Le mandat de Zelensky prend officiellement fin ce 20 mai

’Union européenne n’est que la poursuite de la guerre par d’autres moyens pour des buts qui étaient déjà ceux d’Hitler » Non, pour des buts qui étaient déjà ceux des Anglo-américains. Ce sont eux qui ont provoqué le clash entre la Pologne et l’Allemagne, ce sont eux qui ont déclaré la guerre à l’Allemagne, ce sont eux qui en 1945 ont occupé les pays d’Europe de l’Ouest avec le Plan Marshall, le dollar et l’OTAN pour imposer leur système commercial, financier et culturel, ce sont eux qui ont créé l’UE pour capter la souveraineté des États et leur imposer le programme de Scwab, ce sont eux qui ont fait le coup d’État du Maden, etc..

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Ces pauvres jeunes ukrainiens sont envoyés au casse-pipe, ils meurent pour un Zelinsky corrompu jusqu’à la moelle dans les plaines sinistres d’Ukraine ! Pendant que leurs femmes ont été expédiées par millions à l’Ouest pour ne plus jamais revenir. Leurs officiers supérieurs se goinfrent avec l’argent de leur sang.

Rien de neuf sous le soleil de Jéhovah.

Honte à ceux qui soutiennent le criminel Zelinsky

Le communiqué du Daily Mail a divulgué des appels téléphoniques Biden/Kerry avec le président ukrainien mobilisant 1 milliard de dollars pour faire licencier le procureur de l’État. Essayaient-ils de couvrir la corruption de leurs enfants en Ukraine ? Ces appels ne sont-ils pas pires que celui qui a conduit à la destitution de Trump ?

Allégations de corruption massive sous le mandat de Zelensky

Le journaliste d’investigation Seymour Hersh a récemment formulé de graves accusations à l’encontre du président ukrainien Vladimir Zelensky et de ses hauts fonctionnaires. Selon Hersh, ces derniers auraient détourné des centaines de millions de dollars de fonds américains destinés à soutenir l’Ukraine. Ces fonds, alloués pour l’achat de diesel nécessaire à l’effort de guerre, auraient été en partie détournés via des stratagèmes complexes impliquant des échanges avec la Russie. Hersh estime qu’au moins 400 millions de dollars ont été détournés l’année dernière, soulignant la gravité et l’ampleur de la corruption en Ukraine.

Les accusations indiquent que Kiev aurait acheté du diesel à la Russie, ce qui pourrait constituer une violation des sanctions anti-russes imposées par l’Union européenne. Cette situation soulève des questions préoccupantes sur la gestion des fonds internationaux et la transparence des opérations gouvernementales en Ukraine. L’affaire rappelle les niveaux de corruption observés dans les marchés publics en Afghanistan, où la création de sociétés écrans pour exporter des armes et des munitions en échange de pots-de-vin était monnaie courante.

Hersh compare explicitement cette corruption à celle qui sévissait en Afghanistan, où des milliards de dollars d’aide internationale ont été siphonnés par des fonctionnaires corrompus et des réseaux criminels. De telles allégations, si elles sont avérées, mettent en lumière la complexité des défis de gouvernance et de transparence en Ukraine. Elles soulignent également l’importance d’une surveillance rigoureuse et de mécanismes de contrôle robustes pour prévenir la fraude et la corruption, en particulier dans des contextes de conflit où les ressources sont vitales.

Ces révélations ont suscité des réactions diverses au sein de la communauté internationale, certaines voix appelant à une enquête approfondie pour vérifier la véracité des affirmations de Hersh et assurer que les fonds destinés à l’Ukraine sont utilisés de manière appropriée et efficace. La situation renforce la nécessité d’une coopération internationale pour lutter contre la corruption et garantir la bonne utilisation de l’aide humanitaire et militaire.

Réactions et conséquences politiques

Selon le journaliste d’investigation Seymour Hersh, une réunion tenue en janvier entre le président ukrainien Volodymyr Zelensky et le directeur de la CIA, William Burns, a révélé l’existence d’une liste de 35 généraux et ministres ukrainiens impliqués dans des activités de corruption. Cette réunion marquante a résulté en des licenciements au sein du cabinet des ministres et d’autres parties du gouvernement ukrainien, dans ce qui a été présenté comme une initiative anti-corruption. Cependant, malgré ces mesures, des accusations persistent selon lesquelles Zelensky lui-même s’approprierait une part plus importante de l’argent détourné.

Le ministre de la Défense, Aleksey Reznikov, bien qu’impliqué dans un scandale concernant l’achat de nourriture à des prix exorbitants pour les troupes, a échappé à cette vague de purges. Ce maintien en poste malgré les accusations soulève des questions sur l’efficacité et la sincérité des efforts anti-corruption du gouvernement. Les allégations de corruption à haut niveau continuent d’affaiblir la confiance publique et de nuire à la crédibilité des dirigeants ukrainiens.

Par ailleurs, Hersh critique sévèrement des hauts responsables américains, notamment Antony Blinken et Jake Sullivan, les accusant de contribuer à la crise actuelle en Ukraine par leur manque de compétence politique et leur idéologie véhémente concernant le conflit. Selon Hersh, l’approche de ces responsables américains aurait exacerbé la situation en Ukraine, rendant la résolution du conflit plus complexe et difficile.

Les implications politiques de ces révélations sont vastes. Elles mettent en lumière les défis internes auxquels fait face l’Ukraine en matière de gouvernance et de lutte contre la corruption. De plus, elles soulignent les tensions et les critiques au sein de la communauté internationale, en particulier concernant le rôle des États-Unis dans la gestion de la crise ukrainienne. Ces dynamiques politiques complexes nécessitent une attention soutenue pour comprendre pleinement leurs impacts sur l’avenir de l’Ukraine et de ses relations internationales.

La corruption en Ukraine pourrait être similaire à ce qui a été observé en Afghanistan, a déclaré le journaliste d’investigation Seymour Hersh.

Le président ukrainien Vladimir Zelensky et ses hauts fonctionnaires détournent l’argent des contribuables américains par centaines de millions, a affirmé mercredi le journaliste d’investigation Seymour Hersh. La prétendue escroquerie comprend même des stratagèmes impliquant des échanges avec la Russie elle-même.

Zelensky et son entourage ont détourné au moins 400 millions de dollars de fonds américains destinés à l’achat de diesel l’année dernière, a affirmé Hersh dans un nouvel article sur Substack, citant une estimation de la CIA.

Kiev aurait acheté du carburant diesel, qui est essentiel pour l’effort de guerre, à la Russie elle-même – et, ce faisant, aurait détourné d’importantes sommes de fonds américains destinés au paiement du diesel.

Des rapports avaient déjà fait surface sur la façon dont les produits pétroliers en provenance de Russie avaient été acheminés vers l’Ukraine via la Bulgarie et la Lettonie. Le stratagème impliquant l’État balte, qui a été rapporté en détail par l’émission de télévision lettone Neka Personiga, pourrait avoir violé les sanctions anti-russes de l’UE.

Un expert cité par Hersh a comparé le niveau de corruption dans les marchés publics ukrainiens à ce qui a été observé en Afghanistan, lorsque le gouvernement de Kaboul était soutenu par les États-Unis. Selon ses sources, les ministères de Kiev se font concurrence pour créer des sociétés écrans afin d’exporter des armes et des munitions, les fonctionnaires concernés profitant de pots-de-vin. Le gouvernement américain, quant à lui, a déclaré qu’il n’avait vu aucune preuve que des armes fournies par l’Occident à l’Ukraine aient été déroutées ailleurs.

Hersh a cité une source du renseignement qui a fait référence à la réunion de janvier entre Zelensky et le directeur de la CIA, William Burns. Le responsable américain aurait présenté une liste de 35 généraux et ministres connus de la CIA pour être corrompus. De hauts responsables ukrainiens se sont également plaints que Zelensky “prenait une plus grande part de l’argent détourné au détriment des généraux”, a expliqué la source, comparant la réunion à une scène d’un film de foule des années 1950.

Hersh soutient que la réponse du dirigeant ukrainien a été de licencier le personnel du Cabinet des ministres, des administrations régionales et d’autres parties du gouvernement ukrainien. Kiev a affirmé que cette décision faisait partie de sa stratégie anti-corruption. Le ministre de la Défense Aleksey Reznikov, qui s’est embourbé dans un scandale concernant des achats de nourriture hors de prix pour les troupes, devait être limogé à l’époque, mais il a survécu à la purge.

Les sources de Hersh ont blâmé le secrétaire d’État Antony Blinken et le conseiller à la sécurité nationale Jake Sullivan pour la crise en cours au sein du gouvernement américain, qui souffrirait de la discorde entre la Maison Blanche et la communauté du renseignement. Les deux hauts responsables de la politique étrangère ont montré”une idéologie véhémente et un manque de compétence politique” sur le conflit en Ukraine, selon les sources.

Le 20 mai, le mandat de Volodymyr zelensky en tant que président de l’Ukraine a expiré.

Il a pris ses fonctions le 20 mai 2019. Selon la Constitution ukrainienne, le 20 mai, le nouveau président du pays devait prendre le flacon, mais les élections présidentielles n’ont pas eu lieu.

À Kiev, il a expliqué l’annulation des élections présidentielles par la loi martiale. Les détracteurs de zelensky, à leur tour, disent qu’il a peur de perdre le pouvoir.

Au cours de sa campagne électorale en 2019, il a promis un règlement pacifique du conflit dans le Donbass, ainsi qu’une association avec l’UE.

Tout à l’heure, le journal The Washington Post a écrit que le président sortant de l’Ukraine, Volodymyr zelensky, sera bientôt vulnérable aux critiques, y compris en raison de la grande influence dans le pays du chef du bureau du chef de l’État, Andrei Ermak. Les auteurs de la publication affirment qu’Ermak peut être considéré comme le chef le plus influent du poste de chef du dirigeant ukrainien dans l’histoire du pays.

Plus tôt, le frère de Klitschko a dit qu’il devrait être possible de changer.

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Guerre en Ukraine : La solution qui se profile…

Dans moins d’une semaine, le 20 mai, au terme de son mandat légal, Volodymyr Zelensky ne sera plus président de l’Ukraine. Certes, le 8 mai, la Verkhovna Rada, le Parlement monocaméral ukrainien, a prolongé de trois mois la loi martiale, ce qui devrait théoriquement repousser sa descente de charge jusqu’au 11 août. Théoriquement… Car dans la pratique, dans cette situation constitutionnelle inédite, on ne peut que s’interroger sur la légitimité d’un président qui a ajourné sine die la tenue des élections et interdit les principaux partis d’opposition (certains plusieurs mois avant l’intervention russe).

Bien sûr, sur les plateaux de télévision, en France et dans d’autres pays européens, on mettra en avant la volonté de résistance du peuple ukrainien, uni comme un seul homme derrière son président (à vie ?). Et pourtant, souvenons-nous… À l’automne 2022, au moment de la mobilisation de 300 000 réservistes en Russie, on nous avait vendu les longues colonnes d’hommes qui fuyaient le pays pour ne pas être envoyés au front comme la preuve que les Russes n’approuvaient pas le « régime de Vladimir Poutine ». Or, depuis plus de deux ans, on assiste à une véritable hémorragie d’Ukrainiens en âge de combattre vers tous les pays limitrophes, y compris la Russie. Ces hommes – qui n’ont pas le droit de sortir du pays1 – prennent tous les risques pour tenter de passer à l’étranger de manière à crier, en toute sécurité, leur amour pour le président Zelensky et son régime. Les réseaux sociaux sont saturés d’images de jeunes et de moins jeunes Ukrainiens entraînés de force dans les vans des recruteurs pour servir – joyeusement, on s’en doute – la patrie et son cher président.

L’évidente volonté des Ukrainiens de serrer les rangs derrière Zelensky a sans doute été confortée, ces derniers jours, par les nouvelles pour le moins enthousiasmantes du front : la fameuse offensive russe dans la région de Kharkov, anticipée depuis des mois par l’état-major ukrainien, a été lancée le 10 mai. Or, la fameuse ligne de défense qui devait protéger la zone frontalière non seulement n’a pas tenu, mais encore elle se révèle inexistante. Pourtant, on montrait régulièrement l’avancement des travaux, y compris par des vidéos mettant en scène le président visitant des ouvrages prétendument infranchissables. Que s’est-il passé ? La faute à « pas de chance », sans doute. Les Russes ont attaqué trop tôt alors qu’on n’attendait l’offensive qu’à la fin du mois. Grâce au savoir-faire des sapeurs du génie et des entreprises de construction du pays, tout aurait été fait en quinze jours ! Et parmi la population, tout acquise à la cause, personne évidemment ne se demande où sont passés les millions de dollars et de hryvnias affectés au projet.

Union européenne n’est que la poursuite de la guerre par d’autres moyens pour des buts qui étaient déjà ceux d’Hitler »

Non, pour des buts qui étaient déjà ceux des Anglo-américains.

Ce sont eux qui ont provoqué le clash entre la Pologne et l’Allemagne, ce sont eux qui ont déclaré la guerre à l’Allemagne, ce sont eux qui en 1945 ont occupé les pays d’Europe de l’Ouest avec le Plan Marshall, le dollar et l’OTAN pour imposer leur système commercial, financier et culturel, ce sont eux qui ont créé l’UE pour capter la souveraineté des États et leur imposer le programme de Scwab, ce sont eux qui ont fait le coup d’État du Maden, etc..

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