militaire indéniable sur la scène internationale. John Kennedy a catégoriquement refusé qu’Israël développe un programme nucléaire, tandis que LBJ s’est plié en quatre pour le faciliter et le soutenir. Ou, comme l’a écrit Seymour Hersh dans Samson Option : « En 1968, le président n’avait aucune intention de faire quoi que ce soit pour stopper la bombe. »
Piper conclut que :
Israël a été le moteur du complot qui a mené à l’assassinat de John F. Kennedy. C’est la connexion israélienne qui rassemble toutes les pièces du puzzle pour en faire un tableau complet. Le rôle d’Israël dans l’assassinat de JFK est en effet le “chaînon manquant” jusqu’à présent.

Mary Meyer n’était pas une célébrité publique. Bien moins connue que Marylin Monroe avec qui, pourtant, elle partageait le même amant, le président des Etats-Unis John Fitzgerald Kennedy. Et peut être le même destin tragique… Au mois d’octobre 1964, onze mois après l’assassinat de JFK, à Dallas, cette femme, de la très bonne société de Washington, tombe à son tour sous les balles…
Le 12 octobre 1964, aux alentours de 12h00, le mécanicien Henry Wiggins entend à deux reprises le cri d’une femme : “A l’aide, quelqu’un aidez moi!”. Le temps que le mécanicien se relève, il perçoit deux claquements secs, à dix secondes d’intervalle. Deux coups de feu. Il s’approche prudemment et aperçoit, dans l’herbe, sur la rive d’un canal, une forme humaine. Une femme repose sur le côté gauche comme si elle dormait. Du sang macule ses cheveux. Le légiste établit que la victime a reçu deux balles, dans la tempe gauche et sous l’omoplate. Elle s’est vidée de son sang.
La morte n’a pas de papiers d’identité sur elle. Il va falloir trois heures aux enquêteurs pour identifier Mary Pinchot Meyer, 43 ans, divorcée, trois enfants… Fille d’un avocat réputé, Mary Meyer vit dans le vieux Georgetown. Le président Kennedy a longtemps habité juste à côté, mais personne ne se doute qu’elle partageait son intimité. Le témoin mécanicien est le premier entendu. Il raconte avoir vu un homme noir, environ 40 ans, grand, athlétique, se pencher sur le corps et cacher un objet sous son vêtement.
La femme qui en savait trop ?
La police interpelle bien un individu correspondant à la description, mais ce dernier nie avoir agressé la promeneuse. Le revolver du crime n’est pas retrouvé en dépit de longues recherches, quatre jours après le meurtre, le FBI clôt le dossier. Affaire rondement menée…
Agression crapuleuse ? Tentative de viol ? Personne, sauf certains de ses proches et les services secrets américains, savent alors que la victime était la toute dernière maîtresse du président Kennedy.
Présentation de Mary Meyer
Mary Meyer, figure énigmatique de l’histoire américaine, reste souvent éclipsée par des personnalités plus marquantes de son époque. Née en 1923 dans une famille proche de l’élite de Washington, D.C., elle a bénéficié d’une éducation privilégiée et prestigieuse. Fille d’un homme d’affaires prospère, elle était membre de la célèbre famille Phillips, connue pour son engagement dans diverses initiatives sociales et culturelles. Ce milieu lui a permis d’acquérir une compréhension unique du paysage politique et des nuances de la haute société.
Après avoir obtenu son diplôme de la prestigieuse Holton-Arms School, Meyer a fréquenté le Vassar College, où elle a développé un vif intérêt pour les arts et la littérature. Elle a ensuite poursuivi sa passion à l’American University, se concentrant sur l’étude des arts et de la psychologie. Tout au long de ses études universitaires, elle a été fortement influencée par la dynamique sociale qui l’entourait, ce qui lui a permis de nouer des liens avec des personnalités influentes de la scène politique. C’est à cette époque qu’elle s’est impliquée dans la vie de John F. Kennedy.
La relation de Mary Meyer avec JFK a débuté par leur rencontre par l’intermédiaire d’amis communs, où une relation complexe et secrète s’est développée. Connue pour son charme, son intelligence et ses opinions progressistes, Meyer a capté l’attention du jeune sénateur et futur président. Son engagement auprès de Kennedy souligne non seulement son charme, mais aussi son rôle dans le monde très scruté des intrigues politiques et des romances. Alors que la nation était aux prises avec les défis des années 1960, Meyer est restée une figure enveloppée de mystère, naviguant dans les eaux troubles de l’amour, des affiliations politiques et des tragédies personnelles.
L’exploration de la vie de Meyer et de ses liens avec le président Kennedy permet de mieux comprendre le climat sociopolitique de l’époque, ainsi que les ramifications de son destin tragique. À travers le prisme de cette figure méconnue, nous découvrons les complexités qui ont défini une époque marquée à la fois par l’espoir et les bouleversements.
La vie de Mary avant JFK
La vie de Mary Meyer avant sa relation avec le président John F. Kennedy offre un aperçu des années de formation d’une femme devenue une figure marquante de l’histoire américaine. Née en 1920 dans une famille aisée de Washington, Mary était la fille d’un homme d’affaires prospère et d’une mère active socialement. Cette enfance privilégiée dans la capitale lui a non seulement permis de bénéficier d’une éducation de qualité, mais l’a également intégrée à un milieu social aisé. Sa famille était ancrée dans les cercles de l’élite de Washington, ce qui a sans aucun doute influencé ses relations et ses aspirations futures.
Mary a fréquenté la prestigieuse Holton-Arms School, où elle a fait preuve d’un talent académique considérable ainsi que d’un penchant artistique. Après avoir terminé ses études, elle a poursuivi ses études au Smith College, une institution féminine réputée pour ses érudites et ses dirigeantes cultivées. Tout au long de son parcours scolaire, Mary a développé un vif intérêt pour les arts, en particulier la peinture, qui allait plus tard jouer un rôle important dans son identité et ses relations. Son passage à Smith a non seulement enrichi ses recherches intellectuelles, mais a également élargi son cercle social, lui permettant de tisser des liens avec d’autres femmes influentes.
La liaison avec John F. Kennedy
La relation entre Mary Meyer et John F. Kennedy est entourée de secret et d’intrigues, fortement influencée par les normes sociales de leur époque. Leurs chemins se croisent au début des années 1960, principalement grâce à leurs relations mutuelles dans les cercles de l’élite de Washington D.C. Mary, artiste accomplie et figure emblématique du paysage culturel, attire l’attention de Kennedy, alors président des États-Unis. Cette première rencontre pose les bases d’une relation secrète qui se développera sur fond de pouvoir politique et d’ambition personnelle.
La dynamique de leur liaison est marquée par un mélange de passion et de discrétion. Mary comprend les implications d’une relation avec une personnalité aussi importante que JFK, naviguant dans les complexités d’une relation avec un homme marié qui est non seulement un leader national, mais aussi un symbole de charisme et de vie publique. Malgré les défis que leur relation représente, le lien émotionnel qui se développe entre eux est profond. Mary partage de nombreux centres d’intérêt avec Kennedy, notamment l’art et la littérature, facilitant un lien qui transcende la simple attirance physique. L’assassinat de JFK. L’assassinat du président John F. Kennedy, le 22 novembre 1963 à Dallas, au Texas, reste l’un des événements les plus marquants et les plus poignants de l’histoire américaine. Abattu par Lee Harvey Oswald alors qu’il circulait dans un cortège, la mort de JFK a provoqué une onde de choc à travers le pays et le monde. Cette journée tragique a commencé vers 12h30 (heure centrale), lorsque trois coups de feu ont retenti à Dealey Plaza, blessant mortellement le président. Immédiatement après la fusillade, le chaos a régné.
Nowhere in there will jews be mentioned, or the fact that they’ve been expelled from every place they’ve ever resided. https://t.co/xBtdsEQIFK
— Words Are Words (@Wordsarewordsz) July 15, 2025
Ari Ben Menashe has the details about Jeffrey Epstein since the 1980's. He was there when Jeffrey Epstein met Robert Maxwell the known Mossad Israeli Spy, the father of Ghislaine Maxwell. He is a Jewish Israeli citizen with 3 children living in Israel. https://t.co/5wXKFtqfJY
— Truth Justice ™ (@SpartaJustice) July 15, 2025
