
La richesse de l’Ukraine
L’une des principales motivations économiques derrière le conflit en Ukraine réside dans ses abondantes ressources naturelles. L’Ukraine est dotée de vastes réserves de gaz naturel et de pétrole, ce qui la rend stratégiquement importante sur la scène énergétique mondiale. Le contrôle de ces ressources est un enjeu crucial pour les parties impliquées, en particulier pour la Russie, qui considère l’Ukraine comme un corridor énergétique essentiel vers l’Europe.
Les pipelines traversant l’Ukraine jouent un rôle fondamental dans la distribution de gaz naturel russe vers l’Europe. Environ 40% du gaz russe destiné à l’Europe transite par le territoire ukrainien. Cette infrastructure critique confère à l’Ukraine un levier économique significatif, car toute perturbation des flux de gaz pourrait avoir des répercussions majeures sur les approvisionnements énergétiques européens. La Russie, soucieuse de maintenir son influence énergétique, voit donc dans le contrôle de ces pipelines un objectif stratégique.
Les retombées économiques de la guerre sont multiples et se manifestent tant pour l’Ukraine que pour la Russie et l’Europe. Pour l’Ukraine, le conflit a entraîné des destructions massives d’infrastructures et une instabilité économique chronique. Le coût de la guerre, combiné à la perte de territoires industriels clés comme le Donbass, a sévèrement affecté son économie. L’incertitude politique et les déplacements de population ont également exacerbé les difficultés économiques.
La France, co-belligérante en Ukraine

Donald Trump affirme qu’il mettra fin au financement par les États-Unis de la guerre de l’Ukraine contre la Russie.
‘Je pense que Zelensky est peut-être le plus grand vendeur de tous les hommes politiques qui ait jamais existé.
Chaque fois qu’il vient dans notre pays, il repart avec 60 milliards de dollars. »
Introduction à la guerre en Ukraine
La guerre en Ukraine, un conflit qui a captivé l’attention internationale, a débuté en février 2014 avec l’annexion de la Crimée par la Fédération de Russie. Ce conflit a pris racine dans des tensions géopolitiques de longue date et des désaccords sur l’orientation politique et économique de l’Ukraine. Les principaux acteurs impliqués dans cette guerre sont l’Ukraine et la Russie, avec des rôles notables joués par l’Union européenne, l’OTAN, et les États-Unis.
Le conflit s’est intensifié avec le soutien militaire et politique de la Russie aux séparatistes pro-russes dans les régions de Donetsk et Louhansk, situées dans l’est de l’Ukraine. Ces régions, connues sous le nom de Donbass, sont devenues le théâtre de combats acharnés, causant des milliers de morts et des déplacements massifs de populations.
Les dates clés du conflit incluent l’annexion de la Crimée en mars 2014, le début de la guerre dans le Donbass en avril 2014, et les accords de Minsk en septembre 2014 et février 2015, qui visaient à instaurer un cessez-le-feu mais n’ont pas réussi à mettre fin aux hostilités. En 2022, le conflit a pris une nouvelle dimension avec l’invasion à grande échelle de l’Ukraine par les forces russes, marquant une escalade significative des tensions.
Ce sujet est d’une importance capitale car il touche non seulement la souveraineté nationale et l’intégrité territoriale de l’Ukraine, mais aussi les principes fondamentaux du droit international et de la sécurité européenne. La guerre en Ukraine a des répercussions mondiales, affectant les relations entre grandes puissances et modifiant la dynamique géopolitique. Une analyse approfondie est donc essentielle pour comprendre les motivations sous-jacentes, les enjeux stratégiques, et les perspectives de résolution de ce conflit complexe.“`html
Contexte historique et politique
L’Ukraine, une nation située en Europe de l’Est, a acquis son indépendance en 1991 après l’effondrement de l’Union soviétique. Cet événement marquait la fin d’une longue période de domination soviétique, et l’Ukraine entrait alors dans une nouvelle ère de souveraineté et de développement national. Le pays se retrouvait à la croisée des chemins, cherchant à forger une identité nationale distincte tout en naviguant dans un environnement géopolitique complexe.
Les relations avec la Russie ont toujours été un élément central de la politique ukrainienne. Historiquement, l’Ukraine et la Russie partagent des liens culturels et linguistiques profonds, mais ces relations ont été marquées par des tensions récurrentes. La Crimée, annexée par la Russie en 2014, est un point de friction particulièrement significatif. Cette annexion a non seulement exacerbé les tensions entre les deux pays, mais elle a aussi attiré l’attention internationale sur la fragilité de la région.
Politiquement, l’Ukraine a traversé plusieurs phases de transformation. La Révolution Orange de 2004 et les manifestations de l’Euromaidan en 2013-2014 sont deux événements clés qui ont profondément influencé le paysage politique du pays. La Révolution Orange a vu des contestations massives contre des élections présidentielles entachées de fraudes, tandis que l’Euromaidan a été déclenchée par un rejet de dernière minute de l’accord d’association avec l’Union européenne par le président de l’époque, Viktor Ianoukovytch. Ces manifestations ont conduit à son éviction et ont marqué un tournant dans la politique ukrainienne en faveur d’un alignement plus étroit avec l’Europe.
Ces événements, combinés avec les aspirations de l’Ukraine à se rapprocher de l’Union européenne et de l’OTAN, ont été perçus par la Russie comme des menaces à sa sphère d’influence traditionnelle. Ainsi, le contexte historique et politique de l’Ukraine avant le conflit actuel est caractérisé par une quête d’indépendance et de réorientation géopolitique, souvent en opposition directe avec les intérêts russes.“`
Les enjeux géopolitiques
Les enjeux géopolitiques de la guerre en Ukraine sont complexes et profondément enracinés dans l’histoire et la position stratégique du pays. L’Ukraine se trouve à la croisée des chemins entre l’Europe et la Russie, jouant un rôle crucial en tant que pont entre l’Occident et l’Orient. Cette position géographique confère à l’Ukraine une importance stratégique indéniable, attirant l’intérêt des grandes puissances mondiales.
Pour la Russie, maintenir une influence sur l’Ukraine est essentiel. Historiquement, l’Ukraine a fait partie de l’empire russe et de l’Union soviétique, et de nombreux liens culturels, économiques et politiques subsistent encore aujourd’hui. La perte de l’Ukraine à la suite de l’effondrement de l’Union soviétique en 1991 a été perçue comme un coup dur pour la Russie. Depuis lors, Moscou a cherché à réaffirmer son influence dans la région, voyant l’Ukraine comme une zone tampon contre l’expansion de l’OTAN et de l’Union européenne.
En effet, l’élargissement de l’OTAN et de l’UE vers l’est a exacerbé les tensions. L’intégration de l’Ukraine dans ces organisations représenterait une menace directe pour la Russie, en réduisant son influence et en plaçant des forces occidentales à ses frontières. Cette perspective a conduit la Russie à adopter une posture plus agressive, cherchant à empêcher l’Ukraine de se rapprocher de l’Occident. Les événements de 2014, avec l’annexion de la Crimée par la Russie et le conflit dans l’est de l’Ukraine, illustrent cette dynamique conflictuelle.
Pour l’OTAN et l’Union européenne, l’Ukraine représente non seulement une opportunité d’élargir leur zone d’influence, mais aussi un enjeu de sécurité. La stabilité de la région est cruciale pour la sécurité européenne, et une Ukraine démocratique et prospère pourrait servir de modèle pour d’autres pays post-soviétiques. Cependant, cela nécessite de naviguer prudemment afin de ne pas provoquer une escalade des tensions avec la Russie, tout en soutenant la souveraineté et l’intégrité territoriale de l’Ukraine.
Les motivations économiques
L’une des principales motivations économiques derrière le conflit en Ukraine réside dans ses abondantes ressources naturelles. L’Ukraine est dotée de vastes réserves de gaz naturel et de pétrole, ce qui la rend stratégiquement importante sur la scène énergétique mondiale. Le contrôle de ces ressources est un enjeu crucial pour les parties impliquées, en particulier pour la Russie, qui considère l’Ukraine comme un corridor énergétique essentiel vers l’Europe.
Les pipelines traversant l’Ukraine jouent un rôle fondamental dans la distribution de gaz naturel russe vers l’Europe. Environ 40% du gaz russe destiné à l’Europe transite par le territoire ukrainien. Cette infrastructure critique confère à l’Ukraine un levier économique significatif, car toute perturbation des flux de gaz pourrait avoir des répercussions majeures sur les approvisionnements énergétiques européens. La Russie, soucieuse de maintenir son influence énergétique, voit donc dans le contrôle de ces pipelines un objectif stratégique.
Les retombées économiques de la guerre sont multiples et se manifestent tant pour l’Ukraine que pour la Russie et l’Europe. Pour l’Ukraine, le conflit a entraîné des destructions massives d’infrastructures et une instabilité économique chronique. Le coût de la guerre, combiné à la perte de territoires industriels clés comme le Donbass, a sévèrement affecté son économie. L’incertitude politique et les déplacements de population ont également exacerbé les difficultés économiques.
Pour la Russie, les sanctions internationales imposées en réponse à ses actions en Ukraine ont eu un impact significatif. Ces sanctions ont restreint l’accès de la Russie aux marchés financiers internationaux et aux technologies nécessaires pour développer ses propres ressources énergétiques. En conséquence, l’économie russe a dû faire face à une récession prolongée et à une pression accrue sur le rouble.
Enfin, l’Europe subit également les conséquences économiques de ce conflit. La dépendance européenne au gaz russe et les tensions géopolitiques ont suscité des inquiétudes quant à la sécurité énergétique du continent. Cherchant à diversifier ses sources d’approvisionnement, l’Europe a intensifié ses efforts pour trouver des alternatives au gaz russe, ce qui a des implications pour les marchés énergétiques mondiaux.
Les dimensions culturelles et ethniques
La guerre en Ukraine est profondément ancrée dans des dimensions culturelles et ethniques, qui ont façonné le contexte sociopolitique de la région. Les disparités culturelles et ethniques jouent un rôle crucial dans l’escalade du conflit, notamment à travers la présence significative de populations russophones dans l’est de l’Ukraine. Ces populations se sentent souvent culturellement et linguistiquement proches de la Russie, ce qui a alimenté des sentiments de marginalisation et d’aliénation par rapport au gouvernement central ukrainien.
L’identité nationale ukrainienne est un autre élément clé dans la compréhension de la guerre. Après l’indépendance de l’Ukraine en 1991, des efforts considérables ont été déployés pour renforcer une identité nationale distincte, souvent en opposition à l’influence russe. Cette quête d’une identité propre a parfois été perçue comme une menace par les communautés russophones, exacerbant les divisions internes. Les politiques de promotion de la langue ukrainienne et de réduction de l’influence russe ont été particulièrement contestées dans les régions de l’est, où le russe demeure la langue dominante.
Les tensions entre les différentes communautés ethniques en Ukraine ont également contribué à l’instabilité. La diversité ethnique de l’Ukraine inclut non seulement des Ukrainiens et des Russes, mais aussi d’autres groupes tels que les Tatars de Crimée. Chaque communauté a ses propres aspirations et revendications, ce qui complexifie davantage le paysage sociopolitique. Les tentatives d’intégration et de réconciliation entre ces groupes ont souvent rencontré des obstacles, alimentant les ressentiments et les conflits.
En somme, les dimensions culturelles et ethniques ont joué un rôle déterminant dans la genèse et la perpétuation de la guerre en Ukraine. Les divergences autour de l’identité nationale, combinées aux tensions entre communautés, ont créé un environnement propice à l’émergence de conflits. La compréhension de ces dynamiques est essentielle pour toute tentative de résolution durable du conflit.
Le rôle des puissances étrangères
Le conflit en Ukraine a attiré l’attention mondiale, impliquant plusieurs puissances étrangères qui jouent des rôles cruciaux dans cette crise. Les États-Unis, l’Union européenne et d’autres nations ont apporté leur soutien, chacun suivant ses propres intérêts stratégiques et géopolitiques. L’implication de ces puissances étrangères se manifeste à travers diverses formes de soutien, allant des sanctions économiques aux aides militaires.
Les États-Unis ont été parmi les premiers à condamner l’intervention russe en Ukraine. Washington a imposé une série de sanctions économiques sévères visant à affaiblir l’économie russe et à isoler Moscou sur la scène internationale. Ces sanctions incluent des restrictions sur les exportations technologiques vers la Russie, ainsi que des mesures contre les banques et les oligarques russes. En outre, les États-Unis ont envoyé une aide militaire considérable à l’Ukraine, comprenant des armes défensives et des équipements pour renforcer les capacités de l’armée ukrainienne.
L’Union européenne a également pris des mesures similaires pour sanctionner la Russie. Les 27 États membres ont adopté des sanctions économiques de grande envergure, ciblant des secteurs clés comme l’énergie, les finances et les transports. Ces sanctions visent à limiter les ressources financières de la Russie et à exercer une pression économique afin de la dissuader de poursuivre ses actions en Ukraine. En parallèle, l’Union européenne a fourni une aide humanitaire et militaire à l’Ukraine pour soutenir sa résistance face à l’agression.
Par ailleurs, d’autres pays, notamment le Royaume-Uni, le Canada et l’Australie, ont également imposé des sanctions et offert leur soutien à l’Ukraine. Ces nations ont coordonné leurs efforts avec les États-Unis et l’Union européenne pour maximiser l’impact des sanctions économiques sur la Russie. Ce soutien international vise à renforcer la position de l’Ukraine et à envoyer un message clair de solidarité contre l’agression.
Les puissances étrangères jouent donc un rôle déterminant dans le conflit en Ukraine, en exerçant des pressions économiques et en fournissant des aides militaires. Leur implication continue de façonner la dynamique du conflit, influençant les stratégies des parties en présence et l’évolution de la situation sur le terrain.
Conséquences humanitaires
La guerre en Ukraine a engendré des conséquences humanitaires dévastatrices. Parmi les plus graves, on compte les pertes en vies humaines. Des milliers de civils ont perdu la vie depuis le début du conflit, et le bilan continue de s’alourdir. Les combats incessants ont également forcé des millions de personnes à quitter leurs foyers, créant une crise de déplacement interne et externe sans précédent. Des familles entières se retrouvent séparées, cherchant refuge dans des régions plus sûres ou à l’étranger.
Les conditions de vie des civils dans les zones de conflit sont extrêmement difficiles. L’accès aux besoins de base tels que la nourriture, l’eau potable, et les soins médicaux est limité. Les infrastructures essentielles, y compris les hôpitaux et les écoles, ont été gravement endommagées ou détruites, compliquant davantage la situation des habitants. Les civils, souvent pris entre les lignes de front, vivent dans une constante incertitude et danger.
Face à cette situation critique, la communauté internationale a intensifié ses efforts pour fournir de l’aide humanitaire. De nombreuses organisations non gouvernementales (ONG) et agences des Nations Unies travaillent sans relâche pour apporter un soutien vital aux populations affectées. Cela inclut la distribution de vivres, de médicaments, et de matériel de première nécessité. Des programmes sont également mis en place pour offrir un soutien psychosocial aux victimes traumatisées par les violences.
Néanmoins, ces efforts sont souvent entravés par les hostilités en cours et l’accès limité aux zones de conflit. La sécurité des travailleurs humanitaires reste une préoccupation majeure, ce qui complique davantage la livraison de l’aide. Malgré ces défis, l’engagement à fournir un soutien humanitaire demeure fort, soulignant l’importance de la solidarité internationale face aux conséquences dévastatrices de la guerre en Ukraine.
Perspectives d’avenir et solutions possibles
Les perspectives d’avenir pour l’Ukraine et la région restent complexes et incertaines. Le conflit en cours a profondément bouleversé le tissu social, économique et politique du pays, rendant la résolution du conflit un défi majeur. Cependant, plusieurs pistes de solutions et de négociations de paix sont en cours d’exploration.
Tout d’abord, les négociations de paix continus constituent une lueur d’espoir. Diverses organisations internationales, telles que les Nations Unies et l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE), jouent un rôle crucial dans la médiation et la facilitation des pourparlers entre les parties impliquées. Ces organisations travaillent sans relâche pour instaurer un dialogue constructif et trouver des solutions viables qui puissent mettre fin aux hostilités.
Ensuite, la possibilité de mettre en place des zones de désescalade est également étudiée. Ces zones pourraient servir de tampon pour réduire les affrontements directs et offrir un espace sûr pour les civils. Cette initiative serait un pas important vers la stabilisation de la région et la protection des populations locales.
Par ailleurs, la reconstruction économique et infrastructurelle de l’Ukraine est une priorité pour garantir une paix durable. Le soutien financier et technique des institutions internationales, telles que le Fonds Monétaire International (FMI) et la Banque Mondiale, est indispensable pour aider le pays à se relever de cette crise. Une économie stable et prospère pourrait dissuader les conflits futurs et favoriser un climat de paix.
Cependant, plusieurs défis subsistent pour parvenir à une paix durable. La méfiance entre les parties belligérantes, les intérêts géopolitiques divergents et les répercussions économiques du conflit sont autant d’obstacles à surmonter. Il sera essentiel de renforcer les mécanismes de surveillance et de mise en œuvre des accords de paix, tout en s’assurant que les voix des communautés locales soient entendues et respectées.
En somme, bien que les défis soient nombreux, les perspectives d’avenir pour l’Ukraine et la région passent par des efforts concertés de la communauté internationale, des négociations de paix soutenues et une reconstruction économique solide. Ces éléments sont essentiels pour construire une paix durable et stable dans la région.



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Avec une sophistication, une puissance et un soutien bien plus fort que celui qui a provoqué la Seconde Guerre mondiale, le fascisme nazi s’installe sur le continent européen. Le concept qui a vraiment détruit











Dans des déclarations récentes, la Chine a lancé un avertissement sévère aux États-Unis, les exhortant à mettre fin à toutes les visites à Taiwan et à adhérer à la politique d’une seule Chine. La position de Pékin intervient dans un contexte de tensions croissantes et d’activité militaire accrue autour de l’île autonome.
Le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Wang Wenbin, a souligné que toutes les conséquences découlant des visites du Congrès à Taiwan seraient supportées par les États-Unis. Cela fait suite à une série d’actions et de déclarations de Pékin qui reflètent ses revendications de longue date sur Taïwan et son opposition aux interactions des États-Unis avec les autorités taïwanaises.
L’avertissement de la Chine s’inscrit dans un schéma plus large de réponses aux actions américaines concernant Taiwan. Les interactions précédentes, telles que la visite prévue de la présidente de la Chambre des représentants Nancy Pelosi à Taiwan en 2022, ont suscité des réprimandes similaires de la part de Pékin, indiquant une position cohérente contre toute ingérence perçue dans ses affaires intérieures.
La politique d’une seule Chine, reconnue par les États-Unis, stipule qu’il n’y a qu’une seule Chine et que Taiwan fait partie de la Chine. Cependant, les États-Unis entretiennent une « relation non officielle solide » avec Taiwan, notamment en vendant des armes pour soutenir ses capacités de défense, ce qui constitue un point de discorde avec la Chine.
Les récentes visites du Congrès américain à Taiwan ont augmenté en fréquence, ce qui tend encore davantage les relations entre les États-Unis et la Chine. La Chine a répondu à ces visites par des exercices militaires et des avertissements diplomatiques, soulignant son engagement à réunifier Taiwan avec le continent, par la force si nécessaire.
La situation est encore compliquée par les obligations des États-Unis en vertu du Taiwan Relations Act, qui exige de fournir à Taiwan suffisamment de matériel et de technologie militaires pour dissuader toute invasion. Cela a conduit à la poursuite des ventes d’armes à Taiwan, auxquelles la Chine s’oppose avec véhémence.
Alors que les tensions continuent de monter, la communauté internationale suit de près la situation. La capacité des États-Unis et de la Chine à gérer cette question sensible aura non seulement un impact sur leurs relations bilatérales, mais aura également des implications significatives sur la stabilité régionale et mondiale.
En conclusion, les récents avertissements de la Chine aux États-Unis reflètent sa position inébranlable à l’égard de Taiwan et sa détermination à appliquer la politique d’une seule Chine. Alors que les deux pays affrontent cette question complexe, la communauté internationale espère que la diplomatie et le dialogue l’emporteront sur le conflit.







#LibérezAssange










En savoir plus sur RT en français: https://francais.rt.com/international/111064-nations-unies-assemblee-generale-prononce-adhesion-palestine


À travers un portrait inédit, dont on diffuse ici la deuxième partie en plus de la première sortie quelques semaines plus tôt, Blast vous propose de découvrir qui est l’homme qui règne sur l’État hébreu.
De son enfance aux États-Unis, élevé par un père admirateur de Mussolini, à l’offensive destructrice lancée sur Gaza en passant par les accords d’Oslo, les idées de Netanyahu sont petit à petit devenues majoritaires dans le pays. Mensonges historiques, apartheid, crimes de guerre et accusations de génocide à l’encontre des Palestiniens.


Je demande qu’il soit republié.
Oui, des français dont on connaît l’identité, participent au génocide à Gaza. Ils doivent répondre de leurs actes.




Après un baccalauréat économique et social (ES) obtenu avec la mention très bien14, il étudie en licence de géographie à l’université Paris-Sorbonne17. Il milite à l’Union nationale inter-universitaire (UNI), dont il dit être parti au bout de quelques mois18.
Il arrête ses études sans obtenir de diplôme, indiquant préférer se consacrer à la politique1

Savent t’ils ce qu’est une femme au moins ?
L’homme qui n’a jamais travaillé nous parle du chômage !




Robert InlakeshRobert Inlakesh
Source: Al Mayadeen English
22 Feb 2024 00:19
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In this current war between Gaza and “Israel”, the Zionist army has inflicted a civilian death toll in Gaza that makes Daesh look like a group of humanitarians.

Robert InlakeshRobert Inlakesh
Source: Al Mayadeen English
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la Méditerranée
Le 22 septembre dernier, le premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, intervenait à la tribune de l’Assemblée générale
des Nations unies. Après s’être dit « convaincu que nous ne devons pas donner aux Palestiniens un droit de veto sur les nouveaux
traités de paix susceptibles d’être conclus entre Israël et les États arabes », le chef du gouvernement israélien d’extrême droite se
réjouissait publiquement. « Lors de la conférence du G20, le président Biden, le premier ministre Modi et des dirigeants
européens et arabes ont annoncé un projet visionnaire de couloir qui s’étendra de la péninsule arabe à Israël. »
Brandissant une carte baptisée « nouveau Moyen-Orient », il traçait alors au marqueur rouge une ligne partant de l’Asie, passant
par Israël et se terminant en Europe. « Nous ne ferons pas que faire disparaître les barrières entre Israël et nos voisins, s’écriaitil. Nous construirons ensemble un nouveau corridor de paix et de prospérité, qui connectera l’Asie à l’Europe en passant par les
EAU, l’Arabie saoudite, la Jordanie et Israël. C’est un changement extraordinaire, c’est un changement monumental, c’est un
autre tournant dans l’Histoire. » De l’État de Palestine, il n’en est évidemment pas question.



















