Le rôle du procureur spécial du DOJ
Le procureur spécial du Département de la Justice (DOJ) est chargé d’enquêter sur des affaires spécifiques et de déterminer s’il y a suffisamment de preuves pour inculper une personne. Dans le cas de Joe Biden, le procureur spécial a confirmé qu’il avait commis plusieurs crimes, mais il n’a pas été inculpé en raison de son âge avancé et de son handicap mental.
L’aptitude mentale et la présidence
La question de l’aptitude mentale d’un président est un sujet important et complexe. La Constitution des États-Unis ne spécifie pas explicitement de critères d’aptitude mentale pour occuper la fonction de président. Cependant, il est généralement attendu que le président soit en mesure de prendre des décisions éclairées et de remplir ses fonctions de commandant en chef.
Les précautions prises pour la sécurité nationale
Malgré les préoccupations concernant l’aptitude mentale de Joe Biden, il est important de souligner que des mesures de sécurité strictes sont mises en place pour protéger la sécurité nationale. Le président n’a pas un contrôle direct et unilatéral sur les codes nucléaires. Il est entouré d’une équipe de conseillers et de responsables de la sécurité qui participent à la prise de décisions et à la gestion des questions sensibles.
En conclusion, bien que le procureur spécial ait confirmé que Joe Biden avait commis des crimes, il n’a pas été inculpé en raison de son âge avancé et de son handicap mental. La question de l’aptitude mentale d’un président est complexe, mais des mesures de sécurité strictes sont en place pour protéger la sécurité nationale.
74 % des personnes interrogées lors d’un récent sondage ont déclaré que les candidats à la présidentielle, quel que soit leur âge, devraient passer un test de compétence mentale.
Ce n’est un secret pour personne que l’ancien président Donald Trump est particulièrement fier – selon ses propres mots – de son « très, très gros cerveau ». L’aura de satisfaction mentale de Trump est particulièrement perceptible lorsqu’il est en campagne électorale – plus récemment lors du sommet Pray Vote Stand à Washington DC, où il a ridiculisé le président Biden en le qualifiant de « déficient cognitif » avant d’accuser la Maison Blanche de risquer « la Seconde Guerre mondiale ». “
Interrogé le week-end dernier par la modératrice de Meet The Press, Kristen Welker, sur la question de savoir s’il devrait y avoir une limite d’âge pour la présidence, Trump, 77 ans, s’y est opposé, affirmant que même si ni lui ni Biden n’étaient eux-mêmes trop vieux pour occuper un poste, “il devrait y avoir une compétence”. Je suis tout à fait pour le test.” Mais, a-t-il reconnu, « beaucoup de gens disent que cela ne peut pas se produire à cause de la Constitution ».
L’adoption renouvelée par Trump des tests cognitifs survient alors que plusieurs de ses prétendants à la nomination présidentielle républicaine lancent leurs propres attaques contre l’actuel et l’ancien président en raison de leur âge avancé et – qu’il soit implicite ou explicite – du déclin mental qui en découle souvent.
