COMPRENDRE LE PLUS GROS SCANDALE D’ÉTAT DE LA 5E RÉPUBLIQUE

La plus grosse erreur d’Obama : le président américain exprime ses regrets pour la Libye

La plus grosse erreur d’Obama : le président américain exprime ses regrets pour la Libye

On n’avait jamais vu ça, un président de la république qui envoie l’armée française et fait prendre des risques à nos soldats pour une affaire personnelle. On comprend très bien pas de souci c’est très simple. Quelle honte.

Meme la MAFIA est plus respectueuse que le clan SARKOZY MACRON BAYROU JUPPE HOLLANDE Et le LR et sa BANDE

Saif al -islam Kadhafi, fils du regretté colonel Mouammar Kadhafi, a déclaré qu'il avait été soumis à une grande pression de l'ancien président français Nicolas Sarkozy, pendant deux tentatives, pour changer son témoignage qu'il avait fait en 2018, au juge français, Serge Tourner, chargé de l'enquête sur l'affaire Sarkozy spécialisée dans mon assimilation sur un financement de sa campagne électorale de Kadhafi en 2007, Saif Al -Islam a continué dans des déclarations écrites à Radio France International, que l'équipe de Sarkozy l'a contacté au cours des 2021 et 2022 années, une fois directement et à nouveau en appuyant sur son frère Hannibal Kadhafi dans les prisons libanaises, dans la première déclaration qu'elle a sur l'incident depuis 2011, tandis que les responsables ont réfuté de communiquer avec Saif Al -islam dans le récit de ce dernier, Suha Al -Badri et Nawil Les dépes sont ces allégations, malgré l'équipe d'avocat affirmant Hannibal Kadhafi, DiPIS a communiqué avec Hannibal au cours de l'année 2022.
Saif al -islam Kadhafi, fils du regretté colonel Mouammar Kadhafi, a déclaré qu’il avait été soumis à une grande pression de l’ancien président français Nicolas Sarkozy, pendant deux tentatives, pour changer son témoignage qu’il avait fait en 2018, au juge français, Serge Tourner, chargé de l’enquête sur l’affaire Sarkozy spécialisée dans mon assimilation sur un financement de sa campagne électorale de Kadhafi en 2007, Saif Al -Islam a continué dans des déclarations écrites à Radio France International, que l’équipe de Sarkozy l’a contacté au cours des 2021 et 2022 années, une fois directement et à nouveau en appuyant sur son frère Hannibal Kadhafi dans les prisons libanaises, dans la première déclaration qu’elle a sur l’incident depuis 2011, tandis que les responsables ont réfuté de communiquer avec Saif Al -islam dans le récit de ce dernier, Suha Al -Badri et Nawil Les dépes sont ces allégations, malgré l’équipe d’avocat affirmant Hannibal Kadhafi, DiPIS a communiqué avec Hannibal au cours de l’année 2022.

Saif al -islam Kadhafi, fils du regretté colonel Mouammar Kadhafi, a déclaré qu’il avait été soumis à une grande pression de l’ancien président français Nicolas Sarkozy, pendant deux tentatives, pour changer son témoignage qu’il avait fait en 2018, au juge français, Serge Tourner, chargé de l’enquête sur l’affaire Sarkozy spécialisée dans mon assimilation sur un financement de sa campagne électorale de Kadhafi en 2007, Saif Al -Islam a continué dans des déclarations écrites à Radio France International, que l’équipe de Sarkozy l’a contacté au cours des 2021 et 2022 années, une fois directement et à nouveau en appuyant sur son frère Hannibal Kadhafi dans les prisons libanaises, dans la première déclaration qu’elle a sur l’incident depuis 2011, tandis que les responsables ont réfuté de communiquer avec Saif Al -islam dans le récit de ce dernier, Suha Al -Badri et Nawil Les dépes sont ces allégations, malgré l’équipe d’avocat affirmant Hannibal Kadhafi, DiPIS a communiqué avec Hannibal au cours de l’année 2022.

FRANCE – LIBYE. Kadhafi aurait été assassiné par un agent secret français

Le 20 octobre 2011, alors que Mouammar Kadhafi quitte Syrte, dernier bastion tenu par ses partisans, son convoi est obligé de changer de route par un tir des avions de l’OTAN, puis se retrouve piégé dans une embuscade orchestrée par la rébellion. Il est capturé vivant173,174, mais sa mort est finalement annoncée par un haut responsable militaire du CNT un peu plus tard dans la journée175. Des images de la capture de Kadhafi montrent ce dernier, visiblement hagard et le visage ensanglanté, en train d’être malmené et frappé par les combattants rebelles ; l’un d’eux semble essayer de le sodomiser avec un bâton ou une baïonnette tout en le faisant avancer176,177,178,179,180. Mahmoud Jibril, numéro deux du CNT, explique que Mouammar Kadhafi a été mortellement blessé lors d’échanges de tirs, mais dit ignorer qui a tiré le coup mortel181.

Les corps de Mouammar Kadhafi et de son fils Moatassem, tué lui aussi le 20 octobre à Syrte, sont exposés le 21 octobre à Misrata182.

Dans son ensemble, la communauté internationale salue la mort de Kadhafi. Mais le déroulement exact des circonstances de son décès, qui restent confuses, donne lieu à une polémique, ce qui conduit le président du CNT, Moustafa Abdel Jalil, à annoncer le 24 octobre l’ouverture d’une enquête sur sa mort183. Human Rights Watch publie en octobre 2012 un rapport184 estimant que Kadhafi a été exécuté après sa capture, et non tué dans un échange de tirs ; l’ONG accorde foi aussi à la version selon laquelle l’ancien dirigeant aurait eu l’anus poignardé avec une baïonnette après sa capture185.

Le 25 octobre 2011, à l’aube, Mouammar Kadhafi et son fils Moatassem sont inhumés dans le désert libyen, dans un lieu tenu secret186.

En septembre 2012, Mahmoud Jibril donne une autre version de la mort de Kadhafi en affirmant que c’est un agent étranger, probablement français, qui l’aurait tué : cette version est reprise par Rami El Obeidi (ex-responsable des relations avec les agences de renseignements étrangères du CNT) et certains diplomates européens en Libye. Des rumeurs en provenance de Libye affirment que l’opération aurait été menée pour éviter tout interrogatoire de Kadhafi au sujet de ses liens avec Nicolas Sarkozy, voire que Bachar el-Assad aurait prêté main-forte aux Français pour localiser Kadhafi. Gérard Longuet, ministre de la Défense français à l’époque des faits, dément catégoriquement que Kadhafi ait pu être tué par un agent français, et souligne que « La Libye est un pays où courent toutes sortes de rumeurs et de supputations sans fondement »187,188. L’analyste français Éric Denécé considère cette thèse comme absurde et met en doute la crédibilité de Jibril et El Obeidi, dont il juge que l’un et l’autre tentent d’attirer l’attention pour revenir dans le jeu politique189.

D’après le quotidien italien Il Corriere della Sera, le colonel Kadhafi aurait été tué par un agent secret français avec la complicité de Damas. Pourquoi ? Parce que le dictateur libyen menaçait de faire des révélations sur le financement de la campagne électorale de Nicolas Sarkozy en 2007. Pour le régime syrien, il s’agissait de resserrer les liens avec la France.

Ce serait donc un “agent étranger”, et non les Brigades révolutionnaires libyennes, qui aurait tué Muammar Kadhafi d’une balle dans la tête le 20 octobre 2011, près de Syrte. Ce n’est pas la première fois que la version officielle de la mort du Colonel est mise en doute en Libye ou à l’étranger. Mais cette fois, c’est Mahmoud Jibril lui-même, ancien Premier ministre du gouvernement transitoire et aujourd’hui pressenti pour diriger le pays après les élections parlementaires du 7 juillet [son parti a obtenu la majorité], qui relance l’hypothèse d’un complot ourdi par des services secrets étrangers. “C’est un agent étranger infiltré dans les Brigades révolutionnaires qui a tué Kadhafi”, a déclaré ce dernier lors d’un entretien accordé à la chaîne de télévision égyptienne Dream TV, au Caire, où il participait à un débat sur le “printemps arabe”.

Un barbouze était donc présent au moment du lynchage de Kadhafi par les rebelles. Au sein des cercles diplomatiques occidentaux présents dans la capitale libyenne, la théorie officieuse la plus répandue est que, si des services étrangers sont effectivement impliqués, “alors il s’agit presque certainement des Français”. Et d’ajouter : “Le fait que Paris ait voulu éliminer le colonel Kadhafi est un secret de polichinelle.” Le raisonnement est bien connu : dès les premiers signes de soutien de l’OTAN à la révolution, en grande partie sous l’impulsion du gouvernement de Nicolas Sarkozy, Kadhafi a menacé de révéler les détails de ses liens avec l’ancien président de la République, à commencer par les millions de dollars versés pour financer sa campagne électorale en 2007. “Sarkozy avait toutes les raisons de faire taire le raïs au plus vite”, nous ont répété samedi 29 septembre des sources diplomatiques européennes à Tripoli. Une thèse renforcée par des révélations obtenues par le Corriere della Sera il y a quatre jours à Benghazi.

La trahison de Bachar El-Assad

Là-bas, Rami El-Obeidi, ancien responsable des relations avec les agences de renseignements étrangères pour le compte du Conseil national de transition jusqu’à mi-2011, nous a révélé comment l’OTAN avait pu localiser la cachette de Kadhafi après la libération de Tripoli par les révolutionnaires entre le 20 et le 23 août 2011. “À l’époque, on pensait qu’il s’était enfui dans le désert, en direction de la frontière sud de la Libye”, explique Obeidi. Mais en réalité, il s’était réfugié dans son fief de Syrte avec son fils, Mutassim, qui dirigeait les dernières troupes encore en état de combattre. Obeidi ajoute : “Là, le raïs a essayé de communiquer, grâce à son téléphone satellite Iridium, avec certains de ses fidèles qui avaient trouvé refuge auprès de Bachar El-Assad, en Syrie. Parmi eux, il y avait notamment son disciple chargé de la propagande télévisée, Youssef Shakir. Et c’est justement le chef d’État syrien qui a transmis le numéro de téléphone satellitaire de Kadhafi aux services secrets français.” La raison ? “En échange, Assad aurait obtenu de Paris la promesse de limiter les pressions internationales sur la Syrie en vue de faire cesser la répression contre le peuple en révolte.” Localiser le téléphone satellite et son propriétaire aurait ensuite été un jeu d’enfant pour les experts de l’OTAN. Si cette thèse venait à être confirmée, nous pourrions en déduire que ce fut la première étape vers la fin tragique du dictateur, quelques semaines plus tard

Pour la première fois depuis la chute de Kadhafi, Béchir Saleh, son ancien directeur de cabinet et ex-patron du fonds souverain libyen, accorde une interview à un média. Retrouvez l’intégralité de l’entretien dans l’édition de Jeune Afrique, en kiosque à partir du 10 septembre.

Béchir Saleh, 71 ans, est un personnage discret, soigné, courtois et insaisissable. Dans le salon cosy du Saxon Hotel, à Johannesbourg, où Nelson Mandela vécut quelque temps après sa libération, celui qui fut pendant quatre décennies l’un des plus proches collaborateurs de Kadhafi et l’un de ses derniers fidèles a reçu Jeune Afrique avec d’infinies précautions.

Ses relations avec le « Guide » et la chute de celui-ci, le rôle de Nicolas Sarkozy, ses relations avec Dominique de Villepin, Claude Guéant ou encore Alexandre Djouhri, le magot libyen et sa fortune personnelle, mais aussi sa vie en Afrique du Sud et ses tentatives pour influer sur le sort de son pays… Il dit tout.

Du début de sa relation avec Mouammar Kadhafi, il se souvient : « En 1976, Kadhafi m’a envoyé comme ambassadeur en Centrafrique. Il venait tout juste d’obtenir la conversion de Bokassa à l’islam sous le nom d’Ahmed Salaheddine (…). J’ai observé les multiples voyages du président Valéry Giscard d’Estaing en Centrafrique, ainsi que la manière dont ce dernier a fini par sacrifier son hôte sur l’autel de la politique intérieure française. »

À cette époque, il sert d’intermédiaire pour la libération de l’ethnologue française Françoise Claustre et de son mari, aux mains du Tchadien Hissène Habré : « En mars 1976, Abdel Salam Jalloud, alors Premier ministre, m’a fait venir à Tripoli. « Je veux que tu obtiennes la libération des Claustre, je veux faire plaisir à mon homologue et ami Jacques Chirac », m’a-t-il dit. Je me suis donc rendu dans les montagnes du Tibesti, où j’ai rencontré Hissène Habré. Les négociations ont été très difficiles. J’y ai risqué ma vie. »

Plus tard, « entre 1995 et 2007, j’ai été reçu à plusieurs reprises par le président Chirac, par son conseiller Claude Gourdault-Montagne, par Nicolas Sarkozy, alors ministre de l’Intérieur (…). C’est Alexandre Djourhi qui m’a présenté à Nicolas Sarkozy et à Claude Guéant. »

Kadhafi à Sarkozy : « Pourquoi me fais-tu ça ? » Réponse de Sarkozy : « Parce que tu te moques de moi »

En février 2011, lorsque la guerre civile éclate en Libye et, en mars, lorsque la France s’engage militairement, il demande à Kadhafi de rejoindre Paris afin de « calmer » ses « amis » : «  Kadhafi m’avait donné l’ordre de ne poser, de sa part, qu’une seule question au président : « Pourquoi me fais-tu cela ? » Réponse de Sarkozy : « Parce que tu te moques de moi » », se souvient-il.

En revanche, sur le financement de la campagne présidentielle de Sarkozy, Béchir Saleh dément, comme il l’avait déjà fait dans un communiqué.

Aujourd’hui, il veut rentrer en Libye pour y jouer un rôle. Il se déplace beaucoup et rencontre de nombreux chefs d’État africains. Veut-il être candidat ? « Si le peuple me le demande », répond-il, « j’en ai le courage et l’envie ».

LEAVE A REPLY

Please enter your comment!
Please enter your name here