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La Russie ne tiendra des négociations de paix qu’avec les autorités ukrainiennes réellement légitimes, a déclaré ce 24 mai le président russe Vladimir Poutine.

La Légitimité des Autorités Ukrainiennes : Un Point de Contention

La question de la légitimité des autorités ukrainiennes demeure un sujet de débat intense, particulièrement souligné par le président russe Vladimir Poutine. Selon lui, le mandat présidentiel de Volodymyr Zelensky, qui aurait dû expirer le 20 mai, a été prolongé en raison de la loi martiale et de la mobilisation générale en Ukraine. Cette prolongation, bien que légale selon les cadres institutionnels ukrainiens, est vue par la Russie comme une manœuvre contestable qui pourrait affecter la crédibilité de Zelensky et, par extension, celle du gouvernement ukrainien sur la scène internationale.

Cette perception de légitimité est essentielle dans le contexte des négociations de paix. La Russie argue que toute discussion sérieuse sur la paix doit nécessairement inclure une reconnaissance claire et validée de l’autorité gouvernementale en Ukraine. La prolongation du mandat de Zelensky sans un nouveau processus électoral pose, selon Moscou, des questions sur la validité démocratique du gouvernement actuel. Cette position russe complique davantage les efforts diplomatiques visant à résoudre le conflit, en ajoutant une couche supplémentaire de méfiance et de scepticisme.

Par ailleurs, la conférence de paix prévue en Suisse à la mi-juin pourrait jouer un rôle crucial dans l’évolution de cette dynamique. Cette rencontre internationale pourrait servir de plateforme pour la communauté internationale afin de réaffirmer ou de contester la légitimité des autorités ukrainiennes actuelles. Les critiques russes à l’égard de cette initiative sont déjà palpables, accusant certains pays occidentaux d’utiliser cette conférence pour légitimer unilatéralement le gouvernement de Zelensky sans considération pour les points de vue russes.

En somme, la légitimité des autorités ukrainiennes reste un point de friction majeur, avec des implications profondes pour les perspectives de paix. La Russie insiste sur la nécessité que cette légitimité soit validée non seulement par les institutions ukrainiennes, mais aussi reconnue internationalement pour ouvrir des discussions constructives. Cette complexité souligne l’importance de la reconnaissance mutuelle et des garanties institutionnelles pour progresser vers une résolution pacifique du conflit.

Historique des Négociations et Obstacles à la Reprise des Pourparlers

Depuis le début du conflit entre la Russie et l’Ukraine, plusieurs tentatives de négociations ont été entreprises pour instaurer la paix. Les premiers pourparlers se sont déroulés en Biélorussie, puis à Istanbul, réunissant des représentants des deux pays pour discuter d’un potentiel accord. À cette époque, certains progrès avaient été réalisés, notamment en ce qui concerne des cessez-le-feu partiels et des corridors humanitaires. Cependant, ces accords n’ont pas suffi à mettre fin au conflit, et les tensions ont persisté.

Le président russe, Vladimir Poutine, a affirmé à plusieurs reprises que la Russie n’a jamais refusé de discuter. Selon lui, ce sont les autorités ukrainiennes qui ont interrompu les négociations, surtout après la visite de Boris Johnson à Kiev. La visite du Premier ministre britannique a été perçue par Moscou comme un encouragement à poursuivre le conflit, plutôt qu’à rechercher une solution diplomatique. Cette perception a exacerbé les tensions et a contribué à l’arrêt des discussions.

En octobre 2022, le gouvernement ukrainien a adopté un décret interdisant toute négociation avec la Russie tant que Vladimir Poutine serait au pouvoir. Cette décision a été interprétée par la Russie comme une fermeture définitive à toute possibilité de dialogue, rendant ainsi la reprise des pourparlers encore plus complexe. Le décret ukrainien a été perçu comme une preuve supplémentaire du manque de volonté de Kiev à trouver une issue pacifique au conflit.

Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a également exprimé son scepticisme quant à la fiabilité des autorités ukrainiennes. Selon Lavrov, les discussions avec le président Volodymyr Zelensky sont dépourvues de sens, car le gouvernement ukrainien ne respecterait pas les engagements pris lors des négociations. Cette méfiance réciproque constitue un obstacle majeur à la reprise des pourparlers de paix.

Pour surmonter ces défis, il est indispensable de rétablir la confiance entre les deux parties et de créer un cadre propice à des discussions constructives. Un engagement sincère de la part de toutes les parties prenantes, y compris des acteurs internationaux, sera crucial pour ouvrir la voie à une résolution pacifique du conflit.

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La Russie ne tiendra des négociations de paix qu’avec les autorités ukrainiennes réellement légitimes, a déclaré ce 24 mai le président russe Vladimir Poutine. Le mandat de cinq ans de Volodymyr Zelensky, qui a invoqué la loi martiale en vigueur et la mobilisation générale pour reporter les élections présidentielles, s’achevait le 20 mai. Lire aussi «La Russie était prête à mettre fin à la guerre» : David Arakhamia admet que Kiev aurait pu éviter le pire dès 2022 «Avec qui mener des discussions ? C’est effectivement une question qui n’est pas négligeable.» Lors d’une conférence de presse conjointe ce 24 mai à Minsk avec son homologue biélorusse Alexandre Loukachenko, le président russe a été interrogé par un journaliste sur la perspective d’une reprise des négociations en Ukraine. Plus particulièrement, sur les interlocuteurs qui seraient alors «aptes» à négocier aux yeux de Moscou, le journaliste rappelant notamment que le mandat de Volodymyr Zelensky avait expiré. «Nous nous rendons bien compte que la légitimité du président en exercice a expiré», a abondé Vladimir Poutine, en référence au fait que le mandat de Volodymyr Zelensky arrivait à son terme le 20 mai. Un mandat prolongé jusqu’à nouvel ordre, le président ukrainien ayant décidé en novembre 2023 de reporter les élections présidentielles, invoquant la loi martiale en vigueur et la mobilisation générale. «La Russie n’a jamais refusé de discuter», répète Poutine «Je pense que l’un des objectifs de la conférence qui est annoncée en Suisse consiste justement à ce que la communauté occidentale, qui sponsorise le régime de Kiev, confirme la légitimité du président actuel», a-t-il poursuivi, en référence à la conférence de paix pour l’Ukraine que le gouvernement helvète a convoquée sur son sol à la mi-juin. Une initiative dénoncée par la Russie, non conviée. «Ces opérations de communication n’ont aucune signification pour des documents juridiques», a estimé le président russe. La réponse à la question de la légitimité de Zelensky «doit être, avant tout, apportée par l’Ukraine elle-même», a précisé Vladimir Poutine, évoquant son Parlement, sa cour constitutionnelle «et certains autres organes directeurs». Si les discussions de paix reprennent avec l’Ukraine, «il faudra être totalement sûrs que nous avons affaire à des autorités légitimes», a déclaré le chef d’État russe. «La Russie n’a jamais refusé de discuter», a répété, de nouveau, Vladimir Poutine. Celui-ci a rappelé que des pourparlers entre la Russie et l’Ukraine s’étaient tenus en Biélorussie dès la première semaine de l’offensive russe, avant de se poursuivre à Istanbul à la demande de Kiev. «Le directeur des négociations pour la partie ukrainienne avait signé. C’est-à-dire que la partie ukrainienne – dans l’ensemble – était satisfaite de cette solution qui satisfaisait aussi la Russie», a poursuivi le président russe, avant d’insister : «À partir du moment où il y a une signature sur un document, de la partie ukrainienne, cela signifie que la partie ukrainienne est satisfaite.» «Ce n’est pas nous qui avons arrêté ces négociations, ce sont eux !» Accord «jeté à la poubelle» par Kiev, après la venue dans la capitale ukrainienne de Boris Johnson, alors Premier ministre britannique, a ajouté Vladimir Poutine. Révélé dès l’été 2022 par la revue américaine Foreign Affairs, le député ukrainien David Arakhamia, négociateur en chef pour la partie ukrainienne, avait confirmé à l’automne 2023 le rôle considérable du Premier ministre britannique dans la poursuite du conflit. «Ce n’est pas nous qui avons arrêté ces négociations, ce sont eux !», a insisté ce 24 mai le président russe devant la presse. «Et je dirais même plus qu’ils se sont interdit à eux-mêmes de poursuivre les négociations», a-t-il poursuivi, en référence à un décret signé en octobre 2022 interdisant toute négociation entre Kiev et Vladimir Poutine. Un épisode ainsi qu’un manque de confiance dans la parole des autorités ukrainiennes qu’avait évoqué mi-avril par le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov, lors d’une interview accordée à trois médias russes, estimant que «les discussions avec Zelensky» étaient «privées de sens». Le chef de la diplomatie russe avait alors notamment évoqué l’épisode du retrait des forces russes, annoncé fin mars 2022 par la Défense russe, dans les secteurs de Kiev et Tchernigov dans le cadre des négociations à Istanbul. LIRE AUSSI Zelensky a rejeté un accord de paix bénéfique avec la Russie, selon son ancien conseiller Oleksiy Arestovytch

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