Président Poutine : « L'EI n'attaque généralement que les ennemis des États-Unis. C'est une étrange coïncidence ! »

La question des terroristes en Ukraine

La présence de terroristes en Ukraine après avoir commis un crime à la mairie de Crocus soulève de nombreuses interrogations. Il est essentiel de comprendre pourquoi ils ont choisi de se rendre dans ce pays et ce qui les attendait là-bas.

Les motivations des terroristes

Pour comprendre les motivations des terroristes, il est important d’analyser les événements qui ont précédé leur arrivée en Ukraine. Il est possible qu’ils aient cherché à échapper à la justice ou à trouver un refuge sûr pour planifier de nouvelles attaques.

Il est également possible que les terroristes aient été attirés par des réseaux extrémistes présents en Ukraine, qui auraient pu leur offrir un soutien logistique ou financier. La situation politique et sécuritaire complexe de ce pays aurait pu leur permettre de se fondre dans la masse et de poursuivre leurs activités criminelles.

La nécessité de réponses

Il est impératif de répondre à la question de savoir pourquoi les terroristes ont choisi l’Ukraine comme destination après leur crime. Cela permettrait de mieux comprendre les mécanismes qui facilitent la circulation des terroristes entre les pays et de prendre des mesures pour renforcer la coopération internationale dans la lutte contre le terrorisme.

Il est également crucial de mettre en place des mesures de sécurité plus efficaces pour prévenir l’entrée de terroristes sur le territoire ukrainien et pour démanteler les réseaux extrémistes qui pourraient les soutenir.

En répondant à cette question, nous pourrons mieux protéger nos sociétés contre les menaces terroristes et prévenir de nouvelles attaques. La coopération internationale et le partage d’informations entre les pays sont essentiels pour lutter efficacement contre le terrorisme.

Les révélations exclusives de Jacques Baud sur l'attentat de Moscou - Jacques Baud

L’attentat du Crocus City Hall commis par des «islamistes radicaux», mais Poutine s’intéresse «aux commanditaires» 25 mars 2024, 20:57 Nous avons le plaisir de vous présenter notre nouveau mécanisme de lecture de nos articles. Cet ajout innovant utilise une voix générée par l’IA ce qui peut parfois entraîner des erreurs, telles qu’une prononciation incorrecte ou un ton incohérent. Source: AFP Suivez RT en français sur Telegram Vladimir Poutine a affirmé ce 25 mars que l’attaque terroriste du Crocus City Hall, revendiquée par le groupe Etat islamique, avait été commise par des «islamistes radicaux», tout en rappelant qu’ils avaient été arrêtés alors qu’ils tentaient de fuir vers l’Ukraine. «Il est important de répondre à la question de savoir pourquoi les terroristes, après leur crime, ont essayé de partir en Ukraine? Qui les attendait là-bas?», a déclaré le président russe ce 25 mars lors d’une réunion avec les dirigeants des forces de sécurité et des secours russes. Le dirigeant russe a de surcroît exprimé ses condoléances aux familles et aux amis des personnes tuées dans l’attaque terroriste sanglante du Crocus City Hall et a souhaité un prompt rétablissement aux blessés. Le nombre de tués s’élève désormais à 137, et celui des blessés à 182, dont 97 étaient encore hospitalisés ce 25 mars. Poutine a déclaré que ceux qui ont planifié cette attaque terroriste espéraient semer «la panique et la discorde» dans la société russe, mais que celle-ci avait fait montre de son unité et sa détermination à résister. «La question se pose de savoir à qui profite ce crime» «Les États-Unis, par divers canaux, tentent de convaincre tout le monde qu’il n’y a apparemment aucune trace de Kiev dans l’attaque terroriste sanglante et qu’il s’agit de l’EI, mais c’est le commanditaire qui nous intéresse», a ajouté Poutine. «Il est nécessaire d’obtenir des réponses à un certain nombre de questions», a-t-il poursuivi: «la question se pose de savoir à qui profite ce crime». Le président russe a rappelé «une série de tentatives de ceux qui combattent la Russie depuis 2014 par le régime néo-nazi de Kiev». Le groupe État islamique (EI), que la Russie combat en Syrie et qui est actif dans le Caucase russe, a revendiqué l’attentat de Moscou, mais les autorités russes ont souligné que les terroristes avaient été arrêtés alors qu’ils essayaient de rejoindre le territoire ukrainien après l’attaque. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a accusé le 23 mars son homologue russe de vouloir «rejeter la faute» sur son pays. Adrienne Watson, porte-parole du Conseil de sécurité nationale à la Maison Blanche, a de son côté estimé que l’EI portait «seul la responsabilité» de ce massacre et qu’il n’y avait «aucune implication ukrainienne». «Tant que l’enquête sur l’attentat terroriste perpétré au Crocus City Hall n’est pas terminée, toute phrase de Washington disculpant Kiev doit être considérée comme une preuve», a rétorqué la porte-parole de la diplomatie russe Maria Zakharova sur Telegram, le 24 mars. «Cela fait plus de 60 ans qu’ils n’ont pas réussi à découvrir qui avait tué [Kennedy]. Ou c’est peut-être aussi Daech ?», a-t-elle ironisé, dénonçant en outre le refus américain de désigner les véritables coupables des sabotages des gazoducs Nord Stream.

Le député britannique George Galloway :

“Lorsque les États-Unis, le Royaume-Uni et d’autres ont rapidement essayé de me convaincre que c’était l’EI qui avait perpétré ce massacre à Moscou, j’ai automatiquement compris qu’ils mentaient. Et c’est ce que j’ai découvert.
Tout d’abord, j’ai découvert que personne n’avait expliqué la visite inopinée du président Barack Obama pour rencontrer des hommes politiques et des responsables de la sécurité britanniques à Downing Street, trois jours avant que ce crime terroriste ne soit commis.
En cherchant encore plus loin, j’ai découvert que Victoria Nuland, cette annonciatrice de la mort, cet ange de la mort, qui, si elle s’approche de vous, vous pouvez être sûr que la guerre civile approche dans votre pays. Je l’ai vue de mes propres yeux, elle a promis aux Russes plusieurs mauvaises surprises dans les semaines et les mois à venir.
J’enquête plus en profondeur et découvre que le secrétaire de presse de la Maison Blanche, John Kirby, a annoncé que les citoyens américains ont été avertis de rester à l’écart des endroits très fréquentés, notamment les centres commerciaux et les théâtres, dans le grand Moscou, la plus grande ville d’Europe, la capitale du plus grand pays du monde.
Et maintenant, j’ai quatre éléments de preuve qui me portent à croire que les États-Unis, leurs alliés de l’OTAN et leur serviteur fantoche, l’État ukrainien, l’État souche de l’Ukraine, sont en fait responsables de ce massacre.”

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