Les présidents au stade et le peuple absent
Il faut le dire au monde, le peuple français vomit Israël et un gouvernement représentant uniquement 6% des français essaie de faire croire le contraire.
Il s’agit de la plus faible audience de l’histoire de l’enceinte de Saint-Denis pour un match des Bleus.
Cette situation s’explique par le contexte géopolitique tendu et par des mesures de sécurité renforcées, avec plus de 4 000 agents de police mobilisés.De jour en jour, le génocide se confirme à Gaza et la France participe à la banalisation du massacre en jouant au foot avec Israël ce soir, au stade de France.
Le syteme s’autoraconte le systeme ment au gens qu’ils savent qu’il ment
Quand la propagande sioniste s’effondre en une seule image
Alors que les FRANÇAIS ont massivement BOYCOTTÉ le match France Israël
L’hymne d’Israël est SIFFLÉ L’HUMILIATION EST TOTALE
C’est ça les Français Nous ne serons jamais complice du génocide
Ils ont mis exprès la fumée pendant l’hymne pour éviter de voir les tribunes vides
Le match de la honte au Stade de France va débuter. De la fumée pour masquer le Stade vide ! Il n’y a que les complices de crime contre l’humanité dans ce stade. Nous ne sommes pas antisémite, nous ne sommes juste pas complice de criminels !
Il n’y a jamais eu autant de sièges vides, ni autant de femmes et d’hommes politiques présents à un match de l’équipe de France. Le décalage est saisissant.
Résumé du fiasco France – Israël
– Tribune vide
– Hymne israélien sifflé
– Musique montée pour couvrir les sifflets
- Les 2 équipes ont joué à domicile
-Ils ont mis exprès la fumée pendant l’hymne pour éviter de voir les tribunes vides
– Un policier pour à peine 4 supporters
– Supporters lynchés en tribune par des Israéliens
– Il n’y a jamais eu autant de sièges vides, ni autant de femmes et d’hommes politiques présents à un match de l’équipe de France. Le décalage est saisissant
– Drapeaux interdits
– Ils y a plus d’hommes et femmes politiques que de spectateurs
– Lâcheté des joueurs et match nul
Alors que les FRANÇAIS ont massivement BOYCOTTÉ le match France Israël
L’hymne d’Israël est SIFFLÉ L’HUMILIATION EST TOTALE
C’est ça les Français Nous ne serons jamais complice du génocide
Ils ont mis exprès la fumée pendant l’hymne pour éviter de voir les tribunes vides
Le match de la honte au Stade de France va débuter. De la fumée pour masquer le Stade vide ! Il n’y a que les complices de crime contre l’humanité dans ce stade. Nous ne sommes pas antisémite, nous ne sommes juste pas complice de criminels !
Il n’y a jamais eu autant de sièges vides, ni autant de femmes et d’hommes politiques présents à un match de l’équipe de France. Le décalage est saisissant.
Résumé du fiasco France – Israël
– Tribune vide
– Hymne israélien sifflé
– Musique montée pour couvrir les sifflets
– Un policier pour à peine 4 supporters
– Supporters lynchés en tribune par des Israéliens
– Il n’y a jamais eu autant de sièges vides, ni autant de femmes et d’hommes politiques présents à un match de l’équipe de France. Le décalage est saisissant
– Drapeaux interdits
– Lâcheté des joueurs et match nul
Malgré toute leur retape et leurs transports VIP, si on enlève leurs obligés dans les médias, dans les partis politiques, dans les institutions, dans les associations et les trolls
sur internet, il n’y a personne qui est solidaire avec ces sionistes
Leurs soutiens étaient tous dans le stade. (sauf ceux qui étaient sur les plateaux TV pour vendre leur soupe.)
BONNE QUESTION
— François Asselineau (@f_asselineau) November 19, 2024
Alors que les partisans du Frexit sont interdits d'antenne dans tous les médias mainstream (sauf Sud-Radio sporadiquement)
POURQUOI les Français se voient-ils imposer sans cesse les points de vue de Sarkozy,Valls ou Hollande,qu'ils ont pourtant chassés du pouvoir ? https://t.co/4t7NyH6Zhr
— Mad Dog Vachon (@VachonGhislain) November 15, 2024
Quand ce sont des agressions sionistes 🇮🇱 sur des Français 🇫🇷, sur BFMTV 📺 on dit que des supporters "ont été en contact " 🤦🏿♀️
— Emilie Gomis (@emiliegomis) November 14, 2024
Mais à Amsterdam 🇳🇱, quand ce sont les jeunes Hollandais d'origine Marocaine 🇲🇦 qui se défendent ! face aux Nazis 🇮🇱, c'est Un POGROM ou Une Nuit de… https://t.co/ocMoVHLLae
Stade vide comme le cœur de tous ceux qui soutiennent cette entité génocidaire dans ce stade.
— Emilie Gomis (@emiliegomis) November 14, 2024
Une belle honte devant le monde entier.
La seule façon d'avoir un stade pro sionistes c'est de jouer dans un stade SANS LE PEUPLE 😏 https://t.co/77vDSe6wZH
They banned Palestinian flags at the France V Israel game
— Sulaiman Ahmed (@ShaykhSulaiman) November 16, 2024
This guy didn’t care 🔥 pic.twitter.com/Iq49inzuuo
The man on the left is a man. And he has been “dating” Macron since he was 14. https://t.co/9fJAqHXgIn
— Alex Jones (@RealAlexJones) July 29, 2024
🚨🇮🇱 Israel arrest a 5 year old boy
— Khalissee (@Kahlissee) November 14, 2024
5 YEARS OLD!
Over 100 CHILDREN are held in prison without trial… pic.twitter.com/VIg7IscxjP
Where is the international condemnation? pic.twitter.com/EvstE3XAV2
— Dr. Anastasia Maria Loupis (@DrLoupis) November 20, 2024
FRANCE-ISRAËL : BOYCOTT POPULAIRE
Toute la semaine, les médias dominants ont tenté de nous imposer la présence de l’équipe israélienne au Stade de France comme un événement souhaitable et ont fait taire toute critique sur cette opération de blanchiment par le sport du régime génocidaire. Depuis des jours, Macron puis toute une partie de la classe politique ont même annoncé qu’ils viendraient voir ce match, pourtant peu glorieux sur le plan sportif.

⭕️⚽️| Un étudiant franco-libanais de 19 ans a écrit sur son T-Shirt Free Palestine à l’occasion de la rencontre France – Israël.
— CITIZEN STREAM MEDIA 📰 (@CitizenStream_M) November 15, 2024
Un vif échange s’engage à sa sortie avec d’autres supporters. #FRAISR
Source @PaulLarrouturou pic.twitter.com/ItshQT3bEZ
⚽️🇵🇸| Malgré l'interdiction du ministre de l’intérieur, des drapeaux palestiniens ont été brandis au Stade de France. #FRAISR pic.twitter.com/wf0KF6JxCn
— CITIZEN STREAM MEDIA 📰 (@CitizenStream_M) November 15, 2024
Il faut le dire au monde, le peuple français vomit Israel et un gouvernement représentant uniquement 6% des français essaye de faire croire le contraire.
— John Wesley Harding (@morrissey1976) November 14, 2024
Quand les Israéliens se prennent une raclée parce qu’ils saccagent Amsterdam et hurlent des chants racistes, on parle de pogrom. Et quand les Israéliens tabassent des français, on parle d’échauffourées et de bagarres ? Voilà vos médias français de la honte. #FRAISR #FranceIsraël pic.twitter.com/6Z8frpdWoQ
— Marco 🇨🇭 (@FebvreMarc) November 14, 2024
dans un stade vide, avec 4000 flics pour 13000 spectateurs
— Bruno Bouvet 🇲🇫 (@Brunoisheree) November 14, 2024
Mais la police ne peut toujours pas défendre la vie des Français.😡#FranceIsraël #FRAISR pic.twitter.com/kfhXzEQ0aA
Contexte de l’Événement
Merci aux centaines de policiers français qui ont escorté les supporters extrémistes israéliens jusqu’au stade, pour qu’ils puissent tabasser des supporters français. La France est la serpillière d’Israël.
🇫🇷 French football fans didn't attend the match against Israel.
— Dr. Anastasia Maria Loupis (@DrLoupis) November 15, 2024
Keep BOYCOTTING demons 🔥pic.twitter.com/8ZtZMNpNyB
🚨🇫🇷🇮🇱 FLASH – Des supporters israéliens auraient LYNCHÉ un supporter français, à dix contre un au Stade de France. (témoins) pic.twitter.com/hoggOeJ7NF
— AlertesInfos (@AlertesInfos) November 14, 2024
They are the guilty party!
— Alien (@Alien327433) November 20, 2024
They can't condemn themselves!
Only BRICS can save us! pic.twitter.com/LOaogLM3ay
#FranceIsraël au stade de France
— Miloud M 🤍💙 ⭐ 🇵🇸🇾🇪 (@MiloudM12) November 14, 2024
Les femmes sont bien plus courageuses que les hommes
CQFD !
🇮🇪❤️#FRAISR pic.twitter.com/PF2erjobLX
Le match de football France-Israël, qui s’est tenu au Stade de France, revêtait une importance significative non seulement sur le plan sportif, mais également sur le plan sociopolitique. Organisé dans un contexte de tensions internationales croissantes, cet événement a attiré l’attention de nombreux observateurs, soulevant des débats passionnés sur la légitimité et la portée du sport comme vecteur de diplomatie. Les deux équipes, représentant des nations avec des histoires complexes, ont contribué à une atmosphère chargée avant même le coup d’envoi.
Les raisons qui ont conduit à l’organisation de ce match sont multiples. Elles incluent des considérations sportives, telles que le souhait des fédérations de football des deux pays de promouvoir l’unité à travers le sport. Cependant, le jeu a également été perçu comme une opportunité de surfacer des désaccords politiques sous-jacents. En effet, la rencontre a été entourée de controverses liées aux tensions vécues en raison des relations entre la France et Israël, et par extension, tout le contexte géopolitique du Moyen-Orient. Beaucoup ont argumenté que ce match pourrait être interprété comme une approbation implicite des actions d’une des parties, d’où la montée des sentiments de désapprobation.
En conséquence, un mouvement de boycott a émergé parmi des groupes de citoyens français, approprié à cette colère exprimée envers les injustices perçues. Ceux qui ont décidé de boycotter l’événement l’ont fait en signe de désaccord face aux politiques des deux nations, exprimant ainsi des préoccupations sociétales plus larges. Ce phénomène a démontré à quel point le sport est intrinsèquement lié à des questions plus vastes et comment un simple match de football peut susciter un vaste éventail de réactions, illustrant les polarités sociopolitiques en jeu.
Réactions du Public
Le match de football entre la France et Israël, qui s’est tenu au Stade de France, a suscité une large palette de réactions parmi les citoyens français. En effet, une partie significative de la population a exprimé son mécontentement face à la tenue de cet événement, considérant qu’il se déroulait dans un contexte sociopolitique délicat. Les critiques sont apparues sur diverses plateformes de réseaux sociaux, où des utilisateurs ont relayé leurs inquiétudes quant à la normalisation des relations avec un État, notamment en raison des tensions géopolitiques persistantes. Ce sentiment a trouvé un écho dans des messages dénonçant la perception d’ignorer les préoccupations humaines qui émergeaient des actualités internationales, en particulier celles concernant le conflit israélo-palestinien.
En outre, une autre portion de la population a manifesté une attitude d’indifférence. Cette indifférence a été particulièrement palpable chez les fans de football qui priorisent le sport au-delà des considérations politiques. Pour ces supporters, le match était simplement une occasion de célébrer le jeu, de soutenir leur équipe nationale, franchissant ainsi les barrières idéologiques. Dans les discussions en ligne, des voix se sont levées pour rappeler l’importance du sport comme vecteur de paix et de dialogue, arguant qu’il s’agissait d’une occasion de rassembler les gens plutôt que de les diviser.
Les réactions publiques au sujet de ce match ont ainsi révélé un profond clivage au sein de la société française. Les réseaux sociaux ont servi de plateforme pour articuler ces différents points de vue, illustrant comment un événement sportif peut susciter des émotions divergentes. En rassemblant des voix de mécontentement et d’indifférence, cet épisode a mis en lumière la complexité des opinions face aux enjeux politique qui touchent à la sphère sportive.
Le Rôle des Figures Politiques
Tout symbolisme palestinien a été interdit par la France aujourd’hui lors du match contre Israël à Paris. Un jeune spectateur raconte qu’ils lui ont même fait retirer son maillot, dans le stade. Pendant ce temps, les supporters israéliens brandissaient ouvertement les symboles de leurs forces d’occupation, sans aucune restriction.
La présence de figures politiques telles qu’Emmanuel Macron, Manuel Valls et François Hollande dans un Stade de France largement vide lors du match France-Israël a suscité de vives réactions parmi le public et les analystes. Ces personnalités, en tant que représentants de l’État, ont le devoir d’agir et de se prononcer sur les enjeux sociopolitiques que soulèvent des événements sportifs de cette envergure. Leur présence dans un contexte de boycott massif a mis en lumière la complexité de l’interaction entre le sport et la politique.
Emmanuel Macron, en particulier, a été au centre des critiques, les observateurs s’interrogeant sur le message qu’il souhaitait communiquer en étant présent dans un stade presque vide. Cet événement a été interprété comme un reflet des tensions politiques et sociales qui prévalent dans le pays, particulièrement en rapport avec les enjeux liés au conflit Israël-Palestine et les sentiments qui en découlent dans la société française. La décision de venir par certains dirigeants attirait l’attention sur leur capacité à rassembler ou diviser l’opinion publique face à des sujets délicats.
La présence de Manuel Valls et François Hollande a également été scrutée de près, chacun ayant laissé sa propre empreinte politique en tant qu’anciens Premiers ministres. Ceux-ci, en s’affichant dans un cadre où le soutien populaire se manifeste par un boycott, ont renforcé l’idée qu’ils apportaient un soutien inconditionnel aux valeurs républicaines, tout en contestant le manque de mobilisation autour de cet événement. Les regards se tournent donc vers la façon dont ces figures politiques vont naviguer dans ce paysage chargé, tout en gardant à l’esprit l’impact potentiel de leurs actions sur la perception publique.
Déclencheurs du Boycott
Le boycott massif du Stade de France lors du match amical entre la France et Israël peut être attribué à une confluence de facteurs allant des préoccupations politiques aux questions de sécurité, sans oublier les controverses entourant la légitimité de cet événement. Parmi ces déclencheurs, les tensions géopolitiques et les débats sur la politique étrangère de la France ont joué un rôle crucial. De nombreux observateurs ont souligné que l’action militaire israélienne dans les territoires palestiniens a engendré un climat de mécontentement et de préoccupation au niveau international, particulièrement parmi les citoyens et organisations françaises qui soutiennent la cause palestinienne.
Par ailleurs, les craintes liées à la sécurité ont également alimenté le boycott. Les récents incidents violents dans la région, couplés aux réactions tumultueuses de divers groupes lors d’événements sportifs, ont incité certaines voix à appeler à une annulation ou à un retrait des tribunes. Ainsi, l’anticipation d’éventuels troubles a renforcé l’appel au boycott, justifiant la position de ceux qui estiment qu’un match dans ces circonstances serait inapproprié et dangereux.
Enfin, la légitimité même du match a également été remise en question. Certains critiques ont argué que l’organisation de cette rencontre favorisait une certaine normalisation des relations entre la France et Israël, en dépit des actions gouvernementales israéliennes qui sont perçues comme oppressives envers le peuple palestinien. Cette perception a conduit plusieurs groupes, au sein de la société civile française, à promouvoir le boycott comme une manière de contester cette normalisation, tout en cherchant à sensibiliser le public aux enjeux humains et politiques qui entourent cette thématique. Ces éléments combinés ont fait naître un puissant mouvement de refus, solidifiant le boycott au Stade de France. Ce dernier s’inscrit dans une dynamique plus large des luttes pour la justice sociale et les droits de l’homme.
Conséquences du Boycott
Le boycott massif du Stade de France lors du match France-Israël a engendré des conséquences notables qui méritent d’être examinées sous plusieurs angles. Dans un premier temps, l’absence significative de spectateurs durant cet événement sportif a eu un impact direct sur l’ambiance et l’atmosphère du match. Le stade, souvent plein lors de telles rencontres, a affiché un taux de remplissage exceptionnellement bas, ce qui a non seulement affecté l’expérience des quelques spectateurs présents, mais a également modifié la dynamique du jeu lui-même, qui a parfois semblé dénué d’énergie et de soutien collectif.
D’un point de vue économique, ce boycott a eu des répercussions sur les finances des organisateurs. D’une part, la vente des billets a été affectée, entraînant un manque à gagner considérable. Les organisateurs s’attendaient à des recettes substantielles provenant des droits de billetterie, d’hospitalité, et des partenariats, mais ont dû gérer une perte significative en raison du faible taux de fréquentation. De plus, les entreprises locales, notamment les commerces et les services liés à l’événement, ont subi un manque d’afflux de clients, ce qui a exacerbé les effets négatifs de la situation économique déjà tendue.
Enfin, l’image de la France sur la scène internationale a également été touchée par cet épisode. Le boycott, souvent interprété comme un acte de désapprobation à l’égard de certaines politiques ou actions, a donné lieu à des critiques de la part de la communauté internationale. Des médias étrangers ont rapporté l’événement, soulignant le climat controversé et les tensions politiques qui l’entouraient. Cette situation, qui pourrait sembler isolée, résonne plus largement dans le contexte des relations diplomatiques de la France et soulève des questions sur son rôle en matière de droits de l’homme et d’engagement sportif. Les répercussions sociales de ce boycott, en termes de débats et de mobilisations, continuent également d’alimenter la discussion publique, témoignant d’une société civile engagée. En somme, les conséquences du boycott sont variées et s’étendent bien au-delà du simple cadre du match, touchant à des dimensions économiques, sociales et diplomatiques.
Analyser le Silence des Supporters
Lors du match très attendu entre la France et Israël au Stade de France, l’absence marquée des supporters français a soulevé des questions sur l’impact psychologique de cette situation unique. Alors que le stade aurait normalement été rempli de chants et d’encouragements, un silence saisissant a enveloppé le terrain, ce qui a profondément influencé l’expérience des joueurs, des entraîneurs et même des officiels. Cet événement met en lumière les conséquences d’un boycott massif, qui a semblé se transformer en un puissant message de désapprobation sociale.
La place des supporters dans le sport va bien au-delà de leur simple présence physique. Leur enthousiasme véhicule une énergie nécessaire, souvent décrite comme le “douzième joueur”. Lorsqu’un match se déroule devant des sièges vides, l’absence d’interaction entre les joueurs et le public peut générer un sentiment d’isolement, d’inquiétude et de démoralisation. Les athlètes, dont la motivation est souvent nourrie par le soutien du public, pourraient se retrouver à jongler avec une pression accrue. Cela pourrait altérer leurs performances, puisque la connexion émotionnelle avec les supporters est cruciale pour maintenir le moral et l’élan des équipes.
De plus, l’absence de supporters a non seulement des implications sur le terrain, mais aussi des répercussions psychologiques plus larges sur l’ensemble des acteurs du sport. Les entraîneurs, qui s’efforcent habituellement de galvaniser leurs joueurs, peuvent ressentir le poids d’une atmosphère silencieuse durant le match. Ils doivent naviguer dans un contexte complexe, où les facteurs moraux et politiques entrent en jeu, tout en essayant de maintenir la concentration de leur équipe. Ce contexte de boycott massif ne devrait pas être sous-estimé, car il représente un aspect significatif de la dynamique actuelle du football. Ce phénomène interpelle sur la façon dont le sport et son public interagissent, et sur l’importance du soutien collectif dans le cadre des compétitions sportives.
L’Influence des Médias sur le démon Les fans de football français n’ont pas assisté au match contre Israël.
Continuez à BOYCOTTER les démons
La couverture médiatique joue un rôle crucial dans la perception des événements sociaux et politiques, et le boycott massif du Stade de France lors du match France-Israël ne fait pas exception. Les médias, qu’ils soient traditionnels ou numériques, influencent la manière dont ce type d’événement est interprété par le public. Les chaînes de télévision, les journaux, ainsi que les réseaux sociaux ont tous participé à la narration de cette situation complexe, façonnant ainsi l’opinion publique.
Les reportages sur le boycott ont mis en lumière les raisons qui ont poussé de nombreux citoyens à s’abstenir d’assister à ce match. Les médias ont exploré divers points de vue, en interviewant des activistes, des supporters de football, et des experts, afin d’offrir un éventail d’analyses sur les motivations derrière cette action collective. Par ailleurs, les articles d’opinion et les éditoriaux ont permis d’ouvrir le débat sur la liberté d’expression et le droit de manifester en France, soulignant l’importance de respecter les opinions divergent.
De plus, les réseaux sociaux ont renforcé cette dynamique en permettant une diffusion rapide des informations. Les hashtags associés au boycott ont viralement circulé, rendant le sujet omniprésent dans les discussions en ligne. Cette amplification par le biais des plateformes numériques a permis aux opinions de se multiplier, créant une sorte de portée collective. Ainsi, les utilisateurs ont pu partager des vidéos, des photos, et des réflexions personnelles, enrichissant ainsi le débat public autour du match France-Israël.
En somme, l’influence des médias dans la couverture du boycott a été significative, tant dans l’efficacité de la communication des idées que dans la mobilisation des citoyens. Il est évident que la façon dont les médias abordent de tels événements peut influencer non seulement l’opinion publique mais également les actions individuelles et collectives dans la société.
Réflexions sur l’Avenir du Sport en France
Le boycott massif du Stade de France lors du match entre la France et Israël soulève d’importantes questions sur l’avenir du sport en France. Cet événement illustre clairement comment les enjeux politiques peuvent influencer les événements sportifs, en affectant non seulement la participation des spectateurs, mais aussi l’attitude des sponsors et des partenaires. Le sport, traditionnellement perçu comme un moyen d’union et de divertissement, devient aussi un terrain de débats idéologiques où des valeurs nationales, sociales et politiques s’entremêlent.
Dans le contexte actuel, il est essentiel de repenser la relation entre le sport et la politique. D’une part, le sport a un pouvoir fédérateur, capable de transcender les clivages et d’unir les citoyens autour de valeurs communes telles que le fair-play et l’esprit d’équipe. D’autre part, les événements sportifs peuvent servir de plateforme pour revendiquer des positions politiques, ce qui peut entraîner des conséquences négatives, comme l’exclusion de certaines populations ou le boycott de compétitions. Cette dualité pose un défi pour les organisateurs, les athlètes et les instances sportives en France.
À l’avenir, les implications du boycott pourraient engendrer un changement dans la manière dont les événements sportifs sont planifiés et présentés. Les organisateurs devront naviguer entre des considérations commerciales et l’exigence d’inclure tous les spectateurs, indépendamment de leurs opinions politiques. La situation actuelle pourrait conduire à un dialogue plus ouvert entre les instances sportives et les communautés, ainsi qu’à des initiatives visant à promouvoir la paix et l’harmonie au travers du sport. Il est crucial que le secteur sportif prenne la mesure de ce boycott pour éviter des crises similaires et favoriser un climat de convivialité, afin que le sport en France puisse continuer à jouer son rôle de catalyseur social.
Conclusion
Le boycott massif du Stade de France durant le match entre la France et Israël a mis en lumière les interconnexions entre le sport, la politique et la société. L’événement a non seulement suscité un intérêt médiatique exceptionnel, mais il a aussi révélé la puissance de la voix citoyenne face à des enjeux politiques. Les manifestations de désapprobation face à la tenue de ce match illustrent le fait que le sport peut être un terrain fertile pour l’engagement civique et la prise de position sur des questions sociopolitiques.
Les raisons derrière le boycott, qui ont été explorées tout au long de ce blog, vont des préoccupations éthiques liées à la situation en Israël et Palestine, aux questionnements sur la responsabilité sociale des événements sportifs. Cette réaction du public montre combien il est essentiel pour les citoyens de s’impliquer activement dans des discussions qui vont au-delà des simples performances sportives. Chaque voix compte, et les actions citoyennes peuvent influencer les décisions prises par les organisations sportives et les autorités gouvernementales.
De surcroît, la réaction du public face à ce match souligne également le besoin d’une réflexion approfondie sur le rôle des événements sportifs dans le cadre international. À l’heure où le monde est confronté à des défis politiques majeurs, il est primordial que les acteurs du sport reconnaissent leur influence et leur responsabilité envers la société. Les événements sportifs ne devraient pas être perçus simplement comme des divertissements, mais comme des plateformes potentiellement puissantes pour susciter des dialogues essentiels. Cette prise de conscience peut mener à un engagement positif et durable sur les enjeux cruciaux qui nous affectent tous. C’est en écoutant et en agissant ensemble que la voix citoyenne pourra réellement peser dans le cadre sportif et au-delà.
Aucun intérêt pour Israël – Belgique
Seuls 580 billets ont été vendus pour ce duel. 200 sont allés à des Hongrois, 200 à des Israéliens et 160 à des supporters belges. Le stade peut accueillir 9 000 personnes. Il est clair que ce match n’intéresse que très peu de gens, pour ne pas dire personne.
Les matches de la Ligue des Nations n’attirent jamais grand monde, seuls certains matches de haut niveau sont joués à guichets fermés, comme ce fut le cas pour Belgique-Italie. La Ligue des Nations est devenue complètement superflue et n’est plus viable.