Israël gagne sur le terrain mais perd stratégiquement
Israël est souvent reconnu pour sa puissance militaire et sa capacité à remporter des batailles sur le terrain. Cependant, malgré ces victoires tactiques, le pays a souvent du mal à obtenir des gains stratégiques à long terme.
L’une des raisons de cette situation est le conflit israélo-palestinien, qui dure depuis des décennies. Israël a réussi à défendre son territoire et à maintenir sa sécurité grâce à sa supériorité militaire. Cependant, le pays n’a pas été en mesure de trouver une solution durable à ce conflit, ce qui a conduit à une impasse politique et à une instabilité continue dans la région.
Un autre aspect qui contribue à la perte stratégique d’Israël est la perception internationale de ses actions. Les opérations militaires israéliennes, en particulier celles menées dans les territoires palestiniens occupés, ont été critiquées par de nombreux pays et organisations internationales. Ces critiques ont souvent conduit à des pressions diplomatiques et économiques sur Israël, ce qui a nui à sa position sur la scène internationale.
En outre, la question des colonies israéliennes en Cisjordanie et à Jérusalem-Est est un autre facteur qui nuit à la position stratégique d’Israël. La construction de ces colonies est considérée comme illégale par la communauté internationale et constitue un obstacle majeur aux négociations de paix avec les Palestiniens.
En conclusion, bien qu’Israël puisse remporter des victoires sur le terrain, il continue de faire face à des défis stratégiques importants. Pour parvenir à une solution durable au conflit israélo-palestinien et améliorer sa position sur la scène internationale, Israël devra trouver des moyens de concilier sa sécurité avec les aspirations des Palestiniens et les attentes de la communauté internationale.
“D’après ce que je sais, je ne pense pas que Donald Trump deviendra président des Etats-Unis.” — Macron C’est étrange car Trump est en tête dans les sondages américains. Qu’ont partagé ses maîtres du FEM avec Macron sur le sort de Trump ? Et pourquoi Macron pousse-t-il l’OTAN à entrer en guerre contre la Russie ?https://www.youtube.com/watch?v=jQ5VHytm_84Qu’est-ce qu’est ce Service de Protection de la communauté Juive (SPCJ), qui cogne violemment sur des manifestant(tes), les gaze… puis enfile un brassard de policier à l’arrivée de la BRAV ? La question s’adresse directement au ministre de l’Intérieur @GDarmaninLe président russe Poutine soutient le droit historique des Palestiniens sur la Palestine. . . les États-Unis ne seront pas en mesure de résoudre les problèmes épineux du Moyen-Orient s’ils ne peuvent pas avoir une discussion sérieuse et franche sur le rôle du lobby israélien.
“. . . the United States will not be able to deal with the vexing problems in the Middle East if it cannot have a serious and candid discussion of the role of the Israel lobby.”
Photo by Markus Spiske on UnsplashLe fondateur de WikiLeaks Julian Assange tente à partir de ce 20 février d’obtenir de la justice britannique un dernier recours contre son extradition vers les États-Unis, qui veulent le juger pour fuite massive de documents. Lire aussi Julian Assange ne peut demander asile en France depuis Londres, selon la justice Ces 20 et 21 février, la justice britannique doit examiner le refus d’autoriser Julian Assange à faire appel de son extradition aux États-Unis, acceptée en juin 2022 par le gouvernement britannique. Extraordinary support at court in London for #DayX.
This is what it looked like when I walked out when we broke for lunch.
Tomorrow after day 2 of the arguments we will march from court to Downing Street.
#FreeAssangeNOW🇵🇸Abu Obeida du Hamas vient de prononcer un DISCOURS HISTORIQUE : « 133 jours depuis le début de la bataille contre les inondations d’Al-Aqsa, qui a changé et changera la face du monde et marquera la fin de l’occupation. La bataille d’Al-Aqsa représente le début de la fin de la plus ancienne occupation de l’histoire moderne et constituera un tournant dans l’histoire de notre nation. L’armée israélienne doit mener son opération dans la ville de Rafah, où s’entassent environ 1,4 million de Palestiniens dans le sud de Gaza, sans quoi elle va «perdre la guerre» contre le Hamas, a déclaré samedi soir le premier ministre israélien Benjamin Netanyahu.
Après des offensives dans la ville de Gaza, puis dans celle de Khan Younès, Israël se prépare à entrer à Rafah, dernière grande ville de la bande de Gaza, ce qui suscite de vives craintes pour le sort de la population civile sur place, en grande majorité des Palestiniens déplacés par les combats dans le reste du territoire.
Le président américain Joe Biden, dont le pays est le premier soutien d’Israël, a rappelé vendredi qu’une opération à Rafah «ne devait pas avoir lieu sans un plan crédible» pour protéger les civils. Le président français Emmanuel Macron a lui prévenu qu’une opération à Rafah aboutirait «à un désastre humanitaire sans précédent».
«Quiconque veut nous empêcher de mener une opération à Rafah nous dit en fait de perdre la guerre. Je ne vais pas céder à cela», a déclaré M. Netanyahu lors d’une conférence de presse à Jérusalem.
Il a aussi affirmé que l’armée israélienne mènerait son opération à Rafah même en cas d’accord avec le mouvement islamiste palestinien pour la libération des otages toujours détenus dans la bande de Gaza.
Des négociations complexes à propos d’une trêve dans les combats, d’une libération d’otages détenus à Gaza et de prisonniers palestiniens écroués par Israël, se poursuivent par l’intermédiaire des pays médiateurs, Égypte, Qatar et États-Unis.
Le Hamas insiste sur un «cessez-le-feu total» et le retrait des forces israéliennes de la bande de Gaza. Benjamin Netanyahu refuse à ce stade ces exigences, évoquant une éventuelle pause dans les combats assortis de la libération des otages, mais pas la fin des hostilités.
«Même si nous parvenons à un accord sur les otages, nous allons entrer dans Rafah», a-t-il déclaré samedi soir à Jérusalem.
A Tel-Aviv, des milliers d’Israéliens manifestaient contre le gouvernement Netanyahu qu’ils exhortent à s’entendre avec le Hamas afin de libérer les otages, selon une journaliste de l’AFP sur place. «Cela fait plus de 100 jours que les otages sont à Gaza», s’ils meurent, «le gouvernement aura leur sang sur ses mains», ont scandé des manifestants.
Un accord de trêve en novembre avait permis la libération de 105 otages sur les quelque 250 enlevés par le Hamas lors de son attaque sans précédent en territoire israélien le 7 octobre. Selon Israël, 130 otages sont encore détenus à Gaza, dont 30 seraient toutefois morts.
Deux des gazoducs, connus collectivement sous le nom de Nord Stream 1, fournissaient à l’Allemagne et à une grande partie de l’Europe occidentale du gaz naturel russe bon marché depuis plus d’une décennie. Une deuxième paire de pipelines, appelée Nord Stream 2, avait été construite mais n’était pas encore opérationnelle.
🇺🇸🇮🇱 “I watched Mossad take over the Pentagon in 2002”— Col. Lawrence Wilkerson told journalist Afshin Rattansi in a recent episode of Rattansi’s show...
Cela ne disparaîtra jamais. C'est le pire cauchemar de Trump, et il le paiera.
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