Quelqu’un a-t-il remarqué ce geste de la main pendant le discours de Netanyahu ?
Les USA ont menti sur l’Irak
Les USA ont menti sur la Syrie
Les USA ont menti sur la Libye
Les USA ont menti sur le Koweït
Les USA ont menti sur l’Ukraine
Les USA ont menti sur l’Afghanistan
Les USA ont menti sur la Serbie
Mais pensez-vous qu’ils vous disent la vérité quand ils vous disent de CROIRE NETANYAHU ?
Introduction
Les médias de propagande ne parleront pas de la crise humanitaire à Gaza. Les Palestiniens qui ne sont pas tués par les bombardements israéliens meurent de maladies évitables parce que toutes les infrastructures ont été détruites. Le Congrès américain rend hommage à l’auteur de ce crime. Honteux.
L’Iran a dénoncé, ce 25 juillet, le discours controversé de Benjamin Netanyahou prononcé devant le Congrès américain, qui l’a accueilli sous les applaudissements. Le Premier ministre israélien y avait proposé la création d’une «OTAN au Moyen-Orient» pour contrer Téhéran. Sa venue a aussi fait l’objet de critiques aux États-Unis et en Israël Netanyahou appelle à la création d’une «OTAN au Moyen-Orient» par les États-Unis et Israël «Les enfants palestiniens sont massacrés chaque jour par le boucher de Tel-Aviv, et face à tous ces crimes, le gouvernement américain et le Congrès accueillent ce bourreau avec des applaudissements», a fustigé le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Nasser Kanaani, en commentant sur X (ex-Twitter) ce 25 juillet le discours controversé prononcé la veille par le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou. Celui-ci avait pris pour cible l’Iran dans son allocution devant le Congrès américain, proposant la création d’une «OTAN au Moyen-Orient» pour contrer la «menace» de Téhéran. Il a alors invité les «pays en paix» avec Israël, «ou qui y aspireraient», à rejoindre ce bloc qui a déjà été «aperçu», selon lui, le 14 avril dernier, lorsque l’Iran a lancé une vague de missiles et de drones contre Israël, abattus par les forces américaines, mais aussi britanniques et françaises. «La honte est un tout petit mot pour ce scandale», a tonné le porte-parole iranien Nasser Kanaani en guise de réaction. Le responsable iranien a vivement dénoncé le «génocide à Gaza» et les «crimes coloniaux» en Cisjordanie, arguant que les droits naturels des Palestiniens étaient «bafoués de la manière la plus horrible, sous les yeux grands ouverts du monde entier». Les droits de l’homme, a-t-il fustigé, constituent «le slogan le plus ridicule que l’on entend de la part des dirigeants et hommes d’État américains et européens». «Festival de mensonges» De son côté, le Hamas n’a pas ménagé ses mots pour dénoncer le discours du Premier ministre israélien. «Les propos de Netanyahou sont de purs mensonges et induisent en erreur l’opinion publique israélienne, américaine et mondiale», a déclaré un membre du bureau politique du Hamas, Izzat al-Rishq, qualifiant le discours de «festival de mensonges». Sami Abu Zuhri, un autre dirigeant du Hamas, a déclaré à Reuters que le discours de Benjamin Netanyahou montrait qu’il ne voulait pas parvenir à un accord de cessez-le-feu et qu’il était «plein de mensonges pour masquer son échec à affronter la résistance ou à couvrir ses crimes de guerre». Aux États-Unis, le discours de Benjamin Netanyahou a également fait l’objet de critiques d’opposants : plusieurs milliers de manifestants se sont rassemblés le 24 juillet près du Congrès américain à Washington pour protester contre la guerre menée par Israël à Gaza, au moment où le Premier ministre israélien défendait cette guerre avec vigueur devant les élus. «Criminel de guerre» La foule avait scandé «Palestine libre» en protestation contre la venue de Benjamin Netanyahou. Sur des pancartes, son nom apparaissait sous la mention de «criminel de guerre». Des employés du Congrès ont de leur côté fait grève pour appeler à un cessez-le-feu à Gaza, a rapporté l’AFP. Des membres démocrates du Congrès ont, par ailleurs, boycotté le discours. Nancy Pelosi, ancienne présidente démocrate de la Chambre des représentants, a déclaré sur X (ex-Twitter) que le discours de Benjamin Netanyahou était «la pire représentation de tout dignitaire étranger qui aurait le privilège de s’adresser au Congrès des États-Unis». Les otages oubliés ? Côté israélien, le chef de l’opposition israélienne, Yair Lapid, a déclaré qu’il était honteux que Benjamin Netanyahou ait parlé pendant une heure sans mentionner un accord pour les otages. Portant des affiches avec des photos d’otages, des centaines de personnes ont défilé le 24 juillet à Tel-Aviv pour exiger un cessez-le-feu, au moment où le Premier ministre s’exprimait devant le Congrès américain. «Il nous a représentés avec fierté», a de son côté affirmé Bezalel Smotrich, ministre israélien des Finances, lequel a souligné «le partenariat profond» de son pays avec les États-Unis. Le conflit a été déclenché le 7 octobre 2023 par une attaque de commandos du Hamas contre l’État colonial hébreu, qui a entraîné la mort de 1 195 personnes, selon le décompte de l’AFP réalisé à partir des chiffres de la sécurité sociale israélienne. Le nombre de morts dans la bande de Gaza depuis le 7 octobre du fait des représailles de Tsahal s’élevait à 39 175 ce 25 juillet, pour la plupart des femmes et des enfants, selon les chiffres du ministère palestinien de la Santé. Le bilan des blessés s’est lui alourdi à 90 403, alors qu’il reste encore des milliers de victimes sous les décombres, selon les agences humanitaires de l’ONU.
La situation actuelle en Israël et en Palestine est marquée par une escalade continue des tensions et des conflits. Ces tensions exacerbées ont récemment attiré l’attention internationale, en particulier en raison des actions militaires et des politiques controversées mises en œuvre par le gouvernement israélien. Cette situation a engendré des réactions variées de la part de la communauté internationale, notamment de la part de l’Iran.
Dans ce contexte tumultueux, Nasser Kanaani, le porte-parole du ministère iranien des affaires étrangères, a formulé une critique virulente à l’encontre du gouvernement américain et du congrès. Kanaani a accusé les États-Unis de complicité en soutenant les actions d’Israël. Selon lui, ce soutien ne fait qu’aggraver les tensions et exacerber les conflits dans la région, compromettant ainsi les efforts de paix.
La déclaration de Kanaani reflète une perspective iranienne profondément critique des politiques américaines au Moyen-Orient, soulignant une perception de partialité et de manque d’équité dans la gestion des relations israélo-palestiniennes. Ce point de vue est partagé par plusieurs autres nations et entités internationales qui appellent à une approche plus équilibrée et à une intervention plus constructive de la part des États-Unis.
La réaction iranienne aux actions israéliennes et l’accusation de complicité américaine ajoutent une couche supplémentaire de complexité à un conflit déjà très complexe. La situation nécessite une analyse approfondie et une compréhension des dynamiques régionales pour appréhender pleinement les implications de ces déclarations et des actions qui en découlent.
Les Enfants Palestiniens : Victimes du Conflit
Le conflit israélo-palestinien, qui dure depuis des décennies, a eu des répercussions dévastatrices sur les enfants palestiniens. Ces jeunes, pris au piège dans un cycle de violence incessante, subissent des conditions de vie extrêmement difficiles. Leurs souffrances sont multiples et variées, allant des pertes humaines aux traumatismes psychologiques en passant par des conditions de vie précaires.
Les statistiques révèlent une réalité alarmante. Selon un rapport de l’UNICEF, plusieurs centaines d’enfants palestiniens sont tués ou blessés chaque année. En 2020, par exemple, plus de 70 enfants ont perdu la vie, et des milliers d’autres ont été blessés. Ces chiffres ne sont pas seulement des statistiques, mais représentent des vies brisées et des familles endeuillées. Les témoignages recueillis auprès des familles palestiniennes montrent une image poignante de la souffrance des enfants. Ils parlent de peurs incessantes, de cauchemars récurrents, et d’un sentiment constant d’insécurité.
Outre les pertes humaines, les conditions de vie des enfants palestiniens dans les zones de conflit sont extrêmement précaires. Beaucoup vivent dans des zones où les infrastructures de base, telles que les écoles, les hôpitaux et les logements, sont fréquemment endommagées ou détruites. L’accès à l’éducation est souvent interrompu, et les soins de santé sont insuffisants. Les enfants grandissent dans un environnement marqué par la violence, la pauvreté et le manque de perspectives, ce qui affecte profondément leur développement physique et mental.
Les organisations humanitaires s’efforcent de fournir une aide, mais les défis sont immenses. Les programmes de soutien psychologique, les centres d’éducation et les initiatives de reconstruction tentent de pallier les besoins urgents des enfants palestiniens. Cependant, la persistance du conflit rend ces efforts souvent insuffisants, laissant une génération entière dans une situation de vulnérabilité extrême.
Le Discours de Benjamin Netanyahou
Le 24 juillet, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou a prononcé un discours marquant, dont le contenu a suscité de vives réactions à l’échelle internationale. Ce discours, largement diffusé et commenté, a abordé plusieurs points cruciaux relatifs à la sécurité nationale d’Israël et à ses relations avec l’Iran. Netanyahou a justifié les récentes actions militaires israéliennes, les décrivant comme des mesures nécessaires pour assurer la protection du pays face aux menaces persistantes de l’Iran.
Netanyahou a souligné que les activités nucléaires iraniennes constituent une menace directe non seulement pour Israël, mais aussi pour la stabilité de la région et la sécurité internationale. Il a dénoncé les accords nucléaires passés avec l’Iran, les qualifiant de défaillants et insuffisants pour freiner les ambitions nucléaires de Téhéran. Le Premier ministre a également accusé l’Iran de soutenir des groupes terroristes et de déstabiliser la région par ses actions militaires et ses alliances stratégiques.
Un des points les plus controversés de son discours a été l’accusation implicite de complicité américaine. Netanyahou a critiqué ce qu’il perçoit comme une tolérance, voire une coopération, des États-Unis avec l’Iran. Il a affirmé que certaines politiques américaines ont, intentionnellement ou non, renforcé la position de l’Iran dans la région. Ces déclarations ont provoqué des réactions mitigées parmi les alliés d’Israël, certains soutenant la position de Netanyahou tandis que d’autres appelaient à la modération et au dialogue diplomatique.
Les réactions internationales au discours de Netanyahou ont été variées. Certains pays ont exprimé leur soutien à Israël, partageant les inquiétudes concernant le programme nucléaire iranien. D’autres ont critiqué le ton belliqueux du discours et ont appelé à des solutions diplomatiques pour apaiser les tensions. Le discours de Netanyahou a, sans conteste, ravivé le débat sur la manière de traiter les ambitions nucléaires de l’Iran et sur le rôle des grandes puissances dans cette dynamique complexe.“`html
La Réaction de Nasser Kanaani
Le 25 juillet, Nasser Kanaani, le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, a publié une déclaration sur X (anciennement Twitter) qui a rapidement attiré l’attention internationale. Dans sa déclaration, Kanaani a vigoureusement condamné les actions récentes du gouvernement israélien, qu’il a qualifié de « boucher de Tel-Aviv ». Cette terminologie forte n’a pas été employée à la légère; elle reflète l’intensité de l’indignation iranienne face aux événements récents.
Selon Kanaani, les actions israéliennes constituent des violations flagrantes des droits de l’homme, aggravées par ce qu’il décrit comme une politique d’agression systématique contre les populations civiles. Il a accusé Israël de mener des opérations militaires disproportionnées et d’exercer une répression brutale, des actes qu’il considère comme des crimes de guerre. Par cette déclaration, le porte-parole iranien a cherché à mobiliser la communauté internationale pour qu’elle prenne des mesures concrètes contre ce qu’il appelle les « atrocités israéliennes ».
En outre, Kanaani a suggéré que les actions israéliennes sont soutenues, de manière implicite ou explicite, par les États-Unis. Cette accusation de complicité américaine n’est pas nouvelle dans le discours iranien, mais elle a été réitérée avec une vigueur renouvelée dans ce contexte particulier. Kanaani a souligné que sans le soutien diplomatique, militaire et financier des États-Unis, la capacité d’Israël à mener ces opérations serait considérablement réduite. Cette perspective met en lumière la complexité des relations géopolitiques au Moyen-Orient et renforce l’idée qu’une résolution durable des conflits dans la région nécessite une réévaluation des positions internationales actuelles.
L’Accusation de Complicité du Gouvernement Américain
La réaction iranienne face aux récentes actions israéliennes a été marquée par des critiques virulentes de Nasser Kanaani, porte-parole du ministère des Affaires étrangères iranien, envers le gouvernement américain. Kanaani a accusé les États-Unis de complicité, soulignant que le soutien inconditionnel de Washington à Israël contribue directement à la persistance du conflit israélo-palestinien. Selon Kanaani, cette complicité se manifeste non seulement par l’aide militaire et économique substantielle que les États-Unis fournissent à Israël, mais aussi par le soutien diplomatique inébranlable, notamment dans les forums internationaux comme les Nations Unies.
Les critiques de Kanaani s’étendent également au Congrès américain, où les résolutions pro-israéliennes sont régulièrement adoptées avec une large majorité. Il dénonce une collusion politique qui, selon lui, ignore les violations des droits de l’homme commises par les forces israéliennes contre les Palestiniens. En soutenant Israël, les membres du Congrès américain, d’après Kanaani, ferment les yeux sur les souffrances des Palestiniens et les injustices dont ils sont victimes.
Un autre point de friction majeur est l’accueil réservé au Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou par les autorités américaines. Lors de ses visites aux États-Unis, Netanyahou est souvent reçu avec les honneurs, ce qui, selon Kanaani, envoie un message d’approbation implicite des politiques expansionnistes et des actions militaires israéliennes. Cela renforce l’idée que les États-Unis et Israël sont des partenaires stratégiques dont les intérêts sont étroitement alignés, au détriment de la paix et de la stabilité dans la région.
Les implications politiques de cet accueil sont profondes. Elles traduisent une polarisation croissante au sein de la communauté internationale et compliquent davantage les efforts de médiation et de résolution de conflits. En soutenant fermement Israël, les États-Unis se placent en opposition directe avec plusieurs résolutions des Nations Unies et les appels à une solution à deux États, augmentant ainsi les tensions non seulement avec l’Iran, mais aussi avec d’autres pays de la région qui partagent les préoccupations iraniennes.
Les Réactions Internationales
La déclaration de Nasser Kanaani, porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, a suscité une variété de réactions internationales, reflétant les tensions géopolitiques complexes entre l’Iran, Israël et les États-Unis. Plusieurs pays et organisations internationales ont rapidement réagi à ces accusations, chacun adoptant une position en fonction de ses intérêts stratégiques et de ses alliances régionales.
L’Union européenne, par exemple, a exprimé sa préoccupation face à l’escalade des tensions et a appelé à la retenue de toutes les parties impliquées. Les responsables de l’UE ont souligné l’importance de la diplomatie et du dialogue pour résoudre les différends, tout en évitant de prendre parti explicitement entre l’Iran et Israël. Cette approche neutre vise à maintenir l’engagement de l’UE dans les négociations nucléaires avec l’Iran et à préserver ses relations avec Israël.
De leur côté, les Nations Unies ont également exprimé leur inquiétude quant à la montée des tensions. Le Secrétaire général, António Guterres, a appelé à une désescalade immédiate et à la reprise des discussions pour éviter une aggravation du conflit. Les Nations Unies ont réaffirmé leur rôle de médiateur et leur engagement à promouvoir la paix et la stabilité dans la région.
En revanche, les réactions des pays du Golfe ont été plus nuancées. L’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis, tout en exprimant leur inquiétude face à l’escalade, ont également souligné la nécessité de contrer les activités déstabilisatrices de l’Iran dans la région. Ces pays voient en Israël un partenaire stratégique dans leur effort pour contenir l’influence iranienne au Moyen-Orient.
La Russie et la Chine, quant à elles, ont critiqué la politique américaine au Moyen-Orient, accusant Washington d’aggraver les tensions par son soutien inconditionnel à Israël. Ces deux puissances ont appelé à une approche plus équilibrée et à un engagement renouvelé envers les négociations multilatérales pour résoudre les conflits régionaux.
En somme, les réactions internationales à la déclaration de Kanaani illustrent les dynamiques complexes et souvent contradictoires qui caractérisent les relations internationales au Moyen-Orient. Chaque acteur international tente de naviguer entre ses intérêts stratégiques, ses alliances et son engagement envers la stabilité régionale.
Contexte Historique des Relations Iran-Israël-USA
Les relations entre l’Iran, Israël et les États-Unis ont été marquées par des tensions persistantes et des conflits d’intérêts depuis plusieurs décennies. Avant la Révolution islamique de 1979, l’Iran entretenait des relations relativement cordiales avec Israël et les États-Unis. Cependant, la prise de pouvoir par le régime islamique a radicalement changé la dynamique régionale et internationale. Les dirigeants iraniens ont adopté une posture anti-israélienne et anti-américaine, rompant les liens diplomatiques et économiques avec ces deux pays.
La Révolution islamique a instauré une idéologie basée sur l’opposition à l’État d’Israël, perçu comme une menace pour la stabilité régionale et un obstacle à l’unité musulmane. Cette hostilité a été exacerbée par le soutien indéfectible des États-Unis à Israël, renforçant le sentiment d’injustice et d’ingérence étrangère parmi les dirigeants iraniens. Les conflits d’intérêts sont également apparus dans le cadre de la politique étrangère américaine au Moyen-Orient, qui vise à maintenir la sécurité d’Israël tout en contrant l’influence iranienne dans la région.
Par ailleurs, les sanctions économiques imposées par les États-Unis à l’Iran, en réponse à son programme nucléaire controversé, ont intensifié les tensions. Washington a accusé Téhéran de chercher à développer des armes nucléaires, tandis que l’Iran a toujours soutenu que son programme nucléaire était à des fins pacifiques. Cette situation a conduit à une spirale de méfiance et de provocations réciproques, alimentant les conflits régionaux et internationaux.
Les relations tripartites entre l’Iran, Israël et les États-Unis sont donc profondément enracinées dans des décennies de rivalités idéologiques, stratégiques et économiques. Chaque nation poursuit ses propres intérêts, souvent au détriment des autres, créant un climat de suspicion et de confrontation qui continue de définir la politique au Moyen-Orient.
Conclusion et Perspectives d’Avenir
La situation au Moyen-Orient, marquée par les tensions entre l’Iran et Israël, est d’une complexité qui nécessite une analyse minutieuse. Les accusations de l’Iran contre Israël, et par extension contre les États-Unis, ont des racines historiques profondes et sont exacerbées par les récents développements politiques et militaires. La méfiance mutuelle, les actes de provocation et les ripostes ont souvent conduit à une escalade de violence, rendant les perspectives de paix dans la région incertaines.
Pour envisager un avenir plus stable, il est impératif que toutes les parties prenantes, y compris les puissances internationales comme les États-Unis et les organisations régionales, jouent un rôle constructif. Une résolution durable du conflit pourrait impliquer une série de mesures, allant de la diplomatie renforcée à des accords de sécurité mutuels. Il est essentiel que les acteurs régionaux, tels que l’Iran, Israël et les États arabes voisins, s’engagent dans un dialogue sincère et constructif pour surmonter les différends historiques et actuels.
Le rôle des États-Unis dans cette dynamique est particulièrement crucial. Étant un allié stratégique d’Israël et un acteur influent sur la scène internationale, les États-Unis ont la capacité de faciliter des pourparlers de paix ou, au contraire, de contribuer à la polarisation des parties en conflit. Une approche équilibrée et impartiale serait bénéfique pour apaiser les tensions et promouvoir une solution pacifique. Par ailleurs, les organisations internationales, telles que les Nations Unies, doivent intensifier leurs efforts pour instaurer un cadre de négociation efficace et inclusif.
En conclusion, bien que le chemin vers la paix soit semé d’embûches, il n’est pas impossible. La coopération régionale, le respect mutuel et l’engagement pour la sécurité collective sont des éléments clés qui pourraient transformer les tensions actuelles en opportunités de stabilité et de prospérité pour le Moyen-Orient. Les actions concertées de toutes les parties prenantes sont indispensables pour construire un avenir où la diplomatie prévaut sur la confrontation.