RFK Jr affirme que « si Israël disparaissait, la Russie et la Chine contrôleraient 90 % de l’approvisionnement mondial en pétrole ». Israël dispose de 0% de l’offre. L’Arabie Saoudite en détient 17 %. Koweït 6,1%. EAU 5,9%. Iran 3%. Russie 4,8%. Pourquoi les gens écoutent RFK Jr comme s’il savait n’importe quoi ? Il ne le fait pas.

La création d’Israël n’a rien à voir avec la recherche d’un foyer pour les Juifs… il s’agit de contrôler les approvisionnements mondiaux en pétrole… ~ Robert F. Kennedy Jr

Introduction : Une nouvelle perspective sur la création d’Israël

La fondation de l’État d’Israël en 1948 est souvent perçue par le prisme d’une quête pour créer un foyer sûr pour le peuple juif, particulièrement après les horreurs de la Seconde Guerre mondiale. Cependant, une thèse alternative proposée par Robert F. Kennedy Jr. offre une perspective différente et intrigante sur cet événement historique. Selon Kennedy, la création d’Israël n’était pas uniquement un acte humanitaire ou une question de légitimité historique. Au contraire, il soutient que la fondation de cet État aurait été également une manœuvre stratégique visant à exercer un contrôle sur les ressources pétrolières mondiales.

Cette interprétation remet en question les récits historiques traditionnels, généralement focalisés sur les aspects humanitaires et ethniques du sionisme. En considérant l’importance géopolitique de la région, particulièrement riche en réserves pétrolières, il devient pertinent d’examiner si des intérêts économiques et stratégiques ont joué un rôle de premier plan dans la décision de créer Israël. Ces nouveaux questionnements encouragent une analyse plus nuancée et complète de l’histoire, qui incorpore des éléments géopolitiques souvent négligés dans les récits populaires.

Le postulat de Kennedy encourage ainsi un réexamen critique des motivations derrière la création d’Israël. Le contrôle des ressources énergétiques a toujours occupé une place centrale dans le jeu des puissances mondiales. Par conséquent, envisager la naissance de l’État d’Israël dans ce contexte pourrait offrir de nouvelles perspectives sur les dynamiques de pouvoir en jeu dans cette région stratégique. L’introduction de cette théorie ouvre donc la voie à une réévaluation des facteurs complexes et imbriqués qui ont mené à l’établissement d’Israël, au-delà des raisons uniquement humanitaires.“`

Contexte historique de la création d’Israël

Champs de gaz en Méditerranée orientale avant les découvertes Calypso (2018) et Glaucus-1 (2019). Observez également la ZEE de Gaza, avec d'éventuelles exploitations de gaz et le pipeline qui va d'Israël (Ashkelon) à l'Egypte.
Champs de gaz en Méditerranée orientale avant les découvertes Calypso (2018) et Glaucus-1 (2019). Observez également la ZEE de Gaza, avec d’éventuelles exploitations de gaz et le pipeline qui va d’Israël (Ashkelon) à l’Egypte.

La création de l’État d’Israël en 1948 est le fruit d’un contexte historique complexe et d’une série d’événements mondiaux déterminants. Le mouvement sioniste, initié à la fin du XIXe siècle par Theodor Herzl, a joué un rôle central dans la promotion de l’idée d’un foyer national pour le peuple juif en réponse à l’antisémitisme croissant en Europe. Le premier Congrès sioniste à Bâle en 1897 posa les bases d’une aspiration nationale, cherchant activement à établir un État juif en Palestine, alors sous domination ottomane.

L’évolution géopolitique se concrétisa avec la Déclaration de Balfour de 1917, où le gouvernement britannique exprima son soutien officiel à l’établissement d’un “foyer national pour le peuple juif” en Palestine. Cette déclaration, bien que politiquement significative, exacerba les tensions entre les communautés juive et arabe, posant les fondations de conflits futurs. Le mandat britannique en Palestine après la Première Guerre mondiale intensifia ces tensions, avec une immigration juive croissante et des violences communautaires récurrentes.

L’Holocauste, durant la Seconde Guerre mondiale, apporta une tragédie d’une ampleur inimaginable, entraînant un sentiment d’urgence accrue parmi les survivants et les sympathisants sionistes. Le génocide de six millions de Juifs par le régime nazi renforça la détermination à créer un État où les Juifs pourraient trouver refuge et sécurité. Le sort des réfugiés juifs après la guerre incita la communauté internationale à envisager des solutions viables à leur déracinement.

En 1947, l’Organisation des Nations Unies proposa un plan de partition visant à scinder la Palestine en deux États indépendants, l’un juif, l’autre arabe. Bien que accepté par la communauté juive, ce plan fut rejeté par les États arabes voisins, ce qui mena immédiatement à des hostilités. Néanmoins, le 14 mai 1948, David Ben Gourion proclama l’indépendance d’Israël, marquant la naissance officielle de l’État juif. Cette décision déclencha la première guerre israélo-arabe, qui redéfinirait la carte géopolitique de la région.

Le rôle stratégique du Moyen-Orient dans la géopolitique mondiale

Le Moyen-Orient, avec ses immenses réserves pétrolières, a toujours joué un rôle central dans la géopolitique mondiale. Cette région est devenue un point névralgique pour les grandes puissances internationales, notamment les États-Unis et le Royaume-Uni, en raison de sa capacité à influencer les approvisionnements mondiaux en pétrole.

Avant la Seconde Guerre mondiale, le Royaume-Uni avait déjà établi une forte présence dans le Moyen-Orient, gérant notamment les intérêts pétroliers en Iran et en Irak. La découverte de vastes gisements de pétrole au début du XXe siècle dans des pays comme l’Arabie saoudite, le Koweït, et d’autres parties du Golfe a considérablement intensifié l’intérêt britannique dans la région. Les politiques coloniales et les accords, tels que l’accord de Sykes-Picot de 1916, ont été mis en place pour garantir que ces ressources vitales restent sous leur contrôle.

Après la Seconde Guerre mondiale, les États-Unis ont renforcé leur présence au Moyen-Orient, cherchant à sécuriser des sources d’énergie fiables pour soutenir leur économie post-guerre et leur expansion industrielle. Les États-Unis ont établi une alliance stratégique avec l’Arabie saoudite et d’autres pays du Golfe, reconnaissant l’importance du pétrole pour la prospérité et la sécurité nationale américaines. Le Moyen-Orient est ainsi devenu un pilier fondamental de la politique énergétique américaine.

La région a, par conséquence, occupé une place prépondérante dans les stratégies géopolitiques mondiales. Les grandes puissances ont exploité les conflits locaux, les rivalités internes, et les ressources naturelles pour renforcer leur influence et pour sécuriser les flux pétroliers. Les interventions militaires, les alliances changeantes, et les politiques économiques ont souvent été orientées pour contrôler les approvisionnements en pétrole, soulignant ainsi l’importance stratégique de cette région.

En somme, le Moyen-Orient ne se limite pas à être une région riche en pétrole; il représente un centre névralgique dans la stratégie globale des grandes puissances, façonnant les dynamiques géopolitiques à l’échelle mondiale.“`html

Implications des découvertes pétrolières au Moyen-Orient

Au début du 20e siècle, les vastes réserves pétrolières découvertes au Moyen-Orient ont changé la dynamique géopolitique mondiale. Avant ces découvertes, les puissances mondiales dépendaient principalement du charbon. Cependant, la transition vers le pétrole, un carburant plus efficace, a rapidement transformé ce nouveau trésor en un enjeu stratégique majeur. Cette transition n’a pas seulement redéfini l’approvisionnement énergétique mondial, mais a également attiré l’attention des entreprises pétrolières et des gouvernements occidentaux.

Des entreprises telles que la British Petroleum (BP) et la Royal Dutch Shell ont été parmi les premières à exploiter ces richesses. L’intervention de ces entreprises a rapidement engendré une influence croissante des puissances occidentales dans la région. Les gouvernements, reconnaissant le potentiel stratégique de ces ressources, ont adopté des politiques pour sécuriser leurs accès et maintenir des relations étroites avec les pays producteurs de pétrole. Cette période a été marquée par une série de négociations et d’accords qui ont finalement permis à des entreprises occidentales de contrôler une part significative des réserves pétrolières du Moyen-Orient.

Le contrôle du pétrole n’était pas seulement une question économique. Il s’agissait aussi d’une question de pouvoir et de domination globale. Les nations s’efforçaient de s’assurer des approvisionnements stables pour alimenter leurs économies en pleine industrialisation. Plus important encore, le pétrole est rapidement devenu un levier d’influence politique, permettant aux pays contrôlant ces ressources de dicter les conditions économiques et politiques à l’échelle mondiale.

L’effet domino de ces découvertes pétrolières a engendré des dynamiques économiques qui persistent aujourd’hui. Le Moyen-Orient s’est ainsi transformé en un centre névralgique, non seulement pour la production de pétrole, mais aussi pour la géopolitique mondiale. La capacité à contrôler l’approvisionnement en pétrole est devenue une arme stratégique, influençant les alliances et les conflits internationaux au fil des décennies.“`

Intérêts économiques et politiques des États-Unis et du Royaume-Uni

Les motivations des États-Unis et du Royaume-Uni pour soutenir la création d’Israël en 1948 ne peuvent être pleinement comprises sans examiner leurs intérêts économiques et politiques dans la région du Moyen-Orient. Les réserves de pétrole de cette région étaient et restent parmi les plus vastes et les plus accessibles au monde, ce qui en fait une zone d’une importance stratégique critique pour ces puissances occidentales. L’importance de sécuriser les approvisionnements mondiaux en pétrole ne peut être sous-estimée compte tenu de son rôle central dans l’économie industrielle post-Seconde Guerre mondiale.

Pour les États-Unis, soutenir la création d’Israël s’inscrivait dans une stratégie plus large visant à garantir un accès stable et sécurisé aux ressources pétrolières du Moyen-Orient. La politique étrangère américaine de l’époque visait à établir des régimes alliés qui assureraient des relations commerciales favorables et une stabilité régionale. Le nouvel État d’Israël, bien que petit en taille, représentait un important allié stratégique capable de servir d’avant-poste militaire et politique en cas de conflits dans la région. En soutenant Israël, les États-Unis espéraient également influencer positivement les relations avec d’autres États du Moyen-Orient et contenir l’expansion de l’influence soviétique pendant la Guerre froide.

Le Royaume-Uni partageait des motivations similaires mais aussi distinctes. Ayant déjà une présence coloniale significative dans des régions comme l’Égypte et l’Irak, les Britanniques cherchaient à maintenir et à sécuriser leurs routes d’approvisionnement en pétrole du Golfe Persique vers l’Europe. De plus, le contrôle du canal de Suez, une artère vitale pour le transport du pétrole, était essentiel pour les intérêts britanniques. Le soutien britannique à la création d’Israël pouvait ainsi être vu comme un geste pour modeler un nouvel équilibre de pouvoir dans la région qui servirait à protéger ces routes commerciales cruciales.

En conclusion, les intérêts économiques et politiques des États-Unis et du Royaume-Uni en faveur de la création d’Israël étaient largement influencés par leurs besoins en matière de sécurité énergétique et leurs ambitions géopolitiques. Ces considérations ont joué un rôle crucial dans leur prise de décision et leur engagement dans la région, ayant des conséquences durables pour le Moyen-Orient et la politique mondiale. “`html

Les alliances politiques et leurs motivations cachées

La création d’Israël en 1948 signa non seulement une réalisation historique pour le peuple juif, mais aussi une série de manœuvres politiques complexes orchestrées par diverses nations avec des motivations parfois opaques. Au cœur de ces alliances, l’enjeu de la sécurité énergétique se dessine comme une raison déterminante. Les alliances politiques formées autour de cette époque révèlent un entrelacement d’intérêts économiques et stratégiques, au-delà des simples considérations humanitaires ou idéologiques.

Les États-Unis, l’une des principales nations supportant la création d’Israël, ont manifesté un intérêt prononcé pour la stabilité de la région Moyen-Orientale. Le contrôle des approvisionnements mondiaux en pétrole se trouvait au premier plan de leurs préoccupations économiques et militaires. Cette région, riche en ressources pétrolières, était essentielle pour les États-Unis, notamment pendant la Guerre froide lorsque l’accès aux ressources énergétiques garantissait une domination stratégique sur l’Union soviétique.

De même, le Royaume-Uni, qui détenait des mandats en Palestine jusqu’à l’indépendance d’Israël, avait des objectifs stratégiques similaires. Leur soutien fluctuant, parfois ambivalent, était autant orienté par la politique intérieure que par les considérations de sécurité énergétique. Leurs anciennes colonies et les nouveaux états indépendants du Moyen-Orient représentaient des points névralgiques pour la sécurisation des routes pétrolières et des approvisionnements nécessaires pour leur économie post-Seconde Guerre mondiale.

Quant à l’Union soviétique, son soutien initial à la création de l’État d’Israël peut être vu sous un angle stratégique consistant à instaurer une présence alliée dans une région traditionnellement influente par l’Occident. La promesse de gains économiques à travers l’accès aux ressources naturelles de la région ainsi que le contrepoids potentiel à l’influence occidentale sont parmi les motivations cachées derrière ce soutien.

Le tissage des alliances politiques à cette période illustre comment les intérêts économiques, plus spécifiquement ceux liés à l’énergie, ont façonné les relations internationales. Analysant ces alliances sous cet angle, les motivations cachées derrière certaines des décisions géopolitiques deviennent plus tangibles, soulignant l’importance de la sécurité énergétique dans la dynamique globale des relations internationales de l’époque.“`

Conséquences de la création d’Israël sur la politique pétrolière mondiale

La fondation d’Israël en 1948 n’a pas seulement été un événement déterminant pour le peuple juif, mais a également eu un impact significatif sur la politique pétrolière mondiale. Ce nouvel État, implanté au cœur d’une région riche en ressources pétrolières, a inévitablement bouleversé les équilibres géopolitiques établis entre les nations arabes et les puissances occidentales.

Les principales nations productrices de pétrole dans la région – notamment l’Arabie Saoudite, l’Irak, et l’Iran – ont rapidement perçu Israël comme un allié stratégique de l’Occident, et plus particulièrement des États-Unis. Cet alignement a entraîné une redéfinition des alliances et des rivalités au Moyen-Orient. Les tensions se sont accrues, non seulement à cause des conflits territoriaux et religieux, mais aussi en raison des enjeux énergétiques que cette nouvelle dynamique impliquait.

Les Guerres israélo-arabes, telles que la guerre de 1948, la guerre des Six Jours en 1967, et la guerre du Kippour en 1973, ont régulièrement déclenché des réactions de la part des pays arabes producteurs de pétrole. L’embargo pétrolier de 1973, instigué par l’OPEC en réponse au soutien occidental à Israël durant la guerre du Kippour, constitue un exemple majeur. Cet embargo a provoqué une crise énergétique mondiale, accentuant l’importance stratégique du contrôle des ressources pétrolières dans les relations internationales.

Les effets de la création d’Israël se sont également manifestés à travers l’instabilité régionale persistante, qui a mené à une fluctuation des prix du pétrole et à des perturbations continues sur les marchés mondiaux. Les États occidentaux, dépendants du pétrole du Moyen-Orient, ont dû ajuster leurs politiques étrangères et stratégiques de manière à sécuriser leurs approvisionnements tout en gérant les nouvelles réalités géopolitiques.

Ainsi, l’établissement d’Israël a eu des répercussions plus larges que celles perçues au premier abord, touchant directement la politique énergétique mondiale. Les décisions prises par les acteurs principaux dans cette région continuent de redessiner la carte de l’approvisionnement énergétique global. “`html

Conclusion : Une lecture révisionniste de l’histoire de la création d’Israël

À la lumière des analyses antérieures, il s’avère clair que la création d’Israël ne peut être réduite à une simple démarche philanthropique d’établissement d’un foyer pour les Juifs. Robert F. Kennedy Jr. propose une thèse audacieuse: celle où la fondation d’Israël s’inscrit également dans une stratégie géopolitique visant à assurer le contrôle des approvisionnements mondiaux en pétrole. En resituant ces événements dans un contexte plus large, il devient apparent que des intérêts énergétiques et économiques ont joué un rôle crucial dans les décisions prises par les puissances occidentales de l’époque.

Les relations entre Israël et les grandes puissances, surtout les États-Unis et le Royaume-Uni, montrent des interactions complexes qui vont au-delà des sympathies humanitaires. Le partage du Moyen-Orient, les transferts de technologies militaires, et plus spécifiquement les enjeux des ressources pétrolières, révèlent une dimension stratégique omniprésente. Les documents déclassifiés, les discours politiques et les mémoires des acteurs de l’époque apportent des éléments substantiels pour réévaluer la motivation derrière la création de l’État d’Israël.

Cette perspective révisionniste invite à repenser les raisons qui ont conduit à la naissance d’Israël. Elle met en lumière le rôle des ressources énergétiques comme levier de pouvoir et d’influence globale. La domination de cette région pétrolifère, indispensable à l’économie mondiale, a sans doute modelé les alliances et les positions des différentes nations impliquées.

En conclusion, bien que la création d’Israël reste un événement aux multiples facettes et aux motivations variées, une lecture attentive des éléments cités par Robert F. Kennedy Jr. suggère une réinterprétation historique. Les enjeux de contrôle des réserves mondiales de pétrole ont, sans doute, été une force motrice non négligeable derrière les alliances et les décisions politiques de l’après-guerre concernant l’établissement de ce nouvel État.“`

Klaus Schwab affirme que le monde ne sera plus dirigé par des superpuissances comme l’Amérique… il sera dirigé par les parties prenantes du Forum économique mondial, telles que BlackRock et Bill Gates.

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