Il ne sert qu’a se venger des médecins et des patients

Médecins faite vous votre propre ordre avec des médecins sans conflits d’intérêts et pas corrompus par les politiques vereux

L’Ordre est créé le 7 octobre 1940 par le gouvernement de Vichy, dirigé par le maréchal Pétain. Cette création avait pour objectif de réguler la profession médicale dans un contexte de contrôle rigide de l’État. Dès ses débuts, l’Ordre est marqué par une collaboration avec le régime de Vichy, notamment avec des mesures discriminatoires telles que l’exclusion des médecins juifs.

La Cour des comptes épingle l'Ordre des médecins dans un rapport ; "comptabilité insincère", "rémunérations déguisées"...

, la Cour dénonce une comptabilité "insincère", des "approximations, manques, erreurs" et "écritures délibérément faussées". Par exemple, l'aménageur du nouveau siège de l'Ordre, dans le XVIIe arrondissement de Paris, "a perçu 8,8 millions" d'euros entre 2016 et 2018, loin du devis initial, de 4,9 millions. Pour l'Ordre, ce décalage s'explique notamment par la remise en cause de "l'expertise initiale en matière d'amiante", au "fur et à mesure de l'avancée du chantier".
ou encore le recrutement de parents d'élus de l'Ordre font également partie des éléments soulevés par la Cour. "La gestion de l'institution est plus saine aujourd'hui qu'elle ne l'était hier", a assuré l'Ordre, engagé "depuis 2013" dans "un processus de modernisation".
La Cour des comptes épingle l’Ordre des médecins dans un rapport ; “comptabilité insincère”, “rémunérations déguisées”… , la Cour dénonce une comptabilité “insincère”, des “approximations, manques, erreurs” et “écritures délibérément faussées”. Par exemple, l’aménageur du nouveau siège de l’Ordre, dans le XVIIe arrondissement de Paris, “a perçu 8,8 millions” d’euros entre 2016 et 2018, loin du devis initial, de 4,9 millions. Pour l’Ordre, ce décalage s’explique notamment par la remise en cause de “l’expertise initiale en matière d’amiante”, au “fur et à mesure de l’avancée du chantier”. ou encore le recrutement de parents d’élus de l’Ordre font également partie des éléments soulevés par la Cour. “La gestion de l’institution est plus saine aujourd’hui qu’elle ne l’était hier”, a assuré l’Ordre, engagé “depuis 2013” dans “un processus de modernisation”.

, la Cour dénonce une comptabilité “insincère”, des “approximations, manques, erreurs” et “écritures délibérément faussées”. Par exemple, l’aménageur du nouveau siège de l’Ordre, dans le XVIIe arrondissement de Paris, “a perçu 8,8 millions” d’euros entre 2016 et 2018, loin du devis initial, de 4,9 millions. Pour l’Ordre, ce décalage s’explique notamment par la remise en cause de “l’expertise initiale en matière d’amiante”, au “fur et à mesure de l’avancée du chantier”.

ou encore le recrutement de parents d’élus de l’Ordre font également partie des éléments soulevés par la Cour. “La gestion de l’institution est plus saine aujourd’hui qu’elle ne l’était hier”, a assuré l’Ordre, engagé “depuis 2013” dans “un processus de modernisation”.

Les Sages de la rue Cambon dénoncent notamment une comptabilité “insincère”, révèle “Le Canard enchaîné”.

COUR DES COMPTES – Abus sexuels non sanctionnés, “comptabilité insincère”, “rémunérations déguisées”… Un rapport provisoire de la Cour des comptes dévoilé par Le Canard enchaîné à paraître ce mercredi 27 février étrille sévèrement l’Ordre des médecins, qui entend “contester avec force” certains points relevés par l’hebdomadaire.

Dans un communiqué, l’Ordre a tenu à “exprimer son plus vif étonnement” concernant la diffusion de ce pré-rapport, issu d’un “contrôle de plusieurs mois de l’ensemble” de ses échelons territoriaux, mais qu’il n’a pas encore reçu.

La Cour des comptes a, de son côté, déploré la publication “d’observations provisoires, de nature confidentielle” qui “porte atteinte au bon déroulement des procédures encadrant la phase contradictoire” de ses travaux et “nuit (…) à la bonne information des citoyens”.

Une comptabilité jugée “insincère”

D’après Le Canard enchaîné, les Sages de la rue Cambon ont identifié “de nombreux cas” de médecins n’ayant fait l’objet d'”aucune poursuite disciplinaire” malgré des “signalements”, “plaintes”, voire condamnations “au pénal”.

L’Ordre reconnaît que tous ses échelons “doivent améliorer leur accueil des personnes qui se disent victimes, l’écoute qui leur est due, et l’action devant les chambres disciplinaires”. Mais il regrette que les circulaires interministérielles “demandant aux procureurs de la République” de l’informer “de plaintes pénales déposées à l’encontre de médecins (…) restent trop souvent sans effet”.

Côté finances, la Cour dénonce une comptabilité “insincère”, des “approximations, manques, erreurs” et “écritures délibérément faussées”. Par exemple, l’aménageur du nouveau siège de l’Ordre, dans le XVIIe arrondissement de Paris, “a perçu 8,8 millions” d’euros entre 2016 et 2018, loin du devis initial, de 4,9 millions. Pour l’Ordre, ce décalage s’explique notamment par la remise en cause de “l’expertise initiale en matière d’amiante”, au “fur et à mesure de l’avancée du chantier”.

L’Ordre assure que sa gestion est “plus saine”

La hausse des “petits achats” informatiques (tablettes, portables, ordinateurs) entre 2011 et 2016, une forme de laxisme face aux liens d’intérêt de certains médecins ou encore le recrutement de parents d’élus de l’Ordre font également partie des éléments soulevés par la Cour. “La gestion de l’institution est plus saine aujourd’hui qu’elle ne l’était hier”, a assuré l’Ordre, engagé “depuis 2013” dans “un processus de modernisation”.

Bonjour,

Je passe en procès pour non paiement de cotisation à l’Ordre des médecins. Je ne sais pas si cet appel de médecins a sa place ici mais je pense utile de parler des mouvements d’opposition à l’Ordre.

“Appel à soutien aux médecins en procès

pour refus de paiement de cotisation à l’Ordre des médecins”

Rendez-vous devant le tribunal judiciaire de Nantes

19 quai François Mitterrand

Vendredi 16 septembre à 8 heures

En Loire-Atlantique, nous sommes 4 médecins à être convoqué.e.s pour non–paiement de cotisation, d’autres collègues non-payeurs n’ont pas encore reçu leur convocation.

En Ariège, des médecins vont aussi passer en procès en septembre.

Ces refus de payer s’inscrivent dans un mouvement national plus large d’Insoumission aux Ordres Professionnels (MIOP) qui regroupe plusieurs professionnel·le·s et associations, syndicats, collectifs, appelant à la dissolution de l’Ordre des médecins .

Nous refusons de payer la cotisation obligatoire à l’Ordre des médecins car c’est une institution dont l’action va à l’encontre de la santé publique et des droits des habitant.e.s :

L’Ordre est un organisme privé corporatiste, patriarcal, peu représentatif du corps médical, au fonctionnement opaque avec de grands désordres comptables et de gestion.

L’Ordre ne remplit pas les missions de service public dont il est pourtant chargé (contrôle lacunaire des contrats entre les médecins et l’industrie pharmaceutique, absence d’action au niveau des refus de soins de la part des médecins…).

L’Ordre est une juridiction d’exception : condamnation des médecins faisant état du lien entre la santé des salarié.e.s et leurs conditions de travail, condamnation des médecins signalant des violences faites aux enfants…

L’Ordre a, depuis sa création, défendu un modèle de soins purement libéral et pris des positions politiques contraires au bon fonctionnement du système de soin et à la santé des habitant.e.s. Pour ne citer que les plus récentes : il s’est opposé à la dispense d’avance de frais pour les patients (tiers-payant) et a laissé se développer les dépassements d’honoraires, il ne fait rien pour défendre le service public hospitalier et a laissé s’installer les déserts médicaux, il s’est opposé à l’allongement des délais pour la pratique des IVG, sous couvert de défense de la « confraternité et de l’image de la profession », il couvre de graves faits de pédocriminalité et d’agressions sexuelles de la part des médecins…

Nous appelons soignant.e.s et habitant.e.s à se joindre à nous pour demander la dissolution de l’Ordre des médecins et le transfert des missions ordinales actuelles à des institutions publiques et à venir nous soutenir le vendredi 16 septembre.

 

https://www.facebook.com/search/top/?q=ordre%20national%20des%20m%C3%A9decins

 

 https://sante.lefigaro.fr/article/la-radiation-d-henri-joyeux-est-annulee

https://www.facebook.com/jameleddine.mouhli/videos/1447016646152262?idorvanity=240193799818282

https://fb.watch/rMh3MLm-Ot

Histoire de l’Ordre des médecins en France

L’Ordre des médecins a traversé plusieurs étapes marquantes depuis sa création en 1940 sous le régime de Vichy. Voici les grandes dates et événements qui ont marqué son histoire :

1940 : Création de l’Ordre des médecins sous Vichy

L’Ordre est créé le 7 octobre 1940 par le gouvernement de Vichy, dirigé par le maréchal Pétain. Cette création avait pour objectif de réguler la profession médicale dans un contexte de contrôle rigide de l’État. Dès ses débuts, l’Ordre est marqué par une collaboration avec le régime de Vichy, notamment avec des mesures discriminatoires telles que l’exclusion des médecins juifs.

1944 : La Libération et la continuité de l’Ordre

Après la Seconde Guerre mondiale, bien que des critiques s’élèvent sur la collaboration de l’Ordre avec le régime de Vichy, il est décidé de maintenir cette institution. Des réformes sont introduites pour faire évoluer son rôle dans une France redevenue républicaine.

1945 : Le Code de déontologie médicale

Le Code de déontologie médicale est institué en 1945 et devient un texte fondateur, réaffirmant le rôle éthique de la profession. Ce code est mis à jour régulièrement pour s’adapter aux évolutions de la médecine et des pratiques professionnelles.

1958 : Réforme Debré

La réforme hospitalière menée par Michel Debré en 1958 modifie l’organisation des soins en France, mais l’Ordre conserve son rôle central dans la régulation de la profession médicale, même si certaines de ses compétences sont critiquées.

2002 : Réforme du statut de l’Ordre

En 2002, la loi Kouchner sur les droits des malades et la qualité du système de santé modifie en profondeur la relation entre les patients et les médecins, et introduit de nouvelles responsabilités pour l’Ordre, notamment sur la transparence et la protection des droits des patients.

2010 : Gestion des conflits internes et critiques

Durant les années 2010, l’Ordre est critiqué pour son opacité, sa gestion des plaintes contre les médecins, et des conflits internes qui fragilisent son image. Des réformes sont proposées pour moderniser l’institution et restaurer la confiance publique.

2018 : Extension controversée des 11 vaccins obligatoires pour enfants

En janvier 2018, la France élargit la liste des vaccins obligatoires pour les enfants, passant de 3 à 11 vaccins, incluant ceux contre la rougeole, la coqueluche, et la méningite. Cette réforme suscite de vives critiques concernant l’impact potentiel sur l’immunité naturelle et les effets secondaires. L’Ordre des médecins soutient fermement cette mesure, renforçant son image d’exécutant des décisions politiques.

2020 : La crise de la COVID-19

La crise sanitaire liée à la COVID-19 met l’Ordre des médecins au cœur de polémiques concernant sa gestion de la pandémie. L’Ordre est accusé de suivre aveuglément les directives du gouvernement, notamment concernant le confinement, la vaccination et la liberté de prescription des médecins, renforçant les critiques sur son indépendance.

2024 : Fraudes électorales et crise interne

En février 2024, les élections pour le renouvellement du conseil départemental de l’Ordre des médecins de Paris sont annulées pour fraude, révélant des dysfonctionnements internes profonds. Ce scandale met en lumière une institution traversée par des luttes de pouvoir et fragilise encore plus la confiance des médecins et du public.

Depuis sa création, l’Ordre des médecins a navigué entre des périodes de réformes et de critiques. D’une institution créée dans un contexte de contrôle étatique sous Vichy, il a dû évoluer pour répondre aux exigences modernes de transparence, de déontologie et de protection des patients, mais continue à susciter des controverses, notamment sur son indépendance face aux décisions politiques.

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