Le seul fait incontestable dans la propagande victimaire sioniste, c’est que le régime génocidaire est responsable du meurtre de masse de 700.000 Palestiniens, et de 200.000 blessés rien qu’à Gaza. Le moment venu tous leurs complices, dont le RN seront traduits en Justice.
Depuis deux ans, chaque fois que je dénonce la folie guerrière israélienne, on m’oppose le même argument : « renseigne-toi, il y a pire ailleurs… ». (Sous entendu l’Afrique, le Soudan…) Mais voici les faits. Les chiffres viennent… d’Israël… : selon ses propres services de renseignement, au moins 83 % des personnes tuées à Gaza sont des civils : des femmes, des enfants… Aucun autre conflit récent n’approche ce niveau. Pour comparer : •Soudan : 23 % de morts civils •Ukraine : 10 % •Afghanistan : 8 % •Syrie où il y a eu des massacres de civils : 29 % Les seules tragédies comparables dans l’histoire récente sont le Rwanda et Srebrenica, deux cas reconnus comme crimes de masse à caractère génocidaire par la justice internationale. Ce qui se passe à Gaza dépasse la guerre : c’est un génocide. Cette réalité doit faire le tour du monde.

Mais voici les faits.
Les chiffres viennent… d’Israël… : selon ses propres services de renseignement, au moins 83 % des personnes tuées à Gaza sont des civils : des femmes, des enfants…
Aucun autre conflit récent n’approche ce niveau.
Pour comparer :
•Soudan : 23 % de morts civils
•Ukraine : 10 %
•Afghanistan : 8 %
•Syrie où il y a eu des massacres de civils : 29 %
Les seules tragédies comparables dans l’histoire récente sont le Rwanda et Srebrenica, deux cas reconnus comme crimes de masse à caractère génocidaire par la justice internationale.
Ce qui se passe à Gaza dépasse la guerre : c’est un génocide.Cette réalité doit faire le tour du monde.
- L’occupation n’a pas réussi à libérer ses prisonniers par la force et a été contrainte de se soumettre aux conditions de la résistance et à l’accord d’échange.
- Nous avons fait tous les efforts possibles pour protéger les prisonniers d’occupation alors que l’ennemi commet les crimes les plus odieux contre nos prisonniers.
- La question des prisonniers restera au premier plan de nos priorités jusqu’à la libération du dernier prisonnier des prisons de l’occupation.
AVANT LE 07.10 :
— hmdias (@Hmdoug) October 11, 2025
Israël emprisonnait et assassinait des enfants.pic.twitter.com/NK4MxdJokn
Depuis le 08.10, Israël commet un génocide jamais vu (un nombre :+20 000 bébés/enfants tués)
Now you know why they murdered JFK. pic.twitter.com/JwSwozFS4g
— Furkan Gözükara (@GozukaraFurkan) October 12, 2025
🇮🇱🇪🇸 Spanish TV says Israel faked and invented tunnels and structures, to bomb hospitals!
— Lord Bebo (@MyLordBebo) October 13, 2025
“The network of tunnels that Israel was showing under hospitals or other infrastructure to justify its bombing was fake; the setups were made with simulators, inventing tunnels and even… pic.twitter.com/GdJWnugrWN
Now you know why they murdered JFK. pic.twitter.com/JwSwozFS4g
— Furkan Gözükara (@GozukaraFurkan) October 12, 2025
Euphoriques malgré leur dénuement du strict minimum des conditions de la vie, les Gazaouis ont le sentiment d’avoir triomphé dans cette guerre. Pour la simple raison que Netanyahu n’a pas réussi à les déplacer en dehors de leur terre, comme il avait projeté de le faire après le déclenchement des hostilités après le 7 octobre 2023. Bien avant que le président américain Donald Trump ne reprenne à son compte cette velléité, annonçant sa volonté de transformer l’enclave palestinienne en une Riviera ou une station balnéaire !
Bien plus que la continuité des opérations de résistance qui ont perdu d’efficacité au fil de la guerre, c’est la persévérance des Gazaouis face à la machine infernale israélienne qui est fatale pour le projet de Netanyahu qui n’a plus caché sa volonté d’établir le Grand Israël, lequel inclut la bande de Gaza, la Cisjordanie et d’autres régions au Moyen-Orient. Avançant la menace existentielle, il n’a cessé de répéter durant cette guerre qu’il aspire à une victoire totale.
Et les Palestiniens qui ont survécu au génocide, ne cessent de répéter qu’ils ne quitteront jamais l’enclave. Leur présence sur leur terre étant leur principal enjeu existentiel.
Depuis deux ans, chaque fois que je dénonce la folie guerrière israélienne, on m’oppose le même argument : « renseigne-toi, il y a pire ailleurs… ». (Sous entendu l’Afrique, le Soudan…) Mais voici les faits. Les chiffres viennent… d’Israël… : selon ses propres services de renseignement, au moins 83 % des personnes tuées à Gaza sont des civils : des femmes, des enfants… Aucun autre conflit récent n’approche ce niveau. Pour comparer : •Soudan : 23 % de morts civils •Ukraine : 10 % •Afghanistan : 8 % •Syrie où il y a eu des massacres de civils : 29 % Les seules tragédies comparables dans l’histoire récente sont le Rwanda et Srebrenica, deux cas reconnus comme crimes de masse à caractère génocidaire par la justice internationale. Ce qui se passe à Gaza dépasse la guerre : c’est un génocide. Cette réalité doit faire le tour du monde.
Rappelons que les trois accords d’échange de prisonniers conclus entre la Résistance et l’occupation, pendant la guerre génocidaire lancée en octobre 2023, ont permis de libérer plus de 3 985 prisonniers palestiniens, dont :
– 486 prisonniers condamnés à la réclusion à perpétuité
– 319 condamnés à de longues peines
– 33 condamnés à la réclusion à perpétuité et à de longues peines
– 144 femmes
– 297 enfants
– 2 724 prisonniers de Gaza arrêtés pendant la guerre.
Une autre raison plus en lien à la guerre devraient rendre les Palestiniens fiers, notamment les résistants : l’armée israélienne en dépit de sa supériorité incontestable n’a pu libérer aucun des captifs israéliens, sachant qu’elle avait lancé cette offensive génocidaire dans cet objectif. Le gouvernement israélien s’est finalement voué à l’évidence que c’est seulement via les négociations avec leurs ravisseurs qu’ils peuvent obtenir leur libération.
Dans la continuité, un autre exploit qui devrait enorgueillir les Palestiniens, surtout les résistants du Hamas, est que les responsables israéliens se sont aussi résignés à mener des discussions avec leurs responsables pour obtenir cette libération. Signe qu’ils ne les ont pas défaits. Trump a qualifié ces négociateurs qu’ils sont « bons, très forts et intelligents », une flatterie qui ne devrait pas les tromper, tellement le locataire de la Maison Blanche est lunatique sauf si on lui réalise ses quatre volontés. Adhérant entièrement aux desideratas de Netanyahu, il ne cesse de les menacer de l’enfer qu’ils vivent déjà !
Faisant le constat qu’Israël n’a pas défait le Hamas ni l’a affaibli, des analystes israéliens sont persuadés qu’Israël a perdu la guerre. « Un fiasco stratégique », taxe Alon Ben David de la Chaine 13. Qui a recensé le nombre des tués israéliens, 1972 dont 913 soldats et celui des blessés et mutilés de guerre, 30 mille dont 10 mille qui ont été diagnostiqués comme psychologiques.
Ce chiffre minable n’illustre nullement l’exténuation de l’armée israélienne qui n’a donné aucun signe d’essoufflement pendant sa plus longue guerre depuis sa création. Et la plus féroce de toutes. Si exaspération est, elle serait palliée par les avancées technologiques, qui hors les offensives terrestres, lui permettent de s’adonner à la guerre comme d’un jeu vidéo.
Or, Netanyahu a finalement accepté d’arrêter la guerre sans avoir obtenu les captifs israéliens, ni pu déplacer les Palestiniens de Gaza et sans avoir achevé le Hamas. D’où la question de savoir pourquoi il l’a arrêtée.
Que Trump l’ait contraint à le faire ou que ce soit suite à une concertation avec lui, lors de leur dernière rencontre à Washington le lundi dernier, ne change pas grand-chose à la donne. Les raisons qui ont amené l’un, devraient être celles qui auraient amené l’autre à se résigner. Il va de soi que la guerre contre la bande de Gaza est aussi bien une guerre américaine qu’israélienne. A fortiori, c’est Netanyahu qui lui aurait proposée sa cessation. Sans que la victoire totale promise ne soit acquise ! se serait-il résigné à une victoire ou le feint-il ?
Le coût de la guerre aurait pu être pour quelque chose certes. Il a dépassé les 200 milliards de dollars. De même pour les retombées sur la situation économique où les pertes occasionnées par deux années de guerre et qui s’élèvent à des centaines de milliards, elles ne semblent pas préoccuper Netanyahu qui estime pouvoir y remédier via les réseaux internationaux qui le soutiennent inconditionnellement. Sa victoire totale les captive pour des projets futurs alléchants !
L’exaspération de l’opinion publique israélienne en raison de la longue durée de la guerre aurait pu être prise en considération si ce n’est que les chiffres des sondages montrent que plus de 50% des Israéliens seraient favorables à sa poursuite. Il les a toujours de son côté. La promesse de la victoire totale les a soudés autour de lui !
La colère au sein de l’opinion publique internationale surtout en Occident aurait pu être un facteur de poids aussi dans cette décision. Même les alliés inconditionnels d’Israël parmi la caste des dirigeants, se trouvent dans une posture inconfortable, confrontée à leur opinion publique offusquée qu’ils n’arrivent pas à maitriser. Dans le XXIème siècle, aucun mouvement de solidarité n’a autant perduré en dépit des mesures de répression. Le clash qu’il a causé entre les institutions gouvernementales et celles constitutionnelles qui neutralisaient les mesures de répression est malsain. Les Israéliens ne peuvent supporter de perdre le terreau de leur cause sioniste, leur base arrière. Mais Netanyahu est persuadé que sa victoire totale réduira tout ce mouvement au silence.
En revanche, ce qui pèse le plus dans sa balance est indubitablement le risque que les captifs israéliens encore vivants ne perdent la vie et ne soient pas ramenés à la maison. Leurs proches et parents quoique minoritaires ne lui auraient jamais pardonné de les sacrifier pour poursuivre la guerre. Ceci aurait ouvert des plaies passées jamais pansées depuis la Shoah au cours de laquelle les juifs ordinaires ont été sacrifiés dans les ghettos en faveur des plus riches, des plus forts et des plus sionistes, pour le projet d’Israël qui était encore petit !
Sachant que son incapacité à libérer ces captifs par la force, en dépit du lancement des offensives terrestres dont la dernière contre Gaza-ville, illustre un point de faiblesse qui ne saurait être couvert par la victoire totale !
Effectivement, c’est surtout là que le bât blesse chez Netanyahu. Dans toute cette guerre dévastatrice, « l’affaire des otages » aura été son seul talon d’Achille de Netanyahu.
Autre point faible de Netanyahu : toutes ses batailles haut de gammes contre les piliers de l’Axe de la résistance depuis le 7 octobre 2023 sont inachevées ! A l’exception de la Syrie.
Après avoir éliminé l’ex-secrétaire général du Hezbollah sayed Hassan Nasrallah, il s’est targué d’avoir éliminé « l’axe de l’axe », estimant que « c’est lui qui utilisait l’Iran ». Mais le Hezbollah qui compte dans son répertoire le plus grand nombre de frappes contre Israël pendant la guerre de soutien à Gaza puis la confrontation qui s’en est suivie n’a pas été éliminé pour autant. Israël a arrêté la guerre au bout de 66 jours !
Il a poursuivi avec l’Iran, qui lui a riposté à son attaque de 12 jours, lui infligeant les frappes les plus douloureuses depuis son implantation, mais son pouvoir est toujours en place, voire même renforcé.
De même avec les forces de Sanaa dont les frappes contre Israël, quoique les moins douloureuses en comparaison à celles des autres membres de l’Axe, sont les plus continues dans la durée, rien ne semble ébranler Ansarullah qui ne cesse d’assoir son pouvoir, consolidé par le soutien qu’il fournit aux Palestiniens.
De même avec le Hamas et les autres factions de la résistance palestinienne qui n’ont pas été éliminés. D’ailleurs, celles-ci ont toujours su renaitre des cendres !
Netanyahu, se contentera-t-il de miser une fois de plus sur les pressions de ses alliés américains et régionaux pour achever ces batailles, via les moyens politiques, économiques ou autres. Sachant que les expériences antérieures ont été vaines.
Admettra-t-il de ne pas réaliser son projet de Grand Israël qui caresse désormais l’esprit d’un grand nombre d’Israéliens et qui devrait couronner sa promesse de « victoire totale », sur laquelle il compte pour neutraliser les points faibles qui l’assiègent ?
L’enjeu est certes de taille. Il suffit que Netanyahu ne parvienne pas à le réaliser pour être déclaré grand perdant. Dans cette guerre, où il exploite toute sa supériorité militaire incontestable, c’est plus que jamais tout ou rien !
Autre point faible, ses ennemis jurés le savent très bien !
La seule déclaration publique de Starmer sur Gaza qui compte vraiment « Israël a le droit » de couper l’eau et l’électricité à Gaza Il a soutenu le bombardement et la famine des enfants Il a permis le génocide Starmer est coupable Que personne ne l’oublie jamais.
3 Tier Kier IS Jewish "My parents family are jewish" 👇 pic.twitter.com/yKCsEmXG2X
— AD (@ADisafterdeath) October 12, 2025