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Les dangers du traité pandémie de l’OMS et l’échec des négociations

Pr. Perronne : les dangers du traité pandémie de l’OMS / Silence des médias

Christian Perronne lance un appel contre le traité pandémie en préparation à l’OMS. Il sera soumis au vote le 24 mai de cette année. Par le passé, c’est le Brésil qui s’y était opposé, empêchant ainsi de nombreux transferts de souveraineté. Mais la direction politique ayant changé là-bas, maintenant c’est aux citoyens des pays qui se veulent démocratiques d’interpeler leur élus et candidats. Il y a des élections bientôt.

Pr. Perronne : les dangers du traité pandémie de l’OMS / Silence des médias

“Que les citoyens alertent leurs entourages, interpellent leurs élus et les journalistes, diffusent leurs actions, informent sans relâche ceux qui ne savent pas encore que nos libertés fondamentales sont menacées par des intérêts mondiaux privés”

Dans le silence médiatique complet, après deux ans de discussions, les pays membres de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) n’ont pas réussi à conclure, jeudi 28 mars, un accord international visant à mieux préparer le monde à une future pandémie. Le neuvième et dernier cycle de négociations s’était ouvert le 18 mars et s’est achevé jeudi sans texte définitif. Les négociations reprendront en mai… avec quels dangers ?

« Vous n’êtes pas loin de conclure un accord », a pourtant affirmé le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, alors que les discussions s’achevaient au siège de l’organisation à Genève…. Il a exhorté les nations à se remettre au travail pour parvenir à un accord final d’ici à la fin du mois de mai. MAIS à quelles fins ? Pour un abandon de la souveraineté des nations à gérer leur santé publique et à abdiquer le doigt sur la couture au moindre ordre de l’OMS ?

Les dangers du traité pandémie de l’OMS

Le traité pandémie de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) suscite de vives inquiétudes quant à ses conséquences sur nos libertés fondamentales. Malheureusement, ces préoccupations sont passées sous silence par les médias. Il est donc essentiel que les citoyens alertent leurs proches, interpellent leurs élus et les journalistes, et diffusent leurs actions afin d’informer ceux qui ignorent encore que nos libertés sont en danger, menacées par des intérêts privés mondiaux.

L’échec des négociations

Après deux ans de discussions, les pays membres de l’OMS n’ont pas réussi à conclure un accord international visant à mieux préparer le monde à une future pandémie. Le neuvième et dernier cycle de négociations, qui s’est tenu du 18 au 28 mars, s’est achevé sans texte définitif. Les négociations reprendront en mai, mais quels sont les dangers qui les accompagnent ?

Les enjeux de l’accord

Le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a déclaré que les pays étaient proches d’un accord, malgré l’absence de texte final. Il a exhorté les nations à poursuivre leurs efforts pour parvenir à un accord d’ici la fin du mois de mai. Cependant, il est légitime de se demander quelles sont les véritables motivations derrière cet appel. Est-ce pour permettre à l’OMS de dicter les politiques de santé publique des nations et de les priver de leur souveraineté ? Est-ce pour les contraindre à obéir aveuglément aux ordres de l’OMS ?

Il est crucial que les citoyens restent vigilants et remettent en question les actions de l’OMS. Nos libertés fondamentales sont en jeu, et il est de notre devoir de nous informer et de nous mobiliser pour les défendre.

Qui fait partie de l’OMS?

L’OMS a été créée en 1948 pour servir d’autorité directrice et coordinatrice en matière de santé internationale. Elle a pour mandat d’améliorer la santé de la population mondiale, qu’elle définit comme «un état de complet bien-être physique, mental et social, et pas seulement l’absence de maladie ou d’infirmité».

Si diverses organisations de la société civile, des entreprises et des organisations religieuses peuvent assister aux réunions de l’OMS, seuls les États peuvent en devenir membres.

Chaque année, en mai, les pays membres assistent à l’Assemblée mondiale de la santé à Genève, qui définit les orientations politiques de l’OMS, approuve le budget et examine le travail accompli par l’organisation.

Actuellement, l’OMS compte 194 États membres, soit un de plus que les Nations unies.

Le siège de l’OMS à Genève.

Comment l’OMS est-elle financée?

L’OMS reçoit la majorité de son financement de deux sources principales. La première est constituée par les cotisations des pays, appelées contributions obligatoires.

Celles-ci sont calculées sur la base du produit intérieur brut et de la taille de la population, mais elles n’ont pas augmenté en termes réels depuis le gel du niveau des paiements dans les années 1980.

La deuxième source de financement est constituée par les contributions volontaires. Elles proviennent de gouvernements, d’organisations philanthropiques ou de dons privés et sont généralement affectées à des projets ou initiatives spécifiques, ce qui signifie que l’OMS a moins de possibilités de les réaffecter en cas d’urgence, comme pour la pandémie de Covid-19.

Des pays ont-ils déjà retiré leur soutien financier par le passé?

En plus de soixante-dix ans d’activité de l’OMS, un certain nombre de pays n’ont pas payé leurs cotisations à temps.

En 1949, l’ex-Union soviétique a annoncé qu’elle se retirait de l’OMS et refusé de payer ses cotisations pendant plusieurs années. Lorsqu’elle a ensuite réintégré l’OMS en 1955, elle a demandé une réduction de ses arriérés –qu’elle a obtenue.

En raison du non-paiement des cotisations, l’OMS s’est retrouvée à plusieurs reprises au bord de la faillite. Heureusement, les gouvernements ont généralement agi de manière responsable et ont fini par verser leurs cotisations en retard.

L’OMS a-t-elle déjà fait l’objet de critiques politiques?

En 2009, l’OMS a été accusée d’avoir agi trop précipitamment en déclarant que la grippe porcine était une pandémie; l’organisation a notamment été soupçonnée d’avoir pris cette décision sous la pression des laboratoires pharmaceutiques.

Cinq ans plus tard, elle a cette fois été accusée d’avoir agi trop tardivement en déclarant que l’épidémie d’Ebola en Afrique de l’Ouest était une urgence de santé publique.

Trump a reproché à l’OMS de ne pas avoir envoyé ses expert·es assez rapidement pour évaluer les efforts de la Chine en matière d’endiguement du Covid-19 et de ne pas avoir dénoncé le manque de transparence de Pékin dans sa gestion de la phase initiale de la crise.

Mais ces critiques ne tiennent pas compte de la souveraineté de la Chine. L’OMS n’a pas le pouvoir de forcer les États membres à laisser ses scientifiques entrer sur leur territoire pour y effectuer une évaluation. Pour qu’une telle intervention soit possible, il faut nécessairement que le pays concerné demande l’assistance de l’OMS.

L’organisation ne peut pas non plus ordonner à un pays de partager des informations; elle ne peut que lui demander.

Les commentaires de Donald Trump ignorent également le fait que l’OMS a finalement envoyé une équipe de spécialistes mener une évaluation en Chine à la mi-février, une fois l’accord des autorités chinoises obtenu. Les résultats de cette enquête ont fourni des informations importantes sur le coronavirus et les efforts déployés par l’État chinois pour enrayer sa propagation.

vote le 24 mai de cette année. Par le passé, c'est le Brésil qui s'y était opposé, empêchant ainsi de nombreux transferts de souveraineté. Mais la direction politique ayant changé là-bas, maintenant c'est aux citoyens des pays qui se veulent démocratiques d'interpeler leur élus et candidats. Il y a des élections bientôt. Pr. Perronne : les dangers du traité pandémie de l’OMS / Silence des médias "Que les citoyens alertent leurs entourages, interpellent leurs élus et les journalistes, diffusent leurs actions, informent sans relâche ceux qui ne savent pas encore que nos libertés fondamentales sont menacées par des intérêts mondiaux privés" Dans le silence médiatique complet, après deux ans de discussions, les pays membres de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) n’ont pas réussi à conclure, jeudi 28 mars, un accord international visant à mieux préparer le monde à une future pandémie. Le neuvième et dernier cycle de négociations s’était ouvert le 18 mars et s’est achevé jeudi sans texte définitif. Les négociations reprendront en mai... avec quels dangers ? « Vous n’êtes pas loin de conclure un accord », a pourtant affirmé le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, alors que les discussions s’achevaient au siège de l’organisation à Genève.... Il a exhorté les nations à se remettre au travail pour parvenir à un accord final d’ici à la fin du mois de mai. MAIS à quelles fins ? Pour un abandon de la souveraineté des nations à gérer leur santé publique et à abdiquer le doigt sur la couture au moindre ordre de l'OMS ?
vote le 24 mai de cette année. Par le passé, c’est le Brésil qui s’y était opposé, empêchant ainsi de nombreux transferts de souveraineté. Mais la direction politique ayant changé là-bas, maintenant c’est aux citoyens des pays qui se veulent démocratiques d’interpeler leur élus et candidats. Il y a des élections bientôt. Pr. Perronne : les dangers du traité pandémie de l’OMS / Silence des médias “Que les citoyens alertent leurs entourages, interpellent leurs élus et les journalistes, diffusent leurs actions, informent sans relâche ceux qui ne savent pas encore que nos libertés fondamentales sont menacées par des intérêts mondiaux privés” Dans le silence médiatique complet, après deux ans de discussions, les pays membres de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) n’ont pas réussi à conclure, jeudi 28 mars, un accord international visant à mieux préparer le monde à une future pandémie. Le neuvième et dernier cycle de négociations s’était ouvert le 18 mars et s’est achevé jeudi sans texte définitif. Les négociations reprendront en mai… avec quels dangers ? « Vous n’êtes pas loin de conclure un accord », a pourtant affirmé le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, alors que les discussions s’achevaient au siège de l’organisation à Genève…. Il a exhorté les nations à se remettre au travail pour parvenir à un accord final d’ici à la fin du mois de mai. MAIS à quelles fins ? Pour un abandon de la souveraineté des nations à gérer leur santé publique et à abdiquer le doigt sur la couture au moindre ordre de l’OMS ?

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