Les frappes iraniennes contre Israël ont ciblé l’aéroport de Lod, les aéroports qu’il utilise et des dizaines de bases militaires.

Le ministre iranien de la Défense :

  • Si la région est sujette à l’escalade et à la guerre, nous réagirons plus fortement dans les vagues à venir
  • Nous n’avons pas utilisé nos capacités de missiles les plus avancées et les plus destructrices lors de la mise en œuvre d’Al-Wad al-Sadiq 2.
  • L’opération Al-Thuri est légitime et conforme aux lois internationales

Un missile iranien s’écrase en plein cœur de Tel Aviv.

Un missile iranien s’écrase en plein cœur de Tel Aviv.




Attaque de missiles iranienne inédite contre des sites militaires israéliens, dont 3 bases. « Israël » impose un black-out médiatique.
Israël a subi une attaque d’une ampleur sans précédent de la part de l’Iran qui a tiré quelque 200 missiles « en riposte à l’assassinat du chef du Hamas sur son sol Ismail Haniyeh, du secrétaire général du Hezbollah son éminence sayed Hassan Nasrallah, et du général du CGRI Nilouforouchane », selon le communiqué des Gardiens de la révolution.
Tout a commencé vers 19 :30, alors que Tel Aviv venait de subir une opération de tirs de feu dans sa gare de trains, lorsque deux Palestiniens ont ouvert le feu sur les gens tuant 8 Israéliens et en blessant d’autres.
Tout-à-coup, les sirènes d’alerte ont commencé à retentir à Dimona dans le Néguev au sud, puis jusqu’à Haïfa au nord puis dans la région de la mer morte.
A peine le porte-parole de l’armée d’occupation Daniel Hagari annonçait qu’une attaque de missiles en provenance de l’Iran était en cours demandant aux millions d’Israéliens de se rendre dans les abris, le ciel israélien s’est couvert de missiles qui ont commencé à pleuvoir, en quelque minutes . 1860 sirènes ont retenti sur la totalité de l’entité jusque dans la région de la Cisjordanie occupée.
La chaine 13 israélienne a indiqué que le Premier ministre benjamin Netanyahu se trouve depuis des heures aux côtés de ses minitres dans un lieu souterrain blindé dans la ville d’al-Qods.

Les frappes iraniennes contre Israël ont ciblé l’aéroport de Lod, les aéroports qu’il utilise et des dizaines de bases militaires.

Les colons ont paniqué et ont laissé leurs véhicules au milieu des routes alors que les bombardements iraniens touchaient toutes les régions d’Israël.
Le président iranien Massoud Pezeshkian a prêté serment mardi devant le Parlement.

Agence de presse Fars, citant un responsable iranien : Un nouveau lot de missiles est en route vers les territoires occupés

En attente d’une deuxième frappe après la première

Président du Parlement iranien : Nous avons montré aux agresseurs une petite partie de la puissance de l’#Iran

La République islamique d’Iran met en garde les États-Unis

Si nos raffineries sont attaquées, nous brûlerons les raffineries et les puits de pétrole de toute la région, notamment en Arabie saoudite, en Azerbaïdjan, au Koweït, aux Émirats arabes unis et à Bahreïn.

Une analyse préliminaire de la frappe militaire iranienne contre Israël il y a quelque temps

Premièrement : il est clair que les Gardiens de la révolution sont intervenus contre la volonté de Pazashkian, qui refusait, tergiversait ou craignait une réponse à l’assassinat de Haniyeh. Il s’agit d’une frappe des Gardiens, pas d’une frappe de la présidence, et c’est un dilemme. que seuls ceux qui connaissent la nature et le tissu de la société iranienne et son système politique comprendront.

Deuxièmement : la frappe a été plus importante que la précédente du 15 avril, et a probablement atteint des dizaines de niveaux hypersoniques, ce qui explique l’incapacité de la défense aérienne sioniste à y faire face, et le passage de la majeure partie de celle-ci à travers le mur américain. L’OTAN s’est formée autour d’Israël depuis le déluge.

Troisièmement : les résultats de la frappe font encore l’objet de spéculations, mais il est très probable qu’elle ait touché des sites militaires importants, détruit des véhicules et des avions, ou peut-être tué de hauts dirigeants de l’armée ou du système politique. Cela reste dans le domaine du possible. , étant donné la censure militaire stricte exercée par Israël sur les informations et les cibles de ses zones militaires en particulier.

Quatrièmement : l’Iran est pratiquement entré dans la guerre, car Israël répondra, et les Gardiens répondront par une frappe plus violente que celle-ci à plusieurs reprises.

Cinquièmement : La frappe a eu lieu à un moment record, remontant le moral et rendant l’initiative à l’axe de la résistance, que l’axe avait perdu à cause de la politique de Pazashkian et de son sacrifice des dirigeants de la résistance libanaise par sa mauvaise conduite et ses erreurs de calcul.

Sixièmement : Israël a reçu aujourd’hui un coup dur qui équivaut à un « choc » qui le poussera à faire marche arrière sur la question de la paix et de la trêve. J’ai déjà dit qu’Israël ne penserait à la paix qu’avec un choc majeur, et quoi. Cela s’est produit aujourd’hui en termes de frappes libanaises et iraniennes et la récente opération à Tel-Aviv a créé ce choc perdu. Inévitablement, les dirigeants israéliens réfléchiront à l’équilibre des intérêts, une façon de penser qu’ils ont perdu lorsqu’ils ont ressenti la peur, la lâcheté et la peur. faiblesse des éléments de l’axe, notamment la direction réformiste du président Pazashkian.

Septièmement et enfin : je m’attendais à ce que cette frappe ait lieu, quel que soit le temps qu’elle prendrait, et j’ai critiqué son retard, et j’ai prédit que son retard et l’émergence de la peur conduiraient Israël à persister et à prendre l’initiative si cette frappe n’avait pas eu lieu. Si cela avait été retardé, ils n’auraient pas osé tuer Nasrallah, mais mieux vaut tard que jamais.

Nevatim Airbase in “Israel” is completely destroyed !

L’Iran a tiré ce 1er octobre une nouvelle salve de missiles contre l’État hébreu. Une attaque réalisée en réponse aux morts de Haniyé, Nasrallah et Nilforoushan, a déclaré le Corps des Gardiens de la révolution. Selon l’armée israélienne, qui a promis une riposte, près de 200 missiles auraient été tirés par la République islamique. L’Iran a de nouveau tiré des missiles, ce 1er octobre, sur Israël. Dans un premier bilan après cette attaque, le porte-parole de l’armée israélienne, Daniel Hagari, a déclaré que Tsahal avait effectué «un grand nombre d’interceptions» et que «quelques impacts» avaient eu lieu «dans le centre et d’autres dans le sud du pays». «Cette attaque aura des conséquences. Nous avons des plans et nous agirons à l’endroit et au moment que nous aurons décidés», a-t-il prévenu. Peu avant l’entrée en action de la défense antiaérienne israélienne, Tsahal avait annoncé l’imminence de l’attaque après la détection des tirs depuis l’Iran. «Il y a peu de temps, des missiles ont été lancés depuis l’Iran vers l’État d’Israël», avait annoncé l’armée israélienne sur les réseaux sociaux, appelant la population à «suivre à la lettre» les instructions du Commandement du front intérieur. «Tous les civils israéliens se trouvent dans des abris anti-bombes tandis que des missiles iraniens sont tirés sur Israël», avait également signalé Tsahal. Le nombre de missiles tirés par l’Iran demeure encore incertain. Dans les médias, le Jerusalem Post a avancé le chiffre de «500 missiles» tirés sur l’État hébreu, «présumant» que cette attaque serait plus importante que celle menée en avril. I24 évoque pour l’heure «plus de 100 missiles». La radio de l’armée israélienne a quant à elle déclaré qu’«au moins 200 missiles» avaient été tirés sur l’État hébreu. Le corps des Gardiens de la Révolution islamique (CGRI) a annoncé que cette attaque était «une réponse au martyre d’Ismaïl Haniyé, au martyre d’Hassan Nasrallah», respectivement chef du Hamas et secrétaire général du Hezbollah, tous les deux tués par l’armée israélienne. Également cité, le brigadier général Abbas Nilforoushan, commandant adjoint des Gardiens, tué à Beyrouth le 27 septembre lors de la frappe israélienne contre Nasrallah. Le CGRI a promis «des attaques écrasantes» en cas de riposte israélienne. Guterres condamne l’élargissement du conflit et réclame un cessez-le-feu Le 29 septembre, le chef de la diplomatie iranienne Abbas Araghchi, avait fait allusion à la mort de Nilforoushan, assurant qu’elle ne resterait «pas sans réponse». Même tonalité du côté de la mission permanente de la République islamique d’Iran auprès de l’ONU, promettant qu’«une réponse ultérieure et écrasante s’ensuivra» en cas de riposte israélienne. Selon la mission diplomatique, une «réponse légale, rationnelle et légitime» de l’Iran «aux actes terroristes du régime sioniste qui visait les ressortissants et les intérêts iraniens et portait atteinte à la souveraineté nationale de la République islamique d’Iran» a été «exécutée en bonne et due forme». Le Secrétaire général de l’ONU a condamné l’élargissement du conflit. «Je condamne l’extension du conflit au Proche-Orient, escalade après escalade», a-t-il déclaré sur X (ex-Twitter). «Cela doit cesser. Nous avons absolument besoin d’un cessez-le-feu», a-t-il ajouté. Selon un haut représentant iranien cité par l’agence Reuters, les États-Unis et la Russie ont été prévenus de ces tirs par l’Iran. Dans un communiqué, le secrétaire américain à la Défense, Lloyd J. Austin avait mis en garde Téhéran contre «les graves conséquences pour l’Iran si le pays choisissait de lancer une attaque militaire directe contre Israël». C’est la deuxième fois cette année que l’Iran attaque directement Israël. Dans la nuit du 13 au 14 avril, l’Iran avait lancé plusieurs centaines de drones et de missiles contre l’État hébreu en réponse à une frappe contre son consulat à Damas, qui avait tué plusieurs officiers du Corps des Gardiens de la révolution islamique.

Les colons ont paniqué et ont laissé leurs véhicules au milieu des routes alors que les bombardements iraniens touchaient toutes les régions d’Israël.


 

Abou et Ubaidah’ :
« Nous félicitons la réponse iranienne, qui a affecté toute la géographie de la Palestine occupée et a porté un coup dur à l’occupation criminelle. »
– ‘L’occupation criminelle pensait que son orgie dans la région et son agression contre la population pouvaient rester impunies’
– ‘C’est un jour exceptionnel dans l’histoire du conflit, au cours duquel les feux de la résistance nationale se sont croisés dans le ciel de la Palestine.’
– ‘C’est un jour exceptionnel au cours duquel Tel Aviv a été soumis à des frappes de moudjahidines du #Yémen, du Liban, de Palestine et d’Iran’
– ‘Ce qui s’est passé est un appel à tous les peuples libres de la nation à prendre leur part dans la libération de la Palestine’

Abou Ubaida : Il s’agit d’un jour exceptionnel dans l’histoire du conflit au cours duquel les feux de la résistance nationale se sont croisés dans le ciel de Palestine et au cours duquel (Tel Aviv) a été soumise aux frappes des moudjahidines du Yémen, du Liban, de la Palestine et de l’Iran

Nous saluons la réponse iranienne, qui a couvert toute la géographie de la Palestine occupée et a porté un coup dur à l’occupation criminelle, qui pensait que son agression contre les peuples de la région pouvaient rester impunie

Conflit au Proche-Orient : le porte-parole du Hamas appelle à une «escalade» durant le ramadan 9 mars 2024, 15:25 Nous avons le plaisir de vous présenter notre nouveau mécanisme de lecture de nos articles. Cet ajout innovant utilise une voix générée par l’IA ce qui peut parfois entraîner des erreurs, telles qu’une prononciation incorrecte ou un ton incohérent. © ANWAR AMRO Source: AFP Des gens passent devant une affiche représentant le porte-parole de la branche armée du Hamas, Abou Obeida, dans le camp de réfugiés palestiniens de Mar Elias à Beyrouth, le 6 février 2024 (photo d’illustration). Suivez RT en français sur Telegram Dans une allocution diffusée le 8 mars, le porte-parole des brigades Al-Qassam Abou Obaïda a précisé les objectifs du Hamas sur le cessez-le-feu, le retrait des forces israéliennes et s’en est ouvertement pris à l’administration américaine. Il a appelé à une intensification des «confrontations» pendant le mois du ramadan. Lire aussi Gaza : un «corridor maritime» attendu pour acheminer l’aide humanitaire Le porte-parole des brigades Al-Qassam, la branche armée du Hamas, a tenu à préciser la position du mouvement palestinien sur les négociations de cessez-le-feu, la libération des otages et l’état des forces du mouvement dans la bande de Gaza. Dans une allocution de quinze minutes retransmise le 8 mars sur la chaîne qatarie Al-Jazeera, Abou Obaïda a passé en revue les défis de l’organisation palestinienne aux commandes de la bande de Gaza. Il considère que les Gazaouis font face à «une agression américano-sioniste sans précédent dans l’histoire» et que l’attaque dite du «déluge Al-Aqsa» n’était qu’une réponse «à une agression qui dure depuis des décennies, culminant dans une tentative de judaïsation et de démolition de la mosquée Al-Aqsa». Il a estimé que l’opération du 7 octobre changeait les règles du jeu sur la scène internationale. Pour le chef palestinien, dorénavant «les droits ne peuvent être obtenus que par la force et les armes». Concernant les récents pourparlers au Caire, Abou Obaïda déclare que «le gouvernement d’occupation utilise la tromperie», tout en soulignant que l’objectif du mouvement palestinien est un cessez-le-feu définitif dans l’enclave gazaouie et un retrait des forces israéliennes. «La balle est dans leur camp», a-t-il déclaré au sujet des otages qu’Israël tente de libérer. «Votre gouvernement manipule vos enfants et insiste pour les remettre dans des cercueils», a-t-il déclaré, s’adressant aux familles. Et de rappeler qu’un certain nombre d’otages souffrent de déshydratation et sont exposés aux bombardements israéliens. Le «double discours» de l’administration Biden dans le collimateur d’Obaïda Abou Obaïda s’en est également pris ouvertement au «double discours» et à l’«indifférence» de l’administration américaine sur le sort des prisonniers palestiniens et les destructions dans la bande de Gaza, affirmant que Washington avait un mépris total «à l’égard des droits de l’homme ou de tout prétendu droit international». Sur le plan militaire, le porte-parole des brigades Al-Qassam a affirmé que son mouvement avait infligé de lourdes pertes «à l’occupant parmi ses officiers, ses soldats et ses mercenaires». Sur l’avenir des combats, il a notamment appelé à une «escalade» des «manifestations» durant le mois du ramadan et à des «confrontations sur tous les fronts» en Cisjordanie, à Gaza, à Jérusalem et même à l’extérieur de la Palestine avec le mot d’ordre «Nous te servons, Al-Aqsa». Le conflit entre le Hamas et Tsahal est entré dans son sixième mois. Plus de 30 000 Gazaouis sont morts, d’après les chiffres du ministère palestinien de la Santé. L’armée israélienne continue de pilonner la bande de Gaza, répétant viser une «victoire totale» sur le Hamas. Du 3 au 7 mars dernier, des négociations ont eu lieu au Caire. Infructueux, les pourparlers doivent reprendre la semaine prochaine.

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