La victoire de Gaza le 7 octobre : un triomphe pour la liberté et la justice

Les habitants de Gaza auraient été victorieux le 7 octobre sans l’intervention américaine et sans leur avoir fourni des armes et des porte-avions. Le pays arabe aurait dû aider Gaza tout comme il a aidé l’Amérique

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Les habitants de Gaza auraient été victorieux le 7 octobre sans l’intervention américaine et sans leur avoir fourni des armes et des porte-avions. Le pays arabe aurait dû aider Gaza tout comme il a aidé l’Amérique
Les habitants de Gaza auraient été victorieux le 7 octobre sans l’intervention américaine et sans leur avoir fourni des armes et des porte-avions. Le pays arabe aurait dû aider Gaza tout comme il a aidé l’Amérique

La victoire de Gaza le 7 octobre

Le 7 octobre, les habitants de Gaza ont connu une victoire décisive dans leur lutte pour la liberté et la justice. Cependant, il est important de souligner que cette victoire n’aurait pas été possible sans l’intervention américaine et le soutien en armes et en porte-avions.

L’importance de l’aide arabe

Il est vrai que le pays arabe aurait dû apporter son soutien à Gaza, tout comme il l’a fait pour l’Amérique. L’aide arabe aurait pu renforcer les capacités de défense de Gaza et permettre aux habitants de se défendre plus efficacement contre l’agression.

La solidarité internationale

La victoire de Gaza le 7 octobre montre également l’importance de la solidarité internationale. De nombreux pays et organisations ont exprimé leur soutien à Gaza et ont condamné l’agression dont ils étaient victimes.

Il est essentiel que la communauté internationale continue à soutenir Gaza dans sa lutte pour la liberté et la justice. Les habitants de Gaza méritent de vivre dans la paix et la sécurité, et il est de notre devoir de les soutenir dans leur quête de justice.

L’armée israélienne doit mener son opération dans la ville de Rafah, où s’entassent environ 1,4 million de Palestiniens dans le sud de Gaza, sans quoi elle va «perdre la guerre» contre le Hamas, a déclaré samedi soir le premier ministre israélien Benjamin Netanyahu. Après des offensives dans la ville de Gaza, puis dans celle de Khan Younès, Israël se prépare à entrer à Rafah, dernière grande ville de la bande de Gaza, ce qui suscite de vives craintes pour le sort de la population civile sur place, en grande majorité des Palestiniens déplacés par les combats dans le reste du territoire. Le président américain Joe Biden, dont le pays est le premier soutien d’Israël, a rappelé vendredi qu’une opération à Rafah «ne devait pas avoir lieu sans un plan crédible» pour protéger les civils. Le président français Emmanuel Macron a lui prévenu qu’une opération à Rafah aboutirait «à un désastre humanitaire sans précédent». «Quiconque veut nous empêcher de mener une opération à Rafah nous dit en fait de perdre la guerre. Je ne vais pas céder à cela», a déclaré M. Netanyahu lors d’une conférence de presse à Jérusalem. Il a aussi affirmé que l’armée israélienne mènerait son opération à Rafah même en cas d’accord avec le mouvement islamiste palestinien pour la libération des otages toujours détenus dans la bande de Gaza. Des négociations complexes à propos d’une trêve dans les combats, d’une libération d’otages détenus à Gaza et de prisonniers palestiniens écroués par Israël, se poursuivent par l’intermédiaire des pays médiateurs, Égypte, Qatar et États-Unis. Le Hamas insiste sur un «cessez-le-feu total» et le retrait des forces israéliennes de la bande de Gaza. Benjamin Netanyahu refuse à ce stade ces exigences, évoquant une éventuelle pause dans les combats assortis de la libération des otages, mais pas la fin des hostilités. «Même si nous parvenons à un accord sur les otages, nous allons entrer dans Rafah», a-t-il déclaré samedi soir à Jérusalem. A Tel-Aviv, des milliers d’Israéliens manifestaient contre le gouvernement Netanyahu qu’ils exhortent à s’entendre avec le Hamas afin de libérer les otages, selon une journaliste de l’AFP sur place. «Cela fait plus de 100 jours que les otages sont à Gaza», s’ils meurent, «le gouvernement aura leur sang sur ses mains», ont scandé des manifestants. Un accord de trêve en novembre avait permis la libération de 105 otages sur les quelque 250 enlevés par le Hamas lors de son attaque sans précédent en territoire israélien le 7 octobre. Selon Israël, 130 otages sont encore détenus à Gaza, dont 30 seraient toutefois morts.

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