LANGUE DE BOIS/CONTORSIONS/ESQUIVES : LE GOUVERNEMENT 🇫🇷 REFUSE DE DÉNONCER LA PERSÉCUTION D’ASSANGE



Introduction
En cette période troublée, le monde est confronté à une série de crises sans précédent. Le génocide à Gaza, la guerre en Ukraine, la pandémie de COVID-19 et les élections européennes sont autant de sujets qui dominent les médias. Cependant, la manière dont ces événements sont couverts soulève des questions sur l’efficacité et la responsabilité des médias.
Le Génocide à Gaza et la Guerre en Ukraine
Le conflit israélo-palestinien, en particulier le génocide à Gaza, est une tragédie humanitaire qui a captivé l’attention internationale. De même, la guerre en Ukraine continue de provoquer des souffrances et des destructions. Pourtant, la couverture médiatique de ces événements est souvent critiquée pour son manque de profondeur et de contexte, ce qui peut entraîner une perception biaisée et une compréhension superficielle des enjeux.
La Pandémie de COVID-19
La pandémie de COVID-19 a transformé le monde de manière radicale. Les médias ont joué un rôle crucial dans la diffusion d’informations vitales. Cependant, le flux incessant de nouvelles parfois contradictoires a également semé la confusion et l’incertitude parmi le public. Les journalistes doivent trouver un équilibre entre informer rapidement et fournir des analyses précises et approfondies.
Les révélations à peine croyables et très inquiétantes ! Le géant pharmaceutique américain Pfizer étudierait la possibilité de faire muter le coronavirus, afin de pouvoir lui créer des vaccins. Les informations ont été dévoilées par le directeur de la recherche et du développement chez Pfizer, Jordon Trishton Walker, filmé à son insu par le média conservateur américain Project Veritas. “Nous effectuons ces mutations de structures sélectionnées pour essayer de voir si nous pouvons les rendre plus puissants (…) Ce n’est pas ce que nous disons au public”, explique-t-il. Ce responsable chez Pfizer révèle que “l’expérience a déjà commencé sur des singes“. “Il y a un risque comme vous pouvez l’imaginer, personne ne veut avoir affaire à une société pharmaceutique qui fait muter des virus. Vous devez tout contrôler pour vous assurer que ce virus que vous avez muté ne crée pas quelque chose qui va partout”. Jordon Walker se défend, à une question du journaliste sous couverture, de faire, au sein du laboratoire, du gain de fonction, mais plutôt “une évolution dirigée”. Une version de cette vidéo avec des sous-titres en français ajoutés par FranceSoir est disponible ci-dessous :
Dans cette vidéo, Jordon Walker dévoile de nombreux détails sur l’expérience menée. Il sous-entend d’abord que la mutation que Pfizer envisage de mener sur le coronavirus n’est encore qu’une idée : “C’est une idée qui a surgi lors d’une réunion et nous nous sommes dit ‘pourquoi nous ne le ferions pas, nous allons y réfléchir (…) Les gens n’aimeront pas ça’”, explique-t-il, en riant. Et de poursuivre : “Ils veulent [chez Pfizer] essayer de comprendre comment il y a eu toutes ces nouvelles souches et variants qui surgissaient ? Pourquoi n’essayons-nous pas de les maîtriser avant que des variants n’apparaissent dans la nature pour que nous puissions développer un vaccin à titre prophylactique (préventif, ndlr) (…) Si vous développez un [variant] sous contrôle dans un laboratoire, nous pourrons dire qu’il s’agit d’un nouvel épitope et vous pouvez dire au public que vous avez déjà une sorte de vaccin qui fonctionne”.
Le directeur de la recherche et du développement chez Pfizer a ensuite affirmé que le laboratoire “est en train de mener des expériences dessus”. “Ils y vont lentement pour être prudent (…) c’est encore exploratoire, car on ne voudrait évidemment pas annoncer que nous envisageons de futures mutations”.
Une “évolution dirigée”
D’après ses révélations, les réflexions sur le modus operandi semblent bien avancées. Interrogé sur la manière dont Pfizer envisage de procéder à la mutation du coronavirus, Jordon Walker répond que “le virus sera injecté dans ces singes.” “Nous les ferons s’infecter entre eux et nous recueillons des échantillons en série” des cobayes, développe-t-il. Il ajoute : “Le virus sera extrait de ceux qui sont le plus infectés et nous le mettrons dans un autre singe”.
“Vous pouvez, après, voir la mutation, le forcer à muter de la manière que vous souhaitez. Mais cela doit être très contrôlé pour s’assurer que ce virus muté ne se retrouve pas partout. C’est d’ailleurs ce que je soupçonne comme explication avec l’apparition du coronavirus à Wuhan, pour être honnête”, poursuit ce responsable chez Pfizer.
Interrogé ensuite par le journaliste infiltré sur le moment à partir duquel le laboratoire envisage de réaliser cette mutation, il affirme que cela “dépend de la façon dont les expériences fonctionnent. C’est juste quelque chose que nous essayons”.
L’épidémie, une “vache à lait” pour Pfizer
Son interlocuteur lui fait ouvertement remarquer que cette procédure est un gain de fonction, mais Jordon Walker se défend en affirmant qu’il s’agit d’une “évolution dirigée”. “Je pense que c’est différent. Ce n’est certainement pas un gain de fonction. L’évolution dirigée est très différente. (…) Nous effectuons ces mutations pour essayer de voir si nous pouvons rendre les virus plus puissants. Il y a une recherche en cours à ce sujet. Je ne sais pas comment cela va fonctionner. Il vaut mieux qu’il n’y ait plus d’épidémies parce que… doux Jésus…”
Le cadre chez Pfizer a ensuite qualifié l’épidémie de Covid-19 de “vache à lait”. “Il y a eu des mutations qui ont surgi, face auxquelles nous n’étions pas préparés comme le Delta et l’Omicron alors… Qui sait ? Je veux dire, de toute façon, le covid va être une vache à lait pour nous pendant un certain temps”, confie-t-il.
Ses révélations ne se limitent pas uniquement aux projets de Pfizer de faire muter le coronavirus. Questionné sur la relation entre le laboratoire et les autorités, notamment sanitaires, Jordon Walker explique que les régulateurs tâchent de ne pas fâcher les laboratoires, qui sont, pour eux, une porte tournante lorsqu’ils quittent les institutions gouvernementales. “C’est plutôt bien pour l’industrie. C’est mauvais pour tout le monde parce que les régulateurs, qui examinent nos médicaments, ‘une fois qu’ils cessent d’être des régulateurs, voudront travailler pour l’entreprise. Is ne seront pas aussi durs envers Pfizer s’ils veulent obtenir leur emploi”.
Project Veritas a publié les coulisses de cet entretien. Réalisant avoir été filmé à son insu, Jordon Walker a tenté de relativiser ses dires en affirmant qu’il s’agissait de “mensonges” pour un “rendez-vous galant”.
Les Élections Européennes
Les élections européennes représentent un moment clé pour l’avenir politique du continent. La couverture médiatique de cet événement est essentielle pour aider les citoyens à faire des choix éclairés. Malheureusement, le naufrage médiatique sans précédent a compromis la qualité et la neutralité de l’information, influençant potentiellement les résultats électoraux.
Conclusion
En somme, le génocide à Gaza, la guerre en Ukraine, la pandémie de COVID-19 et les élections européennes sont des événements majeurs qui nécessitent une couverture médiatique rigoureuse et responsable. Le naufrage médiatique actuel met en lumière la nécessité pour les médias de repenser leur approche afin de mieux servir le public et renforcer la démocratie.
Introduction
Le paysage médiatique contemporain est marqué par une couverture intense de sujets cruciaux comme le génocide à Gaza, la guerre en Ukraine, et les élections européennes. Cependant, cette couverture est souvent critiquée pour son traitement biaisé et sensationnaliste, entraînant un naufrage médiatique sans précédent. Cet article explore comment ces événements sont présentés et les implications de cette couverture médiatique sur l’opinion publique.
Le Génocide à Gaza
Chaque membre du Congrès a un agent israélien qu’il doit rencontrer
C’est de la pure folie que nous permettions cela
La situation à Gaza est décrite par de nombreux observateurs comme un génocide, où des civils innocents paient le prix de conflits politiques et militaires. La couverture médiatique de ce génocide est souvent fragmentée et manque de profondeur. Les médias grand public se concentrent souvent sur des récits simplifiés, négligeant les nuances et les perspectives locales. Cette représentation unilatérale peut déformer la réalité et influencer négativement l’opinion publique.
La Guerre en Ukraine
La guerre en Ukraine est un autre exemple de couverture médiatique controversée. Les reportages sont souvent marqués par une polarisation extrême, avec des réseaux médiatiques occidentaux et russes offrant des perspectives diamétralement opposées. Cette guerre de l’information complique la tâche des citoyens de discerner les faits des opinions, exacerbant les tensions internationales et domestiques.
À noter que la conférence de presse était donnée conjointement avec le chancelier allemand Olaf Scholz, ce dernier écoutant servilement Biden lui expliquer que l’Allemagne ne pourra plus s’approvisionner en gaz russe par la seule volonté des USA !
Écoutez George Soros confirmer son implication en Ukraine avant même que celle-ci n’obtienne son « indépendance » en 1991.
L’Occident a soumis le peuple ukrainien au lavage de cerveau et l’a préparé à une guerre avec la Russie depuis la Seconde Guerre mondiale.
Les Élections Européennes
Les élections européennes, bien qu’importantes pour l’avenir du continent, ont également souffert d’une couverture médiatique inégale. Les médias tendent à se focaliser sur des aspects sensationnalistes tels que les scandales politiques, au détriment de discussions approfondies sur les politiques et les programmes des candidats. Ce manque de substance dans la couverture médiatique contribue à un désintérêt croissant des électeurs pour les élections européennes.
Conclusion
En conclusion, le traitement médiatique des événements comme le génocide à Gaza, la guerre en Ukraine, et les élections européennes représente un naufrage médiatique sans précédent. Une approche plus équilibrée et approfondie est nécessaire pour garantir une information de qualité et aider les citoyens à mieux comprendre les enjeux complexes de notre époque.

Introduction
Israël a récemment été ajouté à la « liste des pays de la honte » de l’ONU pour avoir tué des enfants. Cet ajout représente un tournant significatif dans la manière dont Israël est perçu sur la scène internationale. Dans cet article, nous examinerons ce que cela signifie pour la position d’Israël dans le monde.

Contexte de l’ajout
L’ONU compile chaque année une liste des pays et entités responsables de violations graves des droits des enfants, y compris le meurtre et les mutilations. L’ajout d’Israël à cette liste a été motivé par des incidents documentés impliquant des enfants palestiniens dans les territoires occupés. L’organisation espère que cette mesure incitera Israël à revoir ses politiques et à réduire les violences.
Réactions internationales
La décision de l’ONU a suscité des réactions mitigées à travers le monde. Certains pays et organisations de défense des droits de l’homme ont salué cette décision comme un pas nécessaire vers la justice et la responsabilité. En revanche, les alliés d’Israël, notamment les États-Unis, ont exprimé leur désaccord, arguant que l’ONU devrait également examiner les actions des groupes militants palestiniens.
Impact sur la position d’Israël

L’ajout d’Israël à la liste noire de l’ONU pourrait avoir des répercussions diplomatiques et économiques. Cela pourrait entraîner une pression accrue pour des enquêtes internationales et des sanctions potentielles. De plus, cette stigmatisation pourrait influencer les relations bilatérales et multilatérales, affectant les négociations et les coopérations futures.
Chaque année, le jour de l’élection du nouveau président de l’Assemblée générale, ils choisissent un nom original pour un pays qui occupera le premier siège – au premier rang lors de la prochaine Assemblée générale.
Le gagnant de cette année – le Yémen !
La connexion sioniste nazie et la création d’Israël.
@gregreese Le père d’Adolf Hitler était Alois Schickelgruber, l’enfant bâtard de Maria Schickelgruber, qui a changé son nom en Hitler pour cacher le fait qu’il était un enfant illégitime. De nombreux historiens ont affirmé que Maria avait été mise enceinte par le baron Rothschild lorsqu’elle travaillait pour lui. Mais leur nom n’est pas vraiment Rothschild.