L’occupation continue de tuer, d’arrêter et de confisquer les terres palestiniennes: une double injustice qui doit cesser.
Introduction
Depuis le 7 octobre, la situation des prisonniers palestiniens détenus par les forces d’occupation s’est détériorée de manière alarmante. Les violations et les souffrances subies par ces prisonniers ont atteint un niveau sans précédent, nécessitant une attention urgente de la communauté internationale.
Découverte des Corps et Conditions Déplorables
Oussama Hamdan, chef du Hamas, a révélé que l’UNRWA a confirmé la découverte de 225 corps de prisonniers palestiniens dans la bande de Gaza. Par ailleurs, plus de 200 enfants palestiniens sont actuellement détenus dans des conditions difficiles depuis le 7 octobre. Cette situation tragique est aggravée par l’arrestation de plus de 4 000 personnes dans la région depuis cette date.
Augmentation du Nombre de Martyrs
Les prisons d’occupation ont vu une augmentation sans précédent du nombre de martyrs depuis le 7 octobre, avec l’annonce de la mort de 18 prisonniers. Les violations sionistes se sont intensifiées, portant le nombre total de prisonniers à 9 500 depuis cette date. Les autorités d’occupation ont arrêté plus de 16 000 femmes palestiniennes depuis 1967, et les souffrances continues des prisonniers ne peuvent plus être ignorées.
Violations et Tortures des Prisonnières
Les prisonnières palestiniennes, en particulier celles de la bande de Gaza, subissent diverses formes de torture et de violations depuis le 7 octobre. Les forces d’occupation ont même menacé de viol les prisonnières si elles ne témoignaient pas contre le mouvement Hamas. Ces actes inhumains doivent être condamnés fermement.
Conclusion
Les crimes et violations perpétrés par les forces d’occupation contre les prisonniers palestiniens doivent cesser immédiatement. La communauté internationale doit intervenir pour protéger les droits humains fondamentaux de ces individus et mettre fin à leur souffrance. Parler des prisonniers, des otages et des personnes enlevées est devenu impératif pour sensibiliser à cette crise humanitaire croissante.
Oussama Hamdan :
– L’occupation ne verra ses prisonniers que selon un accord d’échange équitable grâce auquel nos prisonniers et détenus jouiront de la liberté.
– Nous ne pouvons pas accepter un accord qui ne garantit pas un cessez-le-feu définitif.
Nous avons reçu une offre des médiateurs le 5 mai et le 6 mai nous avons annoncé notre approbation, mais Israël n’y a pas répondu.
L’occupation veut seulement un accord en une étape dans lequel elle fait des prisonniers et reprend ensuite la guerre.
– La réponse d’Israël ne consiste pas à arrêter la guerre et à se retirer de Gaza, et n’est pas d’accord avec les principes fixés par Biden.
Nous attendons une position claire d’Israël concernant un cessez-le-feu permanent et un retrait de Gaza.
– Sans une position claire d’Israël pour préparer une cessation définitive de la guerre et un retrait de Gaza, il n’y aura pas d’accord.
– Il doit y avoir une réponse claire d’Israël en acceptant un cessez-le-feu permanent et un retrait complet de Gaza.
L’incendie peut être éteint et les envahisseurs peuvent continuer à voler des terres et à terroriser, torturer et tuer les indigènes.
La seule façon pour le peuple palestinien d’avoir la paix est la fin de l’occupation, la fin de l’État d’Israël, l’enclave impérialiste colonialiste américaine et britannique au sein du MO.