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Participation arabe et exclusion d’Israël.. L’ouverture de l’exposition d’armes « Eurostory » à Paris

NETANYAHU : ‘Nous ne nous soucions pas du Eurosatory est ANTISÉMITE.’

Le salon de l'armement et des technologies de défense, l'un des plus grands au monde, a ouvert ses portes lundi 17 juin à Paris, mais sans délégation d'Israël. Ce mardi 18 juin, le tribunal de commerce de Paris a ordonné à la société Coges, organisatrice du salon, de suspendre l'interdiction de participation des industriels israéliens.

Fin mai, après le bombardement meurtrier d'un camp de déplacés à Rafah, le gouvernement français avait fait le choix de désinviter les sociétés de défense israéliennes. La Chambre de commerce France-Israël avait saisi la justice en urgence. Ce matin, le tribunal de commerce de Paris a ordonné de les réintégrer.

Cette décision arrive trop tard pour que les industriels israéliens installent vraiment leurs stands à Villepinte, estime Henri Cukierman, président de la Chambre de commerce France-Israël. Il se réjouit tout de même d'une victoire de principe.

« Évidemment, j'en tire satisfaction. Ce qui est incroyable, c'est qu'on ait exclu les entreprises israéliennes. On est en plein délire, on est sur un salon, il ne s'agissait pas d'un événement politique. C'est un comportement de république bananière, juge-t-il. Pour nous, le problème a été un problème de principe. La probabilité pour qu’effectivement, ils arrivent avec des produits, ça n’existe pas. Mais là où pour moi c'est quelque chose d'absolument dramatique, des Israéliens ne pouvaient pas entrer dans le salon et, par exemple, un Américain né en Israël n'a pas pu entrer au salon. La dernière fois que ce genre de choses se sont passées, c'était au moment de la Seconde Guerre mondiale. »
Le salon de l’armement et des technologies de défense, l’un des plus grands au monde, a ouvert ses portes lundi 17 juin à Paris, mais sans délégation d’Israël. Ce mardi 18 juin, le tribunal de commerce de Paris a ordonné à la société Coges, organisatrice du salon, de suspendre l’interdiction de participation des industriels israéliens. Fin mai, après le bombardement meurtrier d’un camp de déplacés à Rafah, le gouvernement français avait fait le choix de désinviter les sociétés de défense israéliennes. La Chambre de commerce France-Israël avait saisi la justice en urgence. Ce matin, le tribunal de commerce de Paris a ordonné de les réintégrer. Cette décision arrive trop tard pour que les industriels israéliens installent vraiment leurs stands à Villepinte, estime Henri Cukierman, président de la Chambre de commerce France-Israël. Il se réjouit tout de même d’une victoire de principe. « Évidemment, j’en tire satisfaction. Ce qui est incroyable, c’est qu’on ait exclu les entreprises israéliennes. On est en plein délire, on est sur un salon, il ne s’agissait pas d’un événement politique. C’est un comportement de république bananière, juge-t-il. Pour nous, le problème a été un problème de principe. La probabilité pour qu’effectivement, ils arrivent avec des produits, ça n’existe pas. Mais là où pour moi c’est quelque chose d’absolument dramatique, des Israéliens ne pouvaient pas entrer dans le salon et, par exemple, un Américain né en Israël n’a pas pu entrer au salon. La dernière fois que ce genre de choses se sont passées, c’était au moment de la Seconde Guerre mondiale. »

Introduction à l’Exposition Eurostory

L’exposition d’armes Eurostory, qui se tient tous les deux ans à Paris, est un événement majeur dans le domaine de l’armement mondial. Cette manifestation attire des participants de divers pays, allant des fabricants d’armes aux représentants gouvernementaux, en passant par les experts en sécurité et en défense. L’importance de cette exposition réside dans sa capacité à servir de plateforme pour la présentation des innovations technologiques les plus récentes dans le domaine militaire, tout en facilitant les échanges et les collaborations internationales.

Eurostory joue un rôle crucial dans l’industrie de l’armement, en permettant aux acteurs du secteur de se rencontrer, de négocier et de conclure des contrats qui peuvent avoir des répercussions significatives sur la sécurité internationale. La portée de cet événement s’étend bien au-delà des frontières de la France, influençant les politiques de défense et les stratégies militaires à l’échelle mondiale. Chaque édition de l’exposition est attendue avec impatience par les professionnels du secteur, qui y voient une occasion unique de se tenir informés des dernières tendances et des développements technologiques.

Cependant, l’édition de cette année a suscité une controverse notable en raison de la participation de plusieurs pays arabes et de l’exclusion d’Israël. Cette décision a engendré des débats intenses et a mis en lumière les tensions géopolitiques persistantes dans la région. Les implications de cette exclusion sont multiples et touchent à des questions complexes de diplomatie et de relations internationales. L’exposition Eurostory, tout en étant un événement centré sur les technologies et les innovations, se retrouve ainsi au cœur de discussions politiques plus larges, reflétant la délicate équation entre commerce des armes, diplomatie et sécurité mondiale.“`html

Contexte de l’Exclusion des Entreprises Israéliennes

Soixante-quatorze entreprises refoulées. La présence des industriels israéliens de la défense au salon Eurosatory, un salon international de défense et de sécurité terrestre qui ouvre ses portes le 17 juin près de Paris, a été annulée sur décision des autorités françaises, a annoncé ce vendredi l’organisateur.
« Par décision des autorités gouvernementales, il n’y aura aucun stand de l’industrie de défense israélienne sur le salon Eurosatory 2024 », a affirmé à l’AFP l’organisateur de la manifestation, Coges Events, sans plus de précisions. Soixante-quatorze entreprises israéliennes devaient y exposer leurs matériels.
Une annonce à laquelle Israël a réagi quelques heures plus tard en demandant à la France de « revenir » sur cette interdiction. « J’ai discuté avec le Premier ministre » français Gabriel Attal, écrit M. Gantz sur X. « J’ai souligné que cette décision allait récompenser au bout du compte le terrorisme et j’ai demandé à la France de revenir sur cette interdiction », ajoute M. Gantz.
« Sommation »
Ni le Coges ni le ministère des Armées, sous l’égide duquel le salon est organisé, n’ont précisé dans l’immédiat les raisons de cette décision. Celle-ci intervient quelques jours après qu’un bombardement meurtrier d’un camp de déplacés à Rafah par l’armée israélienne a soulevé l’indignation internationale et suscité de nombreuses manifestations en France contre les opérations militaires israéliennes dans la bande de Gaza.
Un peu plus de 2 000 exposants sont inscrits pour Eurosatory pour y présenter leurs matériels. Parmi eux, 74 entreprises israéliennes, dont les principaux industriels de défense de l’État hébreu et « dont une dizaine présentent des armements », étaient attendus, avait auparavant indiqué le président de Coges Events, Charles Beaudouin.
Soixante-quatorze entreprises refoulées. La présence des industriels israéliens de la défense au salon Eurosatory, un salon international de défense et de sécurité terrestre qui ouvre ses portes le 17 juin près de Paris, a été annulée sur décision des autorités françaises, a annoncé ce vendredi l’organisateur. « Par décision des autorités gouvernementales, il n’y aura aucun stand de l’industrie de défense israélienne sur le salon Eurosatory 2024 », a affirmé à l’AFP l’organisateur de la manifestation, Coges Events, sans plus de précisions. Soixante-quatorze entreprises israéliennes devaient y exposer leurs matériels. Une annonce à laquelle Israël a réagi quelques heures plus tard en demandant à la France de « revenir » sur cette interdiction. « J’ai discuté avec le Premier ministre » français Gabriel Attal, écrit M. Gantz sur X. « J’ai souligné que cette décision allait récompenser au bout du compte le terrorisme et j’ai demandé à la France de revenir sur cette interdiction », ajoute M. Gantz. « Sommation » Ni le Coges ni le ministère des Armées, sous l’égide duquel le salon est organisé, n’ont précisé dans l’immédiat les raisons de cette décision. Celle-ci intervient quelques jours après qu’un bombardement meurtrier d’un camp de déplacés à Rafah par l’armée israélienne a soulevé l’indignation internationale et suscité de nombreuses manifestations en France contre les opérations militaires israéliennes dans la bande de Gaza. Un peu plus de 2 000 exposants sont inscrits pour Eurosatory pour y présenter leurs matériels. Parmi eux, 74 entreprises israéliennes, dont les principaux industriels de défense de l’État hébreu et « dont une dizaine présentent des armements », étaient attendus, avait auparavant indiqué le président de Coges Events, Charles Beaudouin.

L’exclusion des 74 entreprises israéliennes de l’exposition d’armes « Eurostory » à Paris s’inscrit dans un contexte politique et juridique complexe. Cette décision découle de multiples facteurs, dont l’appel du président français Emmanuel Macron à cesser les activités israéliennes dans la région de Rafah. Le président Macron a exprimé ses préoccupations concernant les actions militaires israéliennes et leur impact sur la stabilité régionale et les droits humains.

Par ailleurs, une récente décision judiciaire en France a renforcé cette position en soutenant l’interdiction de la participation israélienne à l’exposition. Les juges ont argumenté que la présence des entreprises israéliennes dans un événement de cette envergure pourrait être perçue comme une approbation tacite des politiques israéliennes controversées. Cette décision s’appuie sur des précédents juridiques et des considérations morales, soulignant l’importance de ne pas promouvoir des entreprises impliquées dans des conflits internationaux sensibles.

Le contexte géopolitique joue également un rôle crucial dans cette exclusion. Les relations entre Israël et plusieurs pays européens, dont la France, sont marquées par des tensions concernant les politiques israéliennes envers les Palestiniens. Les appels à des sanctions et à des boycotts économiques contre Israël se sont intensifiés, appuyés par des mouvements de la société civile et des organisations de défense des droits humains. L’exclusion des entreprises israéliennes de l’Eurostory s’inscrit donc dans une logique plus large de pression internationale visant à inciter Israël à revoir certaines de ses actions militaires et politiques.

En somme, l’exclusion des entreprises israéliennes de cette exposition d’armes reflète une convergence de facteurs politiques, juridiques et moraux, illustrant la complexité des relations internationales et les tentatives de certains États et organisations de promouvoir la paix et la justice par des moyens non violents.

Réaction du Ministère Français de la Défense

Le ministère français de la Défense a publié une déclaration officielle en réponse aux interrogations concernant l’exclusion des entreprises israéliennes de l’exposition d’armes « Eurostory ». Selon le ministère, cette décision découle de critères stricts d’admission et de conformité aux normes internationales en matière de sécurité et de droit humanitaire. Le ministère a spécifiquement mentionné que chaque entreprise, indépendamment de son pays d’origine, doit se conformer aux mêmes exigences rigoureuses pour garantir la transparence et la légalité des transactions d’armement.

La déclaration a également souligné que le pouvoir d’interdire l’exposition des armes israéliennes n’est pas un acte isolé mais fait partie d’une politique cohérente et systématique visant à maintenir la sécurité et la stabilité régionales. En outre, le ministère a affirmé que cette décision n’était pas dirigée spécifiquement contre Israël, mais qu’elle reflétait une application stricte des règles établies pour tous les participants potentiels.

Les implications de cette décision sur les relations franco-israéliennes sont multiples. À court terme, elle pourrait générer des tensions diplomatiques entre les deux nations, Israël percevant cette exclusion comme une forme de discrimination. À long terme, cependant, une telle mesure pourrait encourager une plus grande coopération et conformité aux normes internationales de la part des entreprises israéliennes, ouvrant ainsi la voie à une participation future plus harmonieuse.

En conclusion, la réaction du ministère français de la Défense met en lumière les défis complexes de l’organisation d’expositions internationales d’armement. L’équilibre entre les exigences de sécurité, la conformité légale et les relations diplomatiques reste délicat, nécessitant une gestion prudente et une communication transparente. Cette décision, bien qu’impopulaire auprès de certains, illustre l’engagement de la France à maintenir des standards élevés dans un secteur sensible et stratégique.

Participation des Pays Arabes

La présence notable de l’Arabie Saoudite et des Émirats Arabes Unis à l’exposition Eurostory à Paris marque un événement significatif dans le contexte géopolitique actuel. Ces deux puissances du Golfe, reconnues pour leur influence grandissante sur la scène internationale, ont manifesté un intérêt particulier pour les technologies de défense présentées lors de cet événement. Leur participation à Eurostory ne se limite pas seulement à l’acquisition de nouvelles armes, mais s’inscrit également dans une stratégie plus large de modernisation militaire et de renforcement de leur influence régionale.

Pour l’Arabie Saoudite, la participation à Eurostory représente une occasion de diversifier ses fournisseurs d’armement et de renforcer ses capacités défensives face à des menaces régionales. Le Royaume est en quête constante de technologies avancées pour moderniser son arsenal militaire, répondant ainsi aux défis sécuritaires posés par les conflits régionaux, notamment au Yémen. De plus, cette présence à Paris peut être perçue comme un moyen de renforcer ses alliances avec les pays occidentaux, tout en montrant un visage de modernité et d’ouverture technologique.

De leur côté, les Émirats Arabes Unis cherchent également à moderniser leur armée et à se positionner comme un acteur clé dans la sécurité régionale. Leur participation à Eurostory leur offre l’opportunité de nouer des partenariats stratégiques avec des fabricants d’armes de renommée mondiale. En outre, cette présence leur permet de renforcer leur image de nation proactive et technologiquement avancée, prête à jouer un rôle de premier plan dans la stabilité du Moyen-Orient.

Les implications géopolitiques de cette participation sont multiples. D’une part, elle souligne l’importance croissante des pays du Golfe dans le marché mondial de l’armement. D’autre part, elle reflète les dynamiques de pouvoir en mutation dans la région, où l’Arabie Saoudite et les Émirats Arabes Unis cherchent à sécuriser leur avenir en investissant massivement dans des technologies de défense sophistiquées.“`html

Présence Ukrainienne et Contexte Actuel

La participation de l’Ukraine à l’exposition d’armes « Eurostory » à Paris se déroule dans un contexte particulièrement tendu, marqué par le conflit en cours avec la Russie. Cette guerre, débutée en 2014 avec l’annexion de la Crimée par la Russie, a pris une nouvelle dimension en 2022 avec l’invasion à grande échelle de l’Ukraine. Dans ce cadre, l’Ukraine cherche à renforcer ses capacités de défense et à obtenir le soutien international nécessaire pour contrer l’agression russe.

Lors de l’exposition, l’Ukraine a présenté un éventail de technologies de défense de pointe, allant des systèmes anti-drones aux véhicules blindés. L’objectif principal de cette participation est double : démontrer la résilience et l’innovation de l’industrie de défense ukrainienne malgré les défis posés par la guerre, et attirer des partenariats stratégiques avec d’autres nations. En mettant en avant leurs avancées technologiques, les représentants ukrainiens espèrent non seulement obtenir des contrats, mais aussi des transferts de technologie et des collaborations qui pourraient renforcer leur position sur le champ de bataille.

La présence ukrainienne à « Eurostory » a suscité des réactions variées à l’échelle internationale. De nombreux pays européens ont exprimé leur soutien à l’Ukraine, reconnaissant l’importance de renforcer la capacité de défense d’un pays en guerre contre un agresseur. Ce soutien se manifeste souvent par des engagements pour fournir des armes, des munitions et des systèmes de défense sophistiqués. Toutefois, cette participation n’a pas été sans controverse, certains critiques estimant que l’exposition d’armes en temps de guerre pourrait aggraver les tensions ou être perçue comme une provocation.

En somme, l’Ukraine utilise l’exposition « Eurostory » comme une plateforme stratégique pour obtenir le soutien et les ressources nécessaires à sa défense. La présence ukrainienne est un rappel poignant des réalités actuelles du conflit et de l’importance de la coopération internationale dans le maintien de la paix et de la sécurité.“`html

Retour de la Chine Après la Pandémie

La forte représentation de la Chine à l’exposition « Eurostory » de cette année marque un retour significatif après les perturbations causées par la pandémie de COVID-19. Avec au moins 64 entreprises chinoises attendues, la participation chinoise ne passe pas inaperçue. Ce regain de participation témoigne de la résilience et de la détermination de la Chine à renforcer sa présence sur la scène internationale des expositions d’armes et de technologies de défense.

La pandémie de COVID-19 a eu un impact considérable sur la participation chinoise aux événements internationaux, y compris « Eurostory ». Les restrictions de voyage, les mesures de quarantaine et les préoccupations sanitaires ont limité les possibilités de présence physique des entreprises chinoises. Cependant, avec l’amélioration de la situation sanitaire mondiale et la levée progressive des restrictions, la Chine est prête à réaffirmer sa position sur le marché international.

Les objectifs de la Chine pour cette édition d’« Eurostory » sont multiples. D’une part, les entreprises chinoises cherchent à présenter leurs dernières innovations et technologies dans le domaine de la défense. D’autre part, elles visent à renforcer les partenariats internationaux et à explorer de nouvelles opportunités commerciales. La participation à une exposition d’envergure comme « Eurostory » offre une plateforme idéale pour atteindre ces objectifs.

En outre, l’importance de la participation chinoise réside également dans la démonstration de la capacité de la Chine à surmonter les défis posés par la pandémie. La présence accrue des entreprises chinoises à « Eurostory » envoie un message fort sur la reprise économique et la volonté de la Chine de jouer un rôle actif dans le secteur mondial de la défense. Cela souligne également l’engagement du pays à continuer d’innover et de contribuer au développement des technologies de défense avancées.

Controverse et Débats Juridiques

L’exposition d’armes « Eurostory » à Paris a suscité une vive polémique, amplifiée par les démarches juridiques entreprises par quatre organisations non gouvernementales (ONG). Ces ONG ont réussi à obtenir une interdiction de la participation israélienne, une décision qui a généré des débats intenses au sein des cercles juridiques et politiques. La controverse repose sur des arguments complexes liés aux droits internationaux, aux accords de libre-échange et aux politiques de non-discrimination.

Les ONG ont avancé que la présence israélienne à l’exposition violerait plusieurs principes du droit international humanitaire. Elles ont notamment évoqué les actions militaires israéliennes dans les territoires palestiniens, argumentant que la participation à une exposition d’armes pourrait être perçue comme une légitimation tacite de ces actions. Par ailleurs, ces organisations ont souligné le besoin de cohérence avec les résolutions des Nations Unies, qui dénoncent régulièrement les violations des droits humains dans ces régions.

En contrepartie, les opposants à cette interdiction ont mis en avant le respect des accords de libre-échange et des principes de non-discrimination. Selon eux, l’exclusion d’Israël pourrait être interprétée comme un acte discriminatoire contraire aux valeurs européennes de libre commerce et d’égalité de traitement entre les nations. Ils ont également fait valoir que l’interdiction pourrait nuire aux relations diplomatiques et économiques entre les pays européens et Israël, compromettant ainsi des collaborations stratégiques.

Les implications juridiques de cette décision sont vastes et complexes. D’un côté, elle pourrait renforcer le rôle des ONG dans la défense des droits humains et dans la promotion de la paix et de la sécurité internationales. De l’autre, elle soulève des questions sur les limites du droit international et des politiques de non-discrimination, une tension récurrente dans le contexte globalisé actuel. Cette controverse pourrait bien servir de précédent pour des décisions futures concernant la participation d’États controversés à des événements internationaux.

Conclusion et Perspectives Futures

L’exposition d’armes « Eurostory » à Paris a récemment attiré l’attention en raison de la participation notable des pays arabes et de l’exclusion d’Israël. Cet événement met en lumière des dynamiques géopolitiques complexes et des tensions régionales persistantes. La participation arabe renforce la position de ces nations sur la scène internationale de l’armement, tandis que l’absence d’Israël soulève des questions sur l’équité et les répercussions politiques des critères d’admission.

Les futures éditions d’Eurostory devront naviguer ces eaux troubles avec tact et prudence. Les organisateurs pourraient envisager de revoir les politiques d’admission pour promouvoir une représentation plus équilibrée et inclusive. De telles révisions pourraient également atténuer les critiques et améliorer la crédibilité de l’exposition en tant que plateforme neutre pour l’échange technologique et commercial.

En ce qui concerne les tendances actuelles et futures dans l’industrie de l’armement internationale, plusieurs facteurs joueront un rôle clé. L’innovation technologique continuera d’être un moteur majeur, avec des avancées dans les domaines de l’intelligence artificielle, des drones et des systèmes de défense cybernétique. De plus, la montée des tensions géopolitiques dans certaines régions pourrait influencer la demande et l’offre d’armes, modifiant ainsi les dynamiques du marché.

Les enjeux environnementaux et éthiques commencent également à peser sur l’industrie, incitant les fabricants à adopter des pratiques plus durables et responsables. Les consommateurs et les gouvernements étant de plus en plus conscients de l’impact de leurs décisions, l’industrie de l’armement devra s’adapter à ces nouvelles exigences pour rester pertinente et compétitive.

En somme, l’exposition « Eurostory » à Paris est un microcosme des défis et opportunités auxquels fait face l’industrie de l’armement. Les futures éditions devront non seulement s’adapter aux évolutions technologiques et politiques, mais aussi répondre aux attentes croissantes en matière de responsabilité sociale et environnementale. Ces ajustements seront cruciaux pour assurer la pérennité et la pertinence de cet événement international.

La France a interdit aux entreprises israéliennes de venir exposer leurs dernières avancées technologiques en matière d’armement au salon Eurosatory. La décision a été prise par les « autorités gouvernementales » selon l’organisateur.

Deux semaines avant la tenue du Salon, les autorités françaises ont signalé à 74 exposants israéliens dont de grands noms de l’industriel de l’armement et de défense, leur interdiction de participation.

L’interdiction est tombée pour des structures connues comme Elbit Sytems, Rafael Advanced Dfense Sytems, ou encore Israël Aerospace Industries. Israël est le neuvième exportateur mondial d’armes.

Le Salon qui doit se tenir du 17 au 21 juin doit accueillir plus de 60 000 participants de 150 pays et 170 exposants. Parmi eux se trouvait une douzaine d’entreprises israéliennes qui devaient montrer leurs armes de pointes et dernières avancées technologiques en matière de guerre.

Le veto français est signé par le ministère des Armées, indique le média spécialisé Infodefensa. L’interdiction qui a frappé les entreprises israéliennes s’explique par la guerre menée par ce pays contre les Palestiniens à Gaza.

Les dernières opérations militaires israéliennes menées notamment à Rafah ont cristallisé les opinions de la communauté internationale, choquée et hautement touchée par le massacre humain provoqué par Israël.

Cela a notamment fait réagir le président français, Emmanuel Macron qui a exprimé son « indignation » suite à cette attaque contre un camp de réfugiés ayant provoqué au moins 45 morts.

L’ancien ministre de la Défense et chef du Parti de l’unité nationale, Benny Gantz, membre du cabinet de guerre d’union nationale créé après l’attaque du Hamas le 7 octobre, a réagi à la décision de Paris en déclarant que la France « récompenserait le terrorisme ».

Pourtant, depuis le début de la guerre, ce sont plus de 36 550 personnes qui ont perdu la vie sous les bombardements israéliens et tous étaient des civils.

« J’ai discuté avec le Premier ministre » français Gabriel Attal, écrit Benny Gantz sur X. « J’ai souligné que cette décision allait récompenser au bout du compte le terrorisme et j’ai demandé à la France de revenir sur cette interdiction », a-t-il ajouté.

Dans un communiqué, le ministère des armées français a indiqué que les « conditions ne sont plus adéquates pour accueillir des entreprises israéliennes à la foire de Paris », rappelant que le président français a appelé les entreprises israéliennes à cesser leurs activités à Rafah.
La France a interdit aux entreprises israéliennes de venir exposer leurs dernières avancées technologiques en matière d’armement au salon Eurosatory. La décision a été prise par les « autorités gouvernementales » selon l’organisateur. Deux semaines avant la tenue du Salon, les autorités françaises ont signalé à 74 exposants israéliens dont de grands noms de l’industriel de l’armement et de défense, leur interdiction de participation. L’interdiction est tombée pour des structures connues comme Elbit Sytems, Rafael Advanced Dfense Sytems, ou encore Israël Aerospace Industries. Israël est le neuvième exportateur mondial d’armes. Le Salon qui doit se tenir du 17 au 21 juin doit accueillir plus de 60 000 participants de 150 pays et 170 exposants. Parmi eux se trouvait une douzaine d’entreprises israéliennes qui devaient montrer leurs armes de pointes et dernières avancées technologiques en matière de guerre. Le veto français est signé par le ministère des Armées, indique le média spécialisé Infodefensa. L’interdiction qui a frappé les entreprises israéliennes s’explique par la guerre menée par ce pays contre les Palestiniens à Gaza. Les dernières opérations militaires israéliennes menées notamment à Rafah ont cristallisé les opinions de la communauté internationale, choquée et hautement touchée par le massacre humain provoqué par Israël. Cela a notamment fait réagir le président français, Emmanuel Macron qui a exprimé son « indignation » suite à cette attaque contre un camp de réfugiés ayant provoqué au moins 45 morts. L’ancien ministre de la Défense et chef du Parti de l’unité nationale, Benny Gantz, membre du cabinet de guerre d’union nationale créé après l’attaque du Hamas le 7 octobre, a réagi à la décision de Paris en déclarant que la France « récompenserait le terrorisme ». Pourtant, depuis le début de la guerre, ce sont plus de 36 550 personnes qui ont perdu la vie sous les bombardements israéliens et tous étaient des civils. « J’ai discuté avec le Premier ministre » français Gabriel Attal, écrit Benny Gantz sur X. « J’ai souligné que cette décision allait récompenser au bout du compte le terrorisme et j’ai demandé à la France de revenir sur cette interdiction », a-t-il ajouté. Dans un communiqué, le ministère des armées français a indiqué que les « conditions ne sont plus adéquates pour accueillir des entreprises israéliennes à la foire de Paris », rappelant que le président français a appelé les entreprises israéliennes à cesser leurs activités à Rafah.

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